Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Alice Mangot |
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L’accès direct en France : avis des masseurs-kinésithérapeutes libéraux concernant un besoin de formation quant à sa mise en place. Étude exploratoire / Alice Mangot in Kinésithérapie, la revue, 216 (Décembre 2019)
[article]
Titre : L’accès direct en France : avis des masseurs-kinésithérapeutes libéraux concernant un besoin de formation quant à sa mise en place. Étude exploratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Mangot Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 13-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réglementation du travail Kinésithérapeutes / législation et jurisprudence Résumé : L'accès direct aux soins de kinésithérapie est effectif dans certains pays, comme l'Australie, le Québec, les Pays-Bas et le Luxembourg ; mais pas en France. Afin de comprendre les différences entre ces pays et la France, nous les avons comparés en termes de réglementation de la profession, de compétences du physiothérapeute, de la formation initiale, puis de la prise en charge des soins pour le patient. Les comparaisons effectuées ont comme base les recommandations de la WCPT. La différence principale retrouvée suite à ces comparaisons fut la formation initiale des kinésithérapeutes français avant la dernière réforme de 2015. Le but de cette étude exploratoire fut de recenser les avis des masseur-kinésithérapeutes libéraux concernant une éventuelle formation afin d'agir en première intention. Cette étude fut réalisée via un questionnaire destiné aux masseurs-kinésithérapeutes libéraux français afin de savoir s'ils ressentent un besoin de formation quant à la mise en place de l'accès direct. La question des compétences nécessaires et de la rémunération des séances sans ordonnance par l'assurance maladie fut aussi posée. Le questionnaire a recueilli 119 réponses. Un total de 94,1 % (112/119) kinésithérapeutes libéraux sont prêts à se former. Les compétences proposées ont obtenu : 89,3 % (100/112) pour le « bilan et l'évaluation clinique », 76,8 (86/112) pour « l'éducation thérapeutique du patient », 75,9 % (85/112) pour la « prévention et santé publique », 75,9 % (85/112) pour « la recherche en masso-kinésithérapie », 99,1 % (111/112) pour « l'expertise en masso-kinésithérapie ». Une solution proposée serait une rémunération plus élevée des bilans réalisés en première intention par l'assurance maladie. Ce bilan justifierait les séances qui seraient prises en charge de la même façon que les séances actuelles. Les masseurs-kinésithérapeutes libéraux concernés par le questionnaire ont exprimé un besoin de se former afin d'intégrer l'accès direct dans leur pratique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83064
in Kinésithérapie, la revue > 216 (Décembre 2019) . - p. 13-17[article] L’accès direct en France : avis des masseurs-kinésithérapeutes libéraux concernant un besoin de formation quant à sa mise en place. Étude exploratoire [texte imprimé] / Alice Mangot . - 2019 . - p. 13-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 216 (Décembre 2019) . - p. 13-17
Mots-clés : Réglementation du travail Kinésithérapeutes / législation et jurisprudence Résumé : L'accès direct aux soins de kinésithérapie est effectif dans certains pays, comme l'Australie, le Québec, les Pays-Bas et le Luxembourg ; mais pas en France. Afin de comprendre les différences entre ces pays et la France, nous les avons comparés en termes de réglementation de la profession, de compétences du physiothérapeute, de la formation initiale, puis de la prise en charge des soins pour le patient. Les comparaisons effectuées ont comme base les recommandations de la WCPT. La différence principale retrouvée suite à ces comparaisons fut la formation initiale des kinésithérapeutes français avant la dernière réforme de 2015. Le but de cette étude exploratoire fut de recenser les avis des masseur-kinésithérapeutes libéraux concernant une éventuelle formation afin d'agir en première intention. Cette étude fut réalisée via un questionnaire destiné aux masseurs-kinésithérapeutes libéraux français afin de savoir s'ils ressentent un besoin de formation quant à la mise en place de l'accès direct. La question des compétences nécessaires et de la rémunération des séances sans ordonnance par l'assurance maladie fut aussi posée. Le questionnaire a recueilli 119 réponses. Un total de 94,1 % (112/119) kinésithérapeutes libéraux sont prêts à se former. Les compétences proposées ont obtenu : 89,3 % (100/112) pour le « bilan et l'évaluation clinique », 76,8 (86/112) pour « l'éducation thérapeutique du patient », 75,9 % (85/112) pour la « prévention et santé publique », 75,9 % (85/112) pour « la recherche en masso-kinésithérapie », 99,1 % (111/112) pour « l'expertise en masso-kinésithérapie ». Une solution proposée serait une rémunération plus élevée des bilans réalisés en première intention par l'assurance maladie. Ce bilan justifierait les séances qui seraient prises en charge de la même façon que les séances actuelles. Les masseurs-kinésithérapeutes libéraux concernés par le questionnaire ont exprimé un besoin de se former afin d'intégrer l'accès direct dans leur pratique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83064 Exemplaires (1)
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