Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Romain Dolin |
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L’entraînement sous restriction du flux sanguin, ou « Blood Flow Restriction », une alternative au renforcement musculaire à charge élevée / Romain Dolin in Kinésithérapie, la revue, 247 (juillet 2022)
[article]
Titre : L’entraînement sous restriction du flux sanguin, ou « Blood Flow Restriction », une alternative au renforcement musculaire à charge élevée Auteurs : Romain Dolin ; Benjamin Ben Zaki Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 34-40 Note générale : Cet article fait partie du dossier "L'activité physique : pilier de prévention et traitement efficace".
https://doi.org/10.1016/j.kine.2022.03.011Langues : Français (fre) Résumé : Un des objectifs principaux du renforcement musculaire est le gain de force et de volume musculaire. Ce gain s’obtient soit par amélioration du recrutement neuro-musculaire, soit par hypertrophie musculaire. Parmi les techniques de renforcement musculaires utilisées en préparation physique ou en rééducation, l’entraînement avec restriction du flux sanguin ou Blood Flow Restriction (BFR) est une méthode récente de plus en plus utilisée. Il existe trois mécanismes essentiels pour le développement de la trophicité musculaire : les lésions intra-musculaires liées à la contraction excentrique, le stress mécanique et le stress métabolique. Le BFR s’appuie sur ces deux derniers mécanismes pour engendrer une hypertrophie musculaire sans utiliser de charges lourdes. L’utilisation du BFR a par ailleurs montré son intérêt dans différentes pathologies, dont la prise en charge postopératoire de la ligamentoplastie du LCA. La méthode de renforcement musculaire avec BFR a montré son efficacité sur une large gamme de la population. Le BFR n’est pas sans potentiels effets secondaires vasculaires graves (risques de varices, phlébites, embolie). Un interrogatoire rigoureux et une maîtrise pratique de la technique permet de réduire ces risques à un niveau proche de celui rencontré lors d’un renforcement musculaire intensif. Le BFR est une méthode de gain de force et de trophicité musculaire largement répandue dans le monde de la rééducation, chez des personnes âgées, sédentaire, le sportif de haut niveau. Le BFR permet de diminuer les contraintes appliquées sur le système musculo-tendineux tout en garantissant un potentiel hypertrophique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105293
in Kinésithérapie, la revue > 247 (juillet 2022) . - p. 34-40[article] L’entraînement sous restriction du flux sanguin, ou « Blood Flow Restriction », une alternative au renforcement musculaire à charge élevée [] / Romain Dolin ; Benjamin Ben Zaki . - 2022 . - p. 34-40.
Cet article fait partie du dossier "L'activité physique : pilier de prévention et traitement efficace".
https://doi.org/10.1016/j.kine.2022.03.011
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 247 (juillet 2022) . - p. 34-40
Résumé : Un des objectifs principaux du renforcement musculaire est le gain de force et de volume musculaire. Ce gain s’obtient soit par amélioration du recrutement neuro-musculaire, soit par hypertrophie musculaire. Parmi les techniques de renforcement musculaires utilisées en préparation physique ou en rééducation, l’entraînement avec restriction du flux sanguin ou Blood Flow Restriction (BFR) est une méthode récente de plus en plus utilisée. Il existe trois mécanismes essentiels pour le développement de la trophicité musculaire : les lésions intra-musculaires liées à la contraction excentrique, le stress mécanique et le stress métabolique. Le BFR s’appuie sur ces deux derniers mécanismes pour engendrer une hypertrophie musculaire sans utiliser de charges lourdes. L’utilisation du BFR a par ailleurs montré son intérêt dans différentes pathologies, dont la prise en charge postopératoire de la ligamentoplastie du LCA. La méthode de renforcement musculaire avec BFR a montré son efficacité sur une large gamme de la population. Le BFR n’est pas sans potentiels effets secondaires vasculaires graves (risques de varices, phlébites, embolie). Un interrogatoire rigoureux et une maîtrise pratique de la technique permet de réduire ces risques à un niveau proche de celui rencontré lors d’un renforcement musculaire intensif. Le BFR est une méthode de gain de force et de trophicité musculaire largement répandue dans le monde de la rééducation, chez des personnes âgées, sédentaire, le sportif de haut niveau. Le BFR permet de diminuer les contraintes appliquées sur le système musculo-tendineux tout en garantissant un potentiel hypertrophique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105293 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉtat actuel des connaissances dans la cicatrisation tissulaire des lésions myo-tendino-aponévrotiques et implications thérapeutiques / Romain Dolin in Kinésithérapie, la revue, 251 (Novembre 2022)
[article]
Titre : État actuel des connaissances dans la cicatrisation tissulaire des lésions myo-tendino-aponévrotiques et implications thérapeutiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Dolin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 18-23 Langues : Français (fre) Mots-clés : biomécanique Tissu conjonctif lésions musculaires Complexe myo-tendino-aponévrotique Résumé : Les lésions musculaires sont très fréquentes dans le milieu sportif, elles sont principalement d’origine intrinsèque. L’analyse du comportement biomécanique du muscle à travers le modèle de Hill modifié par Shorten apporte des éléments qui permettent de mieux comprendre la place du tissu conjonctif dans les capacités du muscle à résister face au mécanisme de sur-étirement. L’analyse fine par IRM de ces lésions, montre que, dans la très grande majorité des cas, il s’agit de lésions du complexe myo-tendino-aponévrotiques (LCMTA) et pas seulement de lésions du tissu contractile musculaires. Les classifications des LCMTA récemment publiées intègrent ces notions spécifiques de localisation de la lésion dans le squelette conjonctif musculaire. La cicatrisation concerne autant les fibres musculaires que le tissu de soutien tendino-aponévrotique. Cette fibrose cicatricielle est un processus qui comprend plusieurs phases qui se succèdent dans un continuum global évoluant sous l’influence de facteurs biochimiques et mécaniques. La traction transmise sur les fibres par l’étirement ou la contraction musculaire est un moyen de stimuler cette cicatrisation. Mal dosée, cette traction peut devenir délétère. Les programmes de rééducation utilisent ces propriétés via les étirements et le renforcement musculaire, en particulier le travail excentrique. Le programme de rééducation après LCMTA doit être planifié avec une optimisation de la charge de travail pour chaque séance. La décision de retour sur le terrain doit se faire en fonction d’une combinaison de multiples critères, les plus objectifs possibles, afin de prévenir le risque de récidive. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106748
in Kinésithérapie, la revue > 251 (Novembre 2022) . - p. 18-23[article] État actuel des connaissances dans la cicatrisation tissulaire des lésions myo-tendino-aponévrotiques et implications thérapeutiques [texte imprimé] / Romain Dolin . - 2022 . - p. 18-23.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 251 (Novembre 2022) . - p. 18-23
Mots-clés : biomécanique Tissu conjonctif lésions musculaires Complexe myo-tendino-aponévrotique Résumé : Les lésions musculaires sont très fréquentes dans le milieu sportif, elles sont principalement d’origine intrinsèque. L’analyse du comportement biomécanique du muscle à travers le modèle de Hill modifié par Shorten apporte des éléments qui permettent de mieux comprendre la place du tissu conjonctif dans les capacités du muscle à résister face au mécanisme de sur-étirement. L’analyse fine par IRM de ces lésions, montre que, dans la très grande majorité des cas, il s’agit de lésions du complexe myo-tendino-aponévrotiques (LCMTA) et pas seulement de lésions du tissu contractile musculaires. Les classifications des LCMTA récemment publiées intègrent ces notions spécifiques de localisation de la lésion dans le squelette conjonctif musculaire. La cicatrisation concerne autant les fibres musculaires que le tissu de soutien tendino-aponévrotique. Cette fibrose cicatricielle est un processus qui comprend plusieurs phases qui se succèdent dans un continuum global évoluant sous l’influence de facteurs biochimiques et mécaniques. La traction transmise sur les fibres par l’étirement ou la contraction musculaire est un moyen de stimuler cette cicatrisation. Mal dosée, cette traction peut devenir délétère. Les programmes de rééducation utilisent ces propriétés via les étirements et le renforcement musculaire, en particulier le travail excentrique. Le programme de rééducation après LCMTA doit être planifié avec une optimisation de la charge de travail pour chaque séance. La décision de retour sur le terrain doit se faire en fonction d’une combinaison de multiples critères, les plus objectifs possibles, afin de prévenir le risque de récidive. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106748 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtGonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies / Romain Dolin in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)
[article]
Titre : Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Dolin ; Valentin Massé ; Johanna Balducci Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur Syndrome de la bandelette iliotibiale Syndrome fémoropatellaire Valgus dynamique Résumé : Dans certains sports comme le triathlon, la course à pied ou chez les militaires [1-3], les lésions du genou font partie des premières causes de blessures. Chez la jeune fille pratiquant des sports pivot-contacts (basket-ball, rugby, handball, football, etc.) les douleurs fémoro-patellaires [4, 5] et les lésions fémoro-tibiales [6, 7] ont également une très forte incidence.
Le terme de syndrome fémoro-patellaire (Patellofemoral pain syndrome - PFPS) est caractérisé par une douleur péripatellaire (Anterior knee pain) exacerbée par l?activité physique, en particulier la montée/descente d?escaliers, les squatts, les sauts, la course à pied, et parfois même par le maintien prolongé de la position assise [8-10].
Les étiologies des PFPS et des lésions ligamentaires du genou sont multifactorielles. Certains facteurs de risque (hormonaux, anatomiques, etc.) ne sont pas modifiables contrairement aux facteurs neuromusculaires qui peuvent être corrigés.Myer et al. [11] ont fait un résumé des différents facteurs de risques retrouvés dans la littérature à la fois pour les lésions du ligament croisé antérieur (LCA) et pour les PFPS. Dans les études publiées très récemment, ils retrouvent un facteur neuro-musculaire commun pour ces deux pathologies : le moment d?abduction dans le genou (Knee abduction moment ? KAM) à la réception de saut. Il établit même chez la basketteuse adolescente des valeurs seuil :
? chez la jeune fille d?environ 13 ans avec un KAM supérieur à 15 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS ;
? chez l?adolescente d?environ 16 ans avec un KAM supérieur à 25 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS et un risque de rupture du LCA important.Plusieurs études prospectives [12] et rétrospectives [13] montrent qu?il existe aussi un lien entre le contrôle neuromusculaire de la hanche et du tronc, dans la survenue de blessures aux membres inférieurs [14-16].Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47577
in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 5-11[article] Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies [texte imprimé] / Romain Dolin ; Valentin Massé ; Johanna Balducci . - 2017 . - p. 5-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 5-11
Mots-clés : Ligament croisé antérieur Syndrome de la bandelette iliotibiale Syndrome fémoropatellaire Valgus dynamique Résumé : Dans certains sports comme le triathlon, la course à pied ou chez les militaires [1-3], les lésions du genou font partie des premières causes de blessures. Chez la jeune fille pratiquant des sports pivot-contacts (basket-ball, rugby, handball, football, etc.) les douleurs fémoro-patellaires [4, 5] et les lésions fémoro-tibiales [6, 7] ont également une très forte incidence.
Le terme de syndrome fémoro-patellaire (Patellofemoral pain syndrome - PFPS) est caractérisé par une douleur péripatellaire (Anterior knee pain) exacerbée par l?activité physique, en particulier la montée/descente d?escaliers, les squatts, les sauts, la course à pied, et parfois même par le maintien prolongé de la position assise [8-10].
Les étiologies des PFPS et des lésions ligamentaires du genou sont multifactorielles. Certains facteurs de risque (hormonaux, anatomiques, etc.) ne sont pas modifiables contrairement aux facteurs neuromusculaires qui peuvent être corrigés.Myer et al. [11] ont fait un résumé des différents facteurs de risques retrouvés dans la littérature à la fois pour les lésions du ligament croisé antérieur (LCA) et pour les PFPS. Dans les études publiées très récemment, ils retrouvent un facteur neuro-musculaire commun pour ces deux pathologies : le moment d?abduction dans le genou (Knee abduction moment ? KAM) à la réception de saut. Il établit même chez la basketteuse adolescente des valeurs seuil :
? chez la jeune fille d?environ 13 ans avec un KAM supérieur à 15 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS ;
? chez l?adolescente d?environ 16 ans avec un KAM supérieur à 25 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS et un risque de rupture du LCA important.Plusieurs études prospectives [12] et rétrospectives [13] montrent qu?il existe aussi un lien entre le contrôle neuromusculaire de la hanche et du tronc, dans la survenue de blessures aux membres inférieurs [14-16].Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47577 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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