Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Décembre 2023
Paru le : 01/12/2023
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Le rôle de l’IPA en santé mentale dans l’accompagnement des patients souffrant de handicap psychique pour une transition vers l’Ehpad, une revue de littérature |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Fatiha Hmimou ; Claude-Alexandre Fournier ; Marlène Arbutina ; Vincent Javaugue ; Hélène Seegers |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 549-560 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Infirmières praticiennes Soins de transition Pratique infirmière avancée Résidences pour personnes âgées maison de retraite médicalisée /France Sujet âgé Personnes handicapées Transfert de patient Psychiatrie Revue de la littérature |
Résumé : |
Contexte?: La transition d’un foyer d’accueil médicalisé (FAM) vers une maison de retraite est un moment difficile pour les personnes handicapées vieillissantes. Passé l’âge charnière des 60 ans, ces personnes sont réorientées afin de fluidifier les parcours de soins de la filière psychiatrique. Le manque de préparation à ce changement peut affecter à la fois les personnes et l’équipe de l’institution qui les reçoit.
Objectifs?: Comment améliorer ces pratiques?? Comment l’infirmière de pratique avancée (IPA) mention « psychiatrie et santé mentale » (PSM) peut-elle améliorer le vécu tout au long de la transition vers la maison de retraite??
Méthode?: Une revue de la littérature a été menée afin de comprendre l’impact du changement de lieu de vie pour les personnes vivant cette transition organisationnelle. Ce travail se base sur une lecture critique de neuf articles publiés entre 2005 et 2019. Plusieurs bases de données ont été consultées : PubMed, Lissa, Embase, Ascodocpsy.
Résultats?: L’impact psychologique n’est pas suffisamment pris en compte. Le changement d’institution induit une souffrance psychique qui n’est pas toujours identifiée et traitée. La dépression est sous-diagnostiquée.
Discussion?: L’infirmière en pratique avancée peut anticiper le changement en préparant et élaborant un plan d’accompagnement spécifique à la personne et comprenant une évaluation durant tout le processus. Sa collaboration avec les services ambulatoires de psychiatrie facilitera un suivi à long terme dans le nouvel environnement.
Conclusion?: Ce travail montre la nécessité de créer des outils d’évaluation spécifiques à cette population.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115620 |
in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 549-560
[article] Le rôle de l’IPA en santé mentale dans l’accompagnement des patients souffrant de handicap psychique pour une transition vers l’Ehpad, une revue de littérature [texte imprimé] / Fatiha Hmimou ; Claude-Alexandre Fournier ; Marlène Arbutina ; Vincent Javaugue ; Hélène Seegers . - 2023 . - p. 549-560. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 549-560
Mots-clés : |
Infirmières praticiennes Soins de transition Pratique infirmière avancée Résidences pour personnes âgées maison de retraite médicalisée /France Sujet âgé Personnes handicapées Transfert de patient Psychiatrie Revue de la littérature |
Résumé : |
Contexte?: La transition d’un foyer d’accueil médicalisé (FAM) vers une maison de retraite est un moment difficile pour les personnes handicapées vieillissantes. Passé l’âge charnière des 60 ans, ces personnes sont réorientées afin de fluidifier les parcours de soins de la filière psychiatrique. Le manque de préparation à ce changement peut affecter à la fois les personnes et l’équipe de l’institution qui les reçoit.
Objectifs?: Comment améliorer ces pratiques?? Comment l’infirmière de pratique avancée (IPA) mention « psychiatrie et santé mentale » (PSM) peut-elle améliorer le vécu tout au long de la transition vers la maison de retraite??
Méthode?: Une revue de la littérature a été menée afin de comprendre l’impact du changement de lieu de vie pour les personnes vivant cette transition organisationnelle. Ce travail se base sur une lecture critique de neuf articles publiés entre 2005 et 2019. Plusieurs bases de données ont été consultées : PubMed, Lissa, Embase, Ascodocpsy.
Résultats?: L’impact psychologique n’est pas suffisamment pris en compte. Le changement d’institution induit une souffrance psychique qui n’est pas toujours identifiée et traitée. La dépression est sous-diagnostiquée.
Discussion?: L’infirmière en pratique avancée peut anticiper le changement en préparant et élaborant un plan d’accompagnement spécifique à la personne et comprenant une évaluation durant tout le processus. Sa collaboration avec les services ambulatoires de psychiatrie facilitera un suivi à long terme dans le nouvel environnement.
Conclusion?: Ce travail montre la nécessité de créer des outils d’évaluation spécifiques à cette population.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115620 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Symptôme réfractaire, sédation terminale et soins de confort, chez une patiente de 92 ans atteinte d’un cancer anaplasique thyroïdien à un stade palliatif |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Carole Baisset ; Karine Meliet ; Marie Veret ; Aurélia Aude ; Lise Enconière ; David Chaury |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 561-566 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tumeurs de la thyroïde Équipe soignante Relations interprofessionnelles Éthique Sédation profonde Soins de confort Soins palliatifs |
Résumé : |
Le cancer anaplasique de la thyroïde est un cancer très rare, qui survient le plus souvent chez des personnes âgées. D’évolution rapide, il altère rapidement le comportement alimentaire et respiratoire par compression, provoquant un cataclysme sur le plan de l’oralité et du confort respiratoire. Nous rapportons le cas d’une patiente de 92 ans présentant un cancer thyroïdien métastatique d’emblée pour laquelle la réunion de concertation pluridisciplinaire concluait à une abstention thérapeutique. La survenue de symptômes respiratoires réfractaires a mobilisé l’équipe soignante à une réflexion éthique et collégiale engageant une sédation profonde et continue jusqu’au décès, en accord avec la volonté exprimée de la patiente. Des soins de confort centrés sur l’oralité ont jalonné l’accompagnement palliatif terminal. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115621 |
in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 561-566
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
L’hypotension postprandiale : insuffisamment diagnostiquée en gériatrie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Albane De Thézy ; Laurent Lechowski |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 567-571 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Présentations de cas Gériatrie Hypotension artérielle Période post-prandiale |
Résumé : |
Nous rapportons le cas d’une patiente de 89 ans, autonome et vivant seule à domicile, ayant pour antécédents une hypertension artérielle, un reflux gastro-œsophagien et une anxiété. Elle est hospitalisée pour une symptomatologie à type de malaise pour laquelle les diagnostics d’hypotension orthostatique et d’hypotension postprandiale sont finalement retenus.
L’hypotension postprandiale se caractérise par une baisse tensionnelle systolique de plus de 20 mmHg ou toute baisse symptomatique au cours des deux heures suivant l’ingestion d’un repas. Elle est plus fréquente après le petit-déjeuner et le déjeuner, après des repas riches en sucre ou après des repas chauds. Elle se manifeste par des étourdissements, une asthénie ou une somnolence, des nausées, céphalées, voire des chutes, douleurs thoraciques ou des syncopes. Sa présence est associée à une augmentation du risque coronarien, du risque d’accident vasculaire cérébral et de la mortalité à long terme. Sa prévalence atteint 23 % chez des sujets âgés hospitalisés selon une étude.
La prise en charge repose en grande partie sur des mesures non pharmacologiques : s’hydrater avant le repas ; réduire la quantité de glucides consommés au cours d’un repas et fractionner les repas jusqu’à en proposer six par jour ; proposer au patient de marcher après le repas. Les adaptations pharmacologiques comprennent l’optimisation du traitement de l’hypertension artérielle et la prise en charge de l’hypotension orthostatique qui peut être associée. Il n’existe pas de traitement spécifique à ce jour. L’hypotension postprandiale devrait être plus régulièrement recherchée chez les sujets âgés étant donné sa prévalence élevée.
Dans le cas de cette patiente, une modification de son régime alimentaire lui a été proposée, avec l’aide de la diététicienne et a permis de faire disparaître la symptomatologie.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115622 |
in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 567-571
[article] L’hypotension postprandiale : insuffisamment diagnostiquée en gériatrie [texte imprimé] / Albane De Thézy ; Laurent Lechowski . - 2023 . - p. 567-571. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 567-571
Mots-clés : |
Présentations de cas Gériatrie Hypotension artérielle Période post-prandiale |
Résumé : |
Nous rapportons le cas d’une patiente de 89 ans, autonome et vivant seule à domicile, ayant pour antécédents une hypertension artérielle, un reflux gastro-œsophagien et une anxiété. Elle est hospitalisée pour une symptomatologie à type de malaise pour laquelle les diagnostics d’hypotension orthostatique et d’hypotension postprandiale sont finalement retenus.
L’hypotension postprandiale se caractérise par une baisse tensionnelle systolique de plus de 20 mmHg ou toute baisse symptomatique au cours des deux heures suivant l’ingestion d’un repas. Elle est plus fréquente après le petit-déjeuner et le déjeuner, après des repas riches en sucre ou après des repas chauds. Elle se manifeste par des étourdissements, une asthénie ou une somnolence, des nausées, céphalées, voire des chutes, douleurs thoraciques ou des syncopes. Sa présence est associée à une augmentation du risque coronarien, du risque d’accident vasculaire cérébral et de la mortalité à long terme. Sa prévalence atteint 23 % chez des sujets âgés hospitalisés selon une étude.
La prise en charge repose en grande partie sur des mesures non pharmacologiques : s’hydrater avant le repas ; réduire la quantité de glucides consommés au cours d’un repas et fractionner les repas jusqu’à en proposer six par jour ; proposer au patient de marcher après le repas. Les adaptations pharmacologiques comprennent l’optimisation du traitement de l’hypertension artérielle et la prise en charge de l’hypotension orthostatique qui peut être associée. Il n’existe pas de traitement spécifique à ce jour. L’hypotension postprandiale devrait être plus régulièrement recherchée chez les sujets âgés étant donné sa prévalence élevée.
Dans le cas de cette patiente, une modification de son régime alimentaire lui a été proposée, avec l’aide de la diététicienne et a permis de faire disparaître la symptomatologie.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115622 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Stratégie vaccinale de prévention des infections par le VRS [virus respiratoire syncytial] chez l’adulte âgé de 60 ans et plus |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Haute Autorité de Santé (HAS) |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 573-579 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Virus respiratoire syncytial humain Vaccins contre les virus respiratoires syncytiaux sujet agé |
Résumé : |
Le virus respiratoire syncytial humain (VRS) est responsable chez l’adulte d’infections respiratoires aiguës (IRA) qui peuvent entraîner des complications graves telles que l’exacerbation d’une maladie cardiopulmonaire sous-jacente, une pneumopathie nécessitant une assistance respiratoire, voire le décès. La direction générale de la Santé a saisi la HAS le 4 mai 2023 afin de recueillir son avis sur la place du vaccin Abrysvo du laboratoire Pfizer dans la stratégie de prévention des infections par le VRS chez les personnes âgées de 65 ans et plus avec des facteurs de risque de complications graves en cas d’infection.
La HAS, dans le cadre de l’élaboration de cette stratégie vaccinale, inclura dans son évaluation l’ensemble des vaccins autorisés pour prévenir les infections par le VRS chez l’adulte.
Par ailleurs, les vaccins autorisés pouvant être utilisés à partir de 60 ans, la HAS examinera si la vaccination dans la tranche d’âge 60-64 ans chez ceux ayant des facteurs de risque de complications graves en cas d’infection a un intérêt et chez les sujets âgés de 65 ans et plus, avec ou sans comorbidités [...] |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115623 |
in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 573-579
[article] Stratégie vaccinale de prévention des infections par le VRS [virus respiratoire syncytial] chez l’adulte âgé de 60 ans et plus [texte imprimé] / Haute Autorité de Santé (HAS) . - 2023 . - p. 573-579. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Vol.48 N°10 (Décembre 2023) . - p. 573-579
Mots-clés : |
Virus respiratoire syncytial humain Vaccins contre les virus respiratoires syncytiaux sujet agé |
Résumé : |
Le virus respiratoire syncytial humain (VRS) est responsable chez l’adulte d’infections respiratoires aiguës (IRA) qui peuvent entraîner des complications graves telles que l’exacerbation d’une maladie cardiopulmonaire sous-jacente, une pneumopathie nécessitant une assistance respiratoire, voire le décès. La direction générale de la Santé a saisi la HAS le 4 mai 2023 afin de recueillir son avis sur la place du vaccin Abrysvo du laboratoire Pfizer dans la stratégie de prévention des infections par le VRS chez les personnes âgées de 65 ans et plus avec des facteurs de risque de complications graves en cas d’infection.
La HAS, dans le cadre de l’élaboration de cette stratégie vaccinale, inclura dans son évaluation l’ensemble des vaccins autorisés pour prévenir les infections par le VRS chez l’adulte.
Par ailleurs, les vaccins autorisés pouvant être utilisés à partir de 60 ans, la HAS examinera si la vaccination dans la tranche d’âge 60-64 ans chez ceux ayant des facteurs de risque de complications graves en cas d’infection a un intérêt et chez les sujets âgés de 65 ans et plus, avec ou sans comorbidités [...] |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=115623 |
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