Applications smartphone pour promouvoir l’activité physique chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde : une recherche des différentes applications / Edwin Rogez in Kinésithérapie, la revue, 240 (décembre 21)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 240 (décembre 21) . - p. 11-18 Titre : Applications smartphone pour promouvoir l’activité physique chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde : une recherche des différentes applications Type de document : texte imprimé Auteurs : Edwin Rogez ; MAx-Louis Rogez ; Pierre Legrand ; Thomas Davergne Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 11-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde  Télémédecine  Téléphones portables  Activité motrice  télémédecine  activité motrice  téléphones portables Résumé : Les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde sont particulièrement vulnérables à l’inactivité physique malgré les bénéfices rapportés d’une activité physique régulière chez ces patients. Les applications smartphones ont le potentiel de promouvoir l’activité physique, mais le choix d’une telle application reste aujourd’hui difficile pour le patient ou le professionnel de santé. Objectifs Identifier les principales applications permettant de promouvoir l’activité physique chez les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde,catégoriser les applications développées directement pour la population-cible,évaluer la pertinence des applications à travers l’évaluation de la présence des 5 principales techniques de changement comportemental dans les applications smartphones. Méthode Il s’agissait d’une recherche d’applications dans les bases de données d’applications. La sélection des applications ainsi que l’identification des techniques de changement comportemental sélectionnées ont été réalisées par trois auteurs indépendants (ER, MLR, PL), dans la base de recherche d’applications IPhone Operating System d’Apple Store. Les critères retenus étaient la disponibilité de l’application avant juin 2020, sa disponibilité en langue française ainsi que sa gratuité. Les applications choisies étaient celles qui référençaient le plus de téléchargements et d’avis positifs par les utilisateurs. Il ne s’agissait pas une recherche systématique à proprement parler. Résultats Cette revue a identifié 15 applications pour promouvoir l’activité physique chez les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde. Les applications les plus pertinentes semblent être les applications Fizz Up ; Seven ; Adidas Running ; Nike Training, Strava et Pacer. Elles référencent chacune les 5 techniques de changement comportemental considérées comme efficaces et prises comme références dans cette étude. Conclusion Les 6 applications qui référencent le plus de techniques de changement comportemental sont celles développées pour le grand public. Elles semblent donc les plus pertinentes pour promouvoir l’activité physique chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. Niveau de preuve NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98288 [article] Applications smartphone pour promouvoir l’activité physique chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde : une recherche des différentes applications [texte imprimé] / Edwin Rogez ; MAx-Louis Rogez ; Pierre Legrand ; Thomas Davergne . - 2021 . - p. 11-18. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 240 (décembre 21) . - p. 11-18 Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde  Télémédecine  Téléphones portables  Activité motrice  télémédecine  activité motrice  téléphones portables Résumé : Les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde sont particulièrement vulnérables à l’inactivité physique malgré les bénéfices rapportés d’une activité physique régulière chez ces patients. Les applications smartphones ont le potentiel de promouvoir l’activité physique, mais le choix d’une telle application reste aujourd’hui difficile pour le patient ou le professionnel de santé. Objectifs Identifier les principales applications permettant de promouvoir l’activité physique chez les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde,catégoriser les applications développées directement pour la population-cible,évaluer la pertinence des applications à travers l’évaluation de la présence des 5 principales techniques de changement comportemental dans les applications smartphones. Méthode Il s’agissait d’une recherche d’applications dans les bases de données d’applications. La sélection des applications ainsi que l’identification des techniques de changement comportemental sélectionnées ont été réalisées par trois auteurs indépendants (ER, MLR, PL), dans la base de recherche d’applications IPhone Operating System d’Apple Store. Les critères retenus étaient la disponibilité de l’application avant juin 2020, sa disponibilité en langue française ainsi que sa gratuité. Les applications choisies étaient celles qui référençaient le plus de téléchargements et d’avis positifs par les utilisateurs. Il ne s’agissait pas une recherche systématique à proprement parler. Résultats Cette revue a identifié 15 applications pour promouvoir l’activité physique chez les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde. Les applications les plus pertinentes semblent être les applications Fizz Up ; Seven ; Adidas Running ; Nike Training, Strava et Pacer. Elles référencent chacune les 5 techniques de changement comportemental considérées comme efficaces et prises comme références dans cette étude. Conclusion Les 6 applications qui référencent le plus de techniques de changement comportemental sont celles développées pour le grand public. Elles semblent donc les plus pertinentes pour promouvoir l’activité physique chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. Niveau de preuve NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98288

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Evidence-based-practice dans la pratique holistique et la prise de décision d'un masseur-kinésithérapeute clinicien Une recherche qualitative / Pierre Legrand in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 19-24 Titre : Evidence-based-practice dans la pratique holistique et la prise de décision d'un masseur-kinésithérapeute clinicien Une recherche qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Legrand ; Edwin Rogez Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 19-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : Raisonnement clinique  Prise de décision  Pratique basée sur des faits Résumé : À une époque où la masso-kinésithérapie s’inscrit dans une recherche d’émancipation et de reconnaissance, elle tend à fonder sa pratique sur les preuves scientifiques afin d’assurer sa légitimité. Elle cherche à faire valoir sa spécificité par rapport aux autres activités « concurrentes » de thérapies manuelles que représentent l’ostéopathie ou la chiropraxie pour ne citer qu’elles. Le masseur-kinésithérapeute se doit déontologiquement d’essayer d’apporter le meilleur niveau de soin à son patient, en le considérant dans son ensemble. Ce procédé comprend les 5 étapes suivantes : une évaluation initiale, un diagnostic masso-kinésithérapique, une planification des soins, une intervention et une réévaluation post-intervention [1, 2]. L’Evidence-Based Practice (EBP), ou pratique factuelle, outil au service du thérapeute, vise à optimiser chacune de ces phases dans le respect des principes fondamentaux de la profession. Cette démarche instaurée tout d’abord en médecine, notamment par Sackett et al. [3] à partir des années 1980, vise à intégrer les meilleures données de la recherche à l’expertise clinique et aux valeurs du patient pour étayer la prise de décision médicale [3]. Rapidement, toutes les professions paramédicales ont suivi ce nouveau courant [4]. C’est notamment le cas de la masso-kinésithérapie qui, depuis 2015, l’a intégrée dans le contenu de sa formation initiale. Au travers des unités d’enseignements 8 et 27 « Méthodes de travail et méthodes de recherche (en kinésithérapie pour l’unité 27) », des cours magistraux sont dispensés concernant l’EBP. Des cours portant sur le raisonnement clinique, l’esprit critique ou encore les biostatistiques sont également dispensés [5]. Pallot [6], masseur-kinésithérapeute, définit l’EBP de façon plus contemporaine comme étant « l’application clinique individualisée raisonnée du plus haut niveau de preuve possible dans un contexte de soin multidimensionnel unique. ». Il réutilise le triptyque princeps composé de : – l’expérience du clinicien ; – les préférences du patient ; – les meilleures données de la recherche. Auquel il ajoute à ces 3 notions le contexte sociopolitique (fig. 1) et sur lequel s’appuie un autre triptyque cognitif « Évaluation – Problématisation – Prise de décision » afin de répondre au mieux à la situation de soin à laquelle il est confronté. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91090 [article] Evidence-based-practice dans la pratique holistique et la prise de décision d'un masseur-kinésithérapeute clinicien Une recherche qualitative [texte imprimé] / Pierre Legrand ; Edwin Rogez . - 2021 . - p. 19-24. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 19-24 Mots-clés : Raisonnement clinique  Prise de décision  Pratique basée sur des faits Résumé : À une époque où la masso-kinésithérapie s’inscrit dans une recherche d’émancipation et de reconnaissance, elle tend à fonder sa pratique sur les preuves scientifiques afin d’assurer sa légitimité. Elle cherche à faire valoir sa spécificité par rapport aux autres activités « concurrentes » de thérapies manuelles que représentent l’ostéopathie ou la chiropraxie pour ne citer qu’elles. Le masseur-kinésithérapeute se doit déontologiquement d’essayer d’apporter le meilleur niveau de soin à son patient, en le considérant dans son ensemble. Ce procédé comprend les 5 étapes suivantes : une évaluation initiale, un diagnostic masso-kinésithérapique, une planification des soins, une intervention et une réévaluation post-intervention [1, 2]. L’Evidence-Based Practice (EBP), ou pratique factuelle, outil au service du thérapeute, vise à optimiser chacune de ces phases dans le respect des principes fondamentaux de la profession. Cette démarche instaurée tout d’abord en médecine, notamment par Sackett et al. [3] à partir des années 1980, vise à intégrer les meilleures données de la recherche à l’expertise clinique et aux valeurs du patient pour étayer la prise de décision médicale [3]. Rapidement, toutes les professions paramédicales ont suivi ce nouveau courant [4]. C’est notamment le cas de la masso-kinésithérapie qui, depuis 2015, l’a intégrée dans le contenu de sa formation initiale. Au travers des unités d’enseignements 8 et 27 « Méthodes de travail et méthodes de recherche (en kinésithérapie pour l’unité 27) », des cours magistraux sont dispensés concernant l’EBP. Des cours portant sur le raisonnement clinique, l’esprit critique ou encore les biostatistiques sont également dispensés [5]. Pallot [6], masseur-kinésithérapeute, définit l’EBP de façon plus contemporaine comme étant « l’application clinique individualisée raisonnée du plus haut niveau de preuve possible dans un contexte de soin multidimensionnel unique. ». Il réutilise le triptyque princeps composé de : – l’expérience du clinicien ; – les préférences du patient ; – les meilleures données de la recherche. Auquel il ajoute à ces 3 notions le contexte sociopolitique (fig. 1) et sur lequel s’appuie un autre triptyque cognitif « Évaluation – Problématisation – Prise de décision » afin de répondre au mieux à la situation de soin à laquelle il est confronté. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91090

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