Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Hélène Chéronnet |
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Le cri est toujours le début d’un chant / Hélène Chéronnet in Les Cahiers dynamiques, 81 (janvier 2023)
[article]
Titre : Le cri est toujours le début d’un chant Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Chéronnet Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 16-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfants placés -- Aspect psychologique CEF Centre éducatif fermé Résumé : Le cri est toujours le début d’un chant est un film réalisé en 2018 par Clémence Ancelin. Comme le suggère le titre, le point de vue adopté par son auteure est celui d’envisager la situation de neuf jeunes placés en centre éducatif fermé (cef) comme l’opportunité d’un nouveau départ ; le cef représentant une alternative à l’incarcération. S’immiscer dans un univers relativement clos, choisir de donner la parole à des jeunes coincés dans des parcours compliqués, leur permettre de faire leur film, autant de défis que la réalisatrice a voulu relever. Le directeur de l’établissement, les professionnels du cef ont soutenu ce projet et ce soutien s’est révélé essentiel dans la démarche. En ligne : https://doi.org/10.3917/lcd.081.0016 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112493
in Les Cahiers dynamiques > 81 (janvier 2023) . - p. 16-18[article] Le cri est toujours le début d’un chant [texte imprimé] / Hélène Chéronnet . - 2023 . - p. 16-18.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 81 (janvier 2023) . - p. 16-18
Mots-clés : Enfants placés -- Aspect psychologique CEF Centre éducatif fermé Résumé : Le cri est toujours le début d’un chant est un film réalisé en 2018 par Clémence Ancelin. Comme le suggère le titre, le point de vue adopté par son auteure est celui d’envisager la situation de neuf jeunes placés en centre éducatif fermé (cef) comme l’opportunité d’un nouveau départ ; le cef représentant une alternative à l’incarcération. S’immiscer dans un univers relativement clos, choisir de donner la parole à des jeunes coincés dans des parcours compliqués, leur permettre de faire leur film, autant de défis que la réalisatrice a voulu relever. Le directeur de l’établissement, les professionnels du cef ont soutenu ce projet et ce soutien s’est révélé essentiel dans la démarche. En ligne : https://doi.org/10.3917/lcd.081.0016 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112493 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleFatima. Migrer au risque de trahir / Hélène Chéronnet in Les Cahiers dynamiques, 74 (mars 2019)
[article]
Titre : Fatima. Migrer au risque de trahir Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Chéronnet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 57-65 Note générale : Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance Langues : Français (fre) Mots-clés : immigration discriminations distance sociale inégalité racisme émigration femme socialisation égalité genre Résumé : « Mes grands-parents ne parlaient pas le français et ma mère ne le parlait pas dans son enfance. Ils étaient des “invisibles” de la société dans laquelle ils vivaient. […] Chez Fatima, j’ai retrouvé des attitudes que j’ai connues chez eux. Elle est à l’image de ces femmes, qui souvent n’ont eu accès qu’à des scolarités incomplètes, ont été amenées à émigrer par nécessité vitale, pour venir vivre dans un pays dont elles ne parlaient pas la langue et dont les codes leur étaient étrangers. En France, elles ont donné naissance à des enfants qu’elles ont élevés, parfois séparées d’eux par la langue et par des pratiques et des repères différents. Pour toutes ces raisons, ces femmes ont développé, malgré leurs ignorances et leurs handicaps, des ressources très importantes, allant puiser au fond d’un courage et d’une obstination farouche. »
Ces mots sont ceux de Philippe Faucon, réalisateur du film, Fatima, sorti en 2015.
Fatima ou l’histoire d’une mère, émigrée, qui vit seule avec ses deux filles : Souad, adolescente de 15 ans en révolte, et Nesrine, jeune étudiante en médecine. Alors qu’elle maîtrise mal le français, ses filles, elles, parlent à peine l’arabe. Pour faire vivre sa famille, Fatima travaille comme femme de ménage et accumule les heures pour un salaire minuscule. Un jour, elle chute dans un escalier. En arrêt de travail, elle couche sur le papier, en arabe, ce qu’il ne lui a pas été possible de dire jusque-là à ses enfants.
Un critique, à la sortie du film, écrit que Philippe Faucon « donne une image aux invisibles » ; qu’il utilise « le langage des images tout en résistant aux images dominante…Note de contenu :
La distance sociale
Le poids de l’émigration
Un ordre genréPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78371
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 57-65[article] Fatima. Migrer au risque de trahir [texte imprimé] / Hélène Chéronnet . - 2019 . - p. 57-65.
Issu du dossier : Phénomènes migratoires et enfance
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers dynamiques > 74 (mars 2019) . - p. 57-65
Mots-clés : immigration discriminations distance sociale inégalité racisme émigration femme socialisation égalité genre Résumé : « Mes grands-parents ne parlaient pas le français et ma mère ne le parlait pas dans son enfance. Ils étaient des “invisibles” de la société dans laquelle ils vivaient. […] Chez Fatima, j’ai retrouvé des attitudes que j’ai connues chez eux. Elle est à l’image de ces femmes, qui souvent n’ont eu accès qu’à des scolarités incomplètes, ont été amenées à émigrer par nécessité vitale, pour venir vivre dans un pays dont elles ne parlaient pas la langue et dont les codes leur étaient étrangers. En France, elles ont donné naissance à des enfants qu’elles ont élevés, parfois séparées d’eux par la langue et par des pratiques et des repères différents. Pour toutes ces raisons, ces femmes ont développé, malgré leurs ignorances et leurs handicaps, des ressources très importantes, allant puiser au fond d’un courage et d’une obstination farouche. »
Ces mots sont ceux de Philippe Faucon, réalisateur du film, Fatima, sorti en 2015.
Fatima ou l’histoire d’une mère, émigrée, qui vit seule avec ses deux filles : Souad, adolescente de 15 ans en révolte, et Nesrine, jeune étudiante en médecine. Alors qu’elle maîtrise mal le français, ses filles, elles, parlent à peine l’arabe. Pour faire vivre sa famille, Fatima travaille comme femme de ménage et accumule les heures pour un salaire minuscule. Un jour, elle chute dans un escalier. En arrêt de travail, elle couche sur le papier, en arabe, ce qu’il ne lui a pas été possible de dire jusque-là à ses enfants.
Un critique, à la sortie du film, écrit que Philippe Faucon « donne une image aux invisibles » ; qu’il utilise « le langage des images tout en résistant aux images dominante…Note de contenu :
La distance sociale
Le poids de l’émigration
Un ordre genréPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78371 Réservation
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