Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur P. Vergne-Salle |
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Aspects physiopathologiques de la douleur en rhumatologie / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Aspects physiopathologiques de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-918-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Physiopathologie de la douleur Neurophysiologie de la douleur Mécanismes de la douleur Résumé : L'évolution des connaissances sur les bases neurophysiologiques de la douleur permet de mieux saisir la complexité du phénomène douloureux, très fréquent en rhumatologie. La physiopathologie de la douleur conduit à séparer classiquement trois grands types de douleur: les douleurs nociceptives caractérisées par une stimulation anormale des nocicepteurs périphériques dans un système nerveux normal; les douleurs neuropathiques caractérisées par une lésion du système nerveux à l'origine des phénomènes douloureux, qu'il s'agisse du système nerveux périphérique ou du système nerveux central; les douleurs inclassées ou dysfonctionnelles qui ne relèvent ni d'une stimulation périphérique des nocicepteurs, ni d'une lésion caractérisée du système nerveux. Par ailleurs, les lésions périphériques, par exemple articulaires, peuvent entraîner une hyperexcitabilité des nocicepteurs, pouvant induire secondairement une hyperexcitabilité centrale médullaire. Par ailleurs, la dichotomie entre ces différents types de douleur n'est pas toujours réelle et un bon nombre de douleurs, notamment en rhumatologie, sont mixtes, pouvant associer par exemple une composante nociceptive et une composante neuropathique. Une meilleure connaissance de la physiopathologie des douleurs permet de déterminer des cibles thérapeutiques et d'adapter au mieux la prise en charge thérapeutique.
Note de contenu : Introduction
Mécanismes périphériques
Fibres afférentes
Genèse de la douleur ostéoarticulaire
Projection médullaire des fibres afférentes primaires
Premiers neurones centraux
Neuromédiateurs de la première synapse
Voies ascendantes
Faisceau spinothalamique
Faisceau spinoréticulaire
Faisceau spinomésencéphalique
Structures supraspinales
Formation réticulée bulbaire
Structures thalamiques
Cortex cérébral
Mécanismes de contrôle de la nociception
Contrôles segmentaires
Contrôles d'origine supraspinale
Trois grands types de douleur en rhumatologie
Douleurs nociceptives et sensibilisation secondaire
Physiopathologie de la douleur neuropathique
Douleurs inclassées ou dysfonctionnelles
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41032
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-10 [Tome 7][article] Aspects physiopathologiques de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur . - 2014 . - 15-918-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Physiopathologie de la douleur Neurophysiologie de la douleur Mécanismes de la douleur Résumé : L'évolution des connaissances sur les bases neurophysiologiques de la douleur permet de mieux saisir la complexité du phénomène douloureux, très fréquent en rhumatologie. La physiopathologie de la douleur conduit à séparer classiquement trois grands types de douleur: les douleurs nociceptives caractérisées par une stimulation anormale des nocicepteurs périphériques dans un système nerveux normal; les douleurs neuropathiques caractérisées par une lésion du système nerveux à l'origine des phénomènes douloureux, qu'il s'agisse du système nerveux périphérique ou du système nerveux central; les douleurs inclassées ou dysfonctionnelles qui ne relèvent ni d'une stimulation périphérique des nocicepteurs, ni d'une lésion caractérisée du système nerveux. Par ailleurs, les lésions périphériques, par exemple articulaires, peuvent entraîner une hyperexcitabilité des nocicepteurs, pouvant induire secondairement une hyperexcitabilité centrale médullaire. Par ailleurs, la dichotomie entre ces différents types de douleur n'est pas toujours réelle et un bon nombre de douleurs, notamment en rhumatologie, sont mixtes, pouvant associer par exemple une composante nociceptive et une composante neuropathique. Une meilleure connaissance de la physiopathologie des douleurs permet de déterminer des cibles thérapeutiques et d'adapter au mieux la prise en charge thérapeutique.
Note de contenu : Introduction
Mécanismes périphériques
Fibres afférentes
Genèse de la douleur ostéoarticulaire
Projection médullaire des fibres afférentes primaires
Premiers neurones centraux
Neuromédiateurs de la première synapse
Voies ascendantes
Faisceau spinothalamique
Faisceau spinoréticulaire
Faisceau spinomésencéphalique
Structures supraspinales
Formation réticulée bulbaire
Structures thalamiques
Cortex cérébral
Mécanismes de contrôle de la nociception
Contrôles segmentaires
Contrôles d'origine supraspinale
Trois grands types de douleur en rhumatologie
Douleurs nociceptives et sensibilisation secondaire
Physiopathologie de la douleur neuropathique
Douleurs inclassées ou dysfonctionnelles
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41032 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Douleurs en rhumatologie, aspects physiopathologiques, moyens d'évaluation, moyens thérapeutiques / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2004)
[article]
Titre : Douleurs en rhumatologie, aspects physiopathologiques, moyens d'évaluation, moyens thérapeutiques Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle ; R.-M. Grilo ; P. Bertin Année de publication : 2004 Article en page(s) : 15-918-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur nociceptive Douleur neuropathique Physiopathologie de la douleur Échelles d'évaluation de la douleur Antalgiques Opioïdes, Morphine Résumé : La douleur est le motif majeur de consultation en rhumatologie et plus de la moitié des douleurs chroniques concernent l'appareil musculosquelettique. On distingue classiquement deux mécanismes physiopathologiques : la douleur par excès de nociception (stimulation anormale des nocicepteurs périphériques dans un système nerveux normal) et la douleur neuropathique (lésion du système nerveux à l'origine des phénomènes douloureux). Cette dichotomie n'est pas toujours réelle et un bon nombre de douleurs, notamment en rhumatologie, sont mixtes. L'étape initiale repose sur une évaluation la plus complète possible d'un symptôme subjectif. Dans la douleur aiguë, l'évaluation repose sur des échelles globales (visuelle analogique, verbale et numérique) qui doivent être répétées pour permettre une adaptation rapide du traitement. Dans la douleur chronique, symptomatique d'une affection chronique ou autonomisée (douleur maladie), l'évaluation est plus complexe, pluridimensionnelle faisant intervenir les composantes sensoridiscriminatives, mais également affectivoémotionnelle, cognitive, comportementale, et le contexte familial et socioprofessionnel. La prise en charge thérapeutique repose sur le traitement étiologique lorsque cela est possible, mais également sur les traitements symptomatiques de la douleur regroupant les antalgiques, les coanalgésiques et les traitements antalgiques non médicamenteux. Les douleurs par excès de nociception répondent aux antalgiques. En revanche, les douleurs neuropathiques ou mixtes nécessitent dans la majorité des cas d'associer des coanalgésiques, d'où l'importance de reconnaître la composante neuropathique. Dans les douleurs chroniques, l'amélioration nécessite souvent d'associer plusieurs traitements, des techniques non médicamenteuses, ainsi qu'une prise en charge psychiatrique. Le but de cet article n'est pas de reprendre la totalité de la thérapeutique rhumatologique. Les objectifs sont d'aborder les mécanismes physiopathologiques de la douleur, d'insister sur l'importance de l'évaluation, de voir le traitement symptomatique des douleurs intenses ou rebelles avec les règles pratiques de prescription des antalgiques, et enfin de souligner la part importante des douleurs neuropathiques en rhumatologie et leur prise en charge spécifique. Note de contenu : Résumé
Introduction
Mécanismes physiopathologiques de la douleur
Mécanismes périphériques
Projection médullaire des fibres afférentes primaires
Voies ascendantes
Structures supraspinales
Mécanismes de contrôle de la nociception
Deux grands types de douleur en rhumatologie
Méthodes d'évaluation
Introduction
Évaluation de la douleur aiguë
Évaluation de la douleur chronique
Échelles d'hétéroévaluation
Conclusion
Aspects thérapeutiques
Antalgiques de niveau I
Opioïdes faibles
Antalgique central non opiacé : le néfopam
Opioïdes forts
Traitement des douleurs neuropathiques
Techniques antalgiques non médicamenteuses
Douleur chronique et prise en charge psychiatrique
Intérêts des consultations pluridisciplinaires de la douleur
Spécificités par pathologie
Annexe 1 document de l'Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé pour l'évaluation de la douleur chronique
Annexe 2. Questionnaire de Saint-Antoine abrégé
Annexe 3. Échelle du retentissement émotionnelPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44124
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2004) . - 15-918-A-10 [Tome 7][article] Douleurs en rhumatologie, aspects physiopathologiques, moyens d'évaluation, moyens thérapeutiques [texte imprimé] / P. Vergne-Salle ; R.-M. Grilo ; P. Bertin . - 2004 . - 15-918-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2004) . - 15-918-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Douleur nociceptive Douleur neuropathique Physiopathologie de la douleur Échelles d'évaluation de la douleur Antalgiques Opioïdes, Morphine Résumé : La douleur est le motif majeur de consultation en rhumatologie et plus de la moitié des douleurs chroniques concernent l'appareil musculosquelettique. On distingue classiquement deux mécanismes physiopathologiques : la douleur par excès de nociception (stimulation anormale des nocicepteurs périphériques dans un système nerveux normal) et la douleur neuropathique (lésion du système nerveux à l'origine des phénomènes douloureux). Cette dichotomie n'est pas toujours réelle et un bon nombre de douleurs, notamment en rhumatologie, sont mixtes. L'étape initiale repose sur une évaluation la plus complète possible d'un symptôme subjectif. Dans la douleur aiguë, l'évaluation repose sur des échelles globales (visuelle analogique, verbale et numérique) qui doivent être répétées pour permettre une adaptation rapide du traitement. Dans la douleur chronique, symptomatique d'une affection chronique ou autonomisée (douleur maladie), l'évaluation est plus complexe, pluridimensionnelle faisant intervenir les composantes sensoridiscriminatives, mais également affectivoémotionnelle, cognitive, comportementale, et le contexte familial et socioprofessionnel. La prise en charge thérapeutique repose sur le traitement étiologique lorsque cela est possible, mais également sur les traitements symptomatiques de la douleur regroupant les antalgiques, les coanalgésiques et les traitements antalgiques non médicamenteux. Les douleurs par excès de nociception répondent aux antalgiques. En revanche, les douleurs neuropathiques ou mixtes nécessitent dans la majorité des cas d'associer des coanalgésiques, d'où l'importance de reconnaître la composante neuropathique. Dans les douleurs chroniques, l'amélioration nécessite souvent d'associer plusieurs traitements, des techniques non médicamenteuses, ainsi qu'une prise en charge psychiatrique. Le but de cet article n'est pas de reprendre la totalité de la thérapeutique rhumatologique. Les objectifs sont d'aborder les mécanismes physiopathologiques de la douleur, d'insister sur l'importance de l'évaluation, de voir le traitement symptomatique des douleurs intenses ou rebelles avec les règles pratiques de prescription des antalgiques, et enfin de souligner la part importante des douleurs neuropathiques en rhumatologie et leur prise en charge spécifique. Note de contenu : Résumé
Introduction
Mécanismes physiopathologiques de la douleur
Mécanismes périphériques
Projection médullaire des fibres afférentes primaires
Voies ascendantes
Structures supraspinales
Mécanismes de contrôle de la nociception
Deux grands types de douleur en rhumatologie
Méthodes d'évaluation
Introduction
Évaluation de la douleur aiguë
Évaluation de la douleur chronique
Échelles d'hétéroévaluation
Conclusion
Aspects thérapeutiques
Antalgiques de niveau I
Opioïdes faibles
Antalgique central non opiacé : le néfopam
Opioïdes forts
Traitement des douleurs neuropathiques
Techniques antalgiques non médicamenteuses
Douleur chronique et prise en charge psychiatrique
Intérêts des consultations pluridisciplinaires de la douleur
Spécificités par pathologie
Annexe 1 document de l'Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé pour l'évaluation de la douleur chronique
Annexe 2. Questionnaire de Saint-Antoine abrégé
Annexe 3. Échelle du retentissement émotionnelPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44124 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-840-G-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lomboradiculalgie postopératoire Douleur postopératoire Douleur chronique Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Résumé : Les douleurs lombaires et/ou radiculaires après chirurgie du rachis, nommées sous le terme anglo-saxon de failed back surgery syndrome, regroupent une constellation d'états pathologiques complexes multifactoriels où la douleur persiste au-delà de 3 mois après une chirurgie du rachis. Sa prise en charge repose sur une enquête minutieuse des caractéristiques de la douleur, du mode de survenue, des éléments cliniques et paracliniques préopératoires, des facteurs de chronicisation et des comorbidités associées. L'imagerie par résonance magnétique est l'examen d'imagerie de choix qui permet d'explorer tout d'abord une complication précoce infectieuse ou hémorragique, puis ensuite permet de faire un bilan lésionnel, notamment rechercher une récidive d'hernie discale, une absence de fusion vertébrale, des discopathies dégénératives, une sténose canalaire foraminale ou centrale, etc. Fréquemment, les lésions sont minimes et la discordance entre douleur, incapacité et imagerie peu parlante doit faire rechercher une douleur neuropathique. Quels que soient les facteurs étiologiques, l'évaluation et la prise en charge sont le plus souvent multidisciplinaires, favorisant le traitement médical en première intention. Celui-ci associe une réadaptation fonctionnelle, un traitement médicamenteux antalgique, antiépileptique ou antidépresseur en cas de douleur neuropathique, de la neurostimulation transcutanée, une prise en charge des troubles cognitifs, psychologiques ou des facteurs socioprofessionnels. Les indications d'une reprise chirurgicale sont peu fréquentes et doivent être discutées avec un chirurgien après évaluation complète clinique et paraclinique. Note de contenu : Introduction
Étiologies
Douleurs postopératoires d'apparition immédiate ou à court terme
Douleurs postopératoires à moyen et long terme
Évaluation
Caractéristiques de la douleur et histoire de la maladie
Évaluation clinique
Évaluation paraclinique
Prise en charge des douleurs du rachis opéré
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43462
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-840-G-10 [Tome 7][article] Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical [texte imprimé] / P. Vergne-Salle . - 2016 . - 15-840-G-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-840-G-10 [Tome 7]
Mots-clés : Lomboradiculalgie postopératoire Douleur postopératoire Douleur chronique Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Résumé : Les douleurs lombaires et/ou radiculaires après chirurgie du rachis, nommées sous le terme anglo-saxon de failed back surgery syndrome, regroupent une constellation d'états pathologiques complexes multifactoriels où la douleur persiste au-delà de 3 mois après une chirurgie du rachis. Sa prise en charge repose sur une enquête minutieuse des caractéristiques de la douleur, du mode de survenue, des éléments cliniques et paracliniques préopératoires, des facteurs de chronicisation et des comorbidités associées. L'imagerie par résonance magnétique est l'examen d'imagerie de choix qui permet d'explorer tout d'abord une complication précoce infectieuse ou hémorragique, puis ensuite permet de faire un bilan lésionnel, notamment rechercher une récidive d'hernie discale, une absence de fusion vertébrale, des discopathies dégénératives, une sténose canalaire foraminale ou centrale, etc. Fréquemment, les lésions sont minimes et la discordance entre douleur, incapacité et imagerie peu parlante doit faire rechercher une douleur neuropathique. Quels que soient les facteurs étiologiques, l'évaluation et la prise en charge sont le plus souvent multidisciplinaires, favorisant le traitement médical en première intention. Celui-ci associe une réadaptation fonctionnelle, un traitement médicamenteux antalgique, antiépileptique ou antidépresseur en cas de douleur neuropathique, de la neurostimulation transcutanée, une prise en charge des troubles cognitifs, psychologiques ou des facteurs socioprofessionnels. Les indications d'une reprise chirurgicale sont peu fréquentes et doivent être discutées avec un chirurgien après évaluation complète clinique et paraclinique. Note de contenu : Introduction
Étiologies
Douleurs postopératoires d'apparition immédiate ou à court terme
Douleurs postopératoires à moyen et long terme
Évaluation
Caractéristiques de la douleur et histoire de la maladie
Évaluation clinique
Évaluation paraclinique
Prise en charge des douleurs du rachis opéré
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43462 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-918-A-12 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Évaluation de la douleur Évaluation unidimensionnelle de la douleur Évaluation pluridimensionnelle de la douleur Autoévaluation de la douleur Évaluation de la douleur chronique Résumé : La douleur est le motif majeur de consultation en rhumatologie et plus de la moitié des douleurs chroniques concernent l'appareil musculosquelettique. L'évaluation est une étape primordiale dans la prise en charge de toute douleur. Dans la douleur aiguë, elle repose sur l'autoévaluation unidimensionnelle de l'intensité douloureuse qui doit être répétée pour permettre une adaptation rapide du traitement. Dans la douleur chronique, symptomatique d'une affection chronique ou autonomisée (douleur maladie), l'évaluation est plus complexe, pluridimensionnelle faisant intervenir les composantes sensorielle, mais également émotionnelle, cognitive, comportementale, ainsi que le contexte familial et socioprofessionnel. L'évaluation bien conduite et précise permet d'établir une relation empathique avec le patient. Dans la douleur chronique, elle permet d'orienter la prise en charge thérapeutique du patient en isolant les diverses composantes d'une douleur et en évaluant leur poids respectif. Ainsi elle orientera vers certains traitements médicamenteux ou plutôt vers des techniques antalgiques non médicamenteuses. L'évaluation doit être répétée pour un ajustement de la prise en charge thérapeutique, de façon très rapprochée dans une douleur aiguë, et régulièrement dans une douleur chronique dont le poids respectif des différentes composantes peut se modifier dans le temps. Note de contenu : Introduction
Évaluation de la douleur aiguë
Évaluation de la douleur chronique
Échelles d'hétéroévaluation
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41033
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-12 [Tome 7][article] Moyens d'évaluation de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur . - 2014 . - 15-918-A-12 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-12 [Tome 7]
Mots-clés : Évaluation de la douleur Évaluation unidimensionnelle de la douleur Évaluation pluridimensionnelle de la douleur Autoévaluation de la douleur Évaluation de la douleur chronique Résumé : La douleur est le motif majeur de consultation en rhumatologie et plus de la moitié des douleurs chroniques concernent l'appareil musculosquelettique. L'évaluation est une étape primordiale dans la prise en charge de toute douleur. Dans la douleur aiguë, elle repose sur l'autoévaluation unidimensionnelle de l'intensité douloureuse qui doit être répétée pour permettre une adaptation rapide du traitement. Dans la douleur chronique, symptomatique d'une affection chronique ou autonomisée (douleur maladie), l'évaluation est plus complexe, pluridimensionnelle faisant intervenir les composantes sensorielle, mais également émotionnelle, cognitive, comportementale, ainsi que le contexte familial et socioprofessionnel. L'évaluation bien conduite et précise permet d'établir une relation empathique avec le patient. Dans la douleur chronique, elle permet d'orienter la prise en charge thérapeutique du patient en isolant les diverses composantes d'une douleur et en évaluant leur poids respectif. Ainsi elle orientera vers certains traitements médicamenteux ou plutôt vers des techniques antalgiques non médicamenteuses. L'évaluation doit être répétée pour un ajustement de la prise en charge thérapeutique, de façon très rapprochée dans une douleur aiguë, et régulièrement dans une douleur chronique dont le poids respectif des différentes composantes peut se modifier dans le temps. Note de contenu : Introduction
Évaluation de la douleur aiguë
Évaluation de la douleur chronique
Échelles d'hétéroévaluation
Déclaration d'intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41033 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traitements de la douleur en rhumatologie / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Traitements de la douleur en rhumatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-918-A-14 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Traitements antalgiques Coanalgésiques Traitements non médicamenteux de la douleur Prise en charge des douleurs Résumé : La prise en charge thérapeutique de la douleur en rhumatologie repose avant tout sur le traitement étiologique lorsque cela est possible, mais aussi sur les traitements symptomatiques de la douleur regroupant les antalgiques, les coanalgésiques et les techniques antalgiques non médicamenteuses. La prise en charge d'une douleur aiguë ne devrait plus reposer sur les paliers de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais être adaptée rapidement à son intensité pour obtenir une antalgie rapide quitte à débuter d'emblée par un palier II ou III. L'optimisation de la prise en charge thérapeutique d'une douleur chronique est obtenue en recherchant soigneusement les mécanismes de la douleur parfois très différents chez les patients consultant en rhumatologie. En effet, les douleurs nociceptives répondent mieux aux antalgiques, les douleurs neuropathiques ou mixtes nécessitent dans la majorité des cas d'associer des coanalgésiques, d'où l'importance de reconnaître la composante neuropathique. Dans les douleurs chroniques, l'évaluation multidimensionnelle permet de cibler les interventions thérapeutiques et conduit fréquemment à associer thérapeutiques médicamenteuses et techniques antalgiques non médicamenteuses qui prennent une place croissante dans la prise en charge des patients. Seront abordés successivement les différents traitements de la douleur à la fois médicamenteux et non médicamenteux, puis la stratégie thérapeutique dans certaines situations spécifiques comme les rhumatismes inflammatoires, l'arthrose, les rachialgies, l'ostéoporose fracturaire, les douleurs neuropathiques et les syndromes douloureux chroniques.
Note de contenu : Thérapeutiques antalgiques médicamenteuses
Antalgiques de palier I
Antalgiques opioïdes faibles de palier II
Antalgiques opioïdes forts de palier III
Antalgique central non opiacé : le néfopam
Antiépileptiques
Antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline
Traitements locaux
Autres thérapeutiques
Vers une nouvelle classification des antalgiques
Thérapeutiques antalgiques non médicamenteuses
Techniques cognitivo-comportementales
Prise en charge psychologique
Neurostimulation transcutanée
Recours à un centre de la douleur
Stratégies thérapeutiques de prise en charge de la douleur
Douleurs des rhumatismes inflammatoires
Douleurs de l'arthrose
Douleurs du rachis
Douleur de l'ostéoporose fracturaire
Douleurs neuropathiques ou mixtes
Syndromes douloureux chroniquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41034
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-14 [Tome 7][article] Traitements de la douleur en rhumatologie [texte imprimé] / P. Vergne-Salle, Auteur ; P. Beaulieu, Auteur ; A. Coutaux, Auteur . - 2014 . - 15-918-A-14 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-918-A-14 [Tome 7]
Mots-clés : Douleurs rhumatologiques Douleurs ostéoarticulaires Traitements antalgiques Coanalgésiques Traitements non médicamenteux de la douleur Prise en charge des douleurs Résumé : La prise en charge thérapeutique de la douleur en rhumatologie repose avant tout sur le traitement étiologique lorsque cela est possible, mais aussi sur les traitements symptomatiques de la douleur regroupant les antalgiques, les coanalgésiques et les techniques antalgiques non médicamenteuses. La prise en charge d'une douleur aiguë ne devrait plus reposer sur les paliers de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais être adaptée rapidement à son intensité pour obtenir une antalgie rapide quitte à débuter d'emblée par un palier II ou III. L'optimisation de la prise en charge thérapeutique d'une douleur chronique est obtenue en recherchant soigneusement les mécanismes de la douleur parfois très différents chez les patients consultant en rhumatologie. En effet, les douleurs nociceptives répondent mieux aux antalgiques, les douleurs neuropathiques ou mixtes nécessitent dans la majorité des cas d'associer des coanalgésiques, d'où l'importance de reconnaître la composante neuropathique. Dans les douleurs chroniques, l'évaluation multidimensionnelle permet de cibler les interventions thérapeutiques et conduit fréquemment à associer thérapeutiques médicamenteuses et techniques antalgiques non médicamenteuses qui prennent une place croissante dans la prise en charge des patients. Seront abordés successivement les différents traitements de la douleur à la fois médicamenteux et non médicamenteux, puis la stratégie thérapeutique dans certaines situations spécifiques comme les rhumatismes inflammatoires, l'arthrose, les rachialgies, l'ostéoporose fracturaire, les douleurs neuropathiques et les syndromes douloureux chroniques.
Note de contenu : Thérapeutiques antalgiques médicamenteuses
Antalgiques de palier I
Antalgiques opioïdes faibles de palier II
Antalgiques opioïdes forts de palier III
Antalgique central non opiacé : le néfopam
Antiépileptiques
Antidépresseurs tricycliques et inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline
Traitements locaux
Autres thérapeutiques
Vers une nouvelle classification des antalgiques
Thérapeutiques antalgiques non médicamenteuses
Techniques cognitivo-comportementales
Prise en charge psychologique
Neurostimulation transcutanée
Recours à un centre de la douleur
Stratégies thérapeutiques de prise en charge de la douleur
Douleurs des rhumatismes inflammatoires
Douleurs de l'arthrose
Douleurs du rachis
Douleur de l'ostéoporose fracturaire
Douleurs neuropathiques ou mixtes
Syndromes douloureux chroniquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41034 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire