Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h30-16h30
Attention! Ce mardi 17 décembre, le centre de documentation ouvrira ses portes à 9h.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h30-16h30
Attention! Ce mardi 17 décembre, le centre de documentation ouvrira ses portes à 9h.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 45, n°4Paru le : 01/04/2002 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierEfficacité à six mois de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité musculaire du membre inférieur après accident vasculaire cérébral / Alain P. Yelnik in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°4 (avril 2002)
[article]
Titre : Efficacité à six mois de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité musculaire du membre inférieur après accident vasculaire cérébral Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain P. Yelnik ; F. COLLE ; N. BRADAI ; Isabelle V. Bonan Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 159-165 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accident cérébrovasculaire Muscle strié [pathologie] Hémiplégie Botulisme Membre inférieur Résumé : OBJECTIF : Après accident vasculaire cérébral, le patient hémiplégique est souvent gêné par une hyperactivité musculaire du membre inférieur. La toxine botulique est un traitement efficace de cette hyperactivité musculaire. Ce travail a été conduit afin d'en évaluer la durée telle que ressentie par le patient. MATÉRIEL ET MÉTHODE : L'étude a porté sur une cohorte de patients victimes d'accident vasculaire cérébral unique, gênés par une hyperactivité musculaire distale du membre inférieur. L'injection intramusculaire de toxine botulique (Botox Allergan) était réalisée sous repérage par électrostimulation. L'efficacité était mesurée par le patient, à un, trois et six mois, sur une échelle en trois points (aucune, réelle mais insuffisante, très bonne) sur la base d'objectifs individualisés, précisant pour chaque symptôme le mode de déclenchement et la gêne que l'on souhaite atténuer. RÉSULTAT : Cinquante-sept séances ont été pratiquées chez 36 patients. A un mois, 81 % des séances avaient un résultat positif, 39 % des résultats très satisfaisants. A six-mois, 57 % des séances maintenaient un résultat positif dont 25 % de résultats très satisfaisants. Les meilleurs résultats portaient sur l'extension du gros orteil : 94 % d'efficacité à un mois, 47 % de résultats très satisfaisants persistant à six mois. CONCLUSION : Lorsque le traitement par toxine botulique est apprécié par le patient après définition d'objectifs personnalisés, le résultat favorable obtenu peut persister largement au-delà de six mois. Les résultats doivent être relativisés par l'aspect partiellement subjectif de l'analyse proposée ici, mais celle-ci constitue le plus souvent en pratique la seule base possible des discussions thérapeutiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13105
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 159-165[article] Efficacité à six mois de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité musculaire du membre inférieur après accident vasculaire cérébral [texte imprimé] / Alain P. Yelnik ; F. COLLE ; N. BRADAI ; Isabelle V. Bonan . - 2002 . - p. 159-165.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 159-165
Mots-clés : Accident cérébrovasculaire Muscle strié [pathologie] Hémiplégie Botulisme Membre inférieur Résumé : OBJECTIF : Après accident vasculaire cérébral, le patient hémiplégique est souvent gêné par une hyperactivité musculaire du membre inférieur. La toxine botulique est un traitement efficace de cette hyperactivité musculaire. Ce travail a été conduit afin d'en évaluer la durée telle que ressentie par le patient. MATÉRIEL ET MÉTHODE : L'étude a porté sur une cohorte de patients victimes d'accident vasculaire cérébral unique, gênés par une hyperactivité musculaire distale du membre inférieur. L'injection intramusculaire de toxine botulique (Botox Allergan) était réalisée sous repérage par électrostimulation. L'efficacité était mesurée par le patient, à un, trois et six mois, sur une échelle en trois points (aucune, réelle mais insuffisante, très bonne) sur la base d'objectifs individualisés, précisant pour chaque symptôme le mode de déclenchement et la gêne que l'on souhaite atténuer. RÉSULTAT : Cinquante-sept séances ont été pratiquées chez 36 patients. A un mois, 81 % des séances avaient un résultat positif, 39 % des résultats très satisfaisants. A six-mois, 57 % des séances maintenaient un résultat positif dont 25 % de résultats très satisfaisants. Les meilleurs résultats portaient sur l'extension du gros orteil : 94 % d'efficacité à un mois, 47 % de résultats très satisfaisants persistant à six mois. CONCLUSION : Lorsque le traitement par toxine botulique est apprécié par le patient après définition d'objectifs personnalisés, le résultat favorable obtenu peut persister largement au-delà de six mois. Les résultats doivent être relativisés par l'aspect partiellement subjectif de l'analyse proposée ici, mais celle-ci constitue le plus souvent en pratique la seule base possible des discussions thérapeutiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13105 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPlace d'un échographe vésical portable dans la prise en charge des troubles de la vidange vésicale après accident vasculaire cérébral / GRANIER P. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°4 (avril 2002)
[article]
Titre : Place d'un échographe vésical portable dans la prise en charge des troubles de la vidange vésicale après accident vasculaire cérébral Type de document : texte imprimé Auteurs : GRANIER P. ; AUDRY P. ; COSTE B. ; FLEYS E. ; SZCZOT A. ; TRIVES M. Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 166-172 Mots-clés : Hémiplégie Echographie Vessie Accident cérébrovasculaire Résumé : OBJECTIF : Déterminer la place d'un échographe vésical portable dans la prise en charge rééducative des troubles de la vidange vésicale à type de rétention urinaire des patients hémiplégiques vasculaires en phase initiale et proposer un protocole de surveillance adapté. MATÉRIEL ET MÉTHODE : Nous avons réalisé le suivi prospectif de 33 patients admis après accident vasculaire cérébral dans notre unité de réadaptation neurologique. Un protocole de surveillance mictionnelle définit les conditions de réalisation des sondages évacuateurs. La mesure du volume vésical est réalisée avec un échographe portable de la marque Diagnostic Ultrasound (Bladderscan BVI 3000). RÉSULTATS : Sur les 33 patients étudiés, dix présentaient initialement une vessie rétentionniste, ayant nécessité un ou plusieurs hétérosondages évacuateurs. L'évolution de ces troubles a été favorable pour sept d'entre eux. L'échographe vésical portable permet d'effectuer une surveillance rapprochée du contenu vésical, en particulier chez les sujets à risque : porteurs de troubles cognitifs ou d'antécédents urologiques, diabétiques. Une adaptation du protocole initial permet de mieux identifier les patients réellement rétentionnistes. Les résultats sont discutés en fonction des données de la littérature. CONCLUSION : L'échographe vésical portable est un outil simple et non invasif, utile pour le dépistage et le suivi des troubles rétentionnels urinaires après accident vasculaire cérébral. Nous proposons un protocole de surveillance et de rééducation vésicale dont le but est de limiter la durée du port de la sonde à demeure chez l'hémiplégique, et donc de diminuer le risque infectieux.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13374
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 166-172[article] Place d'un échographe vésical portable dans la prise en charge des troubles de la vidange vésicale après accident vasculaire cérébral [texte imprimé] / GRANIER P. ; AUDRY P. ; COSTE B. ; FLEYS E. ; SZCZOT A. ; TRIVES M. . - 2002 . - p. 166-172.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 166-172
Mots-clés : Hémiplégie Echographie Vessie Accident cérébrovasculaire Résumé : OBJECTIF : Déterminer la place d'un échographe vésical portable dans la prise en charge rééducative des troubles de la vidange vésicale à type de rétention urinaire des patients hémiplégiques vasculaires en phase initiale et proposer un protocole de surveillance adapté. MATÉRIEL ET MÉTHODE : Nous avons réalisé le suivi prospectif de 33 patients admis après accident vasculaire cérébral dans notre unité de réadaptation neurologique. Un protocole de surveillance mictionnelle définit les conditions de réalisation des sondages évacuateurs. La mesure du volume vésical est réalisée avec un échographe portable de la marque Diagnostic Ultrasound (Bladderscan BVI 3000). RÉSULTATS : Sur les 33 patients étudiés, dix présentaient initialement une vessie rétentionniste, ayant nécessité un ou plusieurs hétérosondages évacuateurs. L'évolution de ces troubles a été favorable pour sept d'entre eux. L'échographe vésical portable permet d'effectuer une surveillance rapprochée du contenu vésical, en particulier chez les sujets à risque : porteurs de troubles cognitifs ou d'antécédents urologiques, diabétiques. Une adaptation du protocole initial permet de mieux identifier les patients réellement rétentionnistes. Les résultats sont discutés en fonction des données de la littérature. CONCLUSION : L'échographe vésical portable est un outil simple et non invasif, utile pour le dépistage et le suivi des troubles rétentionnels urinaires après accident vasculaire cérébral. Nous proposons un protocole de surveillance et de rééducation vésicale dont le but est de limiter la durée du port de la sonde à demeure chez l'hémiplégique, et donc de diminuer le risque infectieux.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13374 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtProthèse de genou : reproductibilité de la vitesse de marche / M. Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°4 (avril 2002)
[article]
Titre : Prothèse de genou : reproductibilité de la vitesse de marche Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dauty ; Y. ALLARD ; CORNU L. ; DUBO C. ; GRANDET M. J. Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 147-153 Langues : Français (fre) Mots-clés : Locomotion démarche Résumé : OBJECTIF : Évaluer la reproductibilité inter-session (test-retest) et inter-observateurs de la mesure de la vitesse maximale de marche de patients récemment opérés d'une prothèse de genou. MÉTHODE : Évaluation de la vitesse maximale de marche de 20 patients [72 + 6,5 ans] sur une piste de dix mètres par deux observateurs utilisant un chronomètre manuel et par un chronomètre automatique à cellules photoélectriques. La vitesse maximale de marche a été mesurée à partir de trois essais pour deux conditions différentes, avec et sans cannes anglaises, à un jour d'intervalle à la troisième et quatrième semaine postopératoire. RÉSULTATS : La reproductibilité inter-session à un jour d'intervalle est de 0,91 [coefficient de corrélation intra-classe] avec cannes et de 0,90 sans cannes à la troisième semaine postopératoire, et de 0,96 et 0,94 à la quatrième semaine postopératoire avec et sans cannes respectivement. La reproductibilité inter-observateurs s'étend de 0,90 à 0,99. CONCLUSION : Lorsque le protocole est standardisé, la reproductibilité des mesures de la vitesse maximale de marche est excellente. Ce test mesure facilement et objectivement la vitesse maximale de marche d'un patient récemment opéré d'une prothèse de genou.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13397
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 147-153[article] Prothèse de genou : reproductibilité de la vitesse de marche [texte imprimé] / M. Dauty ; Y. ALLARD ; CORNU L. ; DUBO C. ; GRANDET M. J. . - 2002 . - p. 147-153.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 147-153
Mots-clés : Locomotion démarche Résumé : OBJECTIF : Évaluer la reproductibilité inter-session (test-retest) et inter-observateurs de la mesure de la vitesse maximale de marche de patients récemment opérés d'une prothèse de genou. MÉTHODE : Évaluation de la vitesse maximale de marche de 20 patients [72 + 6,5 ans] sur une piste de dix mètres par deux observateurs utilisant un chronomètre manuel et par un chronomètre automatique à cellules photoélectriques. La vitesse maximale de marche a été mesurée à partir de trois essais pour deux conditions différentes, avec et sans cannes anglaises, à un jour d'intervalle à la troisième et quatrième semaine postopératoire. RÉSULTATS : La reproductibilité inter-session à un jour d'intervalle est de 0,91 [coefficient de corrélation intra-classe] avec cannes et de 0,90 sans cannes à la troisième semaine postopératoire, et de 0,96 et 0,94 à la quatrième semaine postopératoire avec et sans cannes respectivement. La reproductibilité inter-observateurs s'étend de 0,90 à 0,99. CONCLUSION : Lorsque le protocole est standardisé, la reproductibilité des mesures de la vitesse maximale de marche est excellente. Ce test mesure facilement et objectivement la vitesse maximale de marche d'un patient récemment opéré d'une prothèse de genou.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13397 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtQualité de vie d'une population de 54 enfants infirmes moteurs cérébraux marchants. Étude transversale / HODGKINSON I. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°4 (avril 2002)
[article]
Titre : Qualité de vie d'une population de 54 enfants infirmes moteurs cérébraux marchants. Étude transversale Type de document : texte imprimé Auteurs : HODGKINSON I. ; BERARD L. ; D'ANJOU M. C. ; DAZORD A. Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 154-158 Mots-clés : Enfant Locomotion Vie quotidienne Résumé : INTRODUCTION : Par une étude descriptive, nous voulons mieux connaître l'impact du handicap sur la qualité de vie subjective de l'enfant handicapé moteur vivant en milieu familial. MÉTHODE : La population était celle des enfants infirmes moteurs cérébraux diplégiques marchants, de quatre à douze ans. La qualité de vie de l'enfant a été évaluée par le questionnaire Auquei. Un questionnaire a été remis aux parents pour relever différentes variables susceptibles d'influencer la qualité de vie de l'enfant. RÉSULTATS : La moyenne d'âge était de neuf ans. Les liens entre les différentes variables étudiées et la qualité de vie étaient retrouvés pour les capacités motrices, la taille de la fratrie et le nombre d'heures hebdomadaires de rééducation consacré par la famille. Sur l'échelle visuelle analogique, les parents avaient évalué leur qualité de vie à 72,2. Il n'y avait pas de corrélation entre la qualité de vie des parents et celle des enfants. DISCUSSION-CONCLUSION : Plus les capacités motrices de l'enfant étaient bonnes moins l'enfant était satisfait. Ce résultat souligne l'importance de ne pas assimiler qualité de vie et état de santé, déficience ou incapacité motrice de l'enfant. Plus la fratrie était nombreuse moins l'enfant était satisfait en milieu familial, plus il était satisfait à l'école. L'enfant handicapé a peut-être une place plus difficile dans le groupe familial proche de lui affectivement que dans le groupe scolaire plus neutre. Plus le temps de rééducation hebdomadaire passé par les parents était long, moins l'enfant était satisfait. La qualité de vie de l'enfant semble influencée négativement par des exigences rééducatives ne correspondant pas à la réalité des capacités de l'enfant mais correspondant plus au désir des parents de gommer la différence.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13403
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 154-158[article] Qualité de vie d'une population de 54 enfants infirmes moteurs cérébraux marchants. Étude transversale [texte imprimé] / HODGKINSON I. ; BERARD L. ; D'ANJOU M. C. ; DAZORD A. . - 2002 . - p. 154-158.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°4 (avril 2002) . - p. 154-158
Mots-clés : Enfant Locomotion Vie quotidienne Résumé : INTRODUCTION : Par une étude descriptive, nous voulons mieux connaître l'impact du handicap sur la qualité de vie subjective de l'enfant handicapé moteur vivant en milieu familial. MÉTHODE : La population était celle des enfants infirmes moteurs cérébraux diplégiques marchants, de quatre à douze ans. La qualité de vie de l'enfant a été évaluée par le questionnaire Auquei. Un questionnaire a été remis aux parents pour relever différentes variables susceptibles d'influencer la qualité de vie de l'enfant. RÉSULTATS : La moyenne d'âge était de neuf ans. Les liens entre les différentes variables étudiées et la qualité de vie étaient retrouvés pour les capacités motrices, la taille de la fratrie et le nombre d'heures hebdomadaires de rééducation consacré par la famille. Sur l'échelle visuelle analogique, les parents avaient évalué leur qualité de vie à 72,2. Il n'y avait pas de corrélation entre la qualité de vie des parents et celle des enfants. DISCUSSION-CONCLUSION : Plus les capacités motrices de l'enfant étaient bonnes moins l'enfant était satisfait. Ce résultat souligne l'importance de ne pas assimiler qualité de vie et état de santé, déficience ou incapacité motrice de l'enfant. Plus la fratrie était nombreuse moins l'enfant était satisfait en milieu familial, plus il était satisfait à l'école. L'enfant handicapé a peut-être une place plus difficile dans le groupe familial proche de lui affectivement que dans le groupe scolaire plus neutre. Plus le temps de rééducation hebdomadaire passé par les parents était long, moins l'enfant était satisfait. La qualité de vie de l'enfant semble influencée négativement par des exigences rééducatives ne correspondant pas à la réalité des capacités de l'enfant mais correspondant plus au désir des parents de gommer la différence.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13403 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt