Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Maude Traulle |
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Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite / Florian Forelli in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite Type de document : texte imprimé Auteurs : Florian Forelli ; Maude Traulle ; Nicolas Béchaud ; Clément Sansonnet ; Patrice Marine ; Jean Mazeas, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : réduction des risques Traumatismes sportifs Football Ligament croisé antérieur Résumé : Le sport d’élite constitue la période de transition vers le haut niveau. Cette période est marquée à la fois par l’accession à la maturité biologique mais aussi par l’expertise dans la spécialisation du sport pratiqué. C’est aussi malheureusement dans cette période que le jeune athlète peut se blesser, ralentir sa progression et voir le rêve du haut niveau s’envoler. En effet, le risque du surentraînement ou de l’entraînement non adapté à la maturité biologique peut entraîner de graves blessures avec un long temps d’indisponibilité, ce qui est le cas notamment lors de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA).
L’étude de Larruskain et al. [1] montre que la rupture du LCA est une blessure qui impacte de manière négative la carrière et la progression du jeune footballeur.
Même si cette blessure reste rare dans le monde du football d’élite, elle entraine des modifications physiologiques et psychologiques non négligeables qui porte la récidive à 18 % [2].
Notons que d’après l’étude de Gilchrist et al. [3], 31 % des joueurs de football d’élite ont des antécédents de blessures au genou dont 14 % avec un antécédent de blessure au LCA.
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir des bilans pertinents reposant sur un socle scientifique valide afin de prédire la rupture du LCA et de personnaliser les protocoles de prévention des blessures afin d’optimiser la performance. Parmi ces bilans, le 5 Factors Maximum Model [4] nous apparaît comme le plus adapté dans la prédiction des blessures sur LCA du jeune footballeur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100544
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 17-22[article] Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite [texte imprimé] / Florian Forelli ; Maude Traulle ; Nicolas Béchaud ; Clément Sansonnet ; Patrice Marine ; Jean Mazeas, Auteur . - 2022 . - p. 17-22.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 17-22
Mots-clés : réduction des risques Traumatismes sportifs Football Ligament croisé antérieur Résumé : Le sport d’élite constitue la période de transition vers le haut niveau. Cette période est marquée à la fois par l’accession à la maturité biologique mais aussi par l’expertise dans la spécialisation du sport pratiqué. C’est aussi malheureusement dans cette période que le jeune athlète peut se blesser, ralentir sa progression et voir le rêve du haut niveau s’envoler. En effet, le risque du surentraînement ou de l’entraînement non adapté à la maturité biologique peut entraîner de graves blessures avec un long temps d’indisponibilité, ce qui est le cas notamment lors de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA).
L’étude de Larruskain et al. [1] montre que la rupture du LCA est une blessure qui impacte de manière négative la carrière et la progression du jeune footballeur.
Même si cette blessure reste rare dans le monde du football d’élite, elle entraine des modifications physiologiques et psychologiques non négligeables qui porte la récidive à 18 % [2].
Notons que d’après l’étude de Gilchrist et al. [3], 31 % des joueurs de football d’élite ont des antécédents de blessures au genou dont 14 % avec un antécédent de blessure au LCA.
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir des bilans pertinents reposant sur un socle scientifique valide afin de prédire la rupture du LCA et de personnaliser les protocoles de prévention des blessures afin d’optimiser la performance. Parmi ces bilans, le 5 Factors Maximum Model [4] nous apparaît comme le plus adapté dans la prédiction des blessures sur LCA du jeune footballeur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100544 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIdentification des critères de retour au sport après chirurgie ligamentaire de la cheville / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 619 (Avril 2020)
[article]
Titre : Identification des critères de retour au sport après chirurgie ligamentaire de la cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Maude Traulle, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 27-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cheville ligamentoplastie Reprise du sport Résumé : L’instabilité latérale chronique de cheville (ILCC) est une complication fréquente après entorse latérale de cheville (ELC). La probabilité de développer une ILCC augmente avec la récurrence des ELC. En effet, l’ELC est une pathologie très répandue avec une incidence en France de près de 6000 cas par jour selon Besse [1]. Bauer et al. [2] expliquent que la prévalence de l’ILCC après ELC est de 20 à 40 %.En 2019, Herzog et al. [3] comptent près de 2 millions d’ELC aux États-Unis d’Amérique. Ceux-ci nous expliquent qu’environ 70 % de cette population ayant subi une ELC est à risque de développer une ILCC. Dans le sport de compétition, quel que soit le niveau de celle-ci, 10 à 30 % des blessures sont des ELC.Il est nécessaire de distinguer l’instabilité fonctionnelle (déséquilibre neuromusculaire sans laxité) et l’instabilité sur laxité chronique (déplacement anormal du talus par rapport à la pince bimalléolaire objectivé par l’examen physique via un test en varus forcé et tiroir antérieur). Cette seconde description correspond à l’ILCC. Or, l’instabilité d’une articulation engendre une mauvaise répartition des contraintes lui étant appliquées et favorise ainsi la formation d’arthrose selon Kobayashi et al. [4].Le traitement de l’ILCC est essentiel tant pour la prévention de la dégradation de l’articulation que pour la reprise du sport en toute sécurité.L’ELC concerne le ligament latéral de la cheville ou ligament collatéral fibulaire (LCF). Le LCF comporte 3 faisceaux :– le faisceau antérieur ou ligament talo-fibulaire antérieur (LTFA) ;
– le faisceau moyen ou calcanéo-fibulaire (LCaF) ;
– le faisceau postérieur ou ligament talo-fibulaire postérieur (LTFP).Dans la blessure, un ou plusieurs des faisceaux du LCF présentent une distension ou une rupture, qu’elle soit partielle ou totale. Le traitement de l’ILCC doit par conséquent résoudre l’absence ou l’inefficacité d’une partie du LCF.L’indication chirurgicale relève de la sensation d’instabilité du patient mais également de la laxité du compartiment latéral de la cheville ainsi que du nombre de récidives d’ELC. Ainsi, ce sont les sujets les plus actifs qui seront concernés par ces procédures et plus particulièrement ceux qui souhaitent reprendre une activité sportive.Selon Bauer et al. [2], il existe plusieurs procédures chirurgicales permettant soit la réparation du ligament (procédures de Broström, de Karlsson, de Blanchet, de Duquennoy), ou de ligamentoplasties. Ces techniques se divisent en 2 types de reconstructions selon Yasui et al. [5] : les reconstructions dites anatomiques, suivant le trajet des ligaments formant le LLE et utilisant diverses prises de greffe (tendon du gracile, du fascia lata, du plantaire grêle), et les non anatomiques ou de substitution qui déroutent le tendon du court fibulaire pour former un renfort latéral (procédures de Castaing, de Chrisman-Snook, de Colville, de Watson) [6].Globalement, Shawen et al. [7] dans leur revue de littérature, montrent que les patients ayant bénéficié de chirurgie ligamentaire latérale de la cheville reprennent le sport mais à des niveaux moindres que ceux qu’ils pratiquaient avant blessure. La question qui est soulevée est évidement « Pourquoi ? » car les sujets ont retrouvé une stabilité articulaire physiologique grâce à l’intervention, comme dans l’étude de Keklik et Kiral selon la procédure de Colville [8]. Si le problème ne vient pas de la stabilité articulaire passive, c’est que d’autres critères, propres à chaque individu, doivent être pris en compte afin d’autoriser le retour au sport (RTS) en toute sécurité.La méta-analyse de Kobayashi et al. [4] parue en 2016 a montré qu’il existait certains facteurs de risque pour l’ELC : un IMC élevé, un déficit de mobilité en dorsi-flexion, une diminution de la force des éverseurs en excentrique à basse vitesse et une augmentation de la force de flexion plantaire concentrique rapide, un déficit proprioceptif et par conséquent, des troubles de la posture statique.Ces facteurs sont également retrouvés dans l’ILCC selon les travaux de Miklovic et al. de 2018 [9]. En effet, leur revue statue qu’une réduction de mobilité de la cheville, un déficit de force, des troubles posturaux, sont retrouvés sur le membre lésé.Par ailleurs, ils expliquent que la cinématique de marche, ou de course, est perturbée avec un placement de la cheville en éversion au moment de l’attaque du pas et une augmentation de la flexion de genou (pouvant être restaurée par la rééducation) et que ces observations se retrouvent dans le saut sur une jambe. Ces facteurs sont autant de points sur lesquels il est essentiel d’avoir une fonction restaurée pour autoriser la reprise d’une activité physique, quel que soit le niveau.À notre connaissance, il n’existe pas de littérature qui examine précisément les critères objectifs pouvant autoriser le RTS après ligamentoplastie du LCF dans le traitement de l’ILCC. Nous nous proposons de faire un état des lieux de la littérature et des critères concrets pouvant guider le choix thérapeutique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86110
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 27-38[article] Identification des critères de retour au sport après chirurgie ligamentaire de la cheville [texte imprimé] / Maude Traulle, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 27-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 619 (Avril 2020) . - p. 27-38
Mots-clés : Cheville ligamentoplastie Reprise du sport Résumé : L’instabilité latérale chronique de cheville (ILCC) est une complication fréquente après entorse latérale de cheville (ELC). La probabilité de développer une ILCC augmente avec la récurrence des ELC. En effet, l’ELC est une pathologie très répandue avec une incidence en France de près de 6000 cas par jour selon Besse [1]. Bauer et al. [2] expliquent que la prévalence de l’ILCC après ELC est de 20 à 40 %.En 2019, Herzog et al. [3] comptent près de 2 millions d’ELC aux États-Unis d’Amérique. Ceux-ci nous expliquent qu’environ 70 % de cette population ayant subi une ELC est à risque de développer une ILCC. Dans le sport de compétition, quel que soit le niveau de celle-ci, 10 à 30 % des blessures sont des ELC.Il est nécessaire de distinguer l’instabilité fonctionnelle (déséquilibre neuromusculaire sans laxité) et l’instabilité sur laxité chronique (déplacement anormal du talus par rapport à la pince bimalléolaire objectivé par l’examen physique via un test en varus forcé et tiroir antérieur). Cette seconde description correspond à l’ILCC. Or, l’instabilité d’une articulation engendre une mauvaise répartition des contraintes lui étant appliquées et favorise ainsi la formation d’arthrose selon Kobayashi et al. [4].Le traitement de l’ILCC est essentiel tant pour la prévention de la dégradation de l’articulation que pour la reprise du sport en toute sécurité.L’ELC concerne le ligament latéral de la cheville ou ligament collatéral fibulaire (LCF). Le LCF comporte 3 faisceaux :– le faisceau antérieur ou ligament talo-fibulaire antérieur (LTFA) ;
– le faisceau moyen ou calcanéo-fibulaire (LCaF) ;
– le faisceau postérieur ou ligament talo-fibulaire postérieur (LTFP).Dans la blessure, un ou plusieurs des faisceaux du LCF présentent une distension ou une rupture, qu’elle soit partielle ou totale. Le traitement de l’ILCC doit par conséquent résoudre l’absence ou l’inefficacité d’une partie du LCF.L’indication chirurgicale relève de la sensation d’instabilité du patient mais également de la laxité du compartiment latéral de la cheville ainsi que du nombre de récidives d’ELC. Ainsi, ce sont les sujets les plus actifs qui seront concernés par ces procédures et plus particulièrement ceux qui souhaitent reprendre une activité sportive.Selon Bauer et al. [2], il existe plusieurs procédures chirurgicales permettant soit la réparation du ligament (procédures de Broström, de Karlsson, de Blanchet, de Duquennoy), ou de ligamentoplasties. Ces techniques se divisent en 2 types de reconstructions selon Yasui et al. [5] : les reconstructions dites anatomiques, suivant le trajet des ligaments formant le LLE et utilisant diverses prises de greffe (tendon du gracile, du fascia lata, du plantaire grêle), et les non anatomiques ou de substitution qui déroutent le tendon du court fibulaire pour former un renfort latéral (procédures de Castaing, de Chrisman-Snook, de Colville, de Watson) [6].Globalement, Shawen et al. [7] dans leur revue de littérature, montrent que les patients ayant bénéficié de chirurgie ligamentaire latérale de la cheville reprennent le sport mais à des niveaux moindres que ceux qu’ils pratiquaient avant blessure. La question qui est soulevée est évidement « Pourquoi ? » car les sujets ont retrouvé une stabilité articulaire physiologique grâce à l’intervention, comme dans l’étude de Keklik et Kiral selon la procédure de Colville [8]. Si le problème ne vient pas de la stabilité articulaire passive, c’est que d’autres critères, propres à chaque individu, doivent être pris en compte afin d’autoriser le retour au sport (RTS) en toute sécurité.La méta-analyse de Kobayashi et al. [4] parue en 2016 a montré qu’il existait certains facteurs de risque pour l’ELC : un IMC élevé, un déficit de mobilité en dorsi-flexion, une diminution de la force des éverseurs en excentrique à basse vitesse et une augmentation de la force de flexion plantaire concentrique rapide, un déficit proprioceptif et par conséquent, des troubles de la posture statique.Ces facteurs sont également retrouvés dans l’ILCC selon les travaux de Miklovic et al. de 2018 [9]. En effet, leur revue statue qu’une réduction de mobilité de la cheville, un déficit de force, des troubles posturaux, sont retrouvés sur le membre lésé.Par ailleurs, ils expliquent que la cinématique de marche, ou de course, est perturbée avec un placement de la cheville en éversion au moment de l’attaque du pas et une augmentation de la flexion de genou (pouvant être restaurée par la rééducation) et que ces observations se retrouvent dans le saut sur une jambe. Ces facteurs sont autant de points sur lesquels il est essentiel d’avoir une fonction restaurée pour autoriser la reprise d’une activité physique, quel que soit le niveau.À notre connaissance, il n’existe pas de littérature qui examine précisément les critères objectifs pouvant autoriser le RTS après ligamentoplastie du LCF dans le traitement de l’ILCC. Nous nous proposons de faire un état des lieux de la littérature et des critères concrets pouvant guider le choix thérapeutique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86110 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIdentification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 637 (Décembre 21)
[article]
Titre : Identification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille Type de document : texte imprimé Auteurs : Maude Traulle ; Florian Forelli ; Patrice Marine ; Nicolas Béchaud ; Jean Mazeas Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : Reprise du sport rupture du tendon d’Achille Résumé : L’incidence des ruptures du tendon d’Achille (RTA) est de [7-47]/100 000 par an en Europe et concerne surtout des hommes (6 : 1) de 30-50 ans, selon Mattila et al. en 2015 [1] et Huttunen et al. en 2001. Des symptômes préalables ne sont recensés que dans 10 % des cas. Ces ruptures sont liées à un mécanisme endogène associant une contraction maximale du triceps sural et un étirement asynchrone du système suro-achilléo-calcanéo-plantaire. Selon Flik, la rupture s’effectue le plus souvent près de l’insertion calcanéenne, 3 à 6 cm au-dessus de l’enthèse, sur la zone la plus étroite du tendon et la plus mal vascularisée.La pathologie tendineuse correspond selon Cook et al. à un continuum, c’est-à-dire que la pathologie lésionnelle est évolutive. Une rupture n’apparaît que sur un tendon préalablement lésé et n’ayant pas correctement cicatrisé. Autrement dit, si le tendon rompt, c’est que sur la chaîne cinétique formé par l’os, le muscle et le tendon, il représente le maillon le plus faible, incapable de résister à la traction qui le fait céder.Le sport pratiqué par le sujet en question est un facteur à prendre en compte : le type de terrain (mou à dur) et le type d’effort demandé (vitesse d’accélération ou de sprint) est en cause. En effet, selon Lai et al., durant le sprint et surtout en phase d’accélération sur surface dure, le triceps (dans son ensemble) semble se contracter de manière quasi-isométrique, offrant à la qualité élastique du tendon achilléen le rôle de principal contributeur de la propulsion, expliquant la prévalence de rupture dans le basketball.Dans le sport professionnel, la majorité des ruptures du tendon achilléen survient en début de saison, chez des joueurs vétérans, et près de la moitié d'entre eux ne reviennent pas au jeu ou commencent moins de 10 matchs dans le reste de leur carrière. Le mécanisme de blessure le plus fréquent est l'envol d'une position arrêtée, juste avant la mise en jeu du pied, avec un pied en dorsiflexion selon Lemme et al.Au bord du terrain, le thérapeute peut objectiver la RTA grâce au Calf Squeeze Test, ou test de Thompson, qui présente, d’après les travaux de Schwietermann et al., une sensibilité de 96 % et une spécificité de 93 %. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98297
in Kinésithérapie scientifique > 637 (Décembre 21) . - p. 5-13[article] Identification des critères de retour au sport après rupture du tendon d'achille [texte imprimé] / Maude Traulle ; Florian Forelli ; Patrice Marine ; Nicolas Béchaud ; Jean Mazeas . - 2021 . - p. 5-13.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 637 (Décembre 21) . - p. 5-13
Mots-clés : Reprise du sport rupture du tendon d’Achille Résumé : L’incidence des ruptures du tendon d’Achille (RTA) est de [7-47]/100 000 par an en Europe et concerne surtout des hommes (6 : 1) de 30-50 ans, selon Mattila et al. en 2015 [1] et Huttunen et al. en 2001. Des symptômes préalables ne sont recensés que dans 10 % des cas. Ces ruptures sont liées à un mécanisme endogène associant une contraction maximale du triceps sural et un étirement asynchrone du système suro-achilléo-calcanéo-plantaire. Selon Flik, la rupture s’effectue le plus souvent près de l’insertion calcanéenne, 3 à 6 cm au-dessus de l’enthèse, sur la zone la plus étroite du tendon et la plus mal vascularisée.La pathologie tendineuse correspond selon Cook et al. à un continuum, c’est-à-dire que la pathologie lésionnelle est évolutive. Une rupture n’apparaît que sur un tendon préalablement lésé et n’ayant pas correctement cicatrisé. Autrement dit, si le tendon rompt, c’est que sur la chaîne cinétique formé par l’os, le muscle et le tendon, il représente le maillon le plus faible, incapable de résister à la traction qui le fait céder.Le sport pratiqué par le sujet en question est un facteur à prendre en compte : le type de terrain (mou à dur) et le type d’effort demandé (vitesse d’accélération ou de sprint) est en cause. En effet, selon Lai et al., durant le sprint et surtout en phase d’accélération sur surface dure, le triceps (dans son ensemble) semble se contracter de manière quasi-isométrique, offrant à la qualité élastique du tendon achilléen le rôle de principal contributeur de la propulsion, expliquant la prévalence de rupture dans le basketball.Dans le sport professionnel, la majorité des ruptures du tendon achilléen survient en début de saison, chez des joueurs vétérans, et près de la moitié d'entre eux ne reviennent pas au jeu ou commencent moins de 10 matchs dans le reste de leur carrière. Le mécanisme de blessure le plus fréquent est l'envol d'une position arrêtée, juste avant la mise en jeu du pied, avec un pied en dorsiflexion selon Lemme et al.Au bord du terrain, le thérapeute peut objectiver la RTA grâce au Calf Squeeze Test, ou test de Thompson, qui présente, d’après les travaux de Schwietermann et al., une sensibilité de 96 % et une spécificité de 93 %. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98297 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtProtocole d'autorééducation dans la prévention des épicondylites latérales chroniques / Florian Forelli in Kinésithérapie scientifique, 582 (Décembre 2016)
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQuelle restauration de la marche après chirurgie correctrice de l'hallux valgus / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 654 (juin 2023)
[article]
Titre : Quelle restauration de la marche après chirurgie correctrice de l'hallux valgus Type de document : texte imprimé Auteurs : Maude Traulle Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.13-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hallux valgus Hallux valgus / chirurgie Résumé : L'hallux valgus (HV) représente, selon les travaux de Hagedorn et al. [1], la déformation acquise de l’avant-pied la plus souvent retrouvée dans une population adulte représentant au moins 26,3 % des déformations acquises (fig. 1). Selon Nix et al. [2], l'HV présente une prévalence de 23 % pour les 18-65 ans, confirmé par les travaux de Carvalho et al. [3] en 2015, et de 35,7 % pour le groupe des plus de 65 ans. Piclet-Legré [4] retrouve en 2017 un sex-ratio de 1/15 patient en défaveur de la population féminine, tandis que pour Nix et al. [2], la déformation est retrouvée avant 65 ans chez une femme sur 4, puis chez une femme sur 3 après 65 ans. Et c’est aujourd’hui plus de 70 000 interventions par an en France, donc un véritable problème de Santé publique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111693
in Kinésithérapie scientifique > 654 (juin 2023) . - p.13-20[article] Quelle restauration de la marche après chirurgie correctrice de l'hallux valgus [texte imprimé] / Maude Traulle . - 2023 . - p.13-20.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 654 (juin 2023) . - p.13-20
Mots-clés : Hallux valgus Hallux valgus / chirurgie Résumé : L'hallux valgus (HV) représente, selon les travaux de Hagedorn et al. [1], la déformation acquise de l’avant-pied la plus souvent retrouvée dans une population adulte représentant au moins 26,3 % des déformations acquises (fig. 1). Selon Nix et al. [2], l'HV présente une prévalence de 23 % pour les 18-65 ans, confirmé par les travaux de Carvalho et al. [3] en 2015, et de 35,7 % pour le groupe des plus de 65 ans. Piclet-Legré [4] retrouve en 2017 un sex-ratio de 1/15 patient en défaveur de la population féminine, tandis que pour Nix et al. [2], la déformation est retrouvée avant 65 ans chez une femme sur 4, puis chez une femme sur 3 après 65 ans. Et c’est aujourd’hui plus de 70 000 interventions par an en France, donc un véritable problème de Santé publique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111693 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQuelles évaluations quantitatives dans le suivi postopératoire des LCA ? / Florian Forelli in Kinésithérapie scientifique, 599 (Juin 2018)
PermalinkLe syndrome douloureux du grand trochanter : de l'approche rhumatismale à l'application postarthroplastie de hanche par voie antérieure / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 595 (Février 2018)
PermalinkLa Tecarthérapie® : principes, indications et littérature / Maude Traulle in Kinésithérapie scientifique, 609 (Mai 2019)
PermalinkValorisation de l'éducation dans la gestion des douleurs chez le patient lombalgique chronique / Delphine Arnaud in Kinésithérapie scientifique, 587 (mai 2017)
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