"C'est le juge qui m'oblige à venir" / Jean-Luc Royer-Mény in Santé mentale, 226 (Mars 2018)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 226 (Mars 2018) . - p. 14-19 Titre : "C'est le juge qui m'oblige à venir" Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Royer-Mény, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 14-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Attention  Communication  Pratique professionnelle  Relation interpersonnelle  Relation soignant-soigné  Soins infirmiers en psychiatrie Résumé : Comment entrer en relation avec une personne soumise à une obligation de soin ? À partir d’outils empruntés à la communication hypnotique, une clinique infirmière du lien peut se déployer. L’objectif est l’apprentissage, parfois la rééducation, d’une autonomie relationnelle sécure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56731 [article] "C'est le juge qui m'oblige à venir" [texte imprimé] / Jean-Luc Royer-Mény, Auteur . - 2018 . - p. 14-19. Langues : Français (fre) in Santé mentale > 226 (Mars 2018) . - p. 14-19 Mots-clés : Attention  Communication  Pratique professionnelle  Relation interpersonnelle  Relation soignant-soigné  Soins infirmiers en psychiatrie Résumé : Comment entrer en relation avec une personne soumise à une obligation de soin ? À partir d’outils empruntés à la communication hypnotique, une clinique infirmière du lien peut se déployer. L’objectif est l’apprentissage, parfois la rééducation, d’une autonomie relationnelle sécure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56731

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Hypnose, thérapies brèves et position d’accueil / Jean-Luc Royer-Mény in Santé mentale, 264 (janvier 2022)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 264 (janvier 2022) Titre : Hypnose, thérapies brèves et position d’accueil Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Royer-Mény Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Psychiatrie  Accueil  Hypnose  Thérapies complémentaires  Addiction  Troubles du comportement social  Psychiatrie légale  Responsabilité sociale  traitement involontaire Résumé : Avec des personnes en obligation de soins, déployer une posture d’accueil issue de l’hypnose et des thérapies brèves permet de se décentrer. Illustration avec Antoine qui, après avoir minimisé ses actes délictueux pendant des mois, parvient à se mettre en mouvement. Infirmier au sein de l’Antenne psychiatrie justice, je reçois des Personnes placées sous main de justice (PPSMJ) avec une obligation de soins (voir encadré p.?68). Dans ce dispositif unique en France, un Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) accueille dans ses murs une équipe composée de 2 infirmiers et un psychologue (sous la responsabilité d’un cadre de santé et d’un médecin psychiatre), employée par le Centre psychothérapique de Nancy. La priorité de ce service est de favoriser l’accès des PPSMJ aux dispositifs de soins de droit commun. Elles sont poursuivies pour des délits, généralement en lien avec un comportement pathologique (alcoolodépendance, toxicomanie, troubles du comportement…), et mon rôle consiste à évaluer dans quelle mesure l’obligation de soin peut être mise en œuvre et s’articuler avec des services de santé appropriés. L’enjeu est de favoriser la réinsertion sociale et de contribuer ainsi à la diminution voire l’arrêt des actes délictueux. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Quel accueil pour quels soins ?" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100608 [article] Hypnose, thérapies brèves et position d’accueil [texte imprimé] / Jean-Luc Royer-Mény . - 2022. Langues : Français (fre) in Santé mentale > 264 (janvier 2022) Mots-clés : Psychiatrie  Accueil  Hypnose  Thérapies complémentaires  Addiction  Troubles du comportement social  Psychiatrie légale  Responsabilité sociale  traitement involontaire Résumé : Avec des personnes en obligation de soins, déployer une posture d’accueil issue de l’hypnose et des thérapies brèves permet de se décentrer. Illustration avec Antoine qui, après avoir minimisé ses actes délictueux pendant des mois, parvient à se mettre en mouvement. Infirmier au sein de l’Antenne psychiatrie justice, je reçois des Personnes placées sous main de justice (PPSMJ) avec une obligation de soins (voir encadré p.?68). Dans ce dispositif unique en France, un Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) accueille dans ses murs une équipe composée de 2 infirmiers et un psychologue (sous la responsabilité d’un cadre de santé et d’un médecin psychiatre), employée par le Centre psychothérapique de Nancy. La priorité de ce service est de favoriser l’accès des PPSMJ aux dispositifs de soins de droit commun. Elles sont poursuivies pour des délits, généralement en lien avec un comportement pathologique (alcoolodépendance, toxicomanie, troubles du comportement…), et mon rôle consiste à évaluer dans quelle mesure l’obligation de soin peut être mise en œuvre et s’articuler avec des services de santé appropriés. L’enjeu est de favoriser la réinsertion sociale et de contribuer ainsi à la diminution voire l’arrêt des actes délictueux. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Quel accueil pour quels soins ?" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100608

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