La place du kinésithérapeute dans le dépistage de l'endométriose / Laurie Lenthiez

Public ISBD Titre : La place du kinésithérapeute dans le dépistage de l'endométriose : Création et diffusion d’un outil d’aide à sa détection Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Laurie Lenthiez ; Sylvie Mairlot, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2021 Importance : 120p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Mots-clés : Endometriosis  Clinical signs  Screening test  Predictive factors  Questionnaire  Guidelines Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – L’endométriose touche une femme sur dix. Pourtant, le délai entre les premiers symptômes et le diagnostic de la maladie est de 6 à 10 ans. Face à cette errance diagnostique, l’endométriose est un enjeu de santé publique majeure. De par sa prévalence, le kinésithérapeute sera inévitablement confronté durant sa carrière à des patientes atteintes d’endométriose, diagnostiquées ou non. L’objectif de ce mémoire est de montrer la place du kinésithérapeute dans le dépistage de l’endométriose, plus précisément dans le repérage de signes évocateurs de la maladie. Grâce à la création d'un outil d'aide au dépistage, les kinésithérapeutes pourraient orienter les patientes susceptibles d'être atteintes d'endométriose vers un professionnel de santé adapté. Méthodes – Un questionnaire en ligne a été distribué à des kinésithérapeutes formés ou non en pelvi-périnéologie. Celui-ci a permis de recenser 106 volontaires à recevoir l’outil d’aide créé pour l’étude. Cette fiche synthétise les symptômes et facteurs de risques de l’endométriose, selon une revue poussée de la littérature. Il en ressort que la combinaison de signes positifs chez la patiente est synonyme d’une augmentation de risque d’endométriose. Par la suite, un questionnaire d’évaluation a permis d’analyser le retour de 25 kinésithérapeutes sur cette fiche. Résultats – Les kinésithérapeutes formés en pelvi-périnéologie ont suivi plus de patientes atteintes d’endométriose que les thérapeutes non formés. Grâce à leurs formations, ils sont plus sensibilisés à la maladie et sont plus à même de repérer des signes évocateurs, ainsi que de rediriger ces patientes vers des professionnels de santé adaptés. La majorité des participants étaient favorables à l’idée d’utiliser l’outil, surtout pour sensibiliser les kinésithérapeutes moins formés. Conclusion – L’outil d’aide au dépistage de l’endométriose permet de participer à la sensibilisation des kinésithérapeutes sur les signes évocateurs de la maladie. Cependant, l’étude n’a pas permis de suivre le parcours diagnostique des patientes considérées à risque et nécessite une analyse plus approfondie quant à la question dans l’aide au dépistage. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96871 La place du kinésithérapeute dans le dépistage de l'endométriose : Création et diffusion d’un outil d’aide à sa détection [TFE / Mémoire] / Laurie Lenthiez ; Sylvie Mairlot, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2021 . - 120p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Mots-clés : Endometriosis  Clinical signs  Screening test  Predictive factors  Questionnaire  Guidelines Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif – L’endométriose touche une femme sur dix. Pourtant, le délai entre les premiers symptômes et le diagnostic de la maladie est de 6 à 10 ans. Face à cette errance diagnostique, l’endométriose est un enjeu de santé publique majeure. De par sa prévalence, le kinésithérapeute sera inévitablement confronté durant sa carrière à des patientes atteintes d’endométriose, diagnostiquées ou non. L’objectif de ce mémoire est de montrer la place du kinésithérapeute dans le dépistage de l’endométriose, plus précisément dans le repérage de signes évocateurs de la maladie. Grâce à la création d'un outil d'aide au dépistage, les kinésithérapeutes pourraient orienter les patientes susceptibles d'être atteintes d'endométriose vers un professionnel de santé adapté. Méthodes – Un questionnaire en ligne a été distribué à des kinésithérapeutes formés ou non en pelvi-périnéologie. Celui-ci a permis de recenser 106 volontaires à recevoir l’outil d’aide créé pour l’étude. Cette fiche synthétise les symptômes et facteurs de risques de l’endométriose, selon une revue poussée de la littérature. Il en ressort que la combinaison de signes positifs chez la patiente est synonyme d’une augmentation de risque d’endométriose. Par la suite, un questionnaire d’évaluation a permis d’analyser le retour de 25 kinésithérapeutes sur cette fiche. Résultats – Les kinésithérapeutes formés en pelvi-périnéologie ont suivi plus de patientes atteintes d’endométriose que les thérapeutes non formés. Grâce à leurs formations, ils sont plus sensibilisés à la maladie et sont plus à même de repérer des signes évocateurs, ainsi que de rediriger ces patientes vers des professionnels de santé adaptés. La majorité des participants étaient favorables à l’idée d’utiliser l’outil, surtout pour sensibiliser les kinésithérapeutes moins formés. Conclusion – L’outil d’aide au dépistage de l’endométriose permet de participer à la sensibilisation des kinésithérapeutes sur les signes évocateurs de la maladie. Cependant, l’étude n’a pas permis de suivre le parcours diagnostique des patientes considérées à risque et nécessite une analyse plus approfondie quant à la question dans l’aide au dépistage. 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