Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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| Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierThe effects of exercise-induced muscle damage on varying intensities of endurance running performance: A systematic review and meta-analysis / D. Burt in Science & sports, Vol.38 N°7 (octobre 2023)
Titre : The effects of exercise-induced muscle damage on varying intensities of endurance running performance: A systematic review and meta-analysis Titre original : Les effets des lésions musculaires induites par l’exercice sur les intensités variables de la performance de course d’endurance : une revue systématique et une méta-analyse Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Burt ; K. Koma ; J. Connor Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 647-662 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Lésions musculaires induites par l’exercice Douleurs musculaires à apparition retardée Économie de course Course d’endurance Résumé : Objectifs
Cette revue systématique et cette méta-analyse ont étudié les effets des lésions musculaires induites par l’exercice (LMIE) sur les performances de course à l’effort maximal et sous-maximal.
Méthodologie et résultats
Les réponses physiologiques lors de la course sous-maximale à travers deux étapes d’exercice (faible intensité<75 % et haute intensité>75 % ) ont été examinées méta-analytiquement 24 et 48heures après des LMIE. Les douleurs musculaires à apparition retardée (DMR), les enzymes intramusculaires (créatine kinase [CK] et myoglobine [Mb]) et la fonction musculaire ont été examinées aux mêmes moments pour confirmer les LMIE. Les modifications de la performance de course à effort maximal 24 et 48heures après les LMIE ont été analysées qualitativement.
Perspectives et projets
Des augmentations significatives des DMR, des enzymes intramusculaires et des diminutions de la fonction musculaire ont été trouvées 24 et 48h après les LMIE (p<0,05). Pendant la course à faible intensité (< 75 % ), l’économie de course (RE) et la ventilation ( ) étaient inchangées 24 h après les LMIE (p>0,05), mais elles étaient significativement augmentées à 48 h (p < 0,05). Les réponses physiologiques pendant la course à haute intensité (> 75 % ) étaient toutes significativement augmentées 24 et 48h après les LMIE (p<0,05). Il n’y avait pas suffisamment d’études sur la performance de course à effort maximal (délai jusqu’à l’épuisement et performance contre la montre) pour être méta-analysées ; cependant, 3 études ont rapporté que les mesures des résultats étaient altérées jusqu’à 48h après les LMIE.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113522
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 647-662[article] The effects of exercise-induced muscle damage on varying intensities of endurance running performance: A systematic review and meta-analysis = Les effets des lésions musculaires induites par l’exercice sur les intensités variables de la performance de course d’endurance : une revue systématique et une méta-analyse [texte imprimé] / D. Burt ; K. Koma ; J. Connor . - 2023 . - p. 647-662.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 647-662
Mots-clés : Lésions musculaires induites par l’exercice Douleurs musculaires à apparition retardée Économie de course Course d’endurance Résumé : Objectifs
Cette revue systématique et cette méta-analyse ont étudié les effets des lésions musculaires induites par l’exercice (LMIE) sur les performances de course à l’effort maximal et sous-maximal.
Méthodologie et résultats
Les réponses physiologiques lors de la course sous-maximale à travers deux étapes d’exercice (faible intensité<75 % et haute intensité>75 % ) ont été examinées méta-analytiquement 24 et 48heures après des LMIE. Les douleurs musculaires à apparition retardée (DMR), les enzymes intramusculaires (créatine kinase [CK] et myoglobine [Mb]) et la fonction musculaire ont été examinées aux mêmes moments pour confirmer les LMIE. Les modifications de la performance de course à effort maximal 24 et 48heures après les LMIE ont été analysées qualitativement.
Perspectives et projets
Des augmentations significatives des DMR, des enzymes intramusculaires et des diminutions de la fonction musculaire ont été trouvées 24 et 48h après les LMIE (p<0,05). Pendant la course à faible intensité (< 75 % ), l’économie de course (RE) et la ventilation ( ) étaient inchangées 24 h après les LMIE (p>0,05), mais elles étaient significativement augmentées à 48 h (p < 0,05). Les réponses physiologiques pendant la course à haute intensité (> 75 % ) étaient toutes significativement augmentées 24 et 48h après les LMIE (p<0,05). Il n’y avait pas suffisamment d’études sur la performance de course à effort maximal (délai jusqu’à l’épuisement et performance contre la montre) pour être méta-analysées ; cependant, 3 études ont rapporté que les mesures des résultats étaient altérées jusqu’à 48h après les LMIE.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113522 Exemplaires (1)
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Titre : Influence of the administration form of menthol in physical performance in endurance exercise: A systematic review Titre original : Influence de la forme d’administration du menthol sur les performances physiques lors d’exercices d’endurance : revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : Manoel Miranda Neto ; Raquel S.B. da Silva ; Alexandre S. Silva Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 663-675 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Refroidissement Aide ergogénique Menthe Nutrition sportive Résumé : Objectifs
Effectuer une revue systématique de la littérature et présenter les résultats d’essais cliniques randomisés (ECR) soulignant dans quelles conditions et formes d’administration le menthol est réellement capable d’améliorer les performances à l’effort d’endurance.
Actualités
Treize études remplissaient les critères d’éligibilité. La taille de l’échantillon variait de 6 à 12 athlètes et les études ont été évaluées entre 5 et 9 sur l’échelle PEDro. Six études ont évalué les bains de bouche au menthol, dont trois ont démontré une augmentation du temps jusqu’à l’épuisement entre 6 % et 9 % et deux ont démontré une diminution du contre-la-montre (2,7 % et 3,5 %). Cinq études ont évalué l’application topique mais sans modification des variables de performance physique. Deux études ont évalué l’apport oral, dont dans l’une d’elles il y avait une diminution du contre-la-montre entre 5,2 % et 8,2 %.
Perspectives et projets
Les données actuelles permettent d’avoir une bonne perspective sur la détermination du menthol comme ressource ergogénique, à condition que des études complémentaires constituent un corpus de preuves sur chacune des formes d’administration.
Conclusion
Les preuves disponibles suggèrent que les praticiens de l’exercice physique qui utilisent le menthol par voie orale semblent être en mesure de promouvoir l’avantage du sport, mais ces résultats doivent être pondérés car le niveau de preuve est considéré comme de faible qualité en raison de la petite taille de l’échantillon et de la supplémentation hétérogène et protocoles d’exercice et faible volume d’études.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113523
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 663-675[article] Influence of the administration form of menthol in physical performance in endurance exercise: A systematic review = Influence de la forme d’administration du menthol sur les performances physiques lors d’exercices d’endurance : revue systématique [texte imprimé] / Manoel Miranda Neto ; Raquel S.B. da Silva ; Alexandre S. Silva . - 2023 . - p. 663-675.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 663-675
Mots-clés : Refroidissement Aide ergogénique Menthe Nutrition sportive Résumé : Objectifs
Effectuer une revue systématique de la littérature et présenter les résultats d’essais cliniques randomisés (ECR) soulignant dans quelles conditions et formes d’administration le menthol est réellement capable d’améliorer les performances à l’effort d’endurance.
Actualités
Treize études remplissaient les critères d’éligibilité. La taille de l’échantillon variait de 6 à 12 athlètes et les études ont été évaluées entre 5 et 9 sur l’échelle PEDro. Six études ont évalué les bains de bouche au menthol, dont trois ont démontré une augmentation du temps jusqu’à l’épuisement entre 6 % et 9 % et deux ont démontré une diminution du contre-la-montre (2,7 % et 3,5 %). Cinq études ont évalué l’application topique mais sans modification des variables de performance physique. Deux études ont évalué l’apport oral, dont dans l’une d’elles il y avait une diminution du contre-la-montre entre 5,2 % et 8,2 %.
Perspectives et projets
Les données actuelles permettent d’avoir une bonne perspective sur la détermination du menthol comme ressource ergogénique, à condition que des études complémentaires constituent un corpus de preuves sur chacune des formes d’administration.
Conclusion
Les preuves disponibles suggèrent que les praticiens de l’exercice physique qui utilisent le menthol par voie orale semblent être en mesure de promouvoir l’avantage du sport, mais ces résultats doivent être pondérés car le niveau de preuve est considéré comme de faible qualité en raison de la petite taille de l’échantillon et de la supplémentation hétérogène et protocoles d’exercice et faible volume d’études.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113523 Exemplaires (1)
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Titre : Union Cycliste Internationale (UCI) cycling pregnancy and postpartum guidance Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Heron ; X. Bigard ; N. Jones Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 676-682 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Pratique du sport Activités de loisir Exercice Cyclisme Santé Allaitement Chaleur Résumé : Objectifs
Il est important d’apporter des informations pratiques aux athlètes féminines d’élite et de compétition afin de savoir si elles peuvent continuer à s’entraîner et à concourir en toute sécurité pendant la grossesse, sans risque pour elles-mêmes ou pour leur enfant. Des conseils sont aussi importants pour informer sur les bonnes pratiques pendant la période du post-partum et de l’allaitement. Ces informations sont également utiles pour recommander la pratique du vélo aux femmes non sportives qui souhaitent faire de l’exercice. C’est pourquoi l’Union cycliste internationale (UCI) a élaboré ce guide afin de fournir des informations à toutes celles qui participent à des activités cyclistes de loisir ou à des compétitions placées sous l’égide de l’UCI pendant leur grossesse.
Méthodes
Les recommandations ont été élaborées à l’aide de l’instrument AGREE II et les auteurs ont bénéficié de la contribution de cyclistes féminines d’élite, y compris celles qui ont repris la compétition après une grossesse.
Résultats
L’UCI encourage les femmes à continuer à faire du vélo pendant leur grossesse, preuves cliniques à l’appui. Bien que la pratique du vélo soit généralement sans danger pendant la grossesse, certains principes généraux s’imposent aux femmes, en particulier lorsqu’elles pratiquent le cyclisme en période de chaleur. Aucune compétition cycliste inscrite au calendrier de l’UCI n’est envisageable au-delà du premier trimestre de la grossesse, principalement pour éviter le risque de traumatisme de l’utérus et du fœtus en cas d’accident. Par contre, pour la population générale, l’UCI encourage les femmes enceintes à pratiquer le cyclisme de loisir comme forme d’activité physique, et ce tout au long de leur grossesse. Cependant, la participation à des activités de loisir placées sous la responsabilité d’organisateurs n’est possible que jusqu’à la fin du premier trimestre. L’exercice, et en particulier la pratique du cyclisme, doit être considéré comme un élément important pour améliorer la santé psychologique des femmes et répondre aux plaintes psychologiques qui sont courantes pendant la période du post-partum. L’allaitement est aussi fortement recommandé lorsque les femmes reprennent l’exercice après l’accouchement ; il n’y a pas d’impact notable de l’exercice sur la quantité et la qualité du lait maternel.
Conclusions
On n’a rapporté aucun effet secondaire sur la santé du fœtus et/ou de la mère de programmes d’entraînement à haute intensité lorsqu’ils sont subjectivement tolérés et soigneusement surveillés, au moins pendant le premier trimestre de la grossesse. Pour la population générale, les exercices d’intensité modérée pratiqués pendant la grossesse ont aussi de nombreux effets positifs tant pour les mères que pour les enfants à naître. C’est pourquoi il est fortement recommandé aux femmes enceintes de commencer ou de continuer à faire du vélo à une intensité modérée au moins 150 minutes par semaine avec au moins 3 séances d’une durée supérieure à 30 minutes chacune.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113524
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 676-682[article] Union Cycliste Internationale (UCI) cycling pregnancy and postpartum guidance [texte imprimé] / N. Heron ; X. Bigard ; N. Jones . - 2023 . - p. 676-682.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 676-682
Mots-clés : Pratique du sport Activités de loisir Exercice Cyclisme Santé Allaitement Chaleur Résumé : Objectifs
Il est important d’apporter des informations pratiques aux athlètes féminines d’élite et de compétition afin de savoir si elles peuvent continuer à s’entraîner et à concourir en toute sécurité pendant la grossesse, sans risque pour elles-mêmes ou pour leur enfant. Des conseils sont aussi importants pour informer sur les bonnes pratiques pendant la période du post-partum et de l’allaitement. Ces informations sont également utiles pour recommander la pratique du vélo aux femmes non sportives qui souhaitent faire de l’exercice. C’est pourquoi l’Union cycliste internationale (UCI) a élaboré ce guide afin de fournir des informations à toutes celles qui participent à des activités cyclistes de loisir ou à des compétitions placées sous l’égide de l’UCI pendant leur grossesse.
Méthodes
Les recommandations ont été élaborées à l’aide de l’instrument AGREE II et les auteurs ont bénéficié de la contribution de cyclistes féminines d’élite, y compris celles qui ont repris la compétition après une grossesse.
Résultats
L’UCI encourage les femmes à continuer à faire du vélo pendant leur grossesse, preuves cliniques à l’appui. Bien que la pratique du vélo soit généralement sans danger pendant la grossesse, certains principes généraux s’imposent aux femmes, en particulier lorsqu’elles pratiquent le cyclisme en période de chaleur. Aucune compétition cycliste inscrite au calendrier de l’UCI n’est envisageable au-delà du premier trimestre de la grossesse, principalement pour éviter le risque de traumatisme de l’utérus et du fœtus en cas d’accident. Par contre, pour la population générale, l’UCI encourage les femmes enceintes à pratiquer le cyclisme de loisir comme forme d’activité physique, et ce tout au long de leur grossesse. Cependant, la participation à des activités de loisir placées sous la responsabilité d’organisateurs n’est possible que jusqu’à la fin du premier trimestre. L’exercice, et en particulier la pratique du cyclisme, doit être considéré comme un élément important pour améliorer la santé psychologique des femmes et répondre aux plaintes psychologiques qui sont courantes pendant la période du post-partum. L’allaitement est aussi fortement recommandé lorsque les femmes reprennent l’exercice après l’accouchement ; il n’y a pas d’impact notable de l’exercice sur la quantité et la qualité du lait maternel.
Conclusions
On n’a rapporté aucun effet secondaire sur la santé du fœtus et/ou de la mère de programmes d’entraînement à haute intensité lorsqu’ils sont subjectivement tolérés et soigneusement surveillés, au moins pendant le premier trimestre de la grossesse. Pour la population générale, les exercices d’intensité modérée pratiqués pendant la grossesse ont aussi de nombreux effets positifs tant pour les mères que pour les enfants à naître. C’est pourquoi il est fortement recommandé aux femmes enceintes de commencer ou de continuer à faire du vélo à une intensité modérée au moins 150 minutes par semaine avec au moins 3 séances d’une durée supérieure à 30 minutes chacune.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113524 Exemplaires (1)
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Titre : Stratégies de gestion de la chaleur et performances sportives de haut niveau : éclairage psychophysiologique et recommandations appliquées Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Robin ; E. Hermand ; Vanessa Hatchi ; O. Hue Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 683-694 Langues : Français (fre) Mots-clés : Stress thermique Sport Refroidissement Innovation Athlète Résumé : Objectifs
Cet article apporte un éclairage sur les différentes stratégies de gestion de la chaleur, usuelles ou innovantes, afin d’analyser celles qui seraient les plus adaptées et les plus efficaces chez des athlètes devant participer à des compétitions dans des environnements humides et/ou chauds.
Actualités
Les Jeux olympiques de Paris en 2024 se dérouleront du 26 juillet au 8 septembre avec un risque élevé pour les athlètes de pratiquer leur sport à des températures élevées, imposant de fait des contraintes physiologiques (cardiovasculaires, ventilatoires, thermorégulatoires, etc.) et psychologiques (fatigue mentale précoce, baisse de motivation, inconfort, etc.) pouvant ainsi largement impacter négativement leur performance.
Perspectives et projets
Pour « performer » en environnement chaud, il est aujourd’hui recommandé d’avoir recours à des stratégies, notamment une acclimatation active qui favorise des adaptations physiologiques mais aussi psychologiques. De même, les techniques de gestion de fluides et de refroidissement « physiques » ont des effets potentiellement bénéfiques sur des facteurs physiologiques mais leurs conséquences psychologiques sont encore peu connues et doivent être investiguées. Enfin, des stratégies mentales (fixation d’objectifs, imagerie mentale, dialogue interne positif, musique, etc.) ou entraînements cognitifs en environnement chaud peuvent limiter les contre-performances dans ces conditions. Les effets de la combinaison de techniques physiques et mentales, ainsi que des stratégies innovantes comme la suggestion au froid, sont également en cours d’investigation.
Conclusion
Pour chacune des stratégies présentées, les travaux scientifiques ont permis l’élaboration de recommandations pratiques à l’intention des athlètes, des entraîneurs et des préparateurs mentaux, afin de leur permettre d’anticiper physiologiquement et psychologiquement les effets d’une hygrométrie et ou d’une température élevée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113525
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 683-694[article] Stratégies de gestion de la chaleur et performances sportives de haut niveau : éclairage psychophysiologique et recommandations appliquées [texte imprimé] / N. Robin ; E. Hermand ; Vanessa Hatchi ; O. Hue . - 2023 . - p. 683-694.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 683-694
Mots-clés : Stress thermique Sport Refroidissement Innovation Athlète Résumé : Objectifs
Cet article apporte un éclairage sur les différentes stratégies de gestion de la chaleur, usuelles ou innovantes, afin d’analyser celles qui seraient les plus adaptées et les plus efficaces chez des athlètes devant participer à des compétitions dans des environnements humides et/ou chauds.
Actualités
Les Jeux olympiques de Paris en 2024 se dérouleront du 26 juillet au 8 septembre avec un risque élevé pour les athlètes de pratiquer leur sport à des températures élevées, imposant de fait des contraintes physiologiques (cardiovasculaires, ventilatoires, thermorégulatoires, etc.) et psychologiques (fatigue mentale précoce, baisse de motivation, inconfort, etc.) pouvant ainsi largement impacter négativement leur performance.
Perspectives et projets
Pour « performer » en environnement chaud, il est aujourd’hui recommandé d’avoir recours à des stratégies, notamment une acclimatation active qui favorise des adaptations physiologiques mais aussi psychologiques. De même, les techniques de gestion de fluides et de refroidissement « physiques » ont des effets potentiellement bénéfiques sur des facteurs physiologiques mais leurs conséquences psychologiques sont encore peu connues et doivent être investiguées. Enfin, des stratégies mentales (fixation d’objectifs, imagerie mentale, dialogue interne positif, musique, etc.) ou entraînements cognitifs en environnement chaud peuvent limiter les contre-performances dans ces conditions. Les effets de la combinaison de techniques physiques et mentales, ainsi que des stratégies innovantes comme la suggestion au froid, sont également en cours d’investigation.
Conclusion
Pour chacune des stratégies présentées, les travaux scientifiques ont permis l’élaboration de recommandations pratiques à l’intention des athlètes, des entraîneurs et des préparateurs mentaux, afin de leur permettre d’anticiper physiologiquement et psychologiquement les effets d’une hygrométrie et ou d’une température élevée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113525 Exemplaires (1)
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Titre : Does resistance training-induced muscle growth contribute to strength gain? Titre original : La croissance musculaire induite par l’entraînement en résistance contribue-t-elle au gain de force ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Serra ; L. Carvalho ; G. Truffi ; R. Sander ; V. Concon Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 695-700 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Entraînement en force Hypertrophie Adaptations neurales Force musculaire Résumé : Contexte
L’objectif de cette étude était de tester si l’hypertrophie musculaire induite par l’entraînement en résistance entraîne des gains de force plus importants.
Méthodes
Neuf hommes non entraînés ont eu leurs membres supérieurs divisés au hasard en deux conditions: hypertrophie+entraînement en force (HST) et en force (ST). Les participants se sont entraînés deux fois par semaine pendant 10 semaines. Le bras HST a effectué un protocole d’entraînement axé sur l’hypertrophie pendant 6 semaines, puis un entraînement axé sur la force de 4 semaines; tandis que le bras ST ne s’est pas entraîné pendant les 6 premières semaines et a effectué l’entraînement axé sur la force de 4 semaines. L’entraînement axé sur l’hypertrophie consistait en 3 séries à 40 % de 1RM jusqu’à l’échec de l’exercice de traction unilatérale, et l’entraînement axé sur la force consistait en 3 séries de cinq contractions isométriques de flexion maximale du coude de 5s. L’épaisseur musculaire, 1RM et la contraction isométrique volontaire maximale (MVIC) ont été évaluées avant (pré), après 6 semaines (milieu) et à la fin de la période d’entraînement de 10 semaines (post).
Résultats
L’épaisseur musculaire et le 1RM n’ont pas changé dans les deux bras (p>0,05). Cependant, la HST était la seule condition qui a provoqué un changement de MVIC (p=0,03). Bien qu’aucun changement dans la taille des muscles n’ait été observé, seul le groupe qui effectue l’entraînement axé sur l’hypertrophie a augmenté sa force pendant la période axée sur la force.
Conclusions
Bien que nous n’ayons pas trouvé de différences dans l’augmentation de la force entre les conditions expérimentales, nous supposons qu’il peut être intéressant d’inclure une période d’entraînement axé sur l’hypertrophie avant l’entraînement axé sur la force, car nous avons signalé une augmentation de la force dans cette condition.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113526
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 695-700[article] Does resistance training-induced muscle growth contribute to strength gain? = La croissance musculaire induite par l’entraînement en résistance contribue-t-elle au gain de force ? [texte imprimé] / A. Serra ; L. Carvalho ; G. Truffi ; R. Sander ; V. Concon . - 2023 . - p. 695-700.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 695-700
Mots-clés : Entraînement en force Hypertrophie Adaptations neurales Force musculaire Résumé : Contexte
L’objectif de cette étude était de tester si l’hypertrophie musculaire induite par l’entraînement en résistance entraîne des gains de force plus importants.
Méthodes
Neuf hommes non entraînés ont eu leurs membres supérieurs divisés au hasard en deux conditions: hypertrophie+entraînement en force (HST) et en force (ST). Les participants se sont entraînés deux fois par semaine pendant 10 semaines. Le bras HST a effectué un protocole d’entraînement axé sur l’hypertrophie pendant 6 semaines, puis un entraînement axé sur la force de 4 semaines; tandis que le bras ST ne s’est pas entraîné pendant les 6 premières semaines et a effectué l’entraînement axé sur la force de 4 semaines. L’entraînement axé sur l’hypertrophie consistait en 3 séries à 40 % de 1RM jusqu’à l’échec de l’exercice de traction unilatérale, et l’entraînement axé sur la force consistait en 3 séries de cinq contractions isométriques de flexion maximale du coude de 5s. L’épaisseur musculaire, 1RM et la contraction isométrique volontaire maximale (MVIC) ont été évaluées avant (pré), après 6 semaines (milieu) et à la fin de la période d’entraînement de 10 semaines (post).
Résultats
L’épaisseur musculaire et le 1RM n’ont pas changé dans les deux bras (p>0,05). Cependant, la HST était la seule condition qui a provoqué un changement de MVIC (p=0,03). Bien qu’aucun changement dans la taille des muscles n’ait été observé, seul le groupe qui effectue l’entraînement axé sur l’hypertrophie a augmenté sa force pendant la période axée sur la force.
Conclusions
Bien que nous n’ayons pas trouvé de différences dans l’augmentation de la force entre les conditions expérimentales, nous supposons qu’il peut être intéressant d’inclure une période d’entraînement axé sur l’hypertrophie avant l’entraînement axé sur la force, car nous avons signalé une augmentation de la force dans cette condition.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113526 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt
Titre : The effects of acute caffeine supplementation on performance in trained CrossFit® athletes: A randomized, double-blind, placebo-controlled, and crossover trial Titre original : Les effets d’une supplémentation aiguë en caféine sur les performances des athlètes CrossFit® entraînés : un essai randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo et croisé Type de document : texte imprimé Auteurs : M.L. Caetano ; M.L.R. Souza ; L.L. Loureiro ; V.L.M. Capistrano Junior Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 701-707 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Caféine Performances sportives Force musculaire Nutrition Entraînement à l’intervalle de haute intensité Résumé : Objectifs
La présente étude visait à évaluer les effets de la caféine sur la force musculaire, à l’aide d’un test comportant une répétition maximale du back squat, ainsi que sur l’endurance musculaire locale.
Matériel et méthodes
Huit hommes entraînés (âge moyen=30,1±6,5 ans ; taille=1,79±0,07 mètre ; masse corporelle=81,5±7,7kg) ont été inclus dans une étude croisée en double aveugle, randomisée. Les participants ont consommé de la caféine (6mg.kg−1) ou du placebo (cellulose) 60 minutes avant de commencer les tests, avec une semaine de sevrage. Les participants ont subi le test de back squat à répétition maximale. Par la suite, ils ont été invités à effectuer le nombre maximum de répétitions avec 60 % de la charge maximale pour tester l’endurance musculaire locale. Un Shapiro–Wilk et un test t ont été effectués.
Résultats
Le score d’endurance musculaire locale était plus élevé pour le groupe caféine par rapport au placebo (3515,0±1073,1 vs 2846,5±768,0kg, p=0,029) mais pas dans le seul test de répétition maximale (156,6±26,2 vs 153,9±29,5kg, p=0,224). Le nombre moyen de répétitions était plus élevé dans le groupe caféine (37,8±11,1 contre 31,4±9,3 répétitions, p=0,033). La caféine avait un effet ergogénique sur les athlètes CrossFit® en termes de nombre de répétitions, principalement lorsqu’une composante plus aérobie (endurance musculaire locale) était impliquée; cependant, aucun effet n’a été observé dans le seul test de répétition maximale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113527
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 701-707[article] The effects of acute caffeine supplementation on performance in trained CrossFit® athletes: A randomized, double-blind, placebo-controlled, and crossover trial = Les effets d’une supplémentation aiguë en caféine sur les performances des athlètes CrossFit® entraînés : un essai randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo et croisé [texte imprimé] / M.L. Caetano ; M.L.R. Souza ; L.L. Loureiro ; V.L.M. Capistrano Junior . - 2023 . - p. 701-707.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 701-707
Mots-clés : Caféine Performances sportives Force musculaire Nutrition Entraînement à l’intervalle de haute intensité Résumé : Objectifs
La présente étude visait à évaluer les effets de la caféine sur la force musculaire, à l’aide d’un test comportant une répétition maximale du back squat, ainsi que sur l’endurance musculaire locale.
Matériel et méthodes
Huit hommes entraînés (âge moyen=30,1±6,5 ans ; taille=1,79±0,07 mètre ; masse corporelle=81,5±7,7kg) ont été inclus dans une étude croisée en double aveugle, randomisée. Les participants ont consommé de la caféine (6mg.kg−1) ou du placebo (cellulose) 60 minutes avant de commencer les tests, avec une semaine de sevrage. Les participants ont subi le test de back squat à répétition maximale. Par la suite, ils ont été invités à effectuer le nombre maximum de répétitions avec 60 % de la charge maximale pour tester l’endurance musculaire locale. Un Shapiro–Wilk et un test t ont été effectués.
Résultats
Le score d’endurance musculaire locale était plus élevé pour le groupe caféine par rapport au placebo (3515,0±1073,1 vs 2846,5±768,0kg, p=0,029) mais pas dans le seul test de répétition maximale (156,6±26,2 vs 153,9±29,5kg, p=0,224). Le nombre moyen de répétitions était plus élevé dans le groupe caféine (37,8±11,1 contre 31,4±9,3 répétitions, p=0,033). La caféine avait un effet ergogénique sur les athlètes CrossFit® en termes de nombre de répétitions, principalement lorsqu’une composante plus aérobie (endurance musculaire locale) était impliquée; cependant, aucun effet n’a été observé dans le seul test de répétition maximale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113527 Exemplaires (1)
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Titre : Obesity does not impair time-course of cardiac autonomic recovery post-exercise in young men Titre original : L’obésité n’altère pas l’évolution temporelle de la récupération autonome cardiaque après l’exercice chez les jeunes hommes Type de document : texte imprimé Auteurs : J.A. Araujo ; F.I. Novelli ; G. Arsa ; L.T. Cambri Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 708-716 Langues : Français (fre) Mots-clés : Méthodes non invasives Variabilité de la fréquence cardiaque Récupération de la fréquence cardiaque Fonction autonome cardiaque Résumé : Objectif
Cette étude visait à évaluer si l’obésité altère la modulation autonome cardiaque après le test d’effort cardiopulmonaire maximal (CPET).
Méthodes
Trente-six hommes (âgés de 18 à 30 ans) ont été répartis en deux groupes: de poids normal (n=20, 21,31±1,57 kg m-2) et obèses (n=16, 34,12±2,46 kg m-2). Indices de variabilité de la fréquence cardiaque (HRV)– RMSSD (moyenne quadratique des différences RRi successives), SDNN (écart type de RRi normal à normal), haute fréquence (HF), basse fréquence (LF) et rapport LF/HF ont été évalués au départ et pendant 90min de récupération après un CPET maximal.
Résultats
Il n’y avait aucune différence (p>0,05) entre les groupes en termes de récupération à court terme et à long terme pour les indices de fréquence cardiaque (FC) et de VRC. Quel que soit le groupe (effet principal du temps, p<0,001, Pr=1,00), la FC restait plus élevée jusqu’à 60min de récupération, et les lnRMSSD et lnSDNN restaient plus faibles jusqu’à 45 et 30min de récupération post-effort par rapport à la ligne de base, respectivement. LnLF et le rapport LF/HF sont restés plus élevés jusqu’à 45min de récupération par rapport à la ligne de base, et lnHF n’est revenu à la ligne de base que 90min après l’exercice (effet principal du temps, p<0,001; Pr=0.94 to 1.00).
Conclusion
Chez les jeunes hommes, l’évolution temporelle de la récupération autonome cardiaque après l’exercice n’a pas été affectée par l’état d’obésité. Ces informations peuvent permettre l’utilisation de stratégies non pharmacologiques (c’est-à-dire l’exercice physique ou un mode de vie sain) pour la réduction de la graisse corporelle et la prévention précoce du dysfonctionnement cardiaque autonome, et la diminution conséquente des risques cardiovasculaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113528
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 708-716[article] Obesity does not impair time-course of cardiac autonomic recovery post-exercise in young men = L’obésité n’altère pas l’évolution temporelle de la récupération autonome cardiaque après l’exercice chez les jeunes hommes [texte imprimé] / J.A. Araujo ; F.I. Novelli ; G. Arsa ; L.T. Cambri . - 2023 . - p. 708-716.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 708-716
Mots-clés : Méthodes non invasives Variabilité de la fréquence cardiaque Récupération de la fréquence cardiaque Fonction autonome cardiaque Résumé : Objectif
Cette étude visait à évaluer si l’obésité altère la modulation autonome cardiaque après le test d’effort cardiopulmonaire maximal (CPET).
Méthodes
Trente-six hommes (âgés de 18 à 30 ans) ont été répartis en deux groupes: de poids normal (n=20, 21,31±1,57 kg m-2) et obèses (n=16, 34,12±2,46 kg m-2). Indices de variabilité de la fréquence cardiaque (HRV)– RMSSD (moyenne quadratique des différences RRi successives), SDNN (écart type de RRi normal à normal), haute fréquence (HF), basse fréquence (LF) et rapport LF/HF ont été évalués au départ et pendant 90min de récupération après un CPET maximal.
Résultats
Il n’y avait aucune différence (p>0,05) entre les groupes en termes de récupération à court terme et à long terme pour les indices de fréquence cardiaque (FC) et de VRC. Quel que soit le groupe (effet principal du temps, p<0,001, Pr=1,00), la FC restait plus élevée jusqu’à 60min de récupération, et les lnRMSSD et lnSDNN restaient plus faibles jusqu’à 45 et 30min de récupération post-effort par rapport à la ligne de base, respectivement. LnLF et le rapport LF/HF sont restés plus élevés jusqu’à 45min de récupération par rapport à la ligne de base, et lnHF n’est revenu à la ligne de base que 90min après l’exercice (effet principal du temps, p<0,001; Pr=0.94 to 1.00).
Conclusion
Chez les jeunes hommes, l’évolution temporelle de la récupération autonome cardiaque après l’exercice n’a pas été affectée par l’état d’obésité. Ces informations peuvent permettre l’utilisation de stratégies non pharmacologiques (c’est-à-dire l’exercice physique ou un mode de vie sain) pour la réduction de la graisse corporelle et la prévention précoce du dysfonctionnement cardiaque autonome, et la diminution conséquente des risques cardiovasculaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113528 Exemplaires (1)
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Titre : To make or to break in isometric neck strength testing? Titre original : L’évaluation de la force isométrique du cou au moyen de make-tests ou de break-tests ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Chavarro-Nieto ; Martyn Beaven ; Nicholas Gill ; Kim Hébert-Losier Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 717-725 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Football Muscles cervicaux Force isométrique Résumé : Objectifs
La commotion cérébrale est la blessure la plus fréquente dans le Rugby à XV. Des tests de force isométrique maximale du cou sont utilisés dans le Rugby à XV comme tests de dépistage des facteurs de risque modifiables. Plusieurs méthodes d’évaluation de la force isométrique du cou existent, et en particulier les « break-tests » et les « make-tests ». Notre étude compare ces deux méthodes d’évaluation, quantifie leur niveau d’association, et vérifie leur fiabilité intra-session.
Matériels et méthodes
Nous avons effectué une étude transversale avec 11 joueurs semi-professionnels de Rugby à XV et 35 étudiants universitaires. La force maximale de trois contractions isométriques maximales à l’aide de « break-tests » et de « make-tests » en flexion, extension et flexion latérale droite/gauche du cou a été enregistrée à l’aide d’une cellule de charge, les participants étant en position assise. Les procédures de Passing et Bablok ont été utilisées afin d’évaluer les différences absolues et proportionnelles entre les méthodes isométriques, tandis que les graphiques de Bland–Altman ont été construits pour évaluer le biais lié à la variabilité. La fiabilité a été évaluée à l’aide des erreurs typiques, du coefficient de variation (CV), et des coefficients de corrélation intraclasse (CCI).
Résultats
Il n’y avait pas de différences systématiques ou proportionnelles basées sur les procédures de Passing et Bablok. Les graphiques de Bland–Altman affichaient des biais moyens allant de 0,85 à 1,9kg dans toutes les directions, avec de petites différences de taille d’effet (flexion et flexion latérale gauche). Les valeurs moyennes mesurées en break-test (plage de variation de 21 à 26,7kg) étaient généralement supérieures à celles mesurées en make-test (plage de variation de 19,1 à 25,8kg). Les deux méthodes ont démontré une excellente fiabilité intra-session (CCI=0,95–0,97, CV=5,7–12 %).
Conclusion
L’évaluation de la force isométrique maximale du cou au moyen de break-tests ou de make-tests a démontré une excellente fiabilité, sans différences systématiques ou proportionnelles et une bonne corrélation entre les deux méthodes. Les deux méthodes d’évaluation effectuées en position assise peuvent être utilisées de manière relativement interchangeable, bien qu’une petite différence en flexion et en flexion latérale existe.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113529
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 717-725[article] To make or to break in isometric neck strength testing? = L’évaluation de la force isométrique du cou au moyen de make-tests ou de break-tests ? [texte imprimé] / Christian Chavarro-Nieto ; Martyn Beaven ; Nicholas Gill ; Kim Hébert-Losier . - 2023 . - p. 717-725.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 717-725
Mots-clés : Football Muscles cervicaux Force isométrique Résumé : Objectifs
La commotion cérébrale est la blessure la plus fréquente dans le Rugby à XV. Des tests de force isométrique maximale du cou sont utilisés dans le Rugby à XV comme tests de dépistage des facteurs de risque modifiables. Plusieurs méthodes d’évaluation de la force isométrique du cou existent, et en particulier les « break-tests » et les « make-tests ». Notre étude compare ces deux méthodes d’évaluation, quantifie leur niveau d’association, et vérifie leur fiabilité intra-session.
Matériels et méthodes
Nous avons effectué une étude transversale avec 11 joueurs semi-professionnels de Rugby à XV et 35 étudiants universitaires. La force maximale de trois contractions isométriques maximales à l’aide de « break-tests » et de « make-tests » en flexion, extension et flexion latérale droite/gauche du cou a été enregistrée à l’aide d’une cellule de charge, les participants étant en position assise. Les procédures de Passing et Bablok ont été utilisées afin d’évaluer les différences absolues et proportionnelles entre les méthodes isométriques, tandis que les graphiques de Bland–Altman ont été construits pour évaluer le biais lié à la variabilité. La fiabilité a été évaluée à l’aide des erreurs typiques, du coefficient de variation (CV), et des coefficients de corrélation intraclasse (CCI).
Résultats
Il n’y avait pas de différences systématiques ou proportionnelles basées sur les procédures de Passing et Bablok. Les graphiques de Bland–Altman affichaient des biais moyens allant de 0,85 à 1,9kg dans toutes les directions, avec de petites différences de taille d’effet (flexion et flexion latérale gauche). Les valeurs moyennes mesurées en break-test (plage de variation de 21 à 26,7kg) étaient généralement supérieures à celles mesurées en make-test (plage de variation de 19,1 à 25,8kg). Les deux méthodes ont démontré une excellente fiabilité intra-session (CCI=0,95–0,97, CV=5,7–12 %).
Conclusion
L’évaluation de la force isométrique maximale du cou au moyen de break-tests ou de make-tests a démontré une excellente fiabilité, sans différences systématiques ou proportionnelles et une bonne corrélation entre les deux méthodes. Les deux méthodes d’évaluation effectuées en position assise peuvent être utilisées de manière relativement interchangeable, bien qu’une petite différence en flexion et en flexion latérale existe.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113529 Exemplaires (1)
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Titre : 24-h blood glucose responses after exergame and running in type-1 diabetes: An intensity- and duration-matched randomized trial Titre original : Réponses de la glycémie sanguine sur 24 h après exergame et course dans le diabète de type 1 : un essai randomisé apparie en intensité et durée Type de document : texte imprimé Auteurs : J.L. de Brito Gomes ; D.M.M. Vancea ; J.B. Farinha ; C.B.A. Barros ; M.C. Costa Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 726-733 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Jeux vidéo Diabète sucré Type 1 Glucose sanguin Exercer Hypoglycémie Résumé : Contexte
La réduction des épisodes hypoglycémiques chez les patients diabétiques de type 1 (T1DM) reste un défi pendant et plusieurs heures après les séances d’aérobie traditionnelles. Alternativement, les jeux vidéo actifs (AVG) ou les jeux d’entraînement peuvent offrir des niveaux de plaisir plus élevés, bien que leurs effets sur la glycémie capillaire (CBG) et les hypoglycémies soient inconnus.
Objectif
Étudier une séance AVG sur les taux de CBG sur 24 h et les épisodes hypoglycémiques par rapport à l’exercice aérobie traditionnel chez des patients atteints de DT1 dans des conditions réelles.
Méthodes
Cette étude croisée consistait en trois conditions: repos (témoin, CON), AVG et course (RUN). Tout d’abord, des volontaires (7 hommes et 3 femmes) ont effectué la CON, et le CBG a été mesuré immédiatement avant et immédiatement après, 30min, 6h, 12h, 18h et 24h après. Des épisodes d’hypoglycémie (jour et nuit) ont également été enregistrés. Ensuite, les sessions AVG et RUN ont été effectuées dans un ordre aléatoire. Le CBG a été mesuré aux même moments et procédures.
Résultats
Des différences statistiques ont été observées dans CBG concernant les sessions AVG et RUN par rapport à CON, immédiatement et 30min après. Les valeurs de CBG étaient similaires entre les conditions actives. Cependant, six épisodes hypoglycémiques ont été retrouvés après RUN, et un seul après AVG (p=0,022 ; X2(1)=7,342).
Conclusion
Des réductions similaires de la CBG sur 24 h concernant AVG et RUN ont été observées, bien que les jeux d’entraînement entraînent moins d’épisodes hypoglycémiques (jour et nuit) que les exercices aérobiques traditionnels d’intensité et de durée correspondantes. Ces résultats corroborent le fait que Kinect Adventure-exergame peut être un outil d’exercice intéressant et efficace pour le traitement du DT1, principalement pour l’atténuation de l’hypoglycémie, qui est le principal obstacle pour cette population.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113530
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 726-733[article] 24-h blood glucose responses after exergame and running in type-1 diabetes: An intensity- and duration-matched randomized trial = Réponses de la glycémie sanguine sur 24 h après exergame et course dans le diabète de type 1 : un essai randomisé apparie en intensité et durée [texte imprimé] / J.L. de Brito Gomes ; D.M.M. Vancea ; J.B. Farinha ; C.B.A. Barros ; M.C. Costa . - 2023 . - p. 726-733.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 726-733
Mots-clés : Jeux vidéo Diabète sucré Type 1 Glucose sanguin Exercer Hypoglycémie Résumé : Contexte
La réduction des épisodes hypoglycémiques chez les patients diabétiques de type 1 (T1DM) reste un défi pendant et plusieurs heures après les séances d’aérobie traditionnelles. Alternativement, les jeux vidéo actifs (AVG) ou les jeux d’entraînement peuvent offrir des niveaux de plaisir plus élevés, bien que leurs effets sur la glycémie capillaire (CBG) et les hypoglycémies soient inconnus.
Objectif
Étudier une séance AVG sur les taux de CBG sur 24 h et les épisodes hypoglycémiques par rapport à l’exercice aérobie traditionnel chez des patients atteints de DT1 dans des conditions réelles.
Méthodes
Cette étude croisée consistait en trois conditions: repos (témoin, CON), AVG et course (RUN). Tout d’abord, des volontaires (7 hommes et 3 femmes) ont effectué la CON, et le CBG a été mesuré immédiatement avant et immédiatement après, 30min, 6h, 12h, 18h et 24h après. Des épisodes d’hypoglycémie (jour et nuit) ont également été enregistrés. Ensuite, les sessions AVG et RUN ont été effectuées dans un ordre aléatoire. Le CBG a été mesuré aux même moments et procédures.
Résultats
Des différences statistiques ont été observées dans CBG concernant les sessions AVG et RUN par rapport à CON, immédiatement et 30min après. Les valeurs de CBG étaient similaires entre les conditions actives. Cependant, six épisodes hypoglycémiques ont été retrouvés après RUN, et un seul après AVG (p=0,022 ; X2(1)=7,342).
Conclusion
Des réductions similaires de la CBG sur 24 h concernant AVG et RUN ont été observées, bien que les jeux d’entraînement entraînent moins d’épisodes hypoglycémiques (jour et nuit) que les exercices aérobiques traditionnels d’intensité et de durée correspondantes. Ces résultats corroborent le fait que Kinect Adventure-exergame peut être un outil d’exercice intéressant et efficace pour le traitement du DT1, principalement pour l’atténuation de l’hypoglycémie, qui est le principal obstacle pour cette population.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113530 Exemplaires (1)
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Titre : Heart rate profiling in formula 1 race: A real-time case Titre original : Profil de la fréquence cardiaque au cours d’un Grand Prix de formule 1 : un cas de mesure en temps réel Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Tornaghi ; M. Vandoni ; D. Zaccaria ; G. D'Antona ; R. Codella ; N. Lovecchio Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 736-740 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Course de F1 Physiologie du sport automobile Tendance de la fréquence cardiaque Profil de fréquence cardiaque Qualifications F1 Course officielle F1 Résumé : Objectif
Évaluer les réponses de la fréquence cardiaque (Fc) d’un pilote de F1 lors d’une séance de pilotage officielle et pendant l’intégralité d’une course de Grand Prix (GP).
Matériels et méthodes
Un pilote professionnel (24 ans, taille : 176cm ; poids : 64kg) a été recruté pour cette étude lors de la saison 2013 du Grand Prix du Championnat du monde de F1 d’Albert Park à Melbourne (Australie). La Fc du pilote a été enregistrée tout au long de la séance de qualification officielle et du Grand Prix. La Fc a été enregistrée dans l’intervalle de 45minutes avant et jusqu’à 30minutes après la période de la qualification officielle et du Grand Prix.
Résultats
Pendant toute la séance de qualification, la Fc était d’environ 77 % de la Fcmax (154±29 bpm). Les valeurs maximales mesurées atteignaient environ 94–99 % de la Fcmax. Pendant la course, la FC était constamment comprise entre 74 et 82 % de la Fcmax (de 148 à 163 bpm), culminant autour de 92 % de la Fcmax.
Conclusions
Nos données pourraient ouvrir la voie à une meilleure connaissance des profils de Fc lors de phases spécifiques d’une compétition officielle de F1. Le but ultime serait de personnaliser la périodicité des entraînements, ce qui est essentiel pour les scientifiques du sport et les entraîneurs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113531
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 736-740[article] Heart rate profiling in formula 1 race: A real-time case = Profil de la fréquence cardiaque au cours d’un Grand Prix de formule 1 : un cas de mesure en temps réel [texte imprimé] / M. Tornaghi ; M. Vandoni ; D. Zaccaria ; G. D'Antona ; R. Codella ; N. Lovecchio . - 2023 . - p. 736-740.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 736-740
Mots-clés : Course de F1 Physiologie du sport automobile Tendance de la fréquence cardiaque Profil de fréquence cardiaque Qualifications F1 Course officielle F1 Résumé : Objectif
Évaluer les réponses de la fréquence cardiaque (Fc) d’un pilote de F1 lors d’une séance de pilotage officielle et pendant l’intégralité d’une course de Grand Prix (GP).
Matériels et méthodes
Un pilote professionnel (24 ans, taille : 176cm ; poids : 64kg) a été recruté pour cette étude lors de la saison 2013 du Grand Prix du Championnat du monde de F1 d’Albert Park à Melbourne (Australie). La Fc du pilote a été enregistrée tout au long de la séance de qualification officielle et du Grand Prix. La Fc a été enregistrée dans l’intervalle de 45minutes avant et jusqu’à 30minutes après la période de la qualification officielle et du Grand Prix.
Résultats
Pendant toute la séance de qualification, la Fc était d’environ 77 % de la Fcmax (154±29 bpm). Les valeurs maximales mesurées atteignaient environ 94–99 % de la Fcmax. Pendant la course, la FC était constamment comprise entre 74 et 82 % de la Fcmax (de 148 à 163 bpm), culminant autour de 92 % de la Fcmax.
Conclusions
Nos données pourraient ouvrir la voie à une meilleure connaissance des profils de Fc lors de phases spécifiques d’une compétition officielle de F1. Le but ultime serait de personnaliser la périodicité des entraînements, ce qui est essentiel pour les scientifiques du sport et les entraîneurs.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113531 Exemplaires (1)
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Titre : The menstrual cycle affects the perception of fatigue in futsal athletes Titre original : Le cycle menstruel affecte la perception de la fatigue chez les athlètes de futsal Type de document : texte imprimé Auteurs : M.S.B. Morales ; T.E. Balzan ; A.F. Da Silva ; C.B. Muller ; E.S. Pinheiro ; G.D. Ferreira Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 741-745 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cycle menstruel Les athlètes VFC Performance Résumé : Introduction
Il existe peu d’études qui relient les effets du cycle menstruel et la perception de la fatigue chez les athlètes de futsal. L’objectif de cette étude est d’identifier la prévalence du syndrome prémenstruel (SPM) et l’influence des phases du cycle menstruel sur les mesures et les signes de fatigue chez les athlètes féminines de futsal.
Résumé des faits et des résultats
L’échantillon était composé de 15 athlètes féminines de futsal. Les analyses ont été réalisées en trois phases du cycle menstruel : proliférative, sécrétoire et prémenstruelle. Les instruments utilisés étaient : le questionnaire de suivi du SPM, l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC), la dynamométrie des fléchisseurs et extenseurs du genou, le Rated Perceived Exertion (RPE) et le Subjective Fatigue Scale (SFS). Parmi, 80 % des athlètes souffraient du syndrome prémenstruel, avec des symptômes physiques et émotionnels variés ; 93,33 % considèrent que leurs performances sportives sont altérées par le cycle menstruel. Les résultats impliquant des variables physiques n’ont pas montré de différences, tandis que les variables liées à la perception de la fatigue et de l’effort ont montré de moins bons résultats en phase prémenstruelle (RPE : p=0,007 et SFS : p=0,01). La mesure de la VFC a montré que dans la phase prémenstruelle les athlètes ont moins de variabilité par rapport aux autres phases (p=0,01).
Conclusion
Les phases du cycle menstruel, bien qu’elles ne montrent pas de différences dans le test de force des athlètes, peuvent être liées à des changements dans les signes de fatigue. Nous suggérons que l’analyse VFC peut être un outil objectif pour aider à surveiller la charge et la fatigue tout au long du cycle menstruel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113532
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 741-745[article] The menstrual cycle affects the perception of fatigue in futsal athletes = Le cycle menstruel affecte la perception de la fatigue chez les athlètes de futsal [texte imprimé] / M.S.B. Morales ; T.E. Balzan ; A.F. Da Silva ; C.B. Muller ; E.S. Pinheiro ; G.D. Ferreira . - 2023 . - p. 741-745.
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 741-745
Mots-clés : Cycle menstruel Les athlètes VFC Performance Résumé : Introduction
Il existe peu d’études qui relient les effets du cycle menstruel et la perception de la fatigue chez les athlètes de futsal. L’objectif de cette étude est d’identifier la prévalence du syndrome prémenstruel (SPM) et l’influence des phases du cycle menstruel sur les mesures et les signes de fatigue chez les athlètes féminines de futsal.
Résumé des faits et des résultats
L’échantillon était composé de 15 athlètes féminines de futsal. Les analyses ont été réalisées en trois phases du cycle menstruel : proliférative, sécrétoire et prémenstruelle. Les instruments utilisés étaient : le questionnaire de suivi du SPM, l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC), la dynamométrie des fléchisseurs et extenseurs du genou, le Rated Perceived Exertion (RPE) et le Subjective Fatigue Scale (SFS). Parmi, 80 % des athlètes souffraient du syndrome prémenstruel, avec des symptômes physiques et émotionnels variés ; 93,33 % considèrent que leurs performances sportives sont altérées par le cycle menstruel. Les résultats impliquant des variables physiques n’ont pas montré de différences, tandis que les variables liées à la perception de la fatigue et de l’effort ont montré de moins bons résultats en phase prémenstruelle (RPE : p=0,007 et SFS : p=0,01). La mesure de la VFC a montré que dans la phase prémenstruelle les athlètes ont moins de variabilité par rapport aux autres phases (p=0,01).
Conclusion
Les phases du cycle menstruel, bien qu’elles ne montrent pas de différences dans le test de force des athlètes, peuvent être liées à des changements dans les signes de fatigue. Nous suggérons que l’analyse VFC peut être un outil objectif pour aider à surveiller la charge et la fatigue tout au long du cycle menstruel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113532 Exemplaires (1)
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Titre : Outils d’évaluation et de reconnaissance de la santé mentale dans le sport (SMHAT-1 et SMHRT-1) : synthèse ReFORM de la position de consensus du Comité International Olympique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Ruffault ; K. Seil ; A. Soulard ; P. Edouard ; S. Leclerc ; G. Martens ; R. Seil ; C. Tooth Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 746-748 Langues : Français (fre) Résumé : Introduction
L’évaluation des troubles et leur prise en charge, par les professionnels de la santé habilités à évaluer les athlètes
Étape 1 : le triage
Étape 2 : le dépistage
Étape 3 : l’intervention
La reconnaissance des troubles, par l’entourage des sportifs, et les sportifs eux-mêmes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113533
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 746-748[article] Outils d’évaluation et de reconnaissance de la santé mentale dans le sport (SMHAT-1 et SMHRT-1) : synthèse ReFORM de la position de consensus du Comité International Olympique [texte imprimé] / A. Ruffault ; K. Seil ; A. Soulard ; P. Edouard ; S. Leclerc ; G. Martens ; R. Seil ; C. Tooth . - 2023 . - p. 746-748.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.38 N°7 (octobre 2023) . - p. 746-748
Résumé : Introduction
L’évaluation des troubles et leur prise en charge, par les professionnels de la santé habilités à évaluer les athlètes
Étape 1 : le triage
Étape 2 : le dépistage
Étape 3 : l’intervention
La reconnaissance des troubles, par l’entourage des sportifs, et les sportifs eux-mêmes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113533 Exemplaires (1)
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