Centre de Documentation Campus Montignies
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Atteintes rénales d'origine immunologique Mention de date : mars 2024
Paru le : 01/03/2024
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article]
Titre : |
Gammapathies monoclonales de signification rénale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Virginie Pascal ; Vincent Javaugue ; Sebastien Bender ; Christophe Sirac ; Frank Bridoux |
Année de publication : |
2024 |
Article en page(s) : |
p. 24-35 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00106-0 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
bilan immunologique biopsie rénale immunoglobuline monoclonale MGRS, néphrotoxicité |
Résumé : |
Les gammapathies monoclonales de signification rénale (MGRS pour Monoclonal gammopathy of renal significance) sont définies par l’association d’un petit clone B et d’une néphropathie induite par l’immunoglobuline monoclonale (IgMo) sécrétée. La néphrotoxicité des IgMo est dictée par leurs caractéristiques physicochimiques et fait intervenir des mécanismes directs (dépôt) ou indirects. Les néphropathies des MGRS sont classées en trois groupes selon la composition et l’aspect ultra structural des dépôts, la plus fréquente étant l’amylose AL, définie par des dépôts organisés fibrillaires de chaînes légères (CL) monoclonales. Le diagnostic, évoqué par les manifestations rénales et extra-rénales, nécessite une confirmation histologique avec étude en microscopie optique, immunofluorescence et microscopie électronique d’une biopsie rénale. La précocité du diagnostic et l’obtention rapide d’une réponse hématologique profonde par un traitement ciblant le clone conditionnent le pronostic. Un bilan immunologique et hématologique approfondi est donc requis pour caractériser l’IgMo pathogène (électrophorèse et immunofixation sérique et urinaire, dosage des CL libres sériques) et identifier le clone sous-jacent, souvent plasmocytaire (étude de la moelle osseuse en cytométrie de flux, cytogénétique). Cette revue fait le point sur les avancées récentes dans le diagnostic des MGRS en mettant l’accent sur les nouvelles méthodes (biologie moléculaire, protéomique) qui devraient faciliter la prise en charge de ces pathologies rares et complexes. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116736 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 24-35
[article] Gammapathies monoclonales de signification rénale [texte imprimé] / Virginie Pascal ; Vincent Javaugue ; Sebastien Bender ; Christophe Sirac ; Frank Bridoux . - 2024 . - p. 24-35. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00106-0 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 24-35
Mots-clés : |
bilan immunologique biopsie rénale immunoglobuline monoclonale MGRS, néphrotoxicité |
Résumé : |
Les gammapathies monoclonales de signification rénale (MGRS pour Monoclonal gammopathy of renal significance) sont définies par l’association d’un petit clone B et d’une néphropathie induite par l’immunoglobuline monoclonale (IgMo) sécrétée. La néphrotoxicité des IgMo est dictée par leurs caractéristiques physicochimiques et fait intervenir des mécanismes directs (dépôt) ou indirects. Les néphropathies des MGRS sont classées en trois groupes selon la composition et l’aspect ultra structural des dépôts, la plus fréquente étant l’amylose AL, définie par des dépôts organisés fibrillaires de chaînes légères (CL) monoclonales. Le diagnostic, évoqué par les manifestations rénales et extra-rénales, nécessite une confirmation histologique avec étude en microscopie optique, immunofluorescence et microscopie électronique d’une biopsie rénale. La précocité du diagnostic et l’obtention rapide d’une réponse hématologique profonde par un traitement ciblant le clone conditionnent le pronostic. Un bilan immunologique et hématologique approfondi est donc requis pour caractériser l’IgMo pathogène (électrophorèse et immunofixation sérique et urinaire, dosage des CL libres sériques) et identifier le clone sous-jacent, souvent plasmocytaire (étude de la moelle osseuse en cytométrie de flux, cytogénétique). Cette revue fait le point sur les avancées récentes dans le diagnostic des MGRS en mettant l’accent sur les nouvelles méthodes (biologie moléculaire, protéomique) qui devraient faciliter la prise en charge de ces pathologies rares et complexes. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=116736 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Complément dans les glomérulopathies à dépôts de C3 : exploration et conséquences thérapeutiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexis Couasnard ; Marie-Agnès Dragon-Durey ; Carine El Sissy |
Année de publication : |
2024 |
Article en page(s) : |
p. 36-44 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00107-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
auto-anticorps C3 complément glomérulopathie |
Résumé : |
Les glomérulopathies à C3 sont des pathologies chroniques rares dont le diagnostic repose sur la présence de dépôts glomérulaires prédominants de C3. Elles représentent moins de 5 % des glomérulopathies primitives. Ce sont des néphropathies sévères touchant le plus souvent l’enfant et l’adulte jeune qui, au diagnostic, présentent un syndrome glomérulaire mais près de 50 % développent une insuffisance rénale terminale après dix ans d’évolution.
Ces pathologies sont secondaires à une dérégulation de la C3 convertase alterne (C3bBb) aboutissant à une activité excessive de cette enzyme qui clive le C3. Les patients présentent fréquemment une baisse du C3 plasmatique et une augmentation du C5b-9 soluble. Cette dérégulation est majoritairement liée à la présence d’auto-anticorps dirigés contre la C3 convertase alterne : le C3 nephritic factor (C3NeF), ou d’anticorps anti-C3b, anti-facteur B, anti-C5 convertase (C5NeF) ou dirigés contre la protéine de régulation, le facteur H. Les anomalies génétiques sont rares et surtout identifiées dans les formes familiales.
Le traitement n’est pas spécifique de la GC3. Il vise à contrôler l’inflammation glomérulaire et à éliminer les autoanticorps. L’éculizumab, qui bloque la cascade au niveau de C5, a montré un effet anti-inflammatoire histologique mais une efficacité clinique variable. Des essais cliniques de phase I/II, utilisant des inhibiteurs à différents niveaux de la cascade, représentent un espoir pour le traitement des GC3. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116739 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 36-44
[article] Complément dans les glomérulopathies à dépôts de C3 : exploration et conséquences thérapeutiques [texte imprimé] / Alexis Couasnard ; Marie-Agnès Dragon-Durey ; Carine El Sissy . - 2024 . - p. 36-44. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00107-2 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 36-44
Mots-clés : |
auto-anticorps C3 complément glomérulopathie |
Résumé : |
Les glomérulopathies à C3 sont des pathologies chroniques rares dont le diagnostic repose sur la présence de dépôts glomérulaires prédominants de C3. Elles représentent moins de 5 % des glomérulopathies primitives. Ce sont des néphropathies sévères touchant le plus souvent l’enfant et l’adulte jeune qui, au diagnostic, présentent un syndrome glomérulaire mais près de 50 % développent une insuffisance rénale terminale après dix ans d’évolution.
Ces pathologies sont secondaires à une dérégulation de la C3 convertase alterne (C3bBb) aboutissant à une activité excessive de cette enzyme qui clive le C3. Les patients présentent fréquemment une baisse du C3 plasmatique et une augmentation du C5b-9 soluble. Cette dérégulation est majoritairement liée à la présence d’auto-anticorps dirigés contre la C3 convertase alterne : le C3 nephritic factor (C3NeF), ou d’anticorps anti-C3b, anti-facteur B, anti-C5 convertase (C5NeF) ou dirigés contre la protéine de régulation, le facteur H. Les anomalies génétiques sont rares et surtout identifiées dans les formes familiales.
Le traitement n’est pas spécifique de la GC3. Il vise à contrôler l’inflammation glomérulaire et à éliminer les autoanticorps. L’éculizumab, qui bloque la cascade au niveau de C5, a montré un effet anti-inflammatoire histologique mais une efficacité clinique variable. Des essais cliniques de phase I/II, utilisant des inhibiteurs à différents niveaux de la cascade, représentent un espoir pour le traitement des GC3. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=116739 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Glomérulonéphrite extramembraneuse : outils diagnostiques, pronostiques et d’aide à la décision thérapeutique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marion Cremoni ; Maxime Teisseyre ; Nathalie Seitz |
Année de publication : |
2024 |
Article en page(s) : |
p. 45-53 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00108-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
anticorps anti-PLA2RI anticorps anti-rituximab glomérulonéphrite extramembraneuse protéinurie rituximabémie |
Résumé : |
La glomérulonéphrite extramembraneuse est une maladie auto-immune rénale rare principalement causée par des auto-anticorps dirigés contre des antigènes podocytaires, au premier rang desquels les anticorps anti-PLA2R1. L’évolution de la maladie est extrêmement variable d’un patient à l’autre, entre la rémission clinique spontanée et l’évolution vers l’insuffisance rénale chronique terminale nécessitant le recours à la dialyse ou la transplantation rénale en l’absence de traitement immunosuppresseur. De récents outils biologiques, en particulier d’immunomonitoring, ont permis une avancée majeure dans la prise en charge diagnostique, pronostique et thérapeutique, et sont désormais recommandés en pratique clinique quotidienne. Ainsi, la surveillance de la protéinurie, de l’albuminémie, de la fonction rénale et des anticorps anti-PLA2R1 fait partie intégrante des recommandations internationales de prise en charge des glomérulonéphrites extramembraneuses. Le dosage du rituximab sérique résiduel et la recherche des anticorps anti-rituximab s’imposent également depuis peu dans les recommandations nationales françaises. D’autres outils biologiques peuvent également s’avérer utiles dans certains cas, mais ne sont disponibles que dans de rares centres experts. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116740 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 45-53
[article] Glomérulonéphrite extramembraneuse : outils diagnostiques, pronostiques et d’aide à la décision thérapeutique [texte imprimé] / Marion Cremoni ; Maxime Teisseyre ; Nathalie Seitz . - 2024 . - p. 45-53. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00108-4 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 45-53
Mots-clés : |
anticorps anti-PLA2RI anticorps anti-rituximab glomérulonéphrite extramembraneuse protéinurie rituximabémie |
Résumé : |
La glomérulonéphrite extramembraneuse est une maladie auto-immune rénale rare principalement causée par des auto-anticorps dirigés contre des antigènes podocytaires, au premier rang desquels les anticorps anti-PLA2R1. L’évolution de la maladie est extrêmement variable d’un patient à l’autre, entre la rémission clinique spontanée et l’évolution vers l’insuffisance rénale chronique terminale nécessitant le recours à la dialyse ou la transplantation rénale en l’absence de traitement immunosuppresseur. De récents outils biologiques, en particulier d’immunomonitoring, ont permis une avancée majeure dans la prise en charge diagnostique, pronostique et thérapeutique, et sont désormais recommandés en pratique clinique quotidienne. Ainsi, la surveillance de la protéinurie, de l’albuminémie, de la fonction rénale et des anticorps anti-PLA2R1 fait partie intégrante des recommandations internationales de prise en charge des glomérulonéphrites extramembraneuses. Le dosage du rituximab sérique résiduel et la recherche des anticorps anti-rituximab s’imposent également depuis peu dans les recommandations nationales françaises. D’autres outils biologiques peuvent également s’avérer utiles dans certains cas, mais ne sont disponibles que dans de rares centres experts. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116740 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Le HELLP syndrome dans tous ses états |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Romain Fort |
Année de publication : |
2024 |
Article en page(s) : |
p. 54-60 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00109-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
complément grossesse hémolyse microangiopathie thrombopénie |
Résumé : |
Le HELLP syndrome qui a été décrit pour la première fois en 1982 repose sur une triade biologique associant une hémolyse biologique, une cytolyse et une thrombopénie périphérique. Le HELLP complique souvent une préclampsie, et se manifeste préférentiellement à la fin de la grossesse, voire en post-partum. La physiopathologie repose sur un défaut d’implantation trophoblastique, à l’origine d’une ischémie placentaire et de lésions endotheliales. De récentes publications mettent en avant la probable implication du complément dans la physiopathologie, mimant ainsi la clinique d’une microangiopathie thrombotique non placentaire (de type PTT et SHUa). Cela pourrait expliquer en partie l’incidence de l’insuffisance rénale qui n’est pas rare dans cette maladie (30 % des cas) ; et qui est bien souvent source d’erreur de diagnostic. Certains auteurs préconisent même de parler maintenant de maladie médiée ou non par le complément, sur l’hypothèse que dans certaines situations il y aurait une suractivation de la voie alterne. Or à ce jour, aucun test rapide d’activation du complément n’est disponible, et ce diagnostic repose sur des faisceaux d’arguments biologiques qui manquent de sensibilité et de spécificité. Cette piste de réflexion pourrait permettre d’ouvrir l’arsenal thérapeutique de cette pathologie, qui repose actuellement seulement sur l’interruption de grossesse. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116741 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 54-60
[article] Le HELLP syndrome dans tous ses états [texte imprimé] / Romain Fort . - 2024 . - p. 54-60. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00109-6 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 54-60
Mots-clés : |
complément grossesse hémolyse microangiopathie thrombopénie |
Résumé : |
Le HELLP syndrome qui a été décrit pour la première fois en 1982 repose sur une triade biologique associant une hémolyse biologique, une cytolyse et une thrombopénie périphérique. Le HELLP complique souvent une préclampsie, et se manifeste préférentiellement à la fin de la grossesse, voire en post-partum. La physiopathologie repose sur un défaut d’implantation trophoblastique, à l’origine d’une ischémie placentaire et de lésions endotheliales. De récentes publications mettent en avant la probable implication du complément dans la physiopathologie, mimant ainsi la clinique d’une microangiopathie thrombotique non placentaire (de type PTT et SHUa). Cela pourrait expliquer en partie l’incidence de l’insuffisance rénale qui n’est pas rare dans cette maladie (30 % des cas) ; et qui est bien souvent source d’erreur de diagnostic. Certains auteurs préconisent même de parler maintenant de maladie médiée ou non par le complément, sur l’hypothèse que dans certaines situations il y aurait une suractivation de la voie alterne. Or à ce jour, aucun test rapide d’activation du complément n’est disponible, et ce diagnostic repose sur des faisceaux d’arguments biologiques qui manquent de sensibilité et de spécificité. Cette piste de réflexion pourrait permettre d’ouvrir l’arsenal thérapeutique de cette pathologie, qui repose actuellement seulement sur l’interruption de grossesse. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116741 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
[article]
Titre : |
Immunosuppresseurs en transplantation rénale : mécanismes d’action et suivi biologique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jonathan Visentin ; Lionel Couzi ; Stéphane Bouchet |
Année de publication : |
2024 |
Article en page(s) : |
p. 61-70 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00110-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
immunosuppresseur lymphocyte rein suivi biologique transplantation |
Résumé : |
La transplantation rénale est le traitement de choix de l’insuffisance rénale terminale. La transplantation d’un organe issu d’un donneur génétiquement différent initie une activation du système immunitaire du receveur, en particulier des lymphocytes T (LyT), contre les cellules du greffon. Ceci correspond au phénomène d’alloréactivité à l’origine des rejets. La mise au point de traitements immunosuppresseurs actifs sur ces LyT ont permis de réduire l’incidence des rejets, conduisant ainsi à une augmentation de la survie des organes transplantés. Les protocoles d’immunosuppression associent des traitements d’induction, puis les traitements d’entretien qu’il faut prendre tout au long de la vie. Cet article présente les mécanismes d’action des immunosuppresseurs ainsi que les schémas thérapeutiques utilisés en pratique courante. Sont exposés le suivi biologique de ces traitements, les interactions pouvant altérer leur maintien dans les cibles thérapeutiques, ainsi que leurs conséquences biologiques qui justifient la mise en œuvre d’une surveillance biologique spécifique et individualisée. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116742 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 61-70
[article] Immunosuppresseurs en transplantation rénale : mécanismes d’action et suivi biologique [texte imprimé] / Jonathan Visentin ; Lionel Couzi ; Stéphane Bouchet . - 2024 . - p. 61-70. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00110-2 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 560 (mars 2024) . - p. 61-70
Mots-clés : |
immunosuppresseur lymphocyte rein suivi biologique transplantation |
Résumé : |
La transplantation rénale est le traitement de choix de l’insuffisance rénale terminale. La transplantation d’un organe issu d’un donneur génétiquement différent initie une activation du système immunitaire du receveur, en particulier des lymphocytes T (LyT), contre les cellules du greffon. Ceci correspond au phénomène d’alloréactivité à l’origine des rejets. La mise au point de traitements immunosuppresseurs actifs sur ces LyT ont permis de réduire l’incidence des rejets, conduisant ainsi à une augmentation de la survie des organes transplantés. Les protocoles d’immunosuppression associent des traitements d’induction, puis les traitements d’entretien qu’il faut prendre tout au long de la vie. Cet article présente les mécanismes d’action des immunosuppresseurs ainsi que les schémas thérapeutiques utilisés en pratique courante. Sont exposés le suivi biologique de ces traitements, les interactions pouvant altérer leur maintien dans les cibles thérapeutiques, ainsi que leurs conséquences biologiques qui justifient la mise en œuvre d’une surveillance biologique spécifique et individualisée. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=116742 |
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