Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Eilis H.L. Boyle |
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"An uglier duckling than before": Reclaiming agency and visibility amongst facially-wounded ex-servicemen in Britain after the First World War / Eilis H.L. Boyle in Alter, Vol. 13, n° 4 (November 2019)
[article]
Titre : "An uglier duckling than before": Reclaiming agency and visibility amongst facially-wounded ex-servicemen in Britain after the First World War Type de document : texte imprimé Auteurs : Eilis H.L. Boyle Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 308-322 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.alter.2019.08.003 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Anciens combattants Blessures de guerre Face Grande-Bretagne Mutilation Première guerre mondiale Réadaptation Blessure de guerre au visage et/ou aux yeux Visibilité sociale Résumé : Au total, 60 500 soldats britanniques ont été blessés à la tête ou aux yeux pendant la Première Guerre mondiale. Malgré ce chiffre important, les anciens combattants blessés au visage, et en particulier leurs expériences de l’après-guerre, sont largement absents de l’histoire sociale du conflit. Bien qu’ils fassent partie d’un ensemble plus vaste de mutilés de guerre, les « gueules cassées » ont été exclues du discours contemporain sur l’héroïsme masculin, en raison de la valeur identitaire et socio-économique attribuée au visage. Les récits de l’époque portant sur les anciens combattants blessés au visage ont mis l’accent sur la passivité et le désespoir, dans le but de les émasculer symboliquement et de les mettre à part. Mais dans quelle mesure cela reflète-t-il la réalité de leurs expériences vécues ? À l’aide de témoignages d’anciens combattants blessés au visage, cet article remet en question la représentation de l’ancien combattant défiguré en tant que victime passive, et démontre que ces hommes exerçaient une forme de contrôle sur leur propre représentation. En reprenant les conceptions normatives de la masculinité et les images idéalisées de blessés de guerre, les « gueules cassées » ont construit des contre-récits de leurs réactions émotionnelles face à leur défigurement en conformité avec ces idéaux. La conceptualisation des mutilations au visage comme des blessures de guerre, et le statut culturel élevé des mutilés de guerre ont permis aux anciens combattants britanniques blessés au visage de réclamer le statut masculin qui leur était refusé par les représentations populaires et d’exercer leur droit à la visibilité sociale après la guerre. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83372
in Alter > Vol. 13, n° 4 (November 2019) . - p. 308-322[article] "An uglier duckling than before": Reclaiming agency and visibility amongst facially-wounded ex-servicemen in Britain after the First World War [texte imprimé] / Eilis H.L. Boyle . - 2019 . - p. 308-322.
https://doi.org/10.1016/j.alter.2019.08.003
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Alter > Vol. 13, n° 4 (November 2019) . - p. 308-322
Mots-clés : Anciens combattants Blessures de guerre Face Grande-Bretagne Mutilation Première guerre mondiale Réadaptation Blessure de guerre au visage et/ou aux yeux Visibilité sociale Résumé : Au total, 60 500 soldats britanniques ont été blessés à la tête ou aux yeux pendant la Première Guerre mondiale. Malgré ce chiffre important, les anciens combattants blessés au visage, et en particulier leurs expériences de l’après-guerre, sont largement absents de l’histoire sociale du conflit. Bien qu’ils fassent partie d’un ensemble plus vaste de mutilés de guerre, les « gueules cassées » ont été exclues du discours contemporain sur l’héroïsme masculin, en raison de la valeur identitaire et socio-économique attribuée au visage. Les récits de l’époque portant sur les anciens combattants blessés au visage ont mis l’accent sur la passivité et le désespoir, dans le but de les émasculer symboliquement et de les mettre à part. Mais dans quelle mesure cela reflète-t-il la réalité de leurs expériences vécues ? À l’aide de témoignages d’anciens combattants blessés au visage, cet article remet en question la représentation de l’ancien combattant défiguré en tant que victime passive, et démontre que ces hommes exerçaient une forme de contrôle sur leur propre représentation. En reprenant les conceptions normatives de la masculinité et les images idéalisées de blessés de guerre, les « gueules cassées » ont construit des contre-récits de leurs réactions émotionnelles face à leur défigurement en conformité avec ces idéaux. La conceptualisation des mutilations au visage comme des blessures de guerre, et le statut culturel élevé des mutilés de guerre ont permis aux anciens combattants britanniques blessés au visage de réclamer le statut masculin qui leur était refusé par les représentations populaires et d’exercer leur droit à la visibilité sociale après la guerre. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83372 Exemplaires (1)
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