Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Nicolas Béchaud |
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Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite / Florian Forelli in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite Type de document : texte imprimé Auteurs : Florian Forelli ; Maude Traulle ; Nicolas Béchaud ; Clément Sansonnet ; Patrice Marine ; Jean Mazeas, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : réduction des risques Traumatismes sportifs Football Ligament croisé antérieur Résumé : Le sport d’élite constitue la période de transition vers le haut niveau. Cette période est marquée à la fois par l’accession à la maturité biologique mais aussi par l’expertise dans la spécialisation du sport pratiqué. C’est aussi malheureusement dans cette période que le jeune athlète peut se blesser, ralentir sa progression et voir le rêve du haut niveau s’envoler. En effet, le risque du surentraînement ou de l’entraînement non adapté à la maturité biologique peut entraîner de graves blessures avec un long temps d’indisponibilité, ce qui est le cas notamment lors de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA).
L’étude de Larruskain et al. [1] montre que la rupture du LCA est une blessure qui impacte de manière négative la carrière et la progression du jeune footballeur.
Même si cette blessure reste rare dans le monde du football d’élite, elle entraine des modifications physiologiques et psychologiques non négligeables qui porte la récidive à 18 % [2].
Notons que d’après l’étude de Gilchrist et al. [3], 31 % des joueurs de football d’élite ont des antécédents de blessures au genou dont 14 % avec un antécédent de blessure au LCA.
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir des bilans pertinents reposant sur un socle scientifique valide afin de prédire la rupture du LCA et de personnaliser les protocoles de prévention des blessures afin d’optimiser la performance. Parmi ces bilans, le 5 Factors Maximum Model [4] nous apparaît comme le plus adapté dans la prédiction des blessures sur LCA du jeune footballeur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100544
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 17-22[article] Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite [texte imprimé] / Florian Forelli ; Maude Traulle ; Nicolas Béchaud ; Clément Sansonnet ; Patrice Marine ; Jean Mazeas, Auteur . - 2022 . - p. 17-22.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 17-22
Mots-clés : réduction des risques Traumatismes sportifs Football Ligament croisé antérieur Résumé : Le sport d’élite constitue la période de transition vers le haut niveau. Cette période est marquée à la fois par l’accession à la maturité biologique mais aussi par l’expertise dans la spécialisation du sport pratiqué. C’est aussi malheureusement dans cette période que le jeune athlète peut se blesser, ralentir sa progression et voir le rêve du haut niveau s’envoler. En effet, le risque du surentraînement ou de l’entraînement non adapté à la maturité biologique peut entraîner de graves blessures avec un long temps d’indisponibilité, ce qui est le cas notamment lors de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA).
L’étude de Larruskain et al. [1] montre que la rupture du LCA est une blessure qui impacte de manière négative la carrière et la progression du jeune footballeur.
Même si cette blessure reste rare dans le monde du football d’élite, elle entraine des modifications physiologiques et psychologiques non négligeables qui porte la récidive à 18 % [2].
Notons que d’après l’étude de Gilchrist et al. [3], 31 % des joueurs de football d’élite ont des antécédents de blessures au genou dont 14 % avec un antécédent de blessure au LCA.
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir des bilans pertinents reposant sur un socle scientifique valide afin de prédire la rupture du LCA et de personnaliser les protocoles de prévention des blessures afin d’optimiser la performance. Parmi ces bilans, le 5 Factors Maximum Model [4] nous apparaît comme le plus adapté dans la prédiction des blessures sur LCA du jeune footballeur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100544 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIdentification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 637 (Décembre 21)
[article]
Titre : Identification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille Type de document : texte imprimé Auteurs : Maude Traulle ; Florian Forelli ; Patrice Marine ; Nicolas Béchaud ; Jean Mazeas Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : Reprise du sport rupture du tendon d’Achille Résumé : L’incidence des ruptures du tendon d’Achille (RTA) est de [7-47]/100 000 par an en Europe et concerne surtout des hommes (6 : 1) de 30-50 ans, selon Mattila et al. en 2015 [1] et Huttunen et al. en 2001. Des symptômes préalables ne sont recensés que dans 10 % des cas. Ces ruptures sont liées à un mécanisme endogène associant une contraction maximale du triceps sural et un étirement asynchrone du système suro-achilléo-calcanéo-plantaire. Selon Flik, la rupture s’effectue le plus souvent près de l’insertion calcanéenne, 3 à 6 cm au-dessus de l’enthèse, sur la zone la plus étroite du tendon et la plus mal vascularisée.La pathologie tendineuse correspond selon Cook et al. à un continuum, c’est-à-dire que la pathologie lésionnelle est évolutive. Une rupture n’apparaît que sur un tendon préalablement lésé et n’ayant pas correctement cicatrisé. Autrement dit, si le tendon rompt, c’est que sur la chaîne cinétique formé par l’os, le muscle et le tendon, il représente le maillon le plus faible, incapable de résister à la traction qui le fait céder.Le sport pratiqué par le sujet en question est un facteur à prendre en compte : le type de terrain (mou à dur) et le type d’effort demandé (vitesse d’accélération ou de sprint) est en cause. En effet, selon Lai et al., durant le sprint et surtout en phase d’accélération sur surface dure, le triceps (dans son ensemble) semble se contracter de manière quasi-isométrique, offrant à la qualité élastique du tendon achilléen le rôle de principal contributeur de la propulsion, expliquant la prévalence de rupture dans le basketball.Dans le sport professionnel, la majorité des ruptures du tendon achilléen survient en début de saison, chez des joueurs vétérans, et près de la moitié d'entre eux ne reviennent pas au jeu ou commencent moins de 10 matchs dans le reste de leur carrière. Le mécanisme de blessure le plus fréquent est l'envol d'une position arrêtée, juste avant la mise en jeu du pied, avec un pied en dorsiflexion selon Lemme et al.Au bord du terrain, le thérapeute peut objectiver la RTA grâce au Calf Squeeze Test, ou test de Thompson, qui présente, d’après les travaux de Schwietermann et al., une sensibilité de 96 % et une spécificité de 93 %. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98297
in Kinésithérapie scientifique > 637 (Décembre 21) . - p. 5-13[article] Identification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille [texte imprimé] / Maude Traulle ; Florian Forelli ; Patrice Marine ; Nicolas Béchaud ; Jean Mazeas . - 2021 . - p. 5-13.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 637 (Décembre 21) . - p. 5-13
Mots-clés : Reprise du sport rupture du tendon d’Achille Résumé : L’incidence des ruptures du tendon d’Achille (RTA) est de [7-47]/100 000 par an en Europe et concerne surtout des hommes (6 : 1) de 30-50 ans, selon Mattila et al. en 2015 [1] et Huttunen et al. en 2001. Des symptômes préalables ne sont recensés que dans 10 % des cas. Ces ruptures sont liées à un mécanisme endogène associant une contraction maximale du triceps sural et un étirement asynchrone du système suro-achilléo-calcanéo-plantaire. Selon Flik, la rupture s’effectue le plus souvent près de l’insertion calcanéenne, 3 à 6 cm au-dessus de l’enthèse, sur la zone la plus étroite du tendon et la plus mal vascularisée.La pathologie tendineuse correspond selon Cook et al. à un continuum, c’est-à-dire que la pathologie lésionnelle est évolutive. Une rupture n’apparaît que sur un tendon préalablement lésé et n’ayant pas correctement cicatrisé. Autrement dit, si le tendon rompt, c’est que sur la chaîne cinétique formé par l’os, le muscle et le tendon, il représente le maillon le plus faible, incapable de résister à la traction qui le fait céder.Le sport pratiqué par le sujet en question est un facteur à prendre en compte : le type de terrain (mou à dur) et le type d’effort demandé (vitesse d’accélération ou de sprint) est en cause. En effet, selon Lai et al., durant le sprint et surtout en phase d’accélération sur surface dure, le triceps (dans son ensemble) semble se contracter de manière quasi-isométrique, offrant à la qualité élastique du tendon achilléen le rôle de principal contributeur de la propulsion, expliquant la prévalence de rupture dans le basketball.Dans le sport professionnel, la majorité des ruptures du tendon achilléen survient en début de saison, chez des joueurs vétérans, et près de la moitié d'entre eux ne reviennent pas au jeu ou commencent moins de 10 matchs dans le reste de leur carrière. Le mécanisme de blessure le plus fréquent est l'envol d'une position arrêtée, juste avant la mise en jeu du pied, avec un pied en dorsiflexion selon Lemme et al.Au bord du terrain, le thérapeute peut objectiver la RTA grâce au Calf Squeeze Test, ou test de Thompson, qui présente, d’après les travaux de Schwietermann et al., une sensibilité de 96 % et une spécificité de 93 %. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98297 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLésion du ligament croisé antérieur : serait-ce aussi une question de génétique ? / Nicolas Béchaud in Kinésithérapie scientifique, 635 (Octobre 2021)
[article]
Titre : Lésion du ligament croisé antérieur : serait-ce aussi une question de génétique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Béchaud ; Florian Forelli Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 27-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : Analyse génétique Ligament croisé antérieur Résumé : La génomique est une science, qui depuis des décennies, nous a permis d’étudier la variabilité du matériel génétique de chaque être vivant. De multiples facteurs, comme l’entraînement, la nutrition, la motivation, mais également la génétique et l’épigénétique, sont à l’origine de la performance d’un athlète. Ce n’est plus à démontrer, notre passeport génétique influence la force, la puissance, l'endurance (notamment les gènes ACE et ACTN-3) mais aussi la taille et la composition des fibres musculaires, la flexibilité, la coordination neuromusculaire, le tempérament et d'autres phénotypes .Dans son étude, McCabe et al. déterminent que certains gènes sont liés à l’apparition de blessures et ce quel que soit le niveau sportif. Il a été démontré que le gène AMPD-1 (codant pour la protéine adénosine monophosphate désaminase 1) est lié à un besoin de récupération accrue après une activité intense. Ceux qui prennent ce repos ont de meilleures performances [3]. En effet, cette variabilité génétique détermine la structure et la fonction des tendons et ligaments, ce qui influence et modifie le risque de blessure de chaque être humain. Certaines associations de variantes génétiques (de protéines, comme le collagène, qui jouent des rôles structurels et fonctionnels dans les tendons et les ligaments) et la susceptibilité à la rupture du LCA ont été découvertes ces dernières années.Nous sommes dans une période passionnante pour la génomique sportive. Grâce aux nouvelles technologies (séquençage du génome entier, études d’association pangénomique (GWAS) mais également la bio-informatique (pour disséquer et analyser plus en profondeur) nous pourrons mieux comprendre quels sont les polymorphismes/mutations de l’ADN impliqués, par quels mécanismes et voies, ils exercent des effets sur la capacité physique humaine Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96372
in Kinésithérapie scientifique > 635 (Octobre 2021) . - p. 27-35[article] Lésion du ligament croisé antérieur : serait-ce aussi une question de génétique ? [texte imprimé] / Nicolas Béchaud ; Florian Forelli . - 2021 . - p. 27-35.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 635 (Octobre 2021) . - p. 27-35
Mots-clés : Analyse génétique Ligament croisé antérieur Résumé : La génomique est une science, qui depuis des décennies, nous a permis d’étudier la variabilité du matériel génétique de chaque être vivant. De multiples facteurs, comme l’entraînement, la nutrition, la motivation, mais également la génétique et l’épigénétique, sont à l’origine de la performance d’un athlète. Ce n’est plus à démontrer, notre passeport génétique influence la force, la puissance, l'endurance (notamment les gènes ACE et ACTN-3) mais aussi la taille et la composition des fibres musculaires, la flexibilité, la coordination neuromusculaire, le tempérament et d'autres phénotypes .Dans son étude, McCabe et al. déterminent que certains gènes sont liés à l’apparition de blessures et ce quel que soit le niveau sportif. Il a été démontré que le gène AMPD-1 (codant pour la protéine adénosine monophosphate désaminase 1) est lié à un besoin de récupération accrue après une activité intense. Ceux qui prennent ce repos ont de meilleures performances [3]. En effet, cette variabilité génétique détermine la structure et la fonction des tendons et ligaments, ce qui influence et modifie le risque de blessure de chaque être humain. Certaines associations de variantes génétiques (de protéines, comme le collagène, qui jouent des rôles structurels et fonctionnels dans les tendons et les ligaments) et la susceptibilité à la rupture du LCA ont été découvertes ces dernières années.Nous sommes dans une période passionnante pour la génomique sportive. Grâce aux nouvelles technologies (séquençage du génome entier, études d’association pangénomique (GWAS) mais également la bio-informatique (pour disséquer et analyser plus en profondeur) nous pourrons mieux comprendre quels sont les polymorphismes/mutations de l’ADN impliqués, par quels mécanismes et voies, ils exercent des effets sur la capacité physique humaine Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96372 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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