Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Sébastien Hantz |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Diagnostic biologique de l’infection à Sars-CoV-2 : stratégies et interprétation des résultats / Sébastien Hantz in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 526 (Novembre 2020)
[article]
Titre : Diagnostic biologique de l’infection à Sars-CoV-2 : stratégies et interprétation des résultats Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Hantz Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 48-56 Note générale : Issu du dossier : "Covid-19 Nouvelle vague"
Doi : 10.1016/S1773-035X(20)30313-0
Langues : Français (fre) Mots-clés : Covid-19 Sars-CoV-2 RT-PCR sérologie tests rapides Résumé : Pour faire face à l’émergence du Sars-CoV-2 responsable d’une pandémie mondiale, de très nombreux tests diagnostiques ont été développés et mis sur le marché dans un délai très court. La RT-PCR sur prélèvement rhino-pharyngé est la méthode de référence pour le diagnostic et le dépistage de l’infection à Sars-CoV-2 mais les tests développés présentent de grande variabilité en termes de sensibilité et de délai de rendu des résultats. Les tests antigéniques présentent en général une sensibilité plus faible mais présentent l’avantage d’une mise en œuvre plus simple et plus rapide. Devant des tableaux évoca-teurs de Covid-19 avec un résultat de RT-PCR négatif, une sérologie peut être recommandée avec le dosage des IgM et des IgG. La sérologie est également un outil pertinent pour les études épidémiologiques. Néanmoins il est important de rappeler que le taux d’anticorps anti-Sars-Cov-2 décroit avec le temps et peut ainsi impacter les résultats d’études séro-épidémiologiques. Malgré la nécessité de répondre rapidement à un besoin diagnostique urgent, il demeure indispensable de valider les méthodes choisies sur un panel d’échantillons bien caractérisé, les performances de certains tests étant parfois insatisfaisantes pour assurer un diagnostic fiable. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90383
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 526 (Novembre 2020) . - p. 48-56[article] Diagnostic biologique de l’infection à Sars-CoV-2 : stratégies et interprétation des résultats [texte imprimé] / Sébastien Hantz . - 2020 . - p. 48-56.
Issu du dossier : "Covid-19 Nouvelle vague"
Doi : 10.1016/S1773-035X(20)30313-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 526 (Novembre 2020) . - p. 48-56
Mots-clés : Covid-19 Sars-CoV-2 RT-PCR sérologie tests rapides Résumé : Pour faire face à l’émergence du Sars-CoV-2 responsable d’une pandémie mondiale, de très nombreux tests diagnostiques ont été développés et mis sur le marché dans un délai très court. La RT-PCR sur prélèvement rhino-pharyngé est la méthode de référence pour le diagnostic et le dépistage de l’infection à Sars-CoV-2 mais les tests développés présentent de grande variabilité en termes de sensibilité et de délai de rendu des résultats. Les tests antigéniques présentent en général une sensibilité plus faible mais présentent l’avantage d’une mise en œuvre plus simple et plus rapide. Devant des tableaux évoca-teurs de Covid-19 avec un résultat de RT-PCR négatif, une sérologie peut être recommandée avec le dosage des IgM et des IgG. La sérologie est également un outil pertinent pour les études épidémiologiques. Néanmoins il est important de rappeler que le taux d’anticorps anti-Sars-Cov-2 décroit avec le temps et peut ainsi impacter les résultats d’études séro-épidémiologiques. Malgré la nécessité de répondre rapidement à un besoin diagnostique urgent, il demeure indispensable de valider les méthodes choisies sur un panel d’échantillons bien caractérisé, les performances de certains tests étant parfois insatisfaisantes pour assurer un diagnostic fiable. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90383 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleDe la variole du singe à la Mpox ou la réémergence d’une ancienne zoonose / Sébastien Hantz in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 553 (juin 2023)
[article]
Titre : De la variole du singe à la Mpox ou la réémergence d’une ancienne zoonose Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Hantz ; Sarah Mafi ; Pauline Pinet ; Claire Deback Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 25-37 Note générale : https://doi.org/ Langues : Français (fre) Mots-clés : Mpox tecovirimat vaccination variole Virus Monkeypox Résumé : La variole du singe est une maladie zoonotique causée par le virus Monkeypox (MPXV) du genre orthopoxvirus. Les premiers cas humains sont apparus en Afrique dans les années 1970 et sont longtemps restés cantonnés au continent africain jusqu’en 2003, où plusieurs dizaines de cas sont survenus aux États-Unis suite à une contamination par des chiens de prairie. Des événements de transmission sans précédent ont conduit à plus de 80 000 cas signalés dans le monde entre mai 2022 et février 2023, touchant essentiellement les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes. L’évolution de l’épidémiologie de la Mpox a suscité des inquiétudes quant à sa capacité à devenir endémique au-delà de ses zones géographiques traditionnelles. Le diagnostic de confirmation repose sur la détection directe par biologie moléculaire. L’administration d’une vaccination antivariolique en pré- ou post-exposition a été déployée à large échelle au début de l’été 2022 pour limiter la diffusion de la maladie. En cas de forme graves, l’utilisation d’antiviraux peut être envisagée, seul le técovirimat étant recommandé dans cette indication. L’épidémie actuelle a le mérite de rappeler qu’une maladie jusqu’alors confinée aux régions de circulation initiale du virus peut se propager rapidement sur d’autres continents et la nécessité de la mise en œuvre permanente d’outils de surveillance globale et de contrôle des maladies transmissibles. Note de contenu : Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111589
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 553 (juin 2023) . - p. 25-37[article] De la variole du singe à la Mpox ou la réémergence d’une ancienne zoonose [texte imprimé] / Sébastien Hantz ; Sarah Mafi ; Pauline Pinet ; Claire Deback . - 2023 . - p. 25-37.
https://doi.org/
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 553 (juin 2023) . - p. 25-37
Mots-clés : Mpox tecovirimat vaccination variole Virus Monkeypox Résumé : La variole du singe est une maladie zoonotique causée par le virus Monkeypox (MPXV) du genre orthopoxvirus. Les premiers cas humains sont apparus en Afrique dans les années 1970 et sont longtemps restés cantonnés au continent africain jusqu’en 2003, où plusieurs dizaines de cas sont survenus aux États-Unis suite à une contamination par des chiens de prairie. Des événements de transmission sans précédent ont conduit à plus de 80 000 cas signalés dans le monde entre mai 2022 et février 2023, touchant essentiellement les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes. L’évolution de l’épidémiologie de la Mpox a suscité des inquiétudes quant à sa capacité à devenir endémique au-delà de ses zones géographiques traditionnelles. Le diagnostic de confirmation repose sur la détection directe par biologie moléculaire. L’administration d’une vaccination antivariolique en pré- ou post-exposition a été déployée à large échelle au début de l’été 2022 pour limiter la diffusion de la maladie. En cas de forme graves, l’utilisation d’antiviraux peut être envisagée, seul le técovirimat étant recommandé dans cette indication. L’épidémie actuelle a le mérite de rappeler qu’une maladie jusqu’alors confinée aux régions de circulation initiale du virus peut se propager rapidement sur d’autres continents et la nécessité de la mise en œuvre permanente d’outils de surveillance globale et de contrôle des maladies transmissibles. Note de contenu : Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111589 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
Disponible