[article] 
inEnfances & psy > 75 (Octobre 2017) . - p. 100-107

Titre :	Su et insu de la transmission
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Olivier Douville
Année de publication :	2017
Article en page(s) :	p. 100-107
Note générale :	Issu du dossier : Transmissions. Enjeux et perspectives
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Transmission  réseaux sociaux  université  dsm  lien inconscient
Résumé :	La question de la transmission se pose à nouveaux frais de nos jours avec l’avènement du numérique qui modifie le rapport établi du disciple au Maître. De plus, la numérisation et la médicalisation de nos existences font la part belle à de nouvelles formes de classifications, où le sujet se dissout en tant que question et risque, de ne plus être appréhendé que comme une machine atteinte de troubles ou de pannes divers. L’échange entre Jean-Yves le Fourn et Olivier Douville part d’une inquiétude ; la transmission clinique aurait-elle changée à notre insu, et serait-elle devenue qu’une simple transmission d’un « savoir » sans la notion d’expérience par la clinique du sujet ? Quelle est alors notre responsabilité pour rétablir une clinique contemporaine du sujet référée à la notion d’inconscient ?
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=53774

[article] Su et insu de la transmission [texte imprimé] / Olivier Douville . - 2017 . - p. 100-107.
Issu du dossier : Transmissions. Enjeux et perspectives
Langues : Français (fre)
in Enfances & psy > 75 (Octobre 2017) . - p. 100-107

Mots-clés :	Transmission  réseaux sociaux  université  dsm  lien inconscient
Résumé :	La question de la transmission se pose à nouveaux frais de nos jours avec l’avènement du numérique qui modifie le rapport établi du disciple au Maître. De plus, la numérisation et la médicalisation de nos existences font la part belle à de nouvelles formes de classifications, où le sujet se dissout en tant que question et risque, de ne plus être appréhendé que comme une machine atteinte de troubles ou de pannes divers. L’échange entre Jean-Yves le Fourn et Olivier Douville part d’une inquiétude ; la transmission clinique aurait-elle changée à notre insu, et serait-elle devenue qu’une simple transmission d’un « savoir » sans la notion d’expérience par la clinique du sujet ? Quelle est alors notre responsabilité pour rétablir une clinique contemporaine du sujet référée à la notion d’inconscient ?
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