Comment la valeur des produits issus de la canne à sucre et de la betterave est-elle partagée entre planteurs et industriels à travers le monde ? / Timothé Masson in IAA / Industries alimentaires et agricoles, 80 (juillet 2022)

Public ISBD [article]  inIAA / Industries alimentaires et agricoles > 80 (juillet 2022) . - p. 23-27 Titre : Comment la valeur des produits issus de la canne à sucre et de la betterave est-elle partagée entre planteurs et industriels à travers le monde ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Timothé Masson Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 23-27 Langues : Français (fre) Résumé : Les filières sucrières, dans le monde, ont souvent la réputation d’être organisées. Il en va de leur durabilité : les planteurs produisent une matière première (canne à sucre ou betterave) non stockable, très peu transportable, et qui nécessite une étape de transformation industrielle. Par ailleurs, ces filières nécessitent des investissements propres qui mobilisent des capitaux conséquent, alors que le produit fini (le sucre) est l’un des plus volatils au monde. Dès lors, sucriers et planteurs ont donc toujours eu besoin de formaliser une relation commerciale dans le temps. Cette étude vise à illustrer la diversité des relations contractuelles, à travers le monde, entre planteurs et sucriers, et leurs évolutions depuis 2015. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105648 [article] Comment la valeur des produits issus de la canne à sucre et de la betterave est-elle partagée entre planteurs et industriels à travers le monde ? [texte imprimé] / Timothé Masson . - 2022 . - p. 23-27. Langues : Français (fre) in IAA / Industries alimentaires et agricoles > 80 (juillet 2022) . - p. 23-27 Résumé : Les filières sucrières, dans le monde, ont souvent la réputation d’être organisées. Il en va de leur durabilité : les planteurs produisent une matière première (canne à sucre ou betterave) non stockable, très peu transportable, et qui nécessite une étape de transformation industrielle. Par ailleurs, ces filières nécessitent des investissements propres qui mobilisent des capitaux conséquent, alors que le produit fini (le sucre) est l’un des plus volatils au monde. Dès lors, sucriers et planteurs ont donc toujours eu besoin de formaliser une relation commerciale dans le temps. Cette étude vise à illustrer la diversité des relations contractuelles, à travers le monde, entre planteurs et sucriers, et leurs évolutions depuis 2015. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105648

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Evolution des prix du sucre dans l’Union européenne depuis la fin des quotas sucriers : quel bilan ? / Timothé Masson in IAA / Industries alimentaires et agricoles, 74 ([01/07/2021])

Public ISBD [article]  inIAA / Industries alimentaires et agricoles > 74 [01/07/2021] . - p. 20-22 Titre : Evolution des prix du sucre dans l’Union européenne depuis la fin des quotas sucriers : quel bilan ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Timothé Masson Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 20-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : sucre : marché Résumé : La fin des quotas betteraviers en Europe était vue par certains de ses promoteurs, comme l’occasion d’adapter le volume de production à la demande. Or, le marché mondial, très volatil, présente : • des opportunités ponctuelles lors desquelles la filière française a toute sa place, • et des menaces récurrentes pendant lesquelles la filière pourrait faire le choix de restreindre son offre pour limiter son exposition. Sans outil de gestion des marchés (hors aide au stockage privé), et en dehors du rôle de tampon offert par le bioéthanol, c’est bien le facteur ‘prix du sucre’ qui peut être en mesure de jouer ce rôle régulateur. Mais quatre ans après la fin des quotas, on constate que les prix de livraison du sucre sur le territoire communautaire peinent à suivre les fondamentaux européens et, par ricochet, le prix de la betterave. Cette situation limite l’adaptation de l’offre à la demande, et c’est finalement des facteurs non choisis par la filière (sécheresse en 2018 et 2019, jaunisse en 2020) qui ont, principalement, dicté le niveau de production communautaire. Après 2 ans de mar- ché communautaire déficitaire, la reprise des cours du sucre européen est restée modeste avec une répercussion directe sur des prix de betterave qui demeurent inférieurs aux coûts de production. Lors des semis 2021, a pu être constaté un découragement des betteraviers qui s’est traduit par une baisse des emblavements alors même que le marché mondial était en reprise. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95943 [article] Evolution des prix du sucre dans l’Union européenne depuis la fin des quotas sucriers : quel bilan ? [texte imprimé] / Timothé Masson . - 2021 . - p. 20-22. Langues : Français (fre) in IAA / Industries alimentaires et agricoles > 74 [01/07/2021] . - p. 20-22 Mots-clés : sucre : marché Résumé : La fin des quotas betteraviers en Europe était vue par certains de ses promoteurs, comme l’occasion d’adapter le volume de production à la demande. Or, le marché mondial, très volatil, présente : • des opportunités ponctuelles lors desquelles la filière française a toute sa place, • et des menaces récurrentes pendant lesquelles la filière pourrait faire le choix de restreindre son offre pour limiter son exposition. Sans outil de gestion des marchés (hors aide au stockage privé), et en dehors du rôle de tampon offert par le bioéthanol, c’est bien le facteur ‘prix du sucre’ qui peut être en mesure de jouer ce rôle régulateur. Mais quatre ans après la fin des quotas, on constate que les prix de livraison du sucre sur le territoire communautaire peinent à suivre les fondamentaux européens et, par ricochet, le prix de la betterave. Cette situation limite l’adaptation de l’offre à la demande, et c’est finalement des facteurs non choisis par la filière (sécheresse en 2018 et 2019, jaunisse en 2020) qui ont, principalement, dicté le niveau de production communautaire. Après 2 ans de mar- ché communautaire déficitaire, la reprise des cours du sucre européen est restée modeste avec une répercussion directe sur des prix de betterave qui demeurent inférieurs aux coûts de production. Lors des semis 2021, a pu être constaté un découragement des betteraviers qui s’est traduit par une baisse des emblavements alors même que le marché mondial était en reprise. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95943

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La sucrière sucrière française face à ses défis / Timothé Masson in IAA / Industries alimentaires et agricoles, 86 (Juillet-septembre 2023)

Public ISBD [article]  inIAA / Industries alimentaires et agricoles > 86 (Juillet-septembre 2023) . - p. 24-27 Titre : La sucrière sucrière française face à ses défis : une illustration des orientations politiques à l'oeuvre dans l'agriculture Type de document : texte imprimé Auteurs : Timothé Masson Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 24-27 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114162 [article] La sucrière sucrière française face à ses défis : une illustration des orientations politiques à l'oeuvre dans l'agriculture [texte imprimé] / Timothé Masson . - 2023 . - p. 24-27. Langues : Français (fre) in IAA / Industries alimentaires et agricoles > 86 (Juillet-septembre 2023) . - p. 24-27 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114162

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