Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Sophie Wiedemann |
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DémocratieS : formes et formation [Dossier] / Pluralité d'auteurs in L'esperluette [périodique électronique], 95 (Janvier - Février - Mars 2018)
[article]
Titre : DémocratieS : formes et formation [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs ; Sophie Wiedemann ; Wiiliam Tournier Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 4-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Démocratie Participation sociale Education populaire Résumé : "Pour la philosophe Nancy Fraser, une démocratie augmentée tendrait vers une égalité sociale substantielle. Ce n’est pas celle que nous connaissons dans nos démocraties occidentales où des populations dites dominées vivent parmi des agencements politiques qui, d’une part, ne leur donnent qu’un accès limité aux ressources matérielles (problématique de la redistribution) et, d’autre part, ne font pas d’elles des «partenaires à part entière de l’interaction sociale» et limitent les possibilités de «prendre part à la construction des modèles institutionnalisés de valeurs culturelles, à la délibération (…), à toutes les activités sociales» (problématique de la reconnaissance).
En quoi des pratiques d’intelligence collective peuvent-elles contribuer à une reconnaissance des savoirs et à une «parité de participation» ou encore répondre à l ’«impératif de délibération inclusive» identifié par H. Pourtois comme caractéristique de la démocratie participative?
Des acteur-trice-s expérimentent des nouvelles pratiques de discussion faisant référence à la sociocratie ou, plus largement, à des Pratiques d’Intelligence collective (PIC). Corinne Monnet explique comment les discussions spontanées sont traversées par des inégalités liées aux rapports de domination. Notre analyse esquissera comment des pratiques de conversation peuvent donner lieu à de nouvelles possibilités d’interaction sociale et d’empowerment, en se centrant sur leur apport par rapport à la structuration de la conversation et aux mécanismes de domination. Elle sera illustrée de témoignages d’acteur-trice-s de collectifs de formation, de militant-e-s ou de travail."Note de contenu : Sommaire
L'intelligence collective pour une démocratie augmentée (S. Wiedemann) / Periferia et les nouvelles pratiques démocratiques / Éducation populaire et
Université: des liens et des étincelles (W. Tournier)En ligne : http://www.ciep.be/images/publications/esperluette/2018/Esper95.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107197
in L'esperluette [périodique électronique] > 95 (Janvier - Février - Mars 2018) . - p. 4-11[article] DémocratieS : formes et formation [Dossier] [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs ; Sophie Wiedemann ; Wiiliam Tournier . - 2018 . - p. 4-11.
Langues : Français (fre)
in L'esperluette [périodique électronique] > 95 (Janvier - Février - Mars 2018) . - p. 4-11
Mots-clés : Démocratie Participation sociale Education populaire Résumé : "Pour la philosophe Nancy Fraser, une démocratie augmentée tendrait vers une égalité sociale substantielle. Ce n’est pas celle que nous connaissons dans nos démocraties occidentales où des populations dites dominées vivent parmi des agencements politiques qui, d’une part, ne leur donnent qu’un accès limité aux ressources matérielles (problématique de la redistribution) et, d’autre part, ne font pas d’elles des «partenaires à part entière de l’interaction sociale» et limitent les possibilités de «prendre part à la construction des modèles institutionnalisés de valeurs culturelles, à la délibération (…), à toutes les activités sociales» (problématique de la reconnaissance).
En quoi des pratiques d’intelligence collective peuvent-elles contribuer à une reconnaissance des savoirs et à une «parité de participation» ou encore répondre à l ’«impératif de délibération inclusive» identifié par H. Pourtois comme caractéristique de la démocratie participative?
Des acteur-trice-s expérimentent des nouvelles pratiques de discussion faisant référence à la sociocratie ou, plus largement, à des Pratiques d’Intelligence collective (PIC). Corinne Monnet explique comment les discussions spontanées sont traversées par des inégalités liées aux rapports de domination. Notre analyse esquissera comment des pratiques de conversation peuvent donner lieu à de nouvelles possibilités d’interaction sociale et d’empowerment, en se centrant sur leur apport par rapport à la structuration de la conversation et aux mécanismes de domination. Elle sera illustrée de témoignages d’acteur-trice-s de collectifs de formation, de militant-e-s ou de travail."Note de contenu : Sommaire
L'intelligence collective pour une démocratie augmentée (S. Wiedemann) / Periferia et les nouvelles pratiques démocratiques / Éducation populaire et
Université: des liens et des étincelles (W. Tournier)En ligne : http://www.ciep.be/images/publications/esperluette/2018/Esper95.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107197 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Etre ou ne pas naître acteur·trice culturel·le / Pluralité d'auteurs in L'esperluette [périodique électronique], 97 (Juillet - Septembre 2018)
[article]
Titre : Etre ou ne pas naître acteur·trice culturel·le Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs ; Marine Bugnot ; Sophie Wiedemann ; Nicole Tinant Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 4-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Éducation permanente Résumé : "«N-A-I-T-R-E», voilà un mot qui résume si délicatement en trois consonnes et trois voyelles notre projet BAGIC, nommé aussi Brevet d’aptitude à la coordination de projets et d’organismes culturels et socio-culturels. Parce que oui, à y regarder de près, c’est bien de naissance qu’il est question quand on pense au BAGIC, et ce même si la progéniture en question vient de se voir fêter ses 25 printemps.
Être né de…
Née du Plan de développement des initiatives de l’Administration de la Jeunesse et de l’Éducation permanente en matière de formation des cadres culturels, et plus particulièrement de cinq parents ayant une sensibilité prononcée pour la diversité : le CBAI, le CESEP, l’ICJ, le CIEP ainsi que la Fédération Wallonie-Bruxelles, la formation BAGIC a la particularité d’être un seul et même dispositif que chaque opérateur décline selon ses spécificités propres : l’interculturalité pour le CBAI, la jeunesse pour l’ICJ, l’Éducation permanente pour le CIEP et le CESEP, et jusqu’au début des années 2000, la dimension artistique au sein de la FWB.
Être né pour…"Note de contenu : Sommaire
Qu'est-ce qu'un·e Bagicien·ne ? (M. Bugnot) / Associatif, pouvoirs publics, citoyen·ne·s : de la coopération contrainte à la coopération durable (S. Wiedemann) / NTICs et éducation permanente (N. Tinant)En ligne : http://www.ciep.be/images/publications/esperluette/2018/Esper97.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107209
in L'esperluette [périodique électronique] > 97 (Juillet - Septembre 2018) . - p. 4-10[article] Etre ou ne pas naître acteur·trice culturel·le [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs ; Marine Bugnot ; Sophie Wiedemann ; Nicole Tinant . - 2018 . - p. 4-10.
Langues : Français (fre)
in L'esperluette [périodique électronique] > 97 (Juillet - Septembre 2018) . - p. 4-10
Mots-clés : Éducation permanente Résumé : "«N-A-I-T-R-E», voilà un mot qui résume si délicatement en trois consonnes et trois voyelles notre projet BAGIC, nommé aussi Brevet d’aptitude à la coordination de projets et d’organismes culturels et socio-culturels. Parce que oui, à y regarder de près, c’est bien de naissance qu’il est question quand on pense au BAGIC, et ce même si la progéniture en question vient de se voir fêter ses 25 printemps.
Être né de…
Née du Plan de développement des initiatives de l’Administration de la Jeunesse et de l’Éducation permanente en matière de formation des cadres culturels, et plus particulièrement de cinq parents ayant une sensibilité prononcée pour la diversité : le CBAI, le CESEP, l’ICJ, le CIEP ainsi que la Fédération Wallonie-Bruxelles, la formation BAGIC a la particularité d’être un seul et même dispositif que chaque opérateur décline selon ses spécificités propres : l’interculturalité pour le CBAI, la jeunesse pour l’ICJ, l’Éducation permanente pour le CIEP et le CESEP, et jusqu’au début des années 2000, la dimension artistique au sein de la FWB.
Être né pour…"Note de contenu : Sommaire
Qu'est-ce qu'un·e Bagicien·ne ? (M. Bugnot) / Associatif, pouvoirs publics, citoyen·ne·s : de la coopération contrainte à la coopération durable (S. Wiedemann) / NTICs et éducation permanente (N. Tinant)En ligne : http://www.ciep.be/images/publications/esperluette/2018/Esper97.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107209 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
Titre : Quelles leçons tirer des inondations ? Type de document : document électronique Auteurs : Sophie Wiedemann Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Centres de santé Solidarité Catastrophes naturelles Service d'aide médicale d'urgence Urgences médicales Résumé : "Un territoire résilient a la capacité d’anticiper tout type de perturbation, d’agir pour en atténuer les effets ou en éviter l’apparition. Que nous enseigne l’expérience de la maison médicale d’Angleur à ce sujet, elle qui fut une actrice essentielle de la survie, de la solidarité et de la bonne santé des habitants ?
Jeudi 15 juillet 2021. Le niveau de l’Ourthe et de la Meuse monte et en quelques heures les cabinets de consultation sont couverts de boue. À la cave, les dossiers médicaux hébergés dans les serveurs informatiques sont noyés… Après trois jours de nettoyage intensif, l’équipe rouvre ses portes et assure la continuité des soins : un petit miracle pour cette équipe qui compte alors quatre personnes ! Certes, elle fonctionne avec des bouts de ficelle, le matériel médical est hors d’état de même que les stocks.
Comme partout ailleurs dans les environs, le réseau téléphonique est coupé. Difficile donc pour les patients de prendre rendez-vous… « Le mieux pour nous, c’était de rester sur place. De 8 heures à 19 heures, toute l’équipe était là ! On a travaillé onze heures par jour, week-end compris pendant deux semaines. On était fatigué, raconte Xavier Patti, infirmier et habitant du quartier. Les services d’urgence étaient débordés. Il n’y avait pas de police, pas d’armée, pas de pompiers… Rien ! Pendant la nuit où l’eau montait, structurellement rien n’a été organisé. Tous les services ont mis quatre, cinq jours à venir. »"En ligne : https://www.maisonmedicale.org/quelles-lecons-tirer-des-inondations/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109834
in Santé conjuguée > 101 (Décembre 2022)[article] Quelles leçons tirer des inondations ? [document électronique] / Sophie Wiedemann . - 2022.
Langues : Français (fre)
in Santé conjuguée > 101 (Décembre 2022)
Mots-clés : Centres de santé Solidarité Catastrophes naturelles Service d'aide médicale d'urgence Urgences médicales Résumé : "Un territoire résilient a la capacité d’anticiper tout type de perturbation, d’agir pour en atténuer les effets ou en éviter l’apparition. Que nous enseigne l’expérience de la maison médicale d’Angleur à ce sujet, elle qui fut une actrice essentielle de la survie, de la solidarité et de la bonne santé des habitants ?
Jeudi 15 juillet 2021. Le niveau de l’Ourthe et de la Meuse monte et en quelques heures les cabinets de consultation sont couverts de boue. À la cave, les dossiers médicaux hébergés dans les serveurs informatiques sont noyés… Après trois jours de nettoyage intensif, l’équipe rouvre ses portes et assure la continuité des soins : un petit miracle pour cette équipe qui compte alors quatre personnes ! Certes, elle fonctionne avec des bouts de ficelle, le matériel médical est hors d’état de même que les stocks.
Comme partout ailleurs dans les environs, le réseau téléphonique est coupé. Difficile donc pour les patients de prendre rendez-vous… « Le mieux pour nous, c’était de rester sur place. De 8 heures à 19 heures, toute l’équipe était là ! On a travaillé onze heures par jour, week-end compris pendant deux semaines. On était fatigué, raconte Xavier Patti, infirmier et habitant du quartier. Les services d’urgence étaient débordés. Il n’y avait pas de police, pas d’armée, pas de pompiers… Rien ! Pendant la nuit où l’eau montait, structurellement rien n’a été organisé. Tous les services ont mis quatre, cinq jours à venir. »"En ligne : https://www.maisonmedicale.org/quelles-lecons-tirer-des-inondations/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109834 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire