Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.38 N°3Paru le : 01/07/2024 |
Exemplaires
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierHistologie et physiologie de la membrane synoviale / S. Nasi in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Histologie et physiologie de la membrane synoviale Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Nasi ; Hang-Korng Ea Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-004-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Membrane synoviale Synoviocytes fibroblastiques Synoviocytes macrophagiques Liquide synovial Acide hyaluronique Marqueurs biologiques Résumé : La membrane synoviale est composée de tissu conjonctif et tapisse la face interne des articulations diarthrodiales, des gaines des tendons et des bourses. Elle est composée d'une couche intimale superficielle et d'une couche profonde. La première est formée d'une à 4 assises de synoviocytes fibroblastiques et macrophagiques. La membrane synoviale est vascularisée et innervée, et a plusieurs rôles : elle permet la lubrification et la nutrition du cartilage articulaire par la production du liquide synovial ; régule la pression et la température locales ; assure à l'articulation un mouvement indolore et joue un rôle dans la défense et la réponse immunitaire intra-articulaire. En effet, les synoviocytes macrophagiques peuvent phagocyter et éliminer les débris et les pathogènes intra-articulaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118825
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-004-A-10 [Tome 1][article] Histologie et physiologie de la membrane synoviale [texte imprimé] / S. Nasi ; Hang-Korng Ea . - 2024 . - p. 14-004-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-004-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Membrane synoviale Synoviocytes fibroblastiques Synoviocytes macrophagiques Liquide synovial Acide hyaluronique Marqueurs biologiques Résumé : La membrane synoviale est composée de tissu conjonctif et tapisse la face interne des articulations diarthrodiales, des gaines des tendons et des bourses. Elle est composée d'une couche intimale superficielle et d'une couche profonde. La première est formée d'une à 4 assises de synoviocytes fibroblastiques et macrophagiques. La membrane synoviale est vascularisée et innervée, et a plusieurs rôles : elle permet la lubrification et la nutrition du cartilage articulaire par la production du liquide synovial ; régule la pression et la température locales ; assure à l'articulation un mouvement indolore et joue un rôle dans la défense et la réponse immunitaire intra-articulaire. En effet, les synoviocytes macrophagiques peuvent phagocyter et éliminer les débris et les pathogènes intra-articulaires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118825 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Polychondrite atrophiante / J. Tennenbaum in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Polychondrite atrophiante Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Tennenbaum ; A. Michon Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-245-C10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Polychondrite atrophiante Cartilage Syndrome myélodysplasique VEXAS Résumé : La polychondrite atrophiante se caractérise par des épisodes inflammatoires du cartilage des oreilles, du nez, du larynx et de l'arbre trachéobronchique dont la répétition peut aboutir à la fibrose et la déformation du cartilage. Les chondrites laryngées et trachéobronchiques sont particulièrement graves, en raison du risque vital qu'elles font courir, et doivent être suspectées devant l'apparition d'une dyspnée. L'atteinte cartilagineuse ne résume pas cette affection, qui peut être responsable de diverses manifestations systémiques : polyarthrite aiguë intermittente et non érosive, épisclérite, insuffisance aortique et lésions des gros troncs artériels, atteinte audiovestibulaire, manifestations cutanées et neurologiques variées. Un syndrome myélodysplasique est fréquent chez les patients de plus de 60 ans, et il a récemment été découvert qu'environ la moitié d'entre eux étaient porteurs de mutations somatiques de UBA1, responsable du syndrome VEXAS (vacuoles, E1 enzyme, X-linked, autoinflammatory, somatic), en particulier les hommes âgés présentant une maladie sévère. Les signes biologiques observés, syndrome inflammatoire et hyperleucocytose, ne sont pas spécifiques, et les anticorps anticartilage ou anticollagène de type II sont inconstants. L'examen histologique du cartilage, non nécessaire au diagnostic, montre au début de la maladie une infiltration par des cellules lymphoplasmocytaires et macrophagiques. L'évolution de la maladie se fait généralement par poussées intermittentes. L'atteinte laryngotrachéale et l'association à un syndrome myélodysplasique sont les principaux facteurs pronostiques. Le traitement repose avant tout sur les corticoïdes, et les immunosuppresseurs dans les formes les plus graves ou en cas de corticodépendance. L'expérience des biothérapies reste mitigée. Un recours à un agent hypométhylant est recommandé en cas d'association à un syndrome myélodysplasique ou au syndrome VEXAS. Les chirurgies laryngotrachéale et cardiovasculaire sont parfois nécessaires dans les formes graves de la maladie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118826
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-245-C10 [Tome 4][article] Polychondrite atrophiante [texte imprimé] / J. Tennenbaum ; A. Michon . - 2024 . - p. 14-245-C10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-245-C10 [Tome 4]
Mots-clés : Polychondrite atrophiante Cartilage Syndrome myélodysplasique VEXAS Résumé : La polychondrite atrophiante se caractérise par des épisodes inflammatoires du cartilage des oreilles, du nez, du larynx et de l'arbre trachéobronchique dont la répétition peut aboutir à la fibrose et la déformation du cartilage. Les chondrites laryngées et trachéobronchiques sont particulièrement graves, en raison du risque vital qu'elles font courir, et doivent être suspectées devant l'apparition d'une dyspnée. L'atteinte cartilagineuse ne résume pas cette affection, qui peut être responsable de diverses manifestations systémiques : polyarthrite aiguë intermittente et non érosive, épisclérite, insuffisance aortique et lésions des gros troncs artériels, atteinte audiovestibulaire, manifestations cutanées et neurologiques variées. Un syndrome myélodysplasique est fréquent chez les patients de plus de 60 ans, et il a récemment été découvert qu'environ la moitié d'entre eux étaient porteurs de mutations somatiques de UBA1, responsable du syndrome VEXAS (vacuoles, E1 enzyme, X-linked, autoinflammatory, somatic), en particulier les hommes âgés présentant une maladie sévère. Les signes biologiques observés, syndrome inflammatoire et hyperleucocytose, ne sont pas spécifiques, et les anticorps anticartilage ou anticollagène de type II sont inconstants. L'examen histologique du cartilage, non nécessaire au diagnostic, montre au début de la maladie une infiltration par des cellules lymphoplasmocytaires et macrophagiques. L'évolution de la maladie se fait généralement par poussées intermittentes. L'atteinte laryngotrachéale et l'association à un syndrome myélodysplasique sont les principaux facteurs pronostiques. Le traitement repose avant tout sur les corticoïdes, et les immunosuppresseurs dans les formes les plus graves ou en cas de corticodépendance. L'expérience des biothérapies reste mitigée. Un recours à un agent hypométhylant est recommandé en cas d'association à un syndrome myélodysplasique ou au syndrome VEXAS. Les chirurgies laryngotrachéale et cardiovasculaire sont parfois nécessaires dans les formes graves de la maladie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118826 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Manifestations ostéoarticulaires de l'amylose / M. Delplanque in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Manifestations ostéoarticulaires de l'amylose Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Delplanque Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-278-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Amylose Amylose AL Transthyrétine β 2-microglobuline Syndrome du canal carpien Canal lombaire rétréci Rupture du long biceps Pseudopolyarthrite rhumatoïde Résumé : Plusieurs variétés d'amyloses intéressent l'appareil ostéoarticulaire : les amyloses AL (light chain amyloidosis), les amyloses héréditaires à transthyrétine (ATTR) et à β2-microglobuline. Les manifestations ostéoarticulaires de l'amylose sont importantes à connaître car bien qu'elles n'engagent pas le pronostic vital, elles peuvent révéler cette maladie dont le diagnostic est souvent porté tardivement. Les dépôts intéressent les structures articulaires et périarticulaires. La présentation de l'amylose AL est polymorphe mais la forme la plus fréquente est une polyarthrite bilatérale symétrique, d'installation progressive affectant préférentiellement les épaules, les poignets, les métacarpophalangiennes, les interphalangiennes proximales et les genoux, qui peut ressembler à une polyarthrite rhumatoïde. Le syndrome du canal carpien est fréquent et souvent révélateur. Plus rarement, l'amylose AL peut mimer une pseudopolyarthrite rhizomélique, voire une maladie de Horton. L'atteinte musculaire s'exprime par un déficit moteur. L'infiltration de ostéomédullaire est fréquente, souvent asymptomatique mais peut se présenter sous la forme d'une tumeur osseuse (amyloïdome). L'amylose à β2-microglobuline ne survient que chez les malades dialysés chroniques. Elle est devenue exceptionnelle en France depuis les progrès techniques de l'épuration et surtout le développement de la greffe rénale. Elle s'exprime aussi par un syndrome du canal carpien, des arthropathies chroniques et surtout par une spondylarthropathie destructrice. L'ATTR, dans sa forme génétique comme dans sa forme sénile, est aussi une cause de syndrome du canal carpien et de canal lombaire rétréci. La rupture du long biceps peut révéler une ATTR sénile. Des dépôts amyloïdes sont observés dans les structures articulaires au cours du vieillissement (ménisques, cartilages, disques intervertébraux, articulations). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118827
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-278-A-10 [Tome 5][article] Manifestations ostéoarticulaires de l'amylose [texte imprimé] / M. Delplanque . - 2024 . - p. 14-278-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-278-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Amylose Amylose AL Transthyrétine β 2-microglobuline Syndrome du canal carpien Canal lombaire rétréci Rupture du long biceps Pseudopolyarthrite rhumatoïde Résumé : Plusieurs variétés d'amyloses intéressent l'appareil ostéoarticulaire : les amyloses AL (light chain amyloidosis), les amyloses héréditaires à transthyrétine (ATTR) et à β2-microglobuline. Les manifestations ostéoarticulaires de l'amylose sont importantes à connaître car bien qu'elles n'engagent pas le pronostic vital, elles peuvent révéler cette maladie dont le diagnostic est souvent porté tardivement. Les dépôts intéressent les structures articulaires et périarticulaires. La présentation de l'amylose AL est polymorphe mais la forme la plus fréquente est une polyarthrite bilatérale symétrique, d'installation progressive affectant préférentiellement les épaules, les poignets, les métacarpophalangiennes, les interphalangiennes proximales et les genoux, qui peut ressembler à une polyarthrite rhumatoïde. Le syndrome du canal carpien est fréquent et souvent révélateur. Plus rarement, l'amylose AL peut mimer une pseudopolyarthrite rhizomélique, voire une maladie de Horton. L'atteinte musculaire s'exprime par un déficit moteur. L'infiltration de ostéomédullaire est fréquente, souvent asymptomatique mais peut se présenter sous la forme d'une tumeur osseuse (amyloïdome). L'amylose à β2-microglobuline ne survient que chez les malades dialysés chroniques. Elle est devenue exceptionnelle en France depuis les progrès techniques de l'épuration et surtout le développement de la greffe rénale. Elle s'exprime aussi par un syndrome du canal carpien, des arthropathies chroniques et surtout par une spondylarthropathie destructrice. L'ATTR, dans sa forme génétique comme dans sa forme sénile, est aussi une cause de syndrome du canal carpien et de canal lombaire rétréci. La rupture du long biceps peut révéler une ATTR sénile. Des dépôts amyloïdes sont observés dans les structures articulaires au cours du vieillissement (ménisques, cartilages, disques intervertébraux, articulations). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118827 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoporose cortisonique / A. Mercier-Guery in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Ostéoporose cortisonique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Mercier-Guery Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-024-A-40 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoporose Fracture Glucocorticoïde Bisphosphonates Tériparatides Densité minérale osseuse Recommandations Résumé : L'ostéoporose cortisonique est le résultat de modifications directes et indirectes de l'homéostasie osseuse amenant à un déséquilibre rapide et majeur de la balance formation/résorption osseuse avec une augmentation temporaire de la résorption osseuse suivie d'une réduction durable de l'ostéoformation. Néanmoins, les indications d'une corticothérapie sont larges et on déplore un manque de mise en place des mesures de prévention primaire et secondaire recommandées, amenant à une majoration de la morbimortalité. La survenue rapide dans les 3 à 6 premiers mois de traitement d'une dégradation qualitative et quantitative de l'os, notamment trabéculaire, amène à la survenue de fractures vertébrales au premier plan et ce dès les plus faibles doses de corticothérapie (2,5 mg/j) avec un effet dose-dépendant. Une évaluation du risque osseux est nécessaire devant toute corticothérapie de plus de 3 mois intégrant l'évaluation des facteurs de risque osseux, une biologie à la recherche de causes surajoutées d'ostéoporose secondaire et une évaluation de la densitométrie osseuse. Au-delà des mesures de supplémentations vitaminocalciques, l'initiation précoce d'un traitement préventif ne doit pas être retardée et doit composer avec trois molécules en France, le risédronate, le zolédronate et le tériparatide, qui ont démontré leur efficacité respective. Il existe des différences d'attitude en Suisse, en Belgique et avec les dernières recommandations de l'American College of Rheumatology. En pédiatrie, il existe un manque d'étude afin de valider une attitude thérapeutique préventive par bisphosphonates. Dans le cadre d'un hypercortisolisme, l'évaluation de la fragilité osseuse doit être réalisée et doit faire envisager l'initiation de bisphosphonates. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118828
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-024-A-40 [Tome 1][article] Ostéoporose cortisonique [texte imprimé] / A. Mercier-Guery . - 2024 . - p. 14-024-A-40 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 14-024-A-40 [Tome 1]
Mots-clés : Ostéoporose Fracture Glucocorticoïde Bisphosphonates Tériparatides Densité minérale osseuse Recommandations Résumé : L'ostéoporose cortisonique est le résultat de modifications directes et indirectes de l'homéostasie osseuse amenant à un déséquilibre rapide et majeur de la balance formation/résorption osseuse avec une augmentation temporaire de la résorption osseuse suivie d'une réduction durable de l'ostéoformation. Néanmoins, les indications d'une corticothérapie sont larges et on déplore un manque de mise en place des mesures de prévention primaire et secondaire recommandées, amenant à une majoration de la morbimortalité. La survenue rapide dans les 3 à 6 premiers mois de traitement d'une dégradation qualitative et quantitative de l'os, notamment trabéculaire, amène à la survenue de fractures vertébrales au premier plan et ce dès les plus faibles doses de corticothérapie (2,5 mg/j) avec un effet dose-dépendant. Une évaluation du risque osseux est nécessaire devant toute corticothérapie de plus de 3 mois intégrant l'évaluation des facteurs de risque osseux, une biologie à la recherche de causes surajoutées d'ostéoporose secondaire et une évaluation de la densitométrie osseuse. Au-delà des mesures de supplémentations vitaminocalciques, l'initiation précoce d'un traitement préventif ne doit pas être retardée et doit composer avec trois molécules en France, le risédronate, le zolédronate et le tériparatide, qui ont démontré leur efficacité respective. Il existe des différences d'attitude en Suisse, en Belgique et avec les dernières recommandations de l'American College of Rheumatology. En pédiatrie, il existe un manque d'étude afin de valider une attitude thérapeutique préventive par bisphosphonates. Dans le cadre d'un hypercortisolisme, l'évaluation de la fragilité osseuse doit être réalisée et doit faire envisager l'initiation de bisphosphonates. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118828 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndrome des loges chroniques à l'effort / A. Frey in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Syndrome des loges chroniques à l'effort Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Frey Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-110-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome de loge Mesure de pression des loges Douleurs des membres inférieurs Fasciotomie Résumé : Le syndrome de loge chronique (SLC) reste une entité souvent méconnue et nécessite de réaliser un interrogatoire minutieux devant des douleurs de jambe ou d'avant-bras survenant lors d'efforts répétitifs. On recherchera la typologie de la douleur, les sensations que ressent le patient et comment ces douleurs s'amendent à l'arrêt de l'effort. La loge la plus souvent touchée est la loge antérieure de la jambe. Généralement, les symptômes sont bilatéraux. La clinique reste pauvre en dehors de l'effort, ce qui peut contraster avec d'autres diagnostics différentiels qui peuvent être douloureux au repos. Les examens complémentaires seront utiles pour éliminer les autres diagnostics. Le seul examen à ce jour validé est la mesure des pressions des loges musculaires incriminées au repos puis juste après un effort qui reproduit la douleur. L'imagerie par résonance magnétique comme l'échographie sont en cours d'investigations pour démontrer la présence d'un SLC. Le traitement médical peut reposer sur l'arrêt ou la diminution de l'activité physique responsable des douleurs, l'analyse de la course à pied et un bilan podologique pour les SLC des jambes. Mais dans la plupart des cas de SLC, le traitement chirurgical est le traitement reconnu dans la littérature, avec la réalisation d'une fasciotomie le plus souvent par voie arthroscopique. Les complications restent peu fréquentes. Le retour à l'activité physique s'effectue en moyenne entre 3 et 6 semaines après le geste. Les récidives existent (environ 10-20 %) selon les séries et nécessitent une reprise chirurgicale par la réalisation d'une fasciotomie plus large après une nouvelle mesure des pressions. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118829
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 15-110-A-10 [Tome 6][article] Syndrome des loges chroniques à l'effort [texte imprimé] / A. Frey . - 2024 . - p. 15-110-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 15-110-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Syndrome de loge Mesure de pression des loges Douleurs des membres inférieurs Fasciotomie Résumé : Le syndrome de loge chronique (SLC) reste une entité souvent méconnue et nécessite de réaliser un interrogatoire minutieux devant des douleurs de jambe ou d'avant-bras survenant lors d'efforts répétitifs. On recherchera la typologie de la douleur, les sensations que ressent le patient et comment ces douleurs s'amendent à l'arrêt de l'effort. La loge la plus souvent touchée est la loge antérieure de la jambe. Généralement, les symptômes sont bilatéraux. La clinique reste pauvre en dehors de l'effort, ce qui peut contraster avec d'autres diagnostics différentiels qui peuvent être douloureux au repos. Les examens complémentaires seront utiles pour éliminer les autres diagnostics. Le seul examen à ce jour validé est la mesure des pressions des loges musculaires incriminées au repos puis juste après un effort qui reproduit la douleur. L'imagerie par résonance magnétique comme l'échographie sont en cours d'investigations pour démontrer la présence d'un SLC. Le traitement médical peut reposer sur l'arrêt ou la diminution de l'activité physique responsable des douleurs, l'analyse de la course à pied et un bilan podologique pour les SLC des jambes. Mais dans la plupart des cas de SLC, le traitement chirurgical est le traitement reconnu dans la littérature, avec la réalisation d'une fasciotomie le plus souvent par voie arthroscopique. Les complications restent peu fréquentes. Le retour à l'activité physique s'effectue en moyenne entre 3 et 6 semaines après le geste. Les récidives existent (environ 10-20 %) selon les séries et nécessitent une reprise chirurgicale par la réalisation d'une fasciotomie plus large après une nouvelle mesure des pressions. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118829 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Enthèses : notions fondamentales / L. Pina Vegas in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°3 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Enthèses : notions fondamentales Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Pina Vegas ; P. Claudepierre Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-147-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Enthèse Enthésite Anatomie Physiologie Résumé : L'enthèse, zone d'insertion d'un tendon, d'un ligament, d'une capsule ou d'un fascia sur un os, joue un rôle crucial dans les fonctions articulaires. Elle permet notamment de répartir les forces sur l'ensemble de la surface osseuse et d'assurer un ancrage solide dans l'os. La répartition anatomique des enthèses est ubiquitaire, ce qui explique le polymorphisme clinique et radiologique des maladies liées à ce tissu complexe. Chef de file de ces pathologies, la spondyloarthrite est caractérisée par une atteinte inflammatoire de l'enthèse, appelée enthésite. Les progrès récents dans la compréhension des mécanismes immunologiques et cellulaires spécifiques sous-tendant l'atteinte enthésitique mais aussi les progrès dans le domaine de l'imagerie ont permis de mieux appréhender cette entité et ont ouvert de nouvelles perspectives dans le développement de stratégies thérapeutiques ciblées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118830
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 15-147-A-10 [Tome 6][article] Enthèses : notions fondamentales [texte imprimé] / L. Pina Vegas ; P. Claudepierre . - 2024 . - p. 15-147-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°3 (Juillet 2024) . - p. 15-147-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Enthèse Enthésite Anatomie Physiologie Résumé : L'enthèse, zone d'insertion d'un tendon, d'un ligament, d'une capsule ou d'un fascia sur un os, joue un rôle crucial dans les fonctions articulaires. Elle permet notamment de répartir les forces sur l'ensemble de la surface osseuse et d'assurer un ancrage solide dans l'os. La répartition anatomique des enthèses est ubiquitaire, ce qui explique le polymorphisme clinique et radiologique des maladies liées à ce tissu complexe. Chef de file de ces pathologies, la spondyloarthrite est caractérisée par une atteinte inflammatoire de l'enthèse, appelée enthésite. Les progrès récents dans la compréhension des mécanismes immunologiques et cellulaires spécifiques sous-tendant l'atteinte enthésitique mais aussi les progrès dans le domaine de l'imagerie ont permis de mieux appréhender cette entité et ont ouvert de nouvelles perspectives dans le développement de stratégies thérapeutiques ciblées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118830 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire