Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur C. Masson |
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Algodystrophie : syndrome douloureux régional complexe de type I / C. Masson in EMC : Appareil locomoteur, (Mars 2011)
[article]
Titre : Algodystrophie : syndrome douloureux régional complexe de type I Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Masson, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-286-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Algodystrophie Syndrome douloureux régional complexe Syndrome réflexe sympathique Fracture trabéculaire Œdème médullaire osseux Ostéoporose transitoire Ostéonécrose aseptique Résumé : L'algodystrophie ou syndrome douloureux régional complexe de type I est caractérisée par des anomalies vasculaires avec hyperperméabilité suivies par une colonisation de fibroblastes, le plus souvent confinées à un membre, un segment de membre, ou à une zone encore plus limitée, en premier la région distale, après un événement initiateur. Son évolution naturelle est divisée typiquement en trois stades : aigu ou pseudo-inflammatoire, puis dystrophique, puis atrophique. La douleur, disproportionnée par rapport à l'événement intial, est continue et accentuée avec l'essai d'utilisation des articulations affectées. La douleur spontanée, l'allodynie, l'hyperalgésie, et/ou l'hyperpathie ne se limitent pas au territoire d'un seul nerf périphérique. L'oedème, les anomalies du flux vasculaire cutané, les anomalies sudoromotrices sont perceptibles cliniquement pour les atteintes distales ou mésoméliques. L'hyperperméabilité vasculaire transitoire dans la zone affectée est mise en évidence par les signes d'imagerie par résonance magnétique (IRM) et la scintigraphie osseuse aux trois temps. Certains patients, des adultes jeunes et surtout des adolescents de sexe féminin, développent une forme froide d'emblée avec des manifestations douloureuses, mais sans oedème dans la zone affectée, avec, à la scintigraphie, une hypofixation du radiotraceur par rapport au côté opposé, une IRM normale. La déminéralisation osseuse retardée, inconstante est mise en évidence par des radiographies standards comparatives, un scanner. Dans l'algodystrophie, la perte osseuse peut, en quelques semaines ou mois, devenir comparable à la perte osseuse d'une ostéoporose commune après 10 ans d'évolution. Une fracture initiale corticale ou occulte (fracture corticale et/ou trabéculaire) est un événement initial fréquent d'une algodystrophie, mais les patients souffrant d'algodystrophie peuvent garder une déminéralisation prolongée et être ainsi à risque de développer une fracture. La causalgie, les fractures trabéculaires, l'ostéoporose transitoire, la rétraction capsulaire, l'ostéonécrose aseptique sont discutées au diagnostic différentiel. La prise en charge thérapeutique d'un patient souffrant d'algodystrophie est difficile en l'absence de traitement validé. Note de contenu : Introduction
Définition
Terminologie
Données épidémiologiques
Données physiopathogéniques
Algodystrophie post-traumatique d'un segment de membre
Traumatisme responsable sur l'appareil locomoteur
Tableau clinique d'installation progressive ou rapide
Imagerie
Tests dysautonomiques et vasculaires
Explorations neurologiques
Dysynchiria
Formes cliniques
Formes étiologiques
Formes symptomatiques particulières
Diagnostic positif
Pertinence clinique
Critères d'algodystrophie
Analyse des critères d'algodystrophie
Diagnostics différentiels
Causalgie ou syndrome douloureux régional complexe de type II
Fractures trabéculaires
Ostéoporose transitoire, possiblement migratrice
Capsulite rétractile
Situations d'une monoarthropathie apparente
Formes à expression douloureuse préférentielle
Pièges selon l'imagerie
Modifications vasculaires induites par les calcineurines
Algodystrophie factice
Modes évolutifs
Guérison
Algodystrophie extensive
Traitement
Thérapeutiques physiques
Problématique de la calcitonine
Traitements symptomatiques
Sympathectomie, blocs régionaux, épiduraux
Prise en charge psychologique
Mesures préventives
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44013
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2011) . - 14-286-A-10 [Tome 5][article] Algodystrophie : syndrome douloureux régional complexe de type I [texte imprimé] / C. Masson, Auteur . - 2011 . - 14-286-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2011) . - 14-286-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Algodystrophie Syndrome douloureux régional complexe Syndrome réflexe sympathique Fracture trabéculaire Œdème médullaire osseux Ostéoporose transitoire Ostéonécrose aseptique Résumé : L'algodystrophie ou syndrome douloureux régional complexe de type I est caractérisée par des anomalies vasculaires avec hyperperméabilité suivies par une colonisation de fibroblastes, le plus souvent confinées à un membre, un segment de membre, ou à une zone encore plus limitée, en premier la région distale, après un événement initiateur. Son évolution naturelle est divisée typiquement en trois stades : aigu ou pseudo-inflammatoire, puis dystrophique, puis atrophique. La douleur, disproportionnée par rapport à l'événement intial, est continue et accentuée avec l'essai d'utilisation des articulations affectées. La douleur spontanée, l'allodynie, l'hyperalgésie, et/ou l'hyperpathie ne se limitent pas au territoire d'un seul nerf périphérique. L'oedème, les anomalies du flux vasculaire cutané, les anomalies sudoromotrices sont perceptibles cliniquement pour les atteintes distales ou mésoméliques. L'hyperperméabilité vasculaire transitoire dans la zone affectée est mise en évidence par les signes d'imagerie par résonance magnétique (IRM) et la scintigraphie osseuse aux trois temps. Certains patients, des adultes jeunes et surtout des adolescents de sexe féminin, développent une forme froide d'emblée avec des manifestations douloureuses, mais sans oedème dans la zone affectée, avec, à la scintigraphie, une hypofixation du radiotraceur par rapport au côté opposé, une IRM normale. La déminéralisation osseuse retardée, inconstante est mise en évidence par des radiographies standards comparatives, un scanner. Dans l'algodystrophie, la perte osseuse peut, en quelques semaines ou mois, devenir comparable à la perte osseuse d'une ostéoporose commune après 10 ans d'évolution. Une fracture initiale corticale ou occulte (fracture corticale et/ou trabéculaire) est un événement initial fréquent d'une algodystrophie, mais les patients souffrant d'algodystrophie peuvent garder une déminéralisation prolongée et être ainsi à risque de développer une fracture. La causalgie, les fractures trabéculaires, l'ostéoporose transitoire, la rétraction capsulaire, l'ostéonécrose aseptique sont discutées au diagnostic différentiel. La prise en charge thérapeutique d'un patient souffrant d'algodystrophie est difficile en l'absence de traitement validé. Note de contenu : Introduction
Définition
Terminologie
Données épidémiologiques
Données physiopathogéniques
Algodystrophie post-traumatique d'un segment de membre
Traumatisme responsable sur l'appareil locomoteur
Tableau clinique d'installation progressive ou rapide
Imagerie
Tests dysautonomiques et vasculaires
Explorations neurologiques
Dysynchiria
Formes cliniques
Formes étiologiques
Formes symptomatiques particulières
Diagnostic positif
Pertinence clinique
Critères d'algodystrophie
Analyse des critères d'algodystrophie
Diagnostics différentiels
Causalgie ou syndrome douloureux régional complexe de type II
Fractures trabéculaires
Ostéoporose transitoire, possiblement migratrice
Capsulite rétractile
Situations d'une monoarthropathie apparente
Formes à expression douloureuse préférentielle
Pièges selon l'imagerie
Modifications vasculaires induites par les calcineurines
Algodystrophie factice
Modes évolutifs
Guérison
Algodystrophie extensive
Traitement
Thérapeutiques physiques
Problématique de la calcitonine
Traitements symptomatiques
Sympathectomie, blocs régionaux, épiduraux
Prise en charge psychologique
Mesures préventives
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44013 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Collisions against obstacles while skiing: Typology of victims and impact conditions / M. Dorsemaine in Science & sports, Vol.38 N°8 (décembre 2023)
[article]
Titre : Collisions against obstacles while skiing: Typology of victims and impact conditions Titre original : Collisions contre obstacles en ski alpin : typologie des victimes et des conditions d’impact Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dorsemaine ; M. Llari ; S. Rivelli ; J.-D. Laporte ; C. Jacot ; C. Masson ; P.-J. Arnoux Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 807-8017 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Accidents Épidémiologie Phénomènes biomécaniques Sécurité Ski Ski alpin Résumé : Objectif
Malgré leur sévérité potentielle, les collisions contre obstacles survenant sur les domaines skiables alpins demeurent peu étudiées et une meilleure compréhension de ces accidents est requise afin d’améliorer la protection des usagers fréquentant les domaines skiables. Ainsi, cette étude vise à caractériser les conditions d’impact subies par le corps humain lors de collisions contre obstacles en associant des simulations multi-corps avec une analyse épidémiologique permettant de modéliser des scénarios d’accidents représentatifs.
Matériels et méthodes
En France entre 2014 et 2019, 201 805 accidents de sports d’hiver ont mené à une intervention des pisteurs-secouristes et/ou à une consultation dans un cabinet médical en station. Les 3393 collisions contre obstacles inclues dans ces accidents ont été analysées (population, blessures, conditions d’accident). Puis, 1080 simulations multi-corps de collisions contre obstacles ont été réalisées à partir de cette caractérisation épidémiologique. Elles comprenaient différentes vitesses et morphologies de skieurs, pentes de piste, types et distances jusqu’à l’obstacle afin de mieux comprendre les conditions d’impact appliquées au corps humain.
Résultats
Les victimes des collisions contre obstacles étaient souvent des skieurs, des personnes jeunes, qui portent un casque et jusqu’à 46 % des accidents ont induit des blessures aux régions tête/cou et torse. Les simulations numériques ont confirmé la nécessité de cibler la protection de la tête, de par la forte fréquence des impacts de la tête (68 %), en particulier en première région d’impact (47 %), et des vitesses d’impact normales élevées (30±15km/h). Les impacts du torse (63 % des accidents) sont également à risque. De plus, la vitesse initiale du skieur et la distance avant l’obstacle sont 2 paramètres influençant la gravité de l’impact et devraient être pris en compte dans l’aménagement des pistes. Ainsi, cette étude apporte une caractérisation épidémiologique des victimes des collisions contre obstacles et de leurs blessures. La grande base de données de simulations numériques a également permis d’identifier les conditions d’impacts d’accidents représentatifs. Ces données et conditions d’impact sont essentielles pour l’évaluation et la conception des matelas de protection, pour la révision des normes, pour l’aménagement des pistes, pour la reconstruction d’un accident précis et pour l’évaluation de la gravité potentielle de ces accidents.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114708
in Science & sports > Vol.38 N°8 (décembre 2023) . - p. 807-8017[article] Collisions against obstacles while skiing: Typology of victims and impact conditions = Collisions contre obstacles en ski alpin : typologie des victimes et des conditions d’impact [texte imprimé] / M. Dorsemaine ; M. Llari ; S. Rivelli ; J.-D. Laporte ; C. Jacot ; C. Masson ; P.-J. Arnoux . - 2023 . - p. 807-8017.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°8 (décembre 2023) . - p. 807-8017
Mots-clés : Accidents Épidémiologie Phénomènes biomécaniques Sécurité Ski Ski alpin Résumé : Objectif
Malgré leur sévérité potentielle, les collisions contre obstacles survenant sur les domaines skiables alpins demeurent peu étudiées et une meilleure compréhension de ces accidents est requise afin d’améliorer la protection des usagers fréquentant les domaines skiables. Ainsi, cette étude vise à caractériser les conditions d’impact subies par le corps humain lors de collisions contre obstacles en associant des simulations multi-corps avec une analyse épidémiologique permettant de modéliser des scénarios d’accidents représentatifs.
Matériels et méthodes
En France entre 2014 et 2019, 201 805 accidents de sports d’hiver ont mené à une intervention des pisteurs-secouristes et/ou à une consultation dans un cabinet médical en station. Les 3393 collisions contre obstacles inclues dans ces accidents ont été analysées (population, blessures, conditions d’accident). Puis, 1080 simulations multi-corps de collisions contre obstacles ont été réalisées à partir de cette caractérisation épidémiologique. Elles comprenaient différentes vitesses et morphologies de skieurs, pentes de piste, types et distances jusqu’à l’obstacle afin de mieux comprendre les conditions d’impact appliquées au corps humain.
Résultats
Les victimes des collisions contre obstacles étaient souvent des skieurs, des personnes jeunes, qui portent un casque et jusqu’à 46 % des accidents ont induit des blessures aux régions tête/cou et torse. Les simulations numériques ont confirmé la nécessité de cibler la protection de la tête, de par la forte fréquence des impacts de la tête (68 %), en particulier en première région d’impact (47 %), et des vitesses d’impact normales élevées (30±15km/h). Les impacts du torse (63 % des accidents) sont également à risque. De plus, la vitesse initiale du skieur et la distance avant l’obstacle sont 2 paramètres influençant la gravité de l’impact et devraient être pris en compte dans l’aménagement des pistes. Ainsi, cette étude apporte une caractérisation épidémiologique des victimes des collisions contre obstacles et de leurs blessures. La grande base de données de simulations numériques a également permis d’identifier les conditions d’impacts d’accidents représentatifs. Ces données et conditions d’impact sont essentielles pour l’évaluation et la conception des matelas de protection, pour la révision des normes, pour l’aménagement des pistes, pour la reconstruction d’un accident précis et pour l’évaluation de la gravité potentielle de ces accidents.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114708 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtManifestations rhumatologiques paranéoplasiques en dehors de l'ostéoarthropathie hypertrophiante / C. Masson in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Manifestations rhumatologiques paranéoplasiques en dehors de l'ostéoarthropathie hypertrophiante Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Masson, Auteur ; B. Bouvard, Auteur ; M. Audran, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : 14-295 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndromes paranéoplasiques rhumatologiques Polyarthrite paranéoplasique Hypercalcémie humorale Ostéomalacie paranéoplasique Résumé : Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques, comme tout syndrome paranéoplasique, comportent des signes ou symptômes reliés à une néoplasie (tumeur, cancer, hémopathie) occulte ou déjà reconnue, souvent maligne, mais non obligatoirement maligne. La relation chronologique entre le processus néoplasique et la symptomatologie est fondamentale. Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques ne sont pas expliqués par une compression par la tumeur ou un envahissement synovial ou périarticulaire osseux métastatique. Ils sont différents des situations rhumatologiques systémiques prénéoplasiques. Ils disparaissent quand le patient peut bénéficier d'un traitement radical de sa néoplasie. L'exemple rhumatologique le plus démonstratif est l'ostéoarthropathie hypertrophiante pneumique de Pierre Marie envisagée dans un autre chapitre de l'Encyclopédie Médico-Chirurgicale. Ici les auteurs passent en revue les autres situations de syndromes paranéoplasiques rhumatologiques : le syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer (souvent mais non exclusivement de l'ovaire) ; les syndromes musculaires paranéoplasiques au cours de la dermatomyosite, de la polymyosite, du syndrome myasthénique de Lambert-Eaton et du syndrome de l'homme ou de la personne raide ; les rhumatismes inflammatoires : polyarthrite, pseudomaladie de Still, polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé (RS3PE), pseudopolyarthrite rhizomélique, dans leurs formes très rares paranéoplasiques ; les atteintes vasculaires : érythromélalgie, syndrome de Raynaud, nécrose digitale, vascularite, dans leurs expressions paranéoplasiques ; d'autres présentations cliniques rhumatismales systémiques possiblement paranéoplasiques, comme la polychondrite atrophiante, la réticulohistiocytose multicentrique, le syndrome « panniculite-arthrite » et l'arthropathie amyloïde ; les hypercalcémies paranéoplasiques, en particulier liées à la parathormone-related peptide ; l'ostéomalacie « oncogénique ». Des orientations cliniques et paracliniques sont apportées en fonction de ces différentes situations, notamment pour les pathologies tumorales ou hématologiques envisagées. Note de contenu : Introduction
Syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer
Syndromes musculaires
Dermatomyosite et polymyosite paranéoplasiques
Syndrome myasthénique de Lambert-Eaton
Syndrome de l'homme raide
Rhumatismes inflammatoires paranéoplasiques
Polyarthrite paranéoplasique isolée
« Pseudo- » maladie de Still paranéoplasique
Polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé et cancer
Pseudopolyarthrite rhizomélique et pathologies malignes
Atteintes vasculaires paranéoplasiques
Érythromélalgie paranéoplasique
Syndrome de Raynaud paranéoplasique
Nécrose digitale paranéoplasique
Vascularite paranéoplasique
Autres présentations cliniques rhumatismales systémiques paranéoplasiques
Hypercalcémie paranéoplasique
Hypercalcémie paranéoplasique liée à la « parathormone-related-peptide »
Hypercalcémie paranéoplasique liée à d'autres facteurs humoraux
Ostéomalacie paranéoplasique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44015
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-295 [Tome 5][article] Manifestations rhumatologiques paranéoplasiques en dehors de l'ostéoarthropathie hypertrophiante [texte imprimé] / C. Masson, Auteur ; B. Bouvard, Auteur ; M. Audran, Auteur . - 2005 . - 14-295 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2005) . - 14-295 [Tome 5]
Mots-clés : Syndromes paranéoplasiques rhumatologiques Polyarthrite paranéoplasique Hypercalcémie humorale Ostéomalacie paranéoplasique Résumé : Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques, comme tout syndrome paranéoplasique, comportent des signes ou symptômes reliés à une néoplasie (tumeur, cancer, hémopathie) occulte ou déjà reconnue, souvent maligne, mais non obligatoirement maligne. La relation chronologique entre le processus néoplasique et la symptomatologie est fondamentale. Les syndromes paranéoplasiques rhumatologiques ne sont pas expliqués par une compression par la tumeur ou un envahissement synovial ou périarticulaire osseux métastatique. Ils sont différents des situations rhumatologiques systémiques prénéoplasiques. Ils disparaissent quand le patient peut bénéficier d'un traitement radical de sa néoplasie. L'exemple rhumatologique le plus démonstratif est l'ostéoarthropathie hypertrophiante pneumique de Pierre Marie envisagée dans un autre chapitre de l'Encyclopédie Médico-Chirurgicale. Ici les auteurs passent en revue les autres situations de syndromes paranéoplasiques rhumatologiques : le syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer (souvent mais non exclusivement de l'ovaire) ; les syndromes musculaires paranéoplasiques au cours de la dermatomyosite, de la polymyosite, du syndrome myasthénique de Lambert-Eaton et du syndrome de l'homme ou de la personne raide ; les rhumatismes inflammatoires : polyarthrite, pseudomaladie de Still, polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé (RS3PE), pseudopolyarthrite rhizomélique, dans leurs formes très rares paranéoplasiques ; les atteintes vasculaires : érythromélalgie, syndrome de Raynaud, nécrose digitale, vascularite, dans leurs expressions paranéoplasiques ; d'autres présentations cliniques rhumatismales systémiques possiblement paranéoplasiques, comme la polychondrite atrophiante, la réticulohistiocytose multicentrique, le syndrome « panniculite-arthrite » et l'arthropathie amyloïde ; les hypercalcémies paranéoplasiques, en particulier liées à la parathormone-related peptide ; l'ostéomalacie « oncogénique ». Des orientations cliniques et paracliniques sont apportées en fonction de ces différentes situations, notamment pour les pathologies tumorales ou hématologiques envisagées. Note de contenu : Introduction
Syndrome fasciite palmaire, polyarthrite et cancer
Syndromes musculaires
Dermatomyosite et polymyosite paranéoplasiques
Syndrome myasthénique de Lambert-Eaton
Syndrome de l'homme raide
Rhumatismes inflammatoires paranéoplasiques
Polyarthrite paranéoplasique isolée
« Pseudo- » maladie de Still paranéoplasique
Polyarthrite aiguë oedémateuse bénigne du sujet âgé et cancer
Pseudopolyarthrite rhizomélique et pathologies malignes
Atteintes vasculaires paranéoplasiques
Érythromélalgie paranéoplasique
Syndrome de Raynaud paranéoplasique
Nécrose digitale paranéoplasique
Vascularite paranéoplasique
Autres présentations cliniques rhumatismales systémiques paranéoplasiques
Hypercalcémie paranéoplasique
Hypercalcémie paranéoplasique liée à la « parathormone-related-peptide »
Hypercalcémie paranéoplasique liée à d'autres facteurs humoraux
Ostéomalacie paranéoplasique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44015 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatismes intermittents (en dehors des syndromes auto-inflammatoires) / C. Masson in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2008)
[article]
Titre : Rhumatismes intermittents (en dehors des syndromes auto-inflammatoires) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Masson ; B. Bouvard ; M. Audran Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-210-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhumatismes intermittents Rhumatisme palindromique Hydarthrose périodique Résumé : Les rhumatismes intermittents regroupent des affections diverses se traduisant par des signes articulaires de durée brève qui se répètent sans anomalie articulaire apparente dans l'intervalle des crises. Ces affections fort différentes les unes des autres n'ont d'autres traits communs que le caractère intermittent de leurs manifestations rhumatologiques cliniques. Les trois historiques sont le rhumatisme palindromique isolé ou mode de début d'une polyarthrite rhumatoïde ou plus rarement d'une spondylarthropathie ou d'un lupus érythémateux systémique, la nodulite rhumatoïde et l'hydarthrose périodique. D'autres affections ont possiblement une symptomatologie rhumatismale intermittente : des arthrites liées à des agents pathogènes identifiés (maladies de Lyme et de Whipple), des rhumatismes intermittents de causes diverses, arthrites intermittentes d'origine virale, arthrites intermittentes de la maladie de Behçet, arthrite et para-arthrite de l'urticaire retardée à la pression, rhumatismes intermittents des hyperlipoprotéinémies, arthrites récurrentes des hémoglobinopathies. Dans ce chapitre complexe, nous n'envisageons pas les arthropathies microcristallines (goutte, maladie des dépôts de pyrophosphate de calcium), ainsi que le rhumatisme à apatite, conditions bien différenciées toujours évoquées en première intention chez un patient souffrant d'un rhumatisme intermittent. Nous n'envisageons pas non plus les syndromes auto-inflammatoires. Ces syndromes comportent le tumor necrosis factor receptor associated periodic syndrome (TRAPS) et ses syndromes apparentés, la maladie périodique ou fièvre méditerranéenne familiale, le syndrome hyper-IgD ou fièvre périodique avec hyper-IgD et les cryopyrin associated periodic syndromes (CAPS) incluant l'urticaire au froid familiale, le syndrome de Muckle et Wells et l'entité neonatal onset multisystem inflammatory disease (NOMID) appelée encore chronic infantile neurologic cutaneous and articular (CINCA). L'importance croissante de ces syndromes auto-inflammatoires justifie un chapitre nouveau de l'EMC (14-210-A-20). Note de contenu : Introduction
Rhumatisme palindromique
Définition. Description
Évolution du rhumatisme palindromique
Critères diagnostiques du rhumatisme palindromique et historique du terme
Traitement du rhumatisme palindromique
Nodulite rhumatoïde
Hydarthrose périodique
Arthrites intermittentes d'origine infectieuse
Maladie de Lyme
Maladie de Whipple
Rhumatismes intermittents dans des situations identifiées
Arthralgies ou arthrites intermittentes d'origine virale
Arthrites intermittentes de la maladie de Behçet
Arthrites et para-arthrites de l'urticaire retardée à la pression
Rhumatismes intermittents des hyperlipoprotéinémies
Arthropathies récurrentes des hémoglobinopathies
« Periodic fever aphtous stomatitis pharyngitis adenitis syndrome » et arthrite récurrente familiale de l'enfant
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43970
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2008) . - 14-210-A-10 [Tome 4][article] Rhumatismes intermittents (en dehors des syndromes auto-inflammatoires) [texte imprimé] / C. Masson ; B. Bouvard ; M. Audran . - 2008 . - 14-210-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2008) . - 14-210-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Rhumatismes intermittents Rhumatisme palindromique Hydarthrose périodique Résumé : Les rhumatismes intermittents regroupent des affections diverses se traduisant par des signes articulaires de durée brève qui se répètent sans anomalie articulaire apparente dans l'intervalle des crises. Ces affections fort différentes les unes des autres n'ont d'autres traits communs que le caractère intermittent de leurs manifestations rhumatologiques cliniques. Les trois historiques sont le rhumatisme palindromique isolé ou mode de début d'une polyarthrite rhumatoïde ou plus rarement d'une spondylarthropathie ou d'un lupus érythémateux systémique, la nodulite rhumatoïde et l'hydarthrose périodique. D'autres affections ont possiblement une symptomatologie rhumatismale intermittente : des arthrites liées à des agents pathogènes identifiés (maladies de Lyme et de Whipple), des rhumatismes intermittents de causes diverses, arthrites intermittentes d'origine virale, arthrites intermittentes de la maladie de Behçet, arthrite et para-arthrite de l'urticaire retardée à la pression, rhumatismes intermittents des hyperlipoprotéinémies, arthrites récurrentes des hémoglobinopathies. Dans ce chapitre complexe, nous n'envisageons pas les arthropathies microcristallines (goutte, maladie des dépôts de pyrophosphate de calcium), ainsi que le rhumatisme à apatite, conditions bien différenciées toujours évoquées en première intention chez un patient souffrant d'un rhumatisme intermittent. Nous n'envisageons pas non plus les syndromes auto-inflammatoires. Ces syndromes comportent le tumor necrosis factor receptor associated periodic syndrome (TRAPS) et ses syndromes apparentés, la maladie périodique ou fièvre méditerranéenne familiale, le syndrome hyper-IgD ou fièvre périodique avec hyper-IgD et les cryopyrin associated periodic syndromes (CAPS) incluant l'urticaire au froid familiale, le syndrome de Muckle et Wells et l'entité neonatal onset multisystem inflammatory disease (NOMID) appelée encore chronic infantile neurologic cutaneous and articular (CINCA). L'importance croissante de ces syndromes auto-inflammatoires justifie un chapitre nouveau de l'EMC (14-210-A-20). Note de contenu : Introduction
Rhumatisme palindromique
Définition. Description
Évolution du rhumatisme palindromique
Critères diagnostiques du rhumatisme palindromique et historique du terme
Traitement du rhumatisme palindromique
Nodulite rhumatoïde
Hydarthrose périodique
Arthrites intermittentes d'origine infectieuse
Maladie de Lyme
Maladie de Whipple
Rhumatismes intermittents dans des situations identifiées
Arthralgies ou arthrites intermittentes d'origine virale
Arthrites intermittentes de la maladie de Behçet
Arthrites et para-arthrites de l'urticaire retardée à la pression
Rhumatismes intermittents des hyperlipoprotéinémies
Arthropathies récurrentes des hémoglobinopathies
« Periodic fever aphtous stomatitis pharyngitis adenitis syndrome » et arthrite récurrente familiale de l'enfant
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43970 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndromes auto-inflammatoires / C. Masson in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2008)
[article]
Titre : Syndromes auto-inflammatoires Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Masson ; B. Bouvard ; M. Audran Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-210-A-20 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie auto-inflammatoire Maladie périodique Syndrome hyper-IgD TRAPS CAPS Syndrome de Muckle et Wells Urticaire au froid familiale NOMID CINCA Résumé : Les maladies ou syndromes auto-inflammatoires comprennent la maladie périodique ou fièvre méditerranéenne familiale, le mévalonate associated periodic syndrome (MAPS) appelé classiquement syndrome d'hyperimmunoglobulinémie D (hyper-IgD), le tumor necrosis factor receptor associated periodic syndrome (TRAPS) et ses syndromes apparentés, et les cryopyrin associated periodic syndromes (CAPS) incluant l'urticaire au froid familiale, le syndrome de Muckle et Wells et l'entité neonatal onset multisystem inflammatory disease (NOMID) appelée encore chronic infantile neurologic cutaneous and articular (CINCA). Le but de cet article est de donner une vision globale de l'ensemble de ces entités, en insistant davantage sur le TRAPS et ses formes apparentées. Note de contenu : Introduction
Maladie périodique
MAPS ou syndrome hyper-IgD
TRAPS et syndromes apparentés (
Généralités
Description des accès douloureux du TRAPS
Anomalies biologiques du TRAPS
Évolution et pronostic
Pathogénie du TRAPS
Traitement des patients souffrant de TRAPS
Élargissement du concept TRAPS
Cryopyrinopathies ou cryopyrin associated periodic syndrome
Urticaire au froid familiale
Syndrome de Muckle et Wells
NOMID ou CINCA
Implication de l'inflammasome dans les cryopyrinopathies
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in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2008) . - 14-210-A-20 [Tome 4][article] Syndromes auto-inflammatoires [texte imprimé] / C. Masson ; B. Bouvard ; M. Audran . - 2008 . - 14-210-A-20 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2008) . - 14-210-A-20 [Tome 4]
Mots-clés : Maladie auto-inflammatoire Maladie périodique Syndrome hyper-IgD TRAPS CAPS Syndrome de Muckle et Wells Urticaire au froid familiale NOMID CINCA Résumé : Les maladies ou syndromes auto-inflammatoires comprennent la maladie périodique ou fièvre méditerranéenne familiale, le mévalonate associated periodic syndrome (MAPS) appelé classiquement syndrome d'hyperimmunoglobulinémie D (hyper-IgD), le tumor necrosis factor receptor associated periodic syndrome (TRAPS) et ses syndromes apparentés, et les cryopyrin associated periodic syndromes (CAPS) incluant l'urticaire au froid familiale, le syndrome de Muckle et Wells et l'entité neonatal onset multisystem inflammatory disease (NOMID) appelée encore chronic infantile neurologic cutaneous and articular (CINCA). Le but de cet article est de donner une vision globale de l'ensemble de ces entités, en insistant davantage sur le TRAPS et ses formes apparentées. Note de contenu : Introduction
Maladie périodique
MAPS ou syndrome hyper-IgD
TRAPS et syndromes apparentés (
Généralités
Description des accès douloureux du TRAPS
Anomalies biologiques du TRAPS
Évolution et pronostic
Pathogénie du TRAPS
Traitement des patients souffrant de TRAPS
Élargissement du concept TRAPS
Cryopyrinopathies ou cryopyrin associated periodic syndrome
Urticaire au froid familiale
Syndrome de Muckle et Wells
NOMID ou CINCA
Implication de l'inflammasome dans les cryopyrinopathies
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