Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Journal de traumatologie du sport . vol. 26/3Mention de date : septembre 2009 Paru le : 01/09/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÉvaluations prédictives de l’entorse de cheville / Stéphane Fabri in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Évaluations prédictives de l’entorse de cheville : À propos de 58 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Fabri ; A. DUC ; Arnaud Constantinides ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 139-147 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prévention Entorse Résumé : La survenue d’une blessure est perçue par le sportif et le monde médical comme une fatalité. Parmi les traumatismes articulaires, l’entorse de cheville est de loin la pathologie la plus fréquente. Les programmes de prévention ont prouvé leur efficacité dans de nombreux domaines. Cependant, ils restent difficiles à mettre en place car il n’existe pas ou peu d’outils pour dépister les sujets à risque. L’objectif de ce travail est de proposer des évaluations fiables, reproductibles et non opératrices dépendantes qui permettront de recenser des sujets potentiellement victimes d’une entorse de cheville à moyen terme. Nous avons testé 58 jeunes sportifs sains dont la pratique était supérieure à deux heures par semaine. Nous avons effectué des bilans sur un appareil de coordination motrice à plateau motorisé, sur une plateforme de baropodométrie et nous avons analysé les qualités musculaires de chaque membre inférieur à l’aide d’un accéléromètre. Les épreuves se sont déroulées aux mois de novembre 2007, janvier et mars 2008. Nous avons recensé cinq instabilités articulaires de cheville. Les sujets victimes d’entorse de cheville au cours de l’étude présentaient un déficit au niveau de la coordination de 13 %. La différence est statistiquement significative. Les différents tests réalisés sur la plateforme de baropodométrie n’ont pas été retenus car les résultats des évaluations bipodales n’étaient pas comparables avec les normes de 1985 de l’Association française de posturologie. Les sportifs traumatisés présentaient tous dans la courbe d’enregistrement du saut, un accident durant la phase d’amortissement au sol et avaient un temps de stabilisation plus court que celui des sujets sains. Cette différence très significative s’élève à 110ms. Pope et al. retrouvent, chez les sujets victimes d’une entorse talocrurale, une diminution significative de la flexion dorsale lors du bilan antécédent au traumatisme. Willems et al. constatent ces éléments et décrivent d’autres facteurs intrinsèques de prédisposition qui corroborent nos résultats. Notre travail a prouvé qu’il est possible de prédire à moyen terme la survenue d’une entorse de cheville. Ces bilans préventifs doivent être faits en début de saison sportive et permettront de déterminer les faiblesses des pratiquants grâce à ces évaluations fiables et reproductibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17478
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 139-147[article] Évaluations prédictives de l’entorse de cheville : À propos de 58 cas [texte imprimé] / Stéphane Fabri ; A. DUC ; Arnaud Constantinides ; et al. . - 2009 . - p. 139-147.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 139-147
Mots-clés : Prévention Entorse Résumé : La survenue d’une blessure est perçue par le sportif et le monde médical comme une fatalité. Parmi les traumatismes articulaires, l’entorse de cheville est de loin la pathologie la plus fréquente. Les programmes de prévention ont prouvé leur efficacité dans de nombreux domaines. Cependant, ils restent difficiles à mettre en place car il n’existe pas ou peu d’outils pour dépister les sujets à risque. L’objectif de ce travail est de proposer des évaluations fiables, reproductibles et non opératrices dépendantes qui permettront de recenser des sujets potentiellement victimes d’une entorse de cheville à moyen terme. Nous avons testé 58 jeunes sportifs sains dont la pratique était supérieure à deux heures par semaine. Nous avons effectué des bilans sur un appareil de coordination motrice à plateau motorisé, sur une plateforme de baropodométrie et nous avons analysé les qualités musculaires de chaque membre inférieur à l’aide d’un accéléromètre. Les épreuves se sont déroulées aux mois de novembre 2007, janvier et mars 2008. Nous avons recensé cinq instabilités articulaires de cheville. Les sujets victimes d’entorse de cheville au cours de l’étude présentaient un déficit au niveau de la coordination de 13 %. La différence est statistiquement significative. Les différents tests réalisés sur la plateforme de baropodométrie n’ont pas été retenus car les résultats des évaluations bipodales n’étaient pas comparables avec les normes de 1985 de l’Association française de posturologie. Les sportifs traumatisés présentaient tous dans la courbe d’enregistrement du saut, un accident durant la phase d’amortissement au sol et avaient un temps de stabilisation plus court que celui des sujets sains. Cette différence très significative s’élève à 110ms. Pope et al. retrouvent, chez les sujets victimes d’une entorse talocrurale, une diminution significative de la flexion dorsale lors du bilan antécédent au traumatisme. Willems et al. constatent ces éléments et décrivent d’autres facteurs intrinsèques de prédisposition qui corroborent nos résultats. Notre travail a prouvé qu’il est possible de prédire à moyen terme la survenue d’une entorse de cheville. Ces bilans préventifs doivent être faits en début de saison sportive et permettront de déterminer les faiblesses des pratiquants grâce à ces évaluations fiables et reproductibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17478 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtFracture de fatigue du sésamoïde tibial / COURTOIS A. in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Fracture de fatigue du sésamoïde tibial : Présentation d’un cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : COURTOIS A. ; P.J. BRUYERE ; F. TINANT Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 175-179 Langues : Français (fre) Mots-clés : Stress Fatigue Résumé : Les sésamoïdes sont des os accessoires périphériques situés au niveau des articulations métatarsophalangiennes du premier rayon. Ils sont quasi constants bien que de rares absences congénitales aient été décrites. Ils jouent un rôle de poulie en augmentant la force de traction des muscles durant la dernière phase du pas. Le diagnostic clinique de fracture de stress est difficilement posé car différentes pathologies sont régulièrement intriquées. Une palpation électivement sensible de l’un ou des deux sésamoïdes, une tuméfaction locale, une douleur à la dorsiflexion passive métatarsophalangienne du premier rayon et une marche avec supination de l’avant-pied évoquent l’un des diagnostics suivants : pathologie microtraumatique ou statique, ostéonécrose, pathologies microcristallines, inflammatoires rhumatismales, atteintes infectieuses, anomalies de développement, lésions des tissus mous périsésamoïdiens, voire d’autres étiologies plus rares. La radiographie (incidence de Guntz) permet une étude précise des sésamoïdes. En fonction du diagnostic suspecté, un examen tomodensitométrique, une IRM ou une scintigraphie seront sollicités. Le traitement est dans un premier temps conservateur ; en cas d’échec, un traitement chirurgical peut être suggéré mais entraîne souvent un déséquilibre musculaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17480
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 175-179[article] Fracture de fatigue du sésamoïde tibial : Présentation d’un cas et revue de la littérature [texte imprimé] / COURTOIS A. ; P.J. BRUYERE ; F. TINANT . - 2009 . - p. 175-179.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 175-179
Mots-clés : Stress Fatigue Résumé : Les sésamoïdes sont des os accessoires périphériques situés au niveau des articulations métatarsophalangiennes du premier rayon. Ils sont quasi constants bien que de rares absences congénitales aient été décrites. Ils jouent un rôle de poulie en augmentant la force de traction des muscles durant la dernière phase du pas. Le diagnostic clinique de fracture de stress est difficilement posé car différentes pathologies sont régulièrement intriquées. Une palpation électivement sensible de l’un ou des deux sésamoïdes, une tuméfaction locale, une douleur à la dorsiflexion passive métatarsophalangienne du premier rayon et une marche avec supination de l’avant-pied évoquent l’un des diagnostics suivants : pathologie microtraumatique ou statique, ostéonécrose, pathologies microcristallines, inflammatoires rhumatismales, atteintes infectieuses, anomalies de développement, lésions des tissus mous périsésamoïdiens, voire d’autres étiologies plus rares. La radiographie (incidence de Guntz) permet une étude précise des sésamoïdes. En fonction du diagnostic suspecté, un examen tomodensitométrique, une IRM ou une scintigraphie seront sollicités. Le traitement est dans un premier temps conservateur ; en cas d’échec, un traitement chirurgical peut être suggéré mais entraîne souvent un déséquilibre musculaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17480 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtFracture ouverte de la clavicule et traitement par fixateur externe / R. BREDA in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Fracture ouverte de la clavicule et traitement par fixateur externe : À propos d’un cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : R. BREDA ; VAN GAVER E. ; RIGAL S. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 180-183 Langues : Français (fre) Mots-clés : Clavicule Fixateur externe Chirurgie Résumé : Introduction
Les traitements des fractures de la clavicule relèvent d’une prise en charge orthopédique ou chirurgicale par ostéosynthèse interne. La plupart des fractures ouvertes sont traitées chirurgicalement et la stabilisation par un fixateur externe reste exceptionnelle.
Cas clinique
Il s’agit d’un patient de 23 ans présentant une ouverture cutanée punctiforme secondaire dans le cadre d’une fracture de clavicule. La fracture était restée exposée pendant plus de 24 heures. Après parage de la plaie et une réduction, la stabilisation de la fracture a été réalisée par un fixateur externe Percy Fx®. Le patient a rapidement débuté la rééducation de son membre supérieur. Aucune complication infectieuse n’a été notée. Au troisième mois, le cal était solide permettant l’ablation du montage sous simple sédation.
Discussion
L’ouverture cutanée des fractures de clavicule est rare et représente moins d’un cas sur 1000. Les fractures ouvertes se rencontrent souvent lors de polytraumatismes et se compliquent parfois d’atteintes directes vasculaires, nerveuses, voire pulmonaires. L’indication chirurgicale ne se discute pas devant une fracture ouverte mais un choix doit se faire entre un brochage centromédullaire ou une synthèse interne par plaque-vis. Toutefois, l’utilisation d’un fixateur externe est recommandée par certains auteurs. Dans notre cas, la stabilisation de sa fracture a été réalisée par un fixateur externe dont le caractère modulable, léger et radiotransparent a facilité les suites postopératoires.
Conclusion
Bien que la pose d’un fixateur externe reste exceptionnelle pour le traitement d’une fracture ouverte de clavicule, ce matériel peut, dans certaines conditions, trouver une indication et représenter une alternative aux techniques focales d’ostéosynthèse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17481
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 180-183[article] Fracture ouverte de la clavicule et traitement par fixateur externe : À propos d’un cas et revue de la littérature [texte imprimé] / R. BREDA ; VAN GAVER E. ; RIGAL S. . - 2009 . - p. 180-183.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 180-183
Mots-clés : Clavicule Fixateur externe Chirurgie Résumé : Introduction
Les traitements des fractures de la clavicule relèvent d’une prise en charge orthopédique ou chirurgicale par ostéosynthèse interne. La plupart des fractures ouvertes sont traitées chirurgicalement et la stabilisation par un fixateur externe reste exceptionnelle.
Cas clinique
Il s’agit d’un patient de 23 ans présentant une ouverture cutanée punctiforme secondaire dans le cadre d’une fracture de clavicule. La fracture était restée exposée pendant plus de 24 heures. Après parage de la plaie et une réduction, la stabilisation de la fracture a été réalisée par un fixateur externe Percy Fx®. Le patient a rapidement débuté la rééducation de son membre supérieur. Aucune complication infectieuse n’a été notée. Au troisième mois, le cal était solide permettant l’ablation du montage sous simple sédation.
Discussion
L’ouverture cutanée des fractures de clavicule est rare et représente moins d’un cas sur 1000. Les fractures ouvertes se rencontrent souvent lors de polytraumatismes et se compliquent parfois d’atteintes directes vasculaires, nerveuses, voire pulmonaires. L’indication chirurgicale ne se discute pas devant une fracture ouverte mais un choix doit se faire entre un brochage centromédullaire ou une synthèse interne par plaque-vis. Toutefois, l’utilisation d’un fixateur externe est recommandée par certains auteurs. Dans notre cas, la stabilisation de sa fracture a été réalisée par un fixateur externe dont le caractère modulable, léger et radiotransparent a facilité les suites postopératoires.
Conclusion
Bien que la pose d’un fixateur externe reste exceptionnelle pour le traitement d’une fracture ouverte de clavicule, ce matériel peut, dans certaines conditions, trouver une indication et représenter une alternative aux techniques focales d’ostéosynthèse.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17481 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtIntérêts d’un pédalage unilatéral après une ligamentoplastie du genou chez des footballeurs amateurs / N. Olivier in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Intérêts d’un pédalage unilatéral après une ligamentoplastie du genou chez des footballeurs amateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Olivier ; Thierry WEISSLAND ; S. BERTHOIN ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 133-138 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligamentoplastie Football Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif
Cette étude consiste à mesurer les effets d’un entraînement réalisé à partir d’un pédalage unilatéral sur la jambe saine à la suite d’une ligamentoplastie du genou en supplément d’une rééducation conventionnelle ambulatoire.
Protocole
Vingt-quatre footballeurs (âge=24+3ans) ont été répartis de manière aléatoire en deux groupes de 12. Le groupe témoin a bénéficié d’une rééducation conventionnelle et standardisée pendant cinq semaines sans réentraînement spécifique à l’effort. Le second groupe a bénéficié en supplément de 15 séances d’un entraînement en endurance à partir d’un pédalage unilatéral. Les sujets se sont entraînés pendant une durée de 21minutes, en alternant troisminutes à des fréquences cardiaques (FC) correspondant à 70 % de leur V O2pic et troisminutes à 85 %. L’évaluation initiale (T1 ) du potentiel cardiorespiratoire maximal développé à partir du membre valide a été effectuée le premier jour de la rééducation, soit en moyenne six jours après l’intervention et l’évaluation terminale (T2 ) au bout de 35 jours.
Résultats
Après cinq semaines de rééducation conventionnelle, nous avons enregistré à T2 pour le groupe témoin, une diminution significative (p <0,05) de la puissance maximale aérobie (PMA), du pic de consommation d’oxygène (V O2pic ) et de la ventilation pic (V Epic ) de 11, 12 et 13 %. En revanche, le groupe entraîné a conservé en moyenne des valeurs pics de FC et de V O2 similaires à celles de T1 et augmenté de 14 % la PMA et de 15 % la V Epic . De plus, les premiers et seconds seuils ventilatoires ont été repérés à des intensités d’exercices plus élevées.
Conclusion
Chez de jeunes footballeurs opérés d’une ligamentoplastie du genou, la rééducation conventionnelle ne permet pas de lutter contre le processus de déconditionnement cardiorespiratoire. La pratique d’un pédalage unilatéral semble suffisante pour limiter les effets de l’hypoactivité fonctionnelle sur la composante cardiorespiratoire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17486
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 133-138[article] Intérêts d’un pédalage unilatéral après une ligamentoplastie du genou chez des footballeurs amateurs [texte imprimé] / N. Olivier ; Thierry WEISSLAND ; S. BERTHOIN ; et al. . - 2009 . - p. 133-138.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 133-138
Mots-clés : Ligamentoplastie Football Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif
Cette étude consiste à mesurer les effets d’un entraînement réalisé à partir d’un pédalage unilatéral sur la jambe saine à la suite d’une ligamentoplastie du genou en supplément d’une rééducation conventionnelle ambulatoire.
Protocole
Vingt-quatre footballeurs (âge=24+3ans) ont été répartis de manière aléatoire en deux groupes de 12. Le groupe témoin a bénéficié d’une rééducation conventionnelle et standardisée pendant cinq semaines sans réentraînement spécifique à l’effort. Le second groupe a bénéficié en supplément de 15 séances d’un entraînement en endurance à partir d’un pédalage unilatéral. Les sujets se sont entraînés pendant une durée de 21minutes, en alternant troisminutes à des fréquences cardiaques (FC) correspondant à 70 % de leur V O2pic et troisminutes à 85 %. L’évaluation initiale (T1 ) du potentiel cardiorespiratoire maximal développé à partir du membre valide a été effectuée le premier jour de la rééducation, soit en moyenne six jours après l’intervention et l’évaluation terminale (T2 ) au bout de 35 jours.
Résultats
Après cinq semaines de rééducation conventionnelle, nous avons enregistré à T2 pour le groupe témoin, une diminution significative (p <0,05) de la puissance maximale aérobie (PMA), du pic de consommation d’oxygène (V O2pic ) et de la ventilation pic (V Epic ) de 11, 12 et 13 %. En revanche, le groupe entraîné a conservé en moyenne des valeurs pics de FC et de V O2 similaires à celles de T1 et augmenté de 14 % la PMA et de 15 % la V Epic . De plus, les premiers et seconds seuils ventilatoires ont été repérés à des intensités d’exercices plus élevées.
Conclusion
Chez de jeunes footballeurs opérés d’une ligamentoplastie du genou, la rééducation conventionnelle ne permet pas de lutter contre le processus de déconditionnement cardiorespiratoire. La pratique d’un pédalage unilatéral semble suffisante pour limiter les effets de l’hypoactivité fonctionnelle sur la composante cardiorespiratoire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17486 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtNouvelle classification des lésions cervicales pour l’aptitude au rugby professionnel / P. Bernard in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Nouvelle classification des lésions cervicales pour l’aptitude au rugby professionnel Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Bernard ; SENEGAS J ; J.-C. PEYRIN ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 148-154 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rachis Rachis cervical Rugby Pathologie Résumé : Le rugby est un sport de contact parfois violent qui expose à un risque médullaire par traumatisme mais aussi par lésions dégénératives précoces. La prévalence de ces pathologies cervicales a augmenté avec le professionnalisme. Elles surviennent souvent sur des canaux cervicaux étroits développementaux, ce qui majore le risque de complication neurologique grave. Une première classification des critères d’aptitude à la pratique du rugby professionnel avait été adoptée par la Ligue Nationale de Rugby peu après l’avènement du professionnalisme. Les bilans d’imagerie devenus obligatoires ont permis de dépister de très nombreux canaux cervicaux rétrécis chez des joueurs asymptomatiques. L’indice de Torg, utilisé initialement, s’avère imparfait. Ces éléments ont rendu nécessaire l’adaptation de cette classification. Le nouvel outil décisionnel permet une évaluation précise du risque médullaire à l’aide des données de l’examen clinique et de l’IRM, voire, si nécessaire, des radiographies cervicales. La nouvelle classification est présentée avec ses quatre groupes de risque et d’aptitude (groupe 0 [G0] : aucune pathologie cervicale ; groupe 1 [G1] : pathologie n’entraînant pas de contre-indication à la pratique du rugby en compétition ; groupe 2 [G2] : contre-indication relative [sur risque connu, à faire accepter par le joueur] ; groupe 3 [G3] : contre-indication absolue). Elle est discutée. Le risque structurel lié à la pratique du rugby persistant néanmoins, il reste indispensable de responsabiliser le joueur en l’impliquant dans le processus décisionnel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17499
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 148-154[article] Nouvelle classification des lésions cervicales pour l’aptitude au rugby professionnel [texte imprimé] / P. Bernard ; SENEGAS J ; J.-C. PEYRIN ; et al. . - 2009 . - p. 148-154.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 148-154
Mots-clés : Rachis Rachis cervical Rugby Pathologie Résumé : Le rugby est un sport de contact parfois violent qui expose à un risque médullaire par traumatisme mais aussi par lésions dégénératives précoces. La prévalence de ces pathologies cervicales a augmenté avec le professionnalisme. Elles surviennent souvent sur des canaux cervicaux étroits développementaux, ce qui majore le risque de complication neurologique grave. Une première classification des critères d’aptitude à la pratique du rugby professionnel avait été adoptée par la Ligue Nationale de Rugby peu après l’avènement du professionnalisme. Les bilans d’imagerie devenus obligatoires ont permis de dépister de très nombreux canaux cervicaux rétrécis chez des joueurs asymptomatiques. L’indice de Torg, utilisé initialement, s’avère imparfait. Ces éléments ont rendu nécessaire l’adaptation de cette classification. Le nouvel outil décisionnel permet une évaluation précise du risque médullaire à l’aide des données de l’examen clinique et de l’IRM, voire, si nécessaire, des radiographies cervicales. La nouvelle classification est présentée avec ses quatre groupes de risque et d’aptitude (groupe 0 [G0] : aucune pathologie cervicale ; groupe 1 [G1] : pathologie n’entraînant pas de contre-indication à la pratique du rugby en compétition ; groupe 2 [G2] : contre-indication relative [sur risque connu, à faire accepter par le joueur] ; groupe 3 [G3] : contre-indication absolue). Elle est discutée. Le risque structurel lié à la pratique du rugby persistant néanmoins, il reste indispensable de responsabiliser le joueur en l’impliquant dans le processus décisionnel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17499 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtOstéomyélite du pubis chez un athlète / M. BOUABDELLAH in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Ostéomyélite du pubis chez un athlète : à propos d’un cas et revue de la littérature Titre original : M. Bouabdellah, R. Bouzidi, C.H. Hadjyahia, M.B. Karray, M. Kooli, M. Zlitni Type de document : texte imprimé Auteurs : M. BOUABDELLAH ; R. Bouzidi ; C.H. HADJYAHIA ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 187-190 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéite Pubis Résumé : L’ostéomyélite du pubis a rarement été décrite. Nous rapportons une observation d’ostéomyélite pubienne à staphylococcus aureus au stade d’abcès sous-periosté survenue chez un gardien de football âgé de 17 ans. Il s’est présenté avec un tableau de douleur fébrile de l’aine gauche avec une impotence fonctionnelle et une sensibilité de la symphyse pubienne. Le diagnostic a été fait par les hémocultures, la biologie, l’échographie et l’IRM réalisées en urgence. Le traitement a été résolument chirurgical associé à une antibiothérapie adaptée au germe. La pathogénie de cette entité fait probablement intervenir la localisation secondaire d’une bactériémie sur un os remanié par des microtraumatismes. Le traitement repose sur une antibiothérapie prolongée. Un drainage chirurgical s’impose en cas d’infection rebelle au traitement médical ou en cas d’abcès. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17501
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 187-190[article] Ostéomyélite du pubis chez un athlète = M. Bouabdellah, R. Bouzidi, C.H. Hadjyahia, M.B. Karray, M. Kooli, M. Zlitni : à propos d’un cas et revue de la littérature [texte imprimé] / M. BOUABDELLAH ; R. Bouzidi ; C.H. HADJYAHIA ; et al. . - 2009 . - p. 187-190.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 187-190
Mots-clés : Ostéite Pubis Résumé : L’ostéomyélite du pubis a rarement été décrite. Nous rapportons une observation d’ostéomyélite pubienne à staphylococcus aureus au stade d’abcès sous-periosté survenue chez un gardien de football âgé de 17 ans. Il s’est présenté avec un tableau de douleur fébrile de l’aine gauche avec une impotence fonctionnelle et une sensibilité de la symphyse pubienne. Le diagnostic a été fait par les hémocultures, la biologie, l’échographie et l’IRM réalisées en urgence. Le traitement a été résolument chirurgical associé à une antibiothérapie adaptée au germe. La pathogénie de cette entité fait probablement intervenir la localisation secondaire d’une bactériémie sur un os remanié par des microtraumatismes. Le traitement repose sur une antibiothérapie prolongée. Un drainage chirurgical s’impose en cas d’infection rebelle au traitement médical ou en cas d’abcès. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17501 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRupture du LCA / B. PAIROT DE LA FONTENAY in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Rupture du LCA : cas de l’athlète féminine Type de document : texte imprimé Auteurs : B. PAIROT DE LA FONTENAY Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 155-162 Langues : Français (fre) Mots-clés : Femme Ligament croisé antérieur Techniques d'exercices physiques Résumé : Les athlètes féminines ont deux à trois fois plus de risques de rupture du ligament croisé antérieur (LCA) que les hommes. Des facteurs hormonaux, anatomiques et neuromusculaires ont été mis en évidence pour expliquer cette prédisposition féminine. Des programmes de prévention, ayant pour objectif d’éviter le valgus « dynamique », ont permis de réduire le risque de rupture du LCA. Ces programmes, par un entraînement neuromusculaire, améliorent le contrôle dynamique du genou chez la femme et diminuent les contraintes sur le LCA. Cette revue de littérature a pour objectif de faire un état des lieux des connaissances actuelles sur ce sujet en analysant ces prédispositions et plus particulièrement l’influence des facteurs neuromusculaires. Le but est également de faire un bilan comparatif des différents programmes de prévention afin de mettre en évidence les éléments essentiels pour une intervention efficace du masseur-kinésithérapeute. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17508
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 155-162[article] Rupture du LCA : cas de l’athlète féminine [texte imprimé] / B. PAIROT DE LA FONTENAY . - 2009 . - p. 155-162.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 155-162
Mots-clés : Femme Ligament croisé antérieur Techniques d'exercices physiques Résumé : Les athlètes féminines ont deux à trois fois plus de risques de rupture du ligament croisé antérieur (LCA) que les hommes. Des facteurs hormonaux, anatomiques et neuromusculaires ont été mis en évidence pour expliquer cette prédisposition féminine. Des programmes de prévention, ayant pour objectif d’éviter le valgus « dynamique », ont permis de réduire le risque de rupture du LCA. Ces programmes, par un entraînement neuromusculaire, améliorent le contrôle dynamique du genou chez la femme et diminuent les contraintes sur le LCA. Cette revue de littérature a pour objectif de faire un état des lieux des connaissances actuelles sur ce sujet en analysant ces prédispositions et plus particulièrement l’influence des facteurs neuromusculaires. Le but est également de faire un bilan comparatif des différents programmes de prévention afin de mettre en évidence les éléments essentiels pour une intervention efficace du masseur-kinésithérapeute. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17508 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSyndrome de Tietze après traitement par biphosphonate / C. DERKENNE in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Syndrome de Tietze après traitement par biphosphonate Titre original : À propos d’un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : C. DERKENNE ; O. JACQUIN ; R. GOLDET Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 184-186 Langues : Français (fre) Mots-clés : Algoneurodystrophie Résumé : Nous présentons un cas de syndrome de Tietze survenu 48heures après une perfusion de pamidronate (Aredia®), dans le cadre du traitement d’une algodystrophie de genou. Il s’agit d’une complication qui n’a jamais été répertoriée à ce jour. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17511
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 184-186[article] Syndrome de Tietze après traitement par biphosphonate = À propos d’un cas [texte imprimé] / C. DERKENNE ; O. JACQUIN ; R. GOLDET . - 2009 . - p. 184-186.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 184-186
Mots-clés : Algoneurodystrophie Résumé : Nous présentons un cas de syndrome de Tietze survenu 48heures après une perfusion de pamidronate (Aredia®), dans le cadre du traitement d’une algodystrophie de genou. Il s’agit d’une complication qui n’a jamais été répertoriée à ce jour. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17511 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTraumatologie cervicofaciale en pratique sportive / D. HERMAN in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/3 (septembre 2009)
[article]
Titre : Traumatologie cervicofaciale en pratique sportive : prises en charge diagnostique et thérapeutique Type de document : texte imprimé Auteurs : D. HERMAN Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 191-202 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rachis cervical Visage Cou Note de contenu : Sommaire :
Introduction
Les trois priorités
La respiration, La conscience, Le saignement
Les lésions de voisinage/les diagnostics d’élimination
Le rachis cervical, Le globe oculaire
Les plaies de la face et du cou
L’atteinte d’un orifice de la face, L’atteinte d’un organe noble sous-jacent, L’exposition d’une structure cartilagineuse sous-jacente, La fracture sous-jacente, Les plaies contuses et complexes, La plaie cervicale, Les amputations et les morsures
Les traumatismes de la face région par région
La région frontale, La pommette, L’orbite, La région préauriculaire, L’oreille, La pyramide nasale, La joue
La mâchoire et le menton, Le cou
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17515
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 191-202[article] Traumatologie cervicofaciale en pratique sportive : prises en charge diagnostique et thérapeutique [texte imprimé] / D. HERMAN . - 2009 . - p. 191-202.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/3 (septembre 2009) . - p. 191-202
Mots-clés : Rachis cervical Visage Cou Note de contenu : Sommaire :
Introduction
Les trois priorités
La respiration, La conscience, Le saignement
Les lésions de voisinage/les diagnostics d’élimination
Le rachis cervical, Le globe oculaire
Les plaies de la face et du cou
L’atteinte d’un orifice de la face, L’atteinte d’un organe noble sous-jacent, L’exposition d’une structure cartilagineuse sous-jacente, La fracture sous-jacente, Les plaies contuses et complexes, La plaie cervicale, Les amputations et les morsures
Les traumatismes de la face région par région
La région frontale, La pommette, L’orbite, La région préauriculaire, L’oreille, La pyramide nasale, La joue
La mâchoire et le menton, Le cou
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17515 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt