Occupational therapy in the Fourth Industrial Revolution / Lili Liu in Canadian Journal of Occupational Therapy, 85(4) (Octobre 2018)  

Public ISBD [article]  inCanadian Journal of Occupational Therapy > 85(4) (Octobre 2018) . - p. 272-285 Titre : Occupational therapy in the Fourth Industrial Revolution Type de document : texte imprimé Auteurs : Lili Liu Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 272-285 Note générale : doi.org/10.1177/0008417418815179 Langues : Français (fre) Mots-clés : Automation  Fourth Industrial Revolution  Internet of Things  Occupational therapy  Technology Résumé : Background. While occupational therapy’s inception was from the Arts and Crafts movement and the moral treatment movement with war veterans, the profession has evolved to requiring a professional entry-level master’s degree to practice, and involves complex relationships with clients across the life span. Throughout history, a consistent impact of each industrial revolution has been the loss of jobs to automation. This consequence is even more profound today with the exponential growth of innovations and automation. Purpose. The objectives of this article are to (a) set the context by reviewing the evolution, or five eras, of occupational therapy in Canada; (b) present what is meant by the “Fourth Industrial Revolution”; and (c) examine the technological innovations faced by occupational therapists and our clients as we enter the “sixth” era of occupational therapy in Canada. Key Issues. Although occupational therapy, as a profession, has low risk for automation, a great number of our clients will not be able to reskill fast enough to keep up with job market requirements. Telerehabilitation, the Internet of Things, virtual reality, 3-D printing, robotics, artificial intelligence, and autonomous vehicles are challenging ways occupational therapists provide services to clients. Implications. It is recommended that occupational therapists engage with disciplines beyond current typical connections, as our expertise is called upon to advocate for ourselves and our clients who are end users of these technologies. En ligne : https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/0008417418815179 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84220 [article] Occupational therapy in the Fourth Industrial Revolution [texte imprimé] / Lili Liu . - 2018 . - p. 272-285. doi.org/10.1177/0008417418815179 Langues : Français (fre) in Canadian Journal of Occupational Therapy > 85(4) (Octobre 2018) . - p. 272-285 Mots-clés : Automation  Fourth Industrial Revolution  Internet of Things  Occupational therapy  Technology Résumé : Background. While occupational therapy’s inception was from the Arts and Crafts movement and the moral treatment movement with war veterans, the profession has evolved to requiring a professional entry-level master’s degree to practice, and involves complex relationships with clients across the life span. Throughout history, a consistent impact of each industrial revolution has been the loss of jobs to automation. This consequence is even more profound today with the exponential growth of innovations and automation. Purpose. The objectives of this article are to (a) set the context by reviewing the evolution, or five eras, of occupational therapy in Canada; (b) present what is meant by the “Fourth Industrial Revolution”; and (c) examine the technological innovations faced by occupational therapists and our clients as we enter the “sixth” era of occupational therapy in Canada. Key Issues. Although occupational therapy, as a profession, has low risk for automation, a great number of our clients will not be able to reskill fast enough to keep up with job market requirements. Telerehabilitation, the Internet of Things, virtual reality, 3-D printing, robotics, artificial intelligence, and autonomous vehicles are challenging ways occupational therapists provide services to clients. Implications. It is recommended that occupational therapists engage with disciplines beyond current typical connections, as our expertise is called upon to advocate for ourselves and our clients who are end users of these technologies. En ligne : https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/0008417418815179 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84220

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What do we know about technologies for dementia-related wandering? A scoping review / Noelannah A. Neubauer in Canadian Journal of Occupational Therapy, 85(3) (Juin 2018)

Public ISBD [article]  inCanadian Journal of Occupational Therapy > 85(3) (Juin 2018) . - p. 196-208 Titre : What do we know about technologies for dementia-related wandering? A scoping review Titre original : Examen de la portée : Que savons-nous à propos des technologies de gestion de l’errance liée à la démence? Type de document : texte imprimé Auteurs : Noelannah A. Neubauer ; Nolwenn Lapierre ; Adriana M. Rios Rincon ; Antonio Miguel-Cruz ; Jacqueline Rousseau ; Lili Liu Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 196-208 Note générale : doi.org/10.1177/0008417418777530 Langues : Français (fre) Mots-clés : Comportements liés à la santé  Gestion de l’errance  Maladie d’Alzheimer  Soignants  Technologie d’assistance Résumé : Les ergothérapeutes utilisent différentes technologies pour gérer les risques liés à l’errance, afin de promouvoir la santé et l’autonomie des personnes atteintes de démence qui vivent dans la collectivité. But. Le but de cette étude était d’examiner les différentes technologies utilisées pour gérer les comportements d’errance. Méthodologie. À partir d’une modification de la méthodologie d’Arksey et O’Malley, nous avons effectué une revue systématique de la littérature examinée par les pairs et de la littérature grise; cette revue portait sur les technologies utilisées à domicile et dans les milieux de soins d’entretien pour les personnes atteintes de démence ayant des comportements d’errance. Les données de ces études ont été analysées de manière descriptive. Résultats. Quatre-vingt trois technologies étaient décrites dans la littérature. Dix-neuf dispositifs avaient été testés en clinique. Les interventions allaient des systèmes et dispositifs d’alarme aux dispositifs de localisation mobiles. Les avantages associés à ces technologies étaient notamment une réduction des risques et une réduction du fardeau des soignants. Conséquences. Les technologies permettant de rehausser l’autonomie des personnes atteintes de démence font partie des stratégies ergothérapiques. Les technologies peuvent aussi réduire les risques d’errance et doivent être abordables. Toutefois, il est essentiel d’aborder les questions d’éthiques liées à l’utilisation de la technologie. Les recherches devront se poursuivre afin de déterminer les technologies dont l’efficacité et l’utilisabilité ont été établies par des données probantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84204 [article] What do we know about technologies for dementia-related wandering? A scoping review = Examen de la portée : Que savons-nous à propos des technologies de gestion de l’errance liée à la démence? [texte imprimé] / Noelannah A. Neubauer ; Nolwenn Lapierre ; Adriana M. Rios Rincon ; Antonio Miguel-Cruz ; Jacqueline Rousseau ; Lili Liu . - 2018 . - p. 196-208. doi.org/10.1177/0008417418777530 Langues : Français (fre) in Canadian Journal of Occupational Therapy > 85(3) (Juin 2018) . - p. 196-208 Mots-clés : Comportements liés à la santé  Gestion de l’errance  Maladie d’Alzheimer  Soignants  Technologie d’assistance Résumé : Les ergothérapeutes utilisent différentes technologies pour gérer les risques liés à l’errance, afin de promouvoir la santé et l’autonomie des personnes atteintes de démence qui vivent dans la collectivité. But. Le but de cette étude était d’examiner les différentes technologies utilisées pour gérer les comportements d’errance. Méthodologie. À partir d’une modification de la méthodologie d’Arksey et O’Malley, nous avons effectué une revue systématique de la littérature examinée par les pairs et de la littérature grise; cette revue portait sur les technologies utilisées à domicile et dans les milieux de soins d’entretien pour les personnes atteintes de démence ayant des comportements d’errance. Les données de ces études ont été analysées de manière descriptive. Résultats. Quatre-vingt trois technologies étaient décrites dans la littérature. Dix-neuf dispositifs avaient été testés en clinique. Les interventions allaient des systèmes et dispositifs d’alarme aux dispositifs de localisation mobiles. Les avantages associés à ces technologies étaient notamment une réduction des risques et une réduction du fardeau des soignants. Conséquences. Les technologies permettant de rehausser l’autonomie des personnes atteintes de démence font partie des stratégies ergothérapiques. Les technologies peuvent aussi réduire les risques d’errance et doivent être abordables. Toutefois, il est essentiel d’aborder les questions d’éthiques liées à l’utilisation de la technologie. Les recherches devront se poursuivre afin de déterminer les technologies dont l’efficacité et l’utilisabilité ont été établies par des données probantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84204

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