Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 44, n°1Paru le : 01/02/2001 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierClassification et mécanismes des perceptions et illusions corporelles des amputés / ANDRE J.M. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Classification et mécanismes des perceptions et illusions corporelles des amputés Type de document : texte imprimé Auteurs : ANDRE J.M. ; J.M. Beis ; MARTINET N. ; Jean Paysant Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 13-18 Mots-clés : Schéma corporel Corps Membre fantôme Résumé : Introduction : Les perceptions par les amputés de leur corps ont fait l'objet de multiples descriptions souvent désordonnées. L'objectif est d'établir une classification synthétique. Méthode : Revue à partir d'études prospectives de 75 amputés recrutés de façon consécutive. Analyse à partir de déclarations libres puis semi-directives. Résultats : Selon la perception ou non du membre amputé, selon l'acuité, la forme, la posture, le mouvement, le caractère réminiscent du membre amputé perçu, il est possible de distinguer des membres fantômes normaux, déformés ou commémoratifs (de rappel), des illusions de normalité corporelle, des perceptions de l'état réel. Discussion : Quel que soit le modèle (neuromatrice) sur lequel repose la construction de l'image corporelle, les représentations correspondant aux perceptions identifiées utilisent différents référentiels (innés, identitaires, autobiographiques) ainsi que les informations instantanées, d'origine périphérique, traitées par des structures cérébrales réorganisées. À chaque type de perception correspond une modalité de représentation particulière. Conclusion : Cette approche, compatible avec les données de la littérature, permet de mieux comprendre les différences entre améliques et amputés tardifs ainsi que les comportements à l'égard de l'appareillage prothétique.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 13-18[article] Classification et mécanismes des perceptions et illusions corporelles des amputés [texte imprimé] / ANDRE J.M. ; J.M. Beis ; MARTINET N. ; Jean Paysant . - 2001 . - p. 13-18.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 13-18
Mots-clés : Schéma corporel Corps Membre fantôme Résumé : Introduction : Les perceptions par les amputés de leur corps ont fait l'objet de multiples descriptions souvent désordonnées. L'objectif est d'établir une classification synthétique. Méthode : Revue à partir d'études prospectives de 75 amputés recrutés de façon consécutive. Analyse à partir de déclarations libres puis semi-directives. Résultats : Selon la perception ou non du membre amputé, selon l'acuité, la forme, la posture, le mouvement, le caractère réminiscent du membre amputé perçu, il est possible de distinguer des membres fantômes normaux, déformés ou commémoratifs (de rappel), des illusions de normalité corporelle, des perceptions de l'état réel. Discussion : Quel que soit le modèle (neuromatrice) sur lequel repose la construction de l'image corporelle, les représentations correspondant aux perceptions identifiées utilisent différents référentiels (innés, identitaires, autobiographiques) ainsi que les informations instantanées, d'origine périphérique, traitées par des structures cérébrales réorganisées. À chaque type de perception correspond une modalité de représentation particulière. Conclusion : Cette approche, compatible avec les données de la littérature, permet de mieux comprendre les différences entre améliques et amputés tardifs ainsi que les comportements à l'égard de l'appareillage prothétique.
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Exclu du prêtDéficits endocriniens post-traumatiques : analyse d'une série de 93 traumatismes craniens graves / I. Richard in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Déficits endocriniens post-traumatiques : analyse d'une série de 93 traumatismes craniens graves Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Richard ; LEMENE B. ; LOUIS F. ; Jean-François Mathé ; Brigitte Perrouin-Verbe ; ROME J. Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 19-25 Mots-clés : Hormone Traumatisme crânien Résumé : Objectifs : Mesurer dans une population de traumatisés crâniens graves l'incidence des déficits endocriniens, notamment chez les hommes l'incidence des hypotestostéronémies. Matériels et méthodes : Analyse rétrospective d'une série consécutive de 115 dossiers de traumatisés crâniens graves hospitalisés dans une unité de rééducation. Le bilan endocrinien est réalisé en routine lors de l'admission et comprend les dosages radio-immunologiques de T3, T4, TSH, testostérone ou oestradiol et progestérone, FSH, LH, cortisol. Vingt-deux dossiers sont incomplets et ont été exclus. L'analyse porte donc sur 93 dossiers (78 hommes). Résultats : Cette série retrouve un déficit thyroïdien partiel d'origine hypophysaire (T3 et T4 basses, TSH à la limite inférieure de la normale et s'élevant peu après test au TRH), et un diabète insipide. Il n'est retrouvé aucun panhypopituitarisme. L'incidence des hypogonadismes est de 28 %. Tous sont d'origine haute (testostérone basse, LH normale ou basse). Dans un cas l'origine hypothalamique est prouvée par une réponse explosive au test au GnRH, Aucune corrélation n'est retrouvée avec le score de Glasgow ou l'existence d'une fracture de la base. Discussion-Conclusion : Ces résultats prouvent que les déficits endocriniens post-traumatiques ne sont pas exceptionnels et que les hypotestostéronémies isolées sont fréquentes. Le mécanisme n'est sans doute pas seulement fonctionnel mais d'autres études incluant un suivi longitudinal et des prélèvements après un délai post-traumatique supérieur sont nécessaires pour l'affirmer. L'intérêt d'une substitution chez certains de ces patients devra faire l'objet de travaux.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 19-25[article] Déficits endocriniens post-traumatiques : analyse d'une série de 93 traumatismes craniens graves [texte imprimé] / I. Richard ; LEMENE B. ; LOUIS F. ; Jean-François Mathé ; Brigitte Perrouin-Verbe ; ROME J. . - 2001 . - p. 19-25.
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Mots-clés : Hormone Traumatisme crânien Résumé : Objectifs : Mesurer dans une population de traumatisés crâniens graves l'incidence des déficits endocriniens, notamment chez les hommes l'incidence des hypotestostéronémies. Matériels et méthodes : Analyse rétrospective d'une série consécutive de 115 dossiers de traumatisés crâniens graves hospitalisés dans une unité de rééducation. Le bilan endocrinien est réalisé en routine lors de l'admission et comprend les dosages radio-immunologiques de T3, T4, TSH, testostérone ou oestradiol et progestérone, FSH, LH, cortisol. Vingt-deux dossiers sont incomplets et ont été exclus. L'analyse porte donc sur 93 dossiers (78 hommes). Résultats : Cette série retrouve un déficit thyroïdien partiel d'origine hypophysaire (T3 et T4 basses, TSH à la limite inférieure de la normale et s'élevant peu après test au TRH), et un diabète insipide. Il n'est retrouvé aucun panhypopituitarisme. L'incidence des hypogonadismes est de 28 %. Tous sont d'origine haute (testostérone basse, LH normale ou basse). Dans un cas l'origine hypothalamique est prouvée par une réponse explosive au test au GnRH, Aucune corrélation n'est retrouvée avec le score de Glasgow ou l'existence d'une fracture de la base. Discussion-Conclusion : Ces résultats prouvent que les déficits endocriniens post-traumatiques ne sont pas exceptionnels et que les hypotestostéronémies isolées sont fréquentes. Le mécanisme n'est sans doute pas seulement fonctionnel mais d'autres études incluant un suivi longitudinal et des prélèvements après un délai post-traumatique supérieur sont nécessaires pour l'affirmer. L'intérêt d'une substitution chez certains de ces patients devra faire l'objet de travaux.
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Exclu du prêtDémence et chutes / STRUBEL D. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Démence et chutes Type de document : texte imprimé Auteurs : STRUBEL D. ; JACQUOT J. M. ; MARTIN-HUNYADI C. Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 4-12 Mots-clés : Prévention Démence Démence Alzheimer Vertige Résumé : Introduction : Les démences du sujet âgé sont devenues une pathologie fréquente et constituent un facteur de risque de chutes, parfois répétées et graves. Toutes les étiologies (maladie d'Alzheimer, maladie des corps de Lewy diffus, démence de la maladie de Parkinson, démence fronto-temporale, démence vasculaire, etc.) et tous les stades d'évolution sont concernés. Les conséquences de ces chutes ne sont cependant pas spécifiques de cette pathologie. Discussion : Le mécanisme de ces chutes met en cause les troubles cognitifs et comportementaux, des troubles de la perception visuelle, des troubles moteurs, une atteinte de l'équilibre et de la marche, une fréquente dénutrition, les effets secondaires des médicaments et la peur de tomber. Conclusion : Des mesures de prévention sont possibles, portant sur le malade lui-même (maintien de l'état fonctionnel et nutritionnel, utilisation prudente des médicaments, limitation des contentions, etc.) et sur son environnement (éclairage, obstacles au sol, réduction du stress, etc.), mais des études randomisées méritent d'être réalisées pour prouver leur efficacité. Après une chute, notamment une chute compliquée, la prise en charge réadaptative ne doit pas être défaitiste mais adaptée au sujet, dans ses modalités et ses objectifs.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 4-12[article] Démence et chutes [texte imprimé] / STRUBEL D. ; JACQUOT J. M. ; MARTIN-HUNYADI C. . - 2001 . - p. 4-12.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 4-12
Mots-clés : Prévention Démence Démence Alzheimer Vertige Résumé : Introduction : Les démences du sujet âgé sont devenues une pathologie fréquente et constituent un facteur de risque de chutes, parfois répétées et graves. Toutes les étiologies (maladie d'Alzheimer, maladie des corps de Lewy diffus, démence de la maladie de Parkinson, démence fronto-temporale, démence vasculaire, etc.) et tous les stades d'évolution sont concernés. Les conséquences de ces chutes ne sont cependant pas spécifiques de cette pathologie. Discussion : Le mécanisme de ces chutes met en cause les troubles cognitifs et comportementaux, des troubles de la perception visuelle, des troubles moteurs, une atteinte de l'équilibre et de la marche, une fréquente dénutrition, les effets secondaires des médicaments et la peur de tomber. Conclusion : Des mesures de prévention sont possibles, portant sur le malade lui-même (maintien de l'état fonctionnel et nutritionnel, utilisation prudente des médicaments, limitation des contentions, etc.) et sur son environnement (éclairage, obstacles au sol, réduction du stress, etc.), mais des études randomisées méritent d'être réalisées pour prouver leur efficacité. Après une chute, notamment une chute compliquée, la prise en charge réadaptative ne doit pas être défaitiste mais adaptée au sujet, dans ses modalités et ses objectifs.
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Exclu du prêtSpasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile / FEMERY V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Spasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile Type de document : texte imprimé Auteurs : FEMERY V. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 26-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Spasticité Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectif : Le but de cette étude était d'analyser la distribution des pressions plantaires chez neuf enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile afin de mettre en évidence les perturbations dynamiques lors de la phase d'appui liées au degré de spasticité. Matériel et méthode : L'évaluation de la spasticité de différents muscles des membres inférieurs d'après la méthode d'Aschworth a permis d'identifier deux groupes de sujets hémiplégiques. Les groupes Asch 1 et Asch 3 présentent respectivement une légère et une forte spasticité. Les pics de pression ont été enregistrés à l'aide d'un système de semelles embarquées intégrant 16 capteurs (Parotec by Paromed Medinzintechnik GMBH, Germany) chez 30 sujets valides et pour les deux groupes de sujets hémiplégiques spastiques au cours de cycles de marche consécutifs. Résultats : L'étude statistique a montré une similitude entre les sujets hémiplégiques : les pics de pression sous le médio-pied sont jusqu'à cinq fois supérieurs à ceux du groupe contrôle. En revanche, le profil de distribution des pressions plantaires est très spécifique à chaque groupe sous les autres zones du pied. En présence d'une spasticité importante, les perturbations les plus significatives sont apparues, au niveau du membre atteint, sous la première tête métatarsienne et l'hallux. Discussion-conclusion : La spasticité modifie l'appui du pied au sol et entraîne suivant son intensité des profils de distribution plantaire spécifiques. La position en équin du pied et la griffe des orteils induite par une spasticité importante semble être un facteur non négligeable des perturbations de la phase d'appui terminale. Toutefois le patron de marche adopté par les sujets hémiplégiques semble répondre à certains critères d'optimisation telle que la stabilité.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 26-34[article] Spasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile [texte imprimé] / FEMERY V. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon . - 2001 . - p. 26-34.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 26-34
Mots-clés : Spasticité Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectif : Le but de cette étude était d'analyser la distribution des pressions plantaires chez neuf enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile afin de mettre en évidence les perturbations dynamiques lors de la phase d'appui liées au degré de spasticité. Matériel et méthode : L'évaluation de la spasticité de différents muscles des membres inférieurs d'après la méthode d'Aschworth a permis d'identifier deux groupes de sujets hémiplégiques. Les groupes Asch 1 et Asch 3 présentent respectivement une légère et une forte spasticité. Les pics de pression ont été enregistrés à l'aide d'un système de semelles embarquées intégrant 16 capteurs (Parotec by Paromed Medinzintechnik GMBH, Germany) chez 30 sujets valides et pour les deux groupes de sujets hémiplégiques spastiques au cours de cycles de marche consécutifs. Résultats : L'étude statistique a montré une similitude entre les sujets hémiplégiques : les pics de pression sous le médio-pied sont jusqu'à cinq fois supérieurs à ceux du groupe contrôle. En revanche, le profil de distribution des pressions plantaires est très spécifique à chaque groupe sous les autres zones du pied. En présence d'une spasticité importante, les perturbations les plus significatives sont apparues, au niveau du membre atteint, sous la première tête métatarsienne et l'hallux. Discussion-conclusion : La spasticité modifie l'appui du pied au sol et entraîne suivant son intensité des profils de distribution plantaire spécifiques. La position en équin du pied et la griffe des orteils induite par une spasticité importante semble être un facteur non négligeable des perturbations de la phase d'appui terminale. Toutefois le patron de marche adopté par les sujets hémiplégiques semble répondre à certains critères d'optimisation telle que la stabilité.
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Exclu du prêtUtilisation des injections intracaverneuses dans les dysfonctionnements érectiles du blessé médullaire : à propos d'une expérience sur 36 patients / BEN ACHOUR S. Lebib in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Utilisation des injections intracaverneuses dans les dysfonctionnements érectiles du blessé médullaire : à propos d'une expérience sur 36 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : BEN ACHOUR S. Lebib ; BOITEAU F. ; BOYER F. ; DIZIEN O ; I. LAFFONT Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 35-40 Mots-clés : Blessé médullaire Résumé : Objectifs : Confirmer l'efficacité des injections intra-caverneuses dans la prise en charge des dysfonctionnements érectiles du blessé médullaire et déterminer la dose moyenne nécessaire à l'obtention d'une érection de bonne qualité. Matériel : II s'agit d'une étude prospective intéressant 36 blessés médullaires sans antécédents de troubles érectiles antérieurs à leur atteinte neurologique. Au total, 64 injections intra-caverneuses ont été colligées. Méthode : À partir d'une dose minimale recommandée, les injections étaient répétées avec adaptation de la dose jusqu'à obtention d'une érection de bonne qualité. La qualité de l'érection a été évaluée à partir de la classification de Schramek [24]. Une érection cotée à 4 ou 5 a été considérée comme satisfaisante. Résultats : Parmi les 36 patients de notre série, on dénombre neuf tétraplégiques et 27 paraplégiques. Vingt-deux étaient classés ASIA A [2]. L'âge moyen était de 31 ans. Le niveau lésionnel était au-dessus de D10 chez 24 patients, au-dessus de L2 chez 11 patients et au-dessous de L2 chez le dernier patient. Vingt-sept patients ont obtenu une érection de grade 4 ou 5. L'alprostadil a été utilisé 51 fois, le moxisylite neuf fois et la papavérine quatre fois. La dose moyenne nécessaire à l'obtention d'une érection satisfaisante a été de 12,3 + 4,8 g avec l'alprostadil et de 14 + 5,4 mg avec le moxisylite. Aucun effet secondaire n'a été noté. Les neufs patients restants n'ont pas obtenu d'érection satisfaisante dans le cadre de cette étude. Les caractéristiques cliniques de ces sujets étaient comparables à celles des 27 autres. Conclusion : Notre travail a permis de confirmer l'efficacité des injections intra-caverneuses dans le traitement des troubles de l'érection des blessés médullaires. La dose moyenne nécessaire à l'obtention d'une érection de bonne qualité a été de 12,3 (+ 4,8) g pour l'alprostadil et de 14 (+ 5,4) mg pour le moxisylyte.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 35-40[article] Utilisation des injections intracaverneuses dans les dysfonctionnements érectiles du blessé médullaire : à propos d'une expérience sur 36 patients [texte imprimé] / BEN ACHOUR S. Lebib ; BOITEAU F. ; BOYER F. ; DIZIEN O ; I. LAFFONT . - 2001 . - p. 35-40.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 35-40
Mots-clés : Blessé médullaire Résumé : Objectifs : Confirmer l'efficacité des injections intra-caverneuses dans la prise en charge des dysfonctionnements érectiles du blessé médullaire et déterminer la dose moyenne nécessaire à l'obtention d'une érection de bonne qualité. Matériel : II s'agit d'une étude prospective intéressant 36 blessés médullaires sans antécédents de troubles érectiles antérieurs à leur atteinte neurologique. Au total, 64 injections intra-caverneuses ont été colligées. Méthode : À partir d'une dose minimale recommandée, les injections étaient répétées avec adaptation de la dose jusqu'à obtention d'une érection de bonne qualité. La qualité de l'érection a été évaluée à partir de la classification de Schramek [24]. Une érection cotée à 4 ou 5 a été considérée comme satisfaisante. Résultats : Parmi les 36 patients de notre série, on dénombre neuf tétraplégiques et 27 paraplégiques. Vingt-deux étaient classés ASIA A [2]. L'âge moyen était de 31 ans. Le niveau lésionnel était au-dessus de D10 chez 24 patients, au-dessus de L2 chez 11 patients et au-dessous de L2 chez le dernier patient. Vingt-sept patients ont obtenu une érection de grade 4 ou 5. L'alprostadil a été utilisé 51 fois, le moxisylite neuf fois et la papavérine quatre fois. La dose moyenne nécessaire à l'obtention d'une érection satisfaisante a été de 12,3 + 4,8 g avec l'alprostadil et de 14 + 5,4 mg avec le moxisylite. Aucun effet secondaire n'a été noté. Les neufs patients restants n'ont pas obtenu d'érection satisfaisante dans le cadre de cette étude. Les caractéristiques cliniques de ces sujets étaient comparables à celles des 27 autres. Conclusion : Notre travail a permis de confirmer l'efficacité des injections intra-caverneuses dans le traitement des troubles de l'érection des blessés médullaires. La dose moyenne nécessaire à l'obtention d'une érection de bonne qualité a été de 12,3 (+ 4,8) g pour l'alprostadil et de 14 (+ 5,4) mg pour le moxisylyte.
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