Boredom and meaningful activity in adults experiencing homelessness: A mixed-methods study / Carrie Anne Marshall in Canadian Journal of Occupational Therapy, 86(5) (Décembre 2019)

Public ISBD [article]  inCanadian Journal of Occupational Therapy > 86(5) (Décembre 2019) . - p. 357-370 Titre : Boredom and meaningful activity in adults experiencing homelessness: A mixed-methods study Titre original : L'ennui et les activités signifiantes chez les adultes sans-abri : une étude à la méthodologie mixte Type de document : texte imprimé Auteurs : Carrie Anne Marshall ; Lisa Davidson ; Andrea Li ; Rebecca E. Gewurtz ; Laurence Roy ; Skye Barbic ; Bonnie H. Kirsh ; Rosemary Lysaght Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 357-370 Note générale : doi.org/10.1177/0008417419833402 Langues : Français (fre) Mots-clés : Activités humaines  Bien-être  Ergothérapie  Pauvreté  Personnes sans-abri Résumé : L’ennui a été décrit comme un problème vécu fréquemment par les personnes sans-abri et entraînant des conséquences pour le bien-être mental et social. But. Cette étude visait à explorer la nature et l’impact de l’ennui sur la vie de personnes sans-abri et anciennement sans-abri. Méthodologie. Un devis à méthodologie mixte a été utilisé pour faire participer 13 sujets à un entretien structuré comportant 92 questions quantitatives basées sur six mesures normatives, suivi d’un entretien qualitatif semi-structuré. Des analyses corrélationnelles ont été effectuées avec les données compilées à partir des entretiens quantitatifs, et des stratégies de théorisation ancrée ont été utilisées pour les données qualitatives. Les deux analyses ont été intégrées à l’étape de l’interprétation. Résultats. L’ennui a été décrit comme une expérience profonde et répandue chez les personnes sans-abri, qui entraîne des effets néfastes pour le bien-être mental, de même que l’usage de substances psychoactives. Une forte corrélation positive a été observée entre les activités signifiantes et le bien-être mental [r s = 0,767, p <0, 01], et une forte corrélation négative a été observée entre l’ennui et le sentiment d’appartenance à la communauté [r s = -0,771, p < 0,01]. Conséquences. L’ennui est un sujet d’étude important en ergothérapie dans le domaine de l’itinérance. D’autres recherches devront être menées pour concevoir et tester des interventions visant à optimiser le bien-être mental, la participation et l’appartenance sociale de cette clientèle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84273 [article] Boredom and meaningful activity in adults experiencing homelessness: A mixed-methods study = L'ennui et les activités signifiantes chez les adultes sans-abri : une étude à la méthodologie mixte [texte imprimé] / Carrie Anne Marshall ; Lisa Davidson ; Andrea Li ; Rebecca E. Gewurtz ; Laurence Roy ; Skye Barbic ; Bonnie H. Kirsh ; Rosemary Lysaght . - 2019 . - p. 357-370. doi.org/10.1177/0008417419833402 Langues : Français (fre) in Canadian Journal of Occupational Therapy > 86(5) (Décembre 2019) . - p. 357-370 Mots-clés : Activités humaines  Bien-être  Ergothérapie  Pauvreté  Personnes sans-abri Résumé : L’ennui a été décrit comme un problème vécu fréquemment par les personnes sans-abri et entraînant des conséquences pour le bien-être mental et social. But. Cette étude visait à explorer la nature et l’impact de l’ennui sur la vie de personnes sans-abri et anciennement sans-abri. Méthodologie. Un devis à méthodologie mixte a été utilisé pour faire participer 13 sujets à un entretien structuré comportant 92 questions quantitatives basées sur six mesures normatives, suivi d’un entretien qualitatif semi-structuré. Des analyses corrélationnelles ont été effectuées avec les données compilées à partir des entretiens quantitatifs, et des stratégies de théorisation ancrée ont été utilisées pour les données qualitatives. Les deux analyses ont été intégrées à l’étape de l’interprétation. Résultats. L’ennui a été décrit comme une expérience profonde et répandue chez les personnes sans-abri, qui entraîne des effets néfastes pour le bien-être mental, de même que l’usage de substances psychoactives. Une forte corrélation positive a été observée entre les activités signifiantes et le bien-être mental [r s = 0,767, p <0, 01], et une forte corrélation négative a été observée entre l’ennui et le sentiment d’appartenance à la communauté [r s = -0,771, p < 0,01]. Conséquences. L’ennui est un sujet d’étude important en ergothérapie dans le domaine de l’itinérance. D’autres recherches devront être menées pour concevoir et tester des interventions visant à optimiser le bien-être mental, la participation et l’appartenance sociale de cette clientèle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84273

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Cognitive work hardening for return to work following depression: An intervention study / Adeena Wisenthal in Canadian Journal of Occupational Therapy, 85(1) (Février 2018)

Public ISBD [article]  inCanadian Journal of Occupational Therapy > 85(1) (Février 2018) . - p. 21-32 Titre : Cognitive work hardening for return to work following depression: An intervention study Titre original : Le réentraînement cognitif au travail pour favoriser le retour au travail à la suite d’une dépression : étude d’intervention Type de document : texte imprimé Auteurs : Adeena Wisenthal ; Terry Krupa ; Bonnie H. Kirsh ; Rosemary Lysaght Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 21-32 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Ergothérapie  Fonction cognitive  Réadaptation professionnelle  Réintégration au travail  Santé mentale Résumé : Les absences au travail en raison d’une dépression sont fréquentes; toutefois, il existe peu d’interventions pour aborder les difficultés liées au retour au travail à la suite d’un épisode dépressif. But. Cette étude basée sur une approche méthodologique mixte visait à (a) évaluer l’efficacité du réentraînement cognitif au travail pour préparer des personnes dépressives à retourner au travail et (b) identifier les éléments clés de l’intervention. Méthodologie. Une étude prétest postest à groupe unique (n = 21) a été utilisée; cette étude comportait des mesures d’autoévaluation (Work Ability Index, Multidimensional Assessment of Fatigue, Beck Depression Inventory II) et des entrevues à la fin de l’intervention et lors d’un suivi, après trois mois. Des statistiques descriptives, un test de t d’échantillons appariés et une analyse du contenu ont été utilisés pour analyser les données. Résultats. À la suite de l’intervention, des améliorations significatives ont été observées face à la capacité de travail, la fatigue et la sévérité de la dépression. Les participants ont indiqué que la structure, les simulations de travail, le réalisme du milieu de travail simulé, le soutien et l’éducation étaient des éléments clés de l’intervention. Conséquences. Les résultats indiquent qu’une intervention axée sur le retour au travail et l’occupation à l’intention des personnes se rétablissant d’une dépression pourrait être adoptée plus largement et faire l’objet de futures recherches. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=79089 [article] Cognitive work hardening for return to work following depression: An intervention study = Le réentraînement cognitif au travail pour favoriser le retour au travail à la suite d’une dépression : étude d’intervention [texte imprimé] / Adeena Wisenthal ; Terry Krupa ; Bonnie H. Kirsh ; Rosemary Lysaght . - 2018 . - p. 21-32. Langues : Anglais (eng) in Canadian Journal of Occupational Therapy > 85(1) (Février 2018) . - p. 21-32 Mots-clés : Ergothérapie  Fonction cognitive  Réadaptation professionnelle  Réintégration au travail  Santé mentale Résumé : Les absences au travail en raison d’une dépression sont fréquentes; toutefois, il existe peu d’interventions pour aborder les difficultés liées au retour au travail à la suite d’un épisode dépressif. But. Cette étude basée sur une approche méthodologique mixte visait à (a) évaluer l’efficacité du réentraînement cognitif au travail pour préparer des personnes dépressives à retourner au travail et (b) identifier les éléments clés de l’intervention. Méthodologie. Une étude prétest postest à groupe unique (n = 21) a été utilisée; cette étude comportait des mesures d’autoévaluation (Work Ability Index, Multidimensional Assessment of Fatigue, Beck Depression Inventory II) et des entrevues à la fin de l’intervention et lors d’un suivi, après trois mois. Des statistiques descriptives, un test de t d’échantillons appariés et une analyse du contenu ont été utilisés pour analyser les données. Résultats. À la suite de l’intervention, des améliorations significatives ont été observées face à la capacité de travail, la fatigue et la sévérité de la dépression. Les participants ont indiqué que la structure, les simulations de travail, le réalisme du milieu de travail simulé, le soutien et l’éducation étaient des éléments clés de l’intervention. Conséquences. Les résultats indiquent qu’une intervention axée sur le retour au travail et l’occupation à l’intention des personnes se rétablissant d’une dépression pourrait être adoptée plus largement et faire l’objet de futures recherches. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=79089

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Occupational transition in the process of becoming housed following chronic homelessness / Carrie Anne Marshall in Canadian Journal of Occupational Therapy, 85(1) (Février 2018)

Public ISBD [article]  inCanadian Journal of Occupational Therapy > 85(1) (Février 2018) . - p. 33-45 Titre : Occupational transition in the process of becoming housed following chronic homelessness Titre original : La transition occupationnelle liée au processus d’obtention d’un logement à la suite d’une itinérance chronique Type de document : texte imprimé Auteurs : Carrie Anne Marshall ; Rosemary Lysaght ; Terry Krupa Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 33-45 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Activités humaines  Comportement occupationnel  Pauvreté  Personnes itinérantes  Santé Résumé : L’étude des occupations des personnes itinérantes en transition vers un logement après une longue période d’itinérance peut éventuellement enrichir de manière significative le dialogue continu sur l’itinérance. But. La transition occupationnelle a été explorée à partir d’un échantillon de personnes ayant des antécédents d’itinérance chronique, en vue d’ajouter une perspective occupationnelle aux connaissances actuelles sur l’itinérance et d’éclairer la pratique des ergothérapeutes qui oeuvrent auprès de cette population. Méthodologie. Une analyse interprétative phénoménologique a orienté l’étude. Onze personnes ayant des antécédents d’itinérance chronique ont participé à des entrevues semi-structurées de trois à 24 mois après avoir été logées. Résultats. Les six thèmes analysés mettaient en relief l’occupation en tant que moyen de favoriser l’intégration sociale et psychologique, de même que le sens de la transition occupationnelle et l’expérience vécue face à cette transition. Conséquences. Il est essentiel d’incorporer une stratégie de soutien plus globale reconnaissant les occupations des personnes ayant des antécédents d’itinérance chronique aux recherches et à la pratique futures, en vue de favoriser l’inclusion communautaire et le maintien d’un logement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=79090 [article] Occupational transition in the process of becoming housed following chronic homelessness = La transition occupationnelle liée au processus d’obtention d’un logement à la suite d’une itinérance chronique [texte imprimé] / Carrie Anne Marshall ; Rosemary Lysaght ; Terry Krupa . - 2018 . - p. 33-45. Langues : Anglais (eng) in Canadian Journal of Occupational Therapy > 85(1) (Février 2018) . - p. 33-45 Mots-clés : Activités humaines  Comportement occupationnel  Pauvreté  Personnes itinérantes  Santé Résumé : L’étude des occupations des personnes itinérantes en transition vers un logement après une longue période d’itinérance peut éventuellement enrichir de manière significative le dialogue continu sur l’itinérance. But. La transition occupationnelle a été explorée à partir d’un échantillon de personnes ayant des antécédents d’itinérance chronique, en vue d’ajouter une perspective occupationnelle aux connaissances actuelles sur l’itinérance et d’éclairer la pratique des ergothérapeutes qui oeuvrent auprès de cette population. Méthodologie. Une analyse interprétative phénoménologique a orienté l’étude. Onze personnes ayant des antécédents d’itinérance chronique ont participé à des entrevues semi-structurées de trois à 24 mois après avoir été logées. Résultats. Les six thèmes analysés mettaient en relief l’occupation en tant que moyen de favoriser l’intégration sociale et psychologique, de même que le sens de la transition occupationnelle et l’expérience vécue face à cette transition. Conséquences. Il est essentiel d’incorporer une stratégie de soutien plus globale reconnaissant les occupations des personnes ayant des antécédents d’itinérance chronique aux recherches et à la pratique futures, en vue de favoriser l’inclusion communautaire et le maintien d’un logement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=79090

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