Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Romain Artico |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Acquisition et altération de la marche au cours du vieillissement / Romain Artico in Kinésithérapie scientifique, 621 (Juin 2020)
[article]
Titre : Acquisition et altération de la marche au cours du vieillissement Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Artico, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 13-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : marche-arrêt equilibre controle postural vieillissement normal Résumé : MARCHE, ÉQUILIBRE, ACQUISITION ET ALTÉRATION L’acquisition de la marche et son altération en fonction du vieillissement, du plus jeune âge au plus vieil âge, n’ont a priori aucun point commun qui puisse être pertinent d’étudier. Cependant, il semble que le dysfonctionnement du contrôle moteur par anticipation soit à l’origine de l’altération de la marche chez la personne âgée. Le déséquilibre entre posture et mouvement, qu’il soit occasionné par le mouvement volontaire comme l’initiation de la marche (contraintes endogènes) ou bien involontaire (contraintes exogènes), engendre une perturbation de la posture et de l’équilibre que nous pouvons observer dès le plus jeune âge [1].L’objectif de cet article est de mettre en évidence le lien commun entre l’acquisition de la marche par le jeune enfant et son altération que nous observons chez la personne âgée. Il devient donc fondamental de comprendre le fonctionnement du contrôle moteur par anticipation et son rôle essentiel dans les mécanismes d’équilibration entre posture et mouvement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87162
in Kinésithérapie scientifique > 621 (Juin 2020) . - p. 13-17[article] Acquisition et altération de la marche au cours du vieillissement [texte imprimé] / Romain Artico, Auteur . - 2020 . - p. 13-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 621 (Juin 2020) . - p. 13-17
Mots-clés : marche-arrêt equilibre controle postural vieillissement normal Résumé : MARCHE, ÉQUILIBRE, ACQUISITION ET ALTÉRATION L’acquisition de la marche et son altération en fonction du vieillissement, du plus jeune âge au plus vieil âge, n’ont a priori aucun point commun qui puisse être pertinent d’étudier. Cependant, il semble que le dysfonctionnement du contrôle moteur par anticipation soit à l’origine de l’altération de la marche chez la personne âgée. Le déséquilibre entre posture et mouvement, qu’il soit occasionné par le mouvement volontaire comme l’initiation de la marche (contraintes endogènes) ou bien involontaire (contraintes exogènes), engendre une perturbation de la posture et de l’équilibre que nous pouvons observer dès le plus jeune âge [1].L’objectif de cet article est de mettre en évidence le lien commun entre l’acquisition de la marche par le jeune enfant et son altération que nous observons chez la personne âgée. Il devient donc fondamental de comprendre le fonctionnement du contrôle moteur par anticipation et son rôle essentiel dans les mécanismes d’équilibration entre posture et mouvement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87162 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtAnalyse de l'adaptabilité du contrôle de l'équilibre lors de tâches locomotrices : apport de la recherche à la rééducation / Sébastien Ditcharles ; Tarek Hussein ; Romain Artico in Kinésithérapie scientifique, 619 (Avril 2020)
[article]
Titre : Analyse de l'adaptabilité du contrôle de l'équilibre lors de tâches locomotrices : apport de la recherche à la rééducation Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Ditcharles, Auteur ; Tarek Hussein, Auteur ; Romain Artico, Auteur ; Eric Yiou, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 15-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : Posture controle postural Mouvement Résumé : Le contrôle de la posture et de l’équilibre est une exigence capitale qui sous-tend l’exécution de toute tâche motrice. La posture peut se définir comme la position dans l’espace des segments corporels à un instant donné [1]. À chaque posture correspond un état d’équilibre au sens mécanique du terme. L’équilibre et, par extension, l’équilibre postural, correspond à une situation où les forces externes à l’individu et les moments de ces forces se compensent. Posture et équilibre constituent deux aspects intimement liés d’un même phénomène mais ne procèdent pas nécessairement des mêmes mécanismes de contrôle [2].Quoi qu’il en soit, il est admis que le contrôle de la posture et de l’équilibre (ou « contrôle postural ») mobilise une part étendue du système musculo-squelettique [3] et nécessite l’intégration d’informations en provenance de nombreux systèmes sensoriels : système vestibulaire, visuel, proprioceptif et cutanée [4]. Toute altération de l’une des voies nerveuses ou structures impliquée dans ce contrôle, e.g.1 avec l’âge ou la pathologie, peut potentiellement être à l’origine de déséquilibre, voire de chutes avec ses conséquences morbides bien connues [5].Les sources de perturbations de la posture et de l’équilibre sont nombreuses. Premièrement, il y a la gravité, cette force « collante » qui tend à nous plaquer continuellement au sol.Deuxièmement, il y a les perturbations (plus faibles) induites par un ensemble de phénomènes végétatifs, tels que la respiration, les pulsations cardiaques, le péristaltisme, le battement spontané des unités motrices, etc. [6]. L’ensemble de ces perturbations est responsable des oscillations du corps observées lors du maintien postural.Enfin, la production d’un mouvement, qu’il s’agisse d’un mouvement volontaire, automatique ou réflexe, constitue une source majeure de perturbation posturale. En effet, le corps humain étant constitué d’une juxtaposition de segments articulés, l’accélération d’un segment corporel génère, en vertu de la loi de l’action et de la réaction, des forces réactives qui sont transmises quasi instantanément le long de la « chaîne posturale » par le biais des os et des tissus mous jusqu’aux surfaces d’appui. De là, naissent des forces extérieures au corps (les forces de réaction du sol) qui sont perturbatrices de l’équilibre.Par ailleurs, le déplacement d’un segment corporel va entraîner le déplacement du centre de gravité global ou encore une modification de taille de la surface de sustentation : c’est typiquement le cas lors de la réalisation de tâches locomotrices où l’on passe d’un appui bipodal à un appui unipodal et, de façon plus générale, lorsque l’on est amené à décoller un pied du sol. Si le centre de gravité se trouve alors déplacé en dehors de la surface de sustentation, les conditions d’équilibre ne sont alors plus respectées.Malgré toutes ces sources de perturbation, nous parvenons à nous mouvoir efficacement et sans chuter... en tout cas la plupart du temps et pour la plupart d’entre nous. Si cela est possible, c’est parce que notre système nerveux central (SNC) développe de façon automatique et inconsciente des phénomènes dynamiques posturaux qui s’opposent à ces différentes sources de perturbations [7, 8]. Ces phénomènes dynamiques « contre-perturbateurs » correspondent aux « ajustements posturaux », dont l’efficacité dépend de l’état du système sensorimoteur, mais aussi de facteurs cognitifs et psychologiques, la peur de chuter par exemple.Ainsi, tout acte moteur intentionnel est soumis à deux exigences contradictoires. L'une consiste à déplacer un ou plusieurs segments corporels (les segments dits « focaux ») vers un objectif, l'autre à stabiliser les autres segments corporels (dits segments « posturaux ») afin de maintenir la posture et l'équilibre. L'une des tâches principales du SNC est de coordonner les composantes posturale et focale de l’acte moteur [9].Une fois cette « ligne de défense » contre les effets perturbateurs identifiés, en la matière des ajustements posturaux, la question se pose de l’adaptabilité de ces derniers aux différentes contraintes pouvant être appliquées au système postural (ou contrainte posturale). Comme on peut aisément le constater lors de nos activités ou situations quotidiennes, ces contraintes sont multiples. Il peut s’agir de contraintes externes ; c’est le cas par exemple lorsque nous devons enjamber un obstacle, ou lorsque nous devons marcher avec une charge au niveau des membres inférieurs modifiant ainsi leur inertie (e.g. lors du port d’un plâtre), ou encore lorsque nous exécutons une tâche en situation de pression temporelle forte.Il peut également s’agir de contraintes internes ; c’est le cas par exemple lorsque nous marchons en situation de fatigue ou de douleur localisée au niveau de la musculature posturale. L’adaptabilité des ajustements posturaux face à ces différents types de contraintes est nécessaire à la réalisation efficiente de la tâche et peut varier en fonction de l’âge des participants et de la pathologie.L’objectif général de cet article est d’illustrer l’apport d’un domaine scientifique, celui du contrôle moteur, au domaine clinique de la rééducation de l’équilibre et de la marche. La compréhension de l’organisation biomécanique des phénomènes posturaux associés aux mouvements locomoteurs et de leur adaptabilité aux contraintes posturales quotidiennes est, en effet, essentielle pour le rééducateur, dans la mesure où cela va lui permettre :– d’améliorer l’examen clinique de l’équilibre des patients présentant des déficits posturaux et locomoteurs ;
– de proposer une stratégie ou plan de rééducation en adéquation avec les déficits constatés ;
– d’objectiver les progrès des patients.Cet article est composé de 4 grandes parties. Dans la première, la méthodologie commune à l’ensemble des travaux présentés dans cet article est décrite.Dans la deuxième partie, la base théorique commune à ces travaux, à savoir la théorie de la « capacité posturo-cinétique » (CPC), est présentée.Dans une troisième partie, une synthèse de nos travaux de recherche portant sur l’adaptabilité du contrôle postural à différents types de contraintes est proposée. La question de l’amélioration de ce contrôle postural par le biais de la manipulation vertébrale est également abordée.Enfin, dans une dernière partie, l’ensemble de ces travaux de recherche est discuté en termes d’apport au domaine de la rééducation de l’équilibre et de la marche.Les travaux présentés dans cet article ont été réalisés par une équipe de kinésithérapeutes (RA, SD et TH) dans le cadre de leur travail doctoral mené au sein du laboratoire « Complexité, Innovations et Activités Motrices et Sportives » (CIAMS, EA 4532) de la Faculté des Sciences du sport de l’Université Paris-Saclay. Une partie de ces travaux a été présentée lors de la 51e Journée de l'INK : « Équilibre, posture et locomotion ».
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86103
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 15-25[article] Analyse de l'adaptabilité du contrôle de l'équilibre lors de tâches locomotrices : apport de la recherche à la rééducation [texte imprimé] / Sébastien Ditcharles, Auteur ; Tarek Hussein, Auteur ; Romain Artico, Auteur ; Eric Yiou, Auteur . - 2020 . - p. 15-25.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 15-25
Mots-clés : Posture controle postural Mouvement Résumé : Le contrôle de la posture et de l’équilibre est une exigence capitale qui sous-tend l’exécution de toute tâche motrice. La posture peut se définir comme la position dans l’espace des segments corporels à un instant donné [1]. À chaque posture correspond un état d’équilibre au sens mécanique du terme. L’équilibre et, par extension, l’équilibre postural, correspond à une situation où les forces externes à l’individu et les moments de ces forces se compensent. Posture et équilibre constituent deux aspects intimement liés d’un même phénomène mais ne procèdent pas nécessairement des mêmes mécanismes de contrôle [2].Quoi qu’il en soit, il est admis que le contrôle de la posture et de l’équilibre (ou « contrôle postural ») mobilise une part étendue du système musculo-squelettique [3] et nécessite l’intégration d’informations en provenance de nombreux systèmes sensoriels : système vestibulaire, visuel, proprioceptif et cutanée [4]. Toute altération de l’une des voies nerveuses ou structures impliquée dans ce contrôle, e.g.1 avec l’âge ou la pathologie, peut potentiellement être à l’origine de déséquilibre, voire de chutes avec ses conséquences morbides bien connues [5].Les sources de perturbations de la posture et de l’équilibre sont nombreuses. Premièrement, il y a la gravité, cette force « collante » qui tend à nous plaquer continuellement au sol.Deuxièmement, il y a les perturbations (plus faibles) induites par un ensemble de phénomènes végétatifs, tels que la respiration, les pulsations cardiaques, le péristaltisme, le battement spontané des unités motrices, etc. [6]. L’ensemble de ces perturbations est responsable des oscillations du corps observées lors du maintien postural.Enfin, la production d’un mouvement, qu’il s’agisse d’un mouvement volontaire, automatique ou réflexe, constitue une source majeure de perturbation posturale. En effet, le corps humain étant constitué d’une juxtaposition de segments articulés, l’accélération d’un segment corporel génère, en vertu de la loi de l’action et de la réaction, des forces réactives qui sont transmises quasi instantanément le long de la « chaîne posturale » par le biais des os et des tissus mous jusqu’aux surfaces d’appui. De là, naissent des forces extérieures au corps (les forces de réaction du sol) qui sont perturbatrices de l’équilibre.Par ailleurs, le déplacement d’un segment corporel va entraîner le déplacement du centre de gravité global ou encore une modification de taille de la surface de sustentation : c’est typiquement le cas lors de la réalisation de tâches locomotrices où l’on passe d’un appui bipodal à un appui unipodal et, de façon plus générale, lorsque l’on est amené à décoller un pied du sol. Si le centre de gravité se trouve alors déplacé en dehors de la surface de sustentation, les conditions d’équilibre ne sont alors plus respectées.Malgré toutes ces sources de perturbation, nous parvenons à nous mouvoir efficacement et sans chuter... en tout cas la plupart du temps et pour la plupart d’entre nous. Si cela est possible, c’est parce que notre système nerveux central (SNC) développe de façon automatique et inconsciente des phénomènes dynamiques posturaux qui s’opposent à ces différentes sources de perturbations [7, 8]. Ces phénomènes dynamiques « contre-perturbateurs » correspondent aux « ajustements posturaux », dont l’efficacité dépend de l’état du système sensorimoteur, mais aussi de facteurs cognitifs et psychologiques, la peur de chuter par exemple.Ainsi, tout acte moteur intentionnel est soumis à deux exigences contradictoires. L'une consiste à déplacer un ou plusieurs segments corporels (les segments dits « focaux ») vers un objectif, l'autre à stabiliser les autres segments corporels (dits segments « posturaux ») afin de maintenir la posture et l'équilibre. L'une des tâches principales du SNC est de coordonner les composantes posturale et focale de l’acte moteur [9].Une fois cette « ligne de défense » contre les effets perturbateurs identifiés, en la matière des ajustements posturaux, la question se pose de l’adaptabilité de ces derniers aux différentes contraintes pouvant être appliquées au système postural (ou contrainte posturale). Comme on peut aisément le constater lors de nos activités ou situations quotidiennes, ces contraintes sont multiples. Il peut s’agir de contraintes externes ; c’est le cas par exemple lorsque nous devons enjamber un obstacle, ou lorsque nous devons marcher avec une charge au niveau des membres inférieurs modifiant ainsi leur inertie (e.g. lors du port d’un plâtre), ou encore lorsque nous exécutons une tâche en situation de pression temporelle forte.Il peut également s’agir de contraintes internes ; c’est le cas par exemple lorsque nous marchons en situation de fatigue ou de douleur localisée au niveau de la musculature posturale. L’adaptabilité des ajustements posturaux face à ces différents types de contraintes est nécessaire à la réalisation efficiente de la tâche et peut varier en fonction de l’âge des participants et de la pathologie.L’objectif général de cet article est d’illustrer l’apport d’un domaine scientifique, celui du contrôle moteur, au domaine clinique de la rééducation de l’équilibre et de la marche. La compréhension de l’organisation biomécanique des phénomènes posturaux associés aux mouvements locomoteurs et de leur adaptabilité aux contraintes posturales quotidiennes est, en effet, essentielle pour le rééducateur, dans la mesure où cela va lui permettre :– d’améliorer l’examen clinique de l’équilibre des patients présentant des déficits posturaux et locomoteurs ;
– de proposer une stratégie ou plan de rééducation en adéquation avec les déficits constatés ;
– d’objectiver les progrès des patients.Cet article est composé de 4 grandes parties. Dans la première, la méthodologie commune à l’ensemble des travaux présentés dans cet article est décrite.Dans la deuxième partie, la base théorique commune à ces travaux, à savoir la théorie de la « capacité posturo-cinétique » (CPC), est présentée.Dans une troisième partie, une synthèse de nos travaux de recherche portant sur l’adaptabilité du contrôle postural à différents types de contraintes est proposée. La question de l’amélioration de ce contrôle postural par le biais de la manipulation vertébrale est également abordée.Enfin, dans une dernière partie, l’ensemble de ces travaux de recherche est discuté en termes d’apport au domaine de la rééducation de l’équilibre et de la marche.Les travaux présentés dans cet article ont été réalisés par une équipe de kinésithérapeutes (RA, SD et TH) dans le cadre de leur travail doctoral mené au sein du laboratoire « Complexité, Innovations et Activités Motrices et Sportives » (CIAMS, EA 4532) de la Faculté des Sciences du sport de l’Université Paris-Saclay. Une partie de ces travaux a été présentée lors de la 51e Journée de l'INK : « Équilibre, posture et locomotion ».
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86103 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtApproche sémantique et place de la Thérapie Manuelle Orthopédique en kinésithérapie musculo-squelettique / Adrien Mounier- Poulat in Kinésithérapie, la revue, 265 (Janvier 2024)
[article]
Titre : Approche sémantique et place de la Thérapie Manuelle Orthopédique en kinésithérapie musculo-squelettique Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrien Mounier- Poulat ; Romain Artico Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 6-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : troubles musculo-squelettiques Manipulations de l'appareil locomoteur Orthopédie Résumé : Les thérapies manuelles ont une longue histoire remontant à l’Antiquité, au XIXe siècle, elles ont regagné en popularité avec le développement de la physiothérapie. Au milieu du XXe siècle, la thérapie manuelle s’est organisée au niveau international avec la création de l’IFOMPT, établissant des normes d’expertise neuro-musculo-squelettique (NMS). Aujourd’hui, l’IFOMPT vise à promouvoir cette expertise en NMS et à diversifier ses membres pour améliorer la prise en charge des patients dans ce domaine. Il est essentiel de prêter attention à la sémantique des mots et à leur interprétation. Chacun des termes doit être utilisés de manière appropriée afin d’éviter les erreurs et confusions dans les réflexions et interprétations de données. L’expression de « Techniques Manuelles » ne devrait être utilisée que pour définir les techniques utilisant les mains, et ne pas inclure les processus cognitifs gravitant autour. De par son ambiguïté sémantique et phonologique, la locution de « Thérapie Manuelle » devrait être éviter sauf pour décrire les approches et théories ayant participé à l’émergence de la Thérapie Manuelle Orthopédique. La finalité de la TMO est de soigner le patient présentant un trouble neuro-musculo-squelettique. Cela passe par la mise en place d’un traitement spécifique à la problématique unique du patient. Le traitement spécifique en TMO est le résultat de la prise de décision partagée entre le kinésithérapeute et le patient. Le kinésithérapeute pratiquant la TMO est guidé par les preuves disponible afin d’apporter à travers son raisonnement : son expertise et ses compétences (cognitives et techniques) en neuro-musculo-squelettique (NMS) sous couvert d’être influencé par ses biais cognitifs et ses préférences. Dans le cadre d’un traitement en TMO, le patient représente une problématique clinique unique à travers la prise en compte des facteurs biopsychosociaux (BPS) et de ses préférences. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115625
in Kinésithérapie, la revue > 265 (Janvier 2024) . - p. 6-15[article] Approche sémantique et place de la Thérapie Manuelle Orthopédique en kinésithérapie musculo-squelettique [texte imprimé] / Adrien Mounier- Poulat ; Romain Artico . - 2024 . - p. 6-15.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 265 (Janvier 2024) . - p. 6-15
Mots-clés : troubles musculo-squelettiques Manipulations de l'appareil locomoteur Orthopédie Résumé : Les thérapies manuelles ont une longue histoire remontant à l’Antiquité, au XIXe siècle, elles ont regagné en popularité avec le développement de la physiothérapie. Au milieu du XXe siècle, la thérapie manuelle s’est organisée au niveau international avec la création de l’IFOMPT, établissant des normes d’expertise neuro-musculo-squelettique (NMS). Aujourd’hui, l’IFOMPT vise à promouvoir cette expertise en NMS et à diversifier ses membres pour améliorer la prise en charge des patients dans ce domaine. Il est essentiel de prêter attention à la sémantique des mots et à leur interprétation. Chacun des termes doit être utilisés de manière appropriée afin d’éviter les erreurs et confusions dans les réflexions et interprétations de données. L’expression de « Techniques Manuelles » ne devrait être utilisée que pour définir les techniques utilisant les mains, et ne pas inclure les processus cognitifs gravitant autour. De par son ambiguïté sémantique et phonologique, la locution de « Thérapie Manuelle » devrait être éviter sauf pour décrire les approches et théories ayant participé à l’émergence de la Thérapie Manuelle Orthopédique. La finalité de la TMO est de soigner le patient présentant un trouble neuro-musculo-squelettique. Cela passe par la mise en place d’un traitement spécifique à la problématique unique du patient. Le traitement spécifique en TMO est le résultat de la prise de décision partagée entre le kinésithérapeute et le patient. Le kinésithérapeute pratiquant la TMO est guidé par les preuves disponible afin d’apporter à travers son raisonnement : son expertise et ses compétences (cognitives et techniques) en neuro-musculo-squelettique (NMS) sous couvert d’être influencé par ses biais cognitifs et ses préférences. Dans le cadre d’un traitement en TMO, le patient représente une problématique clinique unique à travers la prise en compte des facteurs biopsychosociaux (BPS) et de ses préférences. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115625 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQuand l'émotion influence la posture chez la personne âgée : exemple du syndrome de désadaptation psychomotrice / Hajer Rmadi in La revue de gériatrie, Vol.47 N°7 (septembre 2022)
[article]
Titre : Quand l'émotion influence la posture chez la personne âgée : exemple du syndrome de désadaptation psychomotrice Type de document : texte imprimé Auteurs : Hajer Rmadi ; Pauline Maillot ; Sylvain Hanneton ; Gilles Dietrich ; Tom Pujol ; Edouard Baudouin ; Héloïse Keravec ; Fahd Laaraj ; Julie Houdre ; Emmanuelle Duron ; Romain Artico Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 329-337 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chutes accidentelles / prévention et contrôle Sujet âgé Équilibre postural Réaction de fuite Thérapie cognitive Thérapie par réalité virtuelle Peur / psychologie Anxiété syndrome post-chute peur de tomber syndrome de désadaptation psychomotrice Résumé : La peur de tomber et l’anxiété sont fréquentes chez les sujets âgés. La peur de tomber s’accompagne de troubles de l’équilibre et d’un comportement d’évitement postural, exposant les sujets âgés à un risque de chute. Dans les cas extrêmes, ces signes se présentent sous la forme de syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM), où le lien entre les composantes psychologique et posturale mérite explication. La théorie motivationnelle fournit un cadre de compréhension des comportements d’évitement posturaux observés cliniquement. Cette théorie ouvre de nouveaux champs thérapeutiques autour des thérapies cognitives et comportementales, basées sur l’exposition graduelle à l’élément phobique. Son application pourrait se présenter comme un complément à la prise en charge rééducative et psychologique de la peur de tomber et du SDPM. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106561
in La revue de gériatrie > Vol.47 N°7 (septembre 2022) . - p. 329-337[article] Quand l'émotion influence la posture chez la personne âgée : exemple du syndrome de désadaptation psychomotrice [texte imprimé] / Hajer Rmadi ; Pauline Maillot ; Sylvain Hanneton ; Gilles Dietrich ; Tom Pujol ; Edouard Baudouin ; Héloïse Keravec ; Fahd Laaraj ; Julie Houdre ; Emmanuelle Duron ; Romain Artico . - 2022 . - p. 329-337.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.47 N°7 (septembre 2022) . - p. 329-337
Mots-clés : Chutes accidentelles / prévention et contrôle Sujet âgé Équilibre postural Réaction de fuite Thérapie cognitive Thérapie par réalité virtuelle Peur / psychologie Anxiété syndrome post-chute peur de tomber syndrome de désadaptation psychomotrice Résumé : La peur de tomber et l’anxiété sont fréquentes chez les sujets âgés. La peur de tomber s’accompagne de troubles de l’équilibre et d’un comportement d’évitement postural, exposant les sujets âgés à un risque de chute. Dans les cas extrêmes, ces signes se présentent sous la forme de syndrome de désadaptation psychomotrice (SDPM), où le lien entre les composantes psychologique et posturale mérite explication. La théorie motivationnelle fournit un cadre de compréhension des comportements d’évitement posturaux observés cliniquement. Cette théorie ouvre de nouveaux champs thérapeutiques autour des thérapies cognitives et comportementales, basées sur l’exposition graduelle à l’élément phobique. Son application pourrait se présenter comme un complément à la prise en charge rééducative et psychologique de la peur de tomber et du SDPM. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106561 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt