Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
EMC : Appareil locomoteur . Vol.38 N°2Paru le : 01/05/2024 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLiquide synovial normal et pathologique / T. Bardin in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Liquide synovial normal et pathologique Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Bardin ; J. Damiano ; Hang-Korng Ea Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-001-L-50 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Liquide articulaire Liquide synovial Arthrite Arthrose Rhumatisme inflammatoire Arthrite infectieuse Microcristaux Résumé : L'examen du liquide articulaire est une étape clé du diagnostic en rhumatologie. Le compte cellulaire doit être fait peu après la ponction et permet d'orienter le diagnostic vers un rhumatisme inflammatoire lorsque la cellularité dépasse 2000 éléments/mm3 ou vers une affection mécanique lorsqu'elle est inférieure à 1000 éléments/mm3. L'examen bactériologique doit être réalisé en urgence, avant toute antibiothérapie, en cas de suspicion d'arthrite septique. La mise en évidence du germe par l'examen direct ou la culture permet un diagnostic de certitude d'arthrite infectieuse et oriente le traitement antibiotique. La recherche de microcristaux est un procédé rapide et peu coûteux de diagnostic d'arthrite microcristalline. L'examen doit se faire sur un liquide frais, entre lame et lamelle, au microscope à lumière ordinaire, puis en lumière polarisée. L'équipement du microscope d'un compensateur et d'une platine tournante permet une identification plus fiable des urates de sodium, négativement biréfringents, et des pyrophosphates de calcium dihydratés, positivement biréfringents. D'autres cristaux (cholestérol, oxalate, cortisoniques, etc.) peuvent aussi être identifiés. Diverses sources d'artefact doivent être évitées, notamment la présence de cristaux d'anticoagulants, ce qui conduit à recueillir le liquide sur quelques gouttes d'héparinate de sodium ou de citrate. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117601
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-001-L-50 [Tome 1][article] Liquide synovial normal et pathologique [texte imprimé] / T. Bardin ; J. Damiano ; Hang-Korng Ea . - 2024 . - p. 14-001-L-50 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-001-L-50 [Tome 1]
Mots-clés : Liquide articulaire Liquide synovial Arthrite Arthrose Rhumatisme inflammatoire Arthrite infectieuse Microcristaux Résumé : L'examen du liquide articulaire est une étape clé du diagnostic en rhumatologie. Le compte cellulaire doit être fait peu après la ponction et permet d'orienter le diagnostic vers un rhumatisme inflammatoire lorsque la cellularité dépasse 2000 éléments/mm3 ou vers une affection mécanique lorsqu'elle est inférieure à 1000 éléments/mm3. L'examen bactériologique doit être réalisé en urgence, avant toute antibiothérapie, en cas de suspicion d'arthrite septique. La mise en évidence du germe par l'examen direct ou la culture permet un diagnostic de certitude d'arthrite infectieuse et oriente le traitement antibiotique. La recherche de microcristaux est un procédé rapide et peu coûteux de diagnostic d'arthrite microcristalline. L'examen doit se faire sur un liquide frais, entre lame et lamelle, au microscope à lumière ordinaire, puis en lumière polarisée. L'équipement du microscope d'un compensateur et d'une platine tournante permet une identification plus fiable des urates de sodium, négativement biréfringents, et des pyrophosphates de calcium dihydratés, positivement biréfringents. D'autres cristaux (cholestérol, oxalate, cortisoniques, etc.) peuvent aussi être identifiés. Diverses sources d'artefact doivent être évitées, notamment la présence de cristaux d'anticoagulants, ce qui conduit à recueillir le liquide sur quelques gouttes d'héparinate de sodium ou de citrate. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117601 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures et pseudarthroses isolées du scaphoïde carpien / F.-A. Lecoq in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Fractures et pseudarthroses isolées du scaphoïde carpien Type de document : texte imprimé Auteurs : F.-A. Lecoq ; C. Chaves ; Y. Kerjean ; P. Bellemère Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-046-B-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Scaphoïde Poignet Carpe Fractures Pseudarthrose Greffes Résumé : Le scaphoïde est l'os du carpe présentant la plus haute incidence de fractures et de pseudarthroses du fait de sa topographie, de sa vascularisation, de ses particularités biomécaniques et de ses rapports avec les articulations radiocarpienne et médiocarpienne. Devant un traumatisme du poignet, un examen clinique et des examens complémentaires sont nécessaires pour affirmer le caractère récent d'une fracture, pour apprécier son déplacement et pour repérer un retard ou une absence de consolidation (pseudarthrose), une nécrose avasculaire et d'éventuelles complications dégénératives. La principale complication de ces fractures est la pseudarthrose, qui évolue à moyen ou long terme vers une arthrose en l'absence de traitement. La nécessité d'avoir une bonne réduction articulaire et les difficultés de consolidation osseuse du scaphoïde expliquent l'importance du traitement chirurgical dans la prise en charge de ces fractures. Néanmoins, le traitement orthopédique conserve tout son intérêt dans les fractures non déplacées, du fait de sa simplicité et de sa fiabilité, tout en limitant le risque de complications. Un sevrage tabagique complet doit être associé à toute prise en charge des fractures et pseudarthroses du scaphoïde, car il reste le principal facteur pronostique modifiable de la consolidation osseuse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117603
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-046-B-10 [Tome 3][article] Fractures et pseudarthroses isolées du scaphoïde carpien [texte imprimé] / F.-A. Lecoq ; C. Chaves ; Y. Kerjean ; P. Bellemère . - 2024 . - p. 14-046-B-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-046-B-10 [Tome 3]
Mots-clés : Scaphoïde Poignet Carpe Fractures Pseudarthrose Greffes Résumé : Le scaphoïde est l'os du carpe présentant la plus haute incidence de fractures et de pseudarthroses du fait de sa topographie, de sa vascularisation, de ses particularités biomécaniques et de ses rapports avec les articulations radiocarpienne et médiocarpienne. Devant un traumatisme du poignet, un examen clinique et des examens complémentaires sont nécessaires pour affirmer le caractère récent d'une fracture, pour apprécier son déplacement et pour repérer un retard ou une absence de consolidation (pseudarthrose), une nécrose avasculaire et d'éventuelles complications dégénératives. La principale complication de ces fractures est la pseudarthrose, qui évolue à moyen ou long terme vers une arthrose en l'absence de traitement. La nécessité d'avoir une bonne réduction articulaire et les difficultés de consolidation osseuse du scaphoïde expliquent l'importance du traitement chirurgical dans la prise en charge de ces fractures. Néanmoins, le traitement orthopédique conserve tout son intérêt dans les fractures non déplacées, du fait de sa simplicité et de sa fiabilité, tout en limitant le risque de complications. Un sevrage tabagique complet doit être associé à toute prise en charge des fractures et pseudarthroses du scaphoïde, car il reste le principal facteur pronostique modifiable de la consolidation osseuse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117603 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures, entorses et luxations des doigts / Alexandre Fournier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Fractures, entorses et luxations des doigts Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Fournier (1987-....) ; Y. Bouju ; V. Lestienne ; Y. Tanwin ; P. Bellemère Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-047-C-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture de phalange Luxation de doigt Entorse de doigt Traitement orthopédique Ostéosynthèse Résumé : Les fractures, entorses et luxations des doigts sont des traumatismes très fréquents aux mécanismes variés. Leur prise en charge repose souvent sur un traitement orthopédique ou fonctionnel qui doit être bien réalisé et suivi. Les manœuvres de réduction, l'ostéosynthèse ou les sutures ligamentaires doivent être maîtrisée avec leurs spécificités. Malgré l'apparente bénignité de ces lésions, la prise en charge diagnostique, thérapeutique et le suivi doivent être rigoureux pour éviter les complications à titre de raideur, d'instabilité ou de cal vicieux pourvoyeur de clinodactylie et de troubles de rotation. Ces complications peuvent avoir des conséquences fonctionnelles et professionnelles importantes, avec des chirurgies secondaires souvent difficiles aux résultats imparfaits. Sont abordées ici l'ensemble de ces pathologies dans un but diagnostique et thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117604
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-047-C-10 [Tome 3][article] Fractures, entorses et luxations des doigts [texte imprimé] / Alexandre Fournier (1987-....) ; Y. Bouju ; V. Lestienne ; Y. Tanwin ; P. Bellemère . - 2024 . - p. 14-047-C-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-047-C-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture de phalange Luxation de doigt Entorse de doigt Traitement orthopédique Ostéosynthèse Résumé : Les fractures, entorses et luxations des doigts sont des traumatismes très fréquents aux mécanismes variés. Leur prise en charge repose souvent sur un traitement orthopédique ou fonctionnel qui doit être bien réalisé et suivi. Les manœuvres de réduction, l'ostéosynthèse ou les sutures ligamentaires doivent être maîtrisée avec leurs spécificités. Malgré l'apparente bénignité de ces lésions, la prise en charge diagnostique, thérapeutique et le suivi doivent être rigoureux pour éviter les complications à titre de raideur, d'instabilité ou de cal vicieux pourvoyeur de clinodactylie et de troubles de rotation. Ces complications peuvent avoir des conséquences fonctionnelles et professionnelles importantes, avec des chirurgies secondaires souvent difficiles aux résultats imparfaits. Sont abordées ici l'ensemble de ces pathologies dans un but diagnostique et thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117604 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Luxation congénitale de la hanche / V. Rampal in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Luxation congénitale de la hanche Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Rampal Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-226-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Enfant Congénital Luxation Traitement Résumé : La luxation congénitale de la hanche (LCH) est un ensemble d'anomalies de développement de la hanche d'origine congénitale. Du fait de sa fréquence, de l'existence de traitements efficaces appliqués précocement, et de la mauvaise tolérance fonctionnelle à moyen et long terme liée à l'absence de traitement adapté, il est indispensable d'entreprendre un dépistage et un traitement de la LCH au plus tôt. Dans cette mise au point, un rappel d'embryologie de la hanche et d'anatomie normale à la naissance et au cours du développement est d'abord exposé. Les différents facteurs étiologiques ainsi que l'histoire naturelle de la LCH sont ensuite décrits. L'examen clinique est détaillé de manière exhaustive, puisque le dépistage repose essentiellement sur celui-ci, et qu'il ne se résume pas au classique signe du ressaut. Les modalités d'exploration paraclinique, consistant essentiellement en l'échographie et la radiographie, sont ensuite détaillées. Ces moyens d'imagerie qui peuvent aider au diagnostic font partie intégrante de la stratégie de dépistage. Les modalités thérapeutiques s'appuient sur un principe simple qui est celui de la posture de recentrage en abduction et rotation interne. Ce principe permet d'expliquer les différentes méthodes de traitement orthopédique, qu'elles soient ambulatoires, telles que le langeage en abduction ou le harnais de Pavlik, en hospitalisation (traction progressive) ou chirurgicales. Les indications thérapeutiques doivent être adaptées à la fois en fonction de l'âge de l'enfant et en fonction des constatations cliniques et paracliniques des anomalies. Le traitement de la LCH est pourvoyeur de complications ; elles sont évoquées dans leur ensemble, en insistant plus particulièrement sur l'ostéochondrite postréductionnelle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117605
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 15-226-A-10 [Tome 6][article] Luxation congénitale de la hanche [texte imprimé] / V. Rampal . - 2024 . - p. 15-226-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 15-226-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Hanche Enfant Congénital Luxation Traitement Résumé : La luxation congénitale de la hanche (LCH) est un ensemble d'anomalies de développement de la hanche d'origine congénitale. Du fait de sa fréquence, de l'existence de traitements efficaces appliqués précocement, et de la mauvaise tolérance fonctionnelle à moyen et long terme liée à l'absence de traitement adapté, il est indispensable d'entreprendre un dépistage et un traitement de la LCH au plus tôt. Dans cette mise au point, un rappel d'embryologie de la hanche et d'anatomie normale à la naissance et au cours du développement est d'abord exposé. Les différents facteurs étiologiques ainsi que l'histoire naturelle de la LCH sont ensuite décrits. L'examen clinique est détaillé de manière exhaustive, puisque le dépistage repose essentiellement sur celui-ci, et qu'il ne se résume pas au classique signe du ressaut. Les modalités d'exploration paraclinique, consistant essentiellement en l'échographie et la radiographie, sont ensuite détaillées. Ces moyens d'imagerie qui peuvent aider au diagnostic font partie intégrante de la stratégie de dépistage. Les modalités thérapeutiques s'appuient sur un principe simple qui est celui de la posture de recentrage en abduction et rotation interne. Ce principe permet d'expliquer les différentes méthodes de traitement orthopédique, qu'elles soient ambulatoires, telles que le langeage en abduction ou le harnais de Pavlik, en hospitalisation (traction progressive) ou chirurgicales. Les indications thérapeutiques doivent être adaptées à la fois en fonction de l'âge de l'enfant et en fonction des constatations cliniques et paracliniques des anomalies. Le traitement de la LCH est pourvoyeur de complications ; elles sont évoquées dans leur ensemble, en insistant plus particulièrement sur l'ostéochondrite postréductionnelle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117605 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lombalgies discovertébrales communes / L. Jacob in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Lombalgies discovertébrales communes Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Jacob ; Johann Beaudreuil Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-840-C-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgies communes Épidémiologie Pathogénie Imagerie Formes anatomo-cliniques Traitement Résumé : Les lombalgies discovertébrales communes ou, plus simplement, lombalgies communes, sont extrêmement fréquentes et représentent 90 % des causes de lombalgie. Leur prévalence et leur retentissement font qu'elles constituent la première cause de limitation d'activité exprimée en années de vie passées avec incapacité chez l'adulte. Elles sont définies par l'exclusion d'affections extrarachidiennes, rachidiennes inflammatoires, tumorales, infectieuses ou fracturaires. En pratique, la démarche conduisant au diagnostic de lombalgie commune est une démarche clinique. Elle peut être aidée par l'imagerie dans un but avant tout différentiel. Le traitement d'une lombalgie commune aiguë, appelée également lumbago, comprend la médication contre la douleur, la réassurance et le maintien des activités autant que faire se peut. La résolution rapide est la règle générale, mais une minorité de patients peut évoluer vers la persistance, au-delà de 4 semaines, voire vers la chronicité. La prise en charge comprend alors, outre le traitement de la douleur, celui des facteurs psychosociaux liés à la chronicité lorsqu'ils sont présents, la massokinésithérapie et, dans les formes récalcitrantes, les programmes multidisciplinaires. Ces derniers réduisent la limitation d'activité dans l'indication des lombalgies communes chroniques les plus invalidantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117606
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 15-840-C-10 [Tome 7][article] Lombalgies discovertébrales communes [texte imprimé] / L. Jacob ; Johann Beaudreuil . - 2024 . - p. 15-840-C-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 15-840-C-10 [Tome 7]
Mots-clés : Lombalgies communes Épidémiologie Pathogénie Imagerie Formes anatomo-cliniques Traitement Résumé : Les lombalgies discovertébrales communes ou, plus simplement, lombalgies communes, sont extrêmement fréquentes et représentent 90 % des causes de lombalgie. Leur prévalence et leur retentissement font qu'elles constituent la première cause de limitation d'activité exprimée en années de vie passées avec incapacité chez l'adulte. Elles sont définies par l'exclusion d'affections extrarachidiennes, rachidiennes inflammatoires, tumorales, infectieuses ou fracturaires. En pratique, la démarche conduisant au diagnostic de lombalgie commune est une démarche clinique. Elle peut être aidée par l'imagerie dans un but avant tout différentiel. Le traitement d'une lombalgie commune aiguë, appelée également lumbago, comprend la médication contre la douleur, la réassurance et le maintien des activités autant que faire se peut. La résolution rapide est la règle générale, mais une minorité de patients peut évoluer vers la persistance, au-delà de 4 semaines, voire vers la chronicité. La prise en charge comprend alors, outre le traitement de la douleur, celui des facteurs psychosociaux liés à la chronicité lorsqu'ils sont présents, la massokinésithérapie et, dans les formes récalcitrantes, les programmes multidisciplinaires. Ces derniers réduisent la limitation d'activité dans l'indication des lombalgies communes chroniques les plus invalidantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117606 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire