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Profile of musculoskeletal injuries in the parasport / J. Santos Silva Lopes in Science & sports, Vol.37 N°7 (Novembre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 527-541 Titre : Profile of musculoskeletal injuries in the parasport : a systematic review Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Santos Silva Lopes ; A. Monteiro de Magalhaes Neto ; a. Flauzino Machado Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 527-541 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épidémiologie  Prévention des blessures  Para-athlètes  Invalidité  Athlètes handicapés Résumé : Contexte Malgré les bienfaits du sport, on sait que la pratique sportive augmente l’exposition et l’incidence des blessures sportives. Par conséquent, des études sont nécessaires pour démontrer les schémas de blessures associés aux parasports, ce qui permettra prospectivement de suggérer des protocoles préventifs spécifiques. Objectif Démontrer le profil des blessures en parasport, dans différents sports et types de handicap. Sources de données Des recherches ont été menées dans les bases de données PubMed/MEDLINE, EMBASE, PEDro, Cochrane, SportsDiscus et Scielo jusqu’en mars 2020. Les termes de recherche comprenaient des combinaisons de mots-clés liés au parasport et aux blessures sportives. Pour être incluses, des études étaient nécessaires pour : (1) cibler les athlètes handicapés ; (2) évaluer les niveaux amateur ou professionnel ; et (3) vérifier les mesures des blessures sportives. Résultats Un total de 31 études (n=17 608 participants) ont été incluses. Il a été trouvé une prévalence plus élevée de blessures dans les fibres musculaires et dans les modalités pratiquées en position debout. Le site anatomique ayant la plus forte incidence était les membres inférieurs, en particulier la cuisse, tandis qu’en position assise sportive, dans l’eau et en compétition, l’incidence la plus élevée était observée dans les membres supérieurs, en particulier l’épaule. Conclusion Ces résultats fournissent aux cliniciens et aux chercheurs des paramètres pour guider la prescription d’interventions préventives spécifiques, compte tenu du type de sous-modalité sportive pratiquée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106735 [article] Profile of musculoskeletal injuries in the parasport : a systematic review [texte imprimé] / J. Santos Silva Lopes ; A. Monteiro de Magalhaes Neto ; a. Flauzino Machado . - 2022 . - p. 527-541. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 527-541 Mots-clés : Épidémiologie  Prévention des blessures  Para-athlètes  Invalidité  Athlètes handicapés Résumé : Contexte Malgré les bienfaits du sport, on sait que la pratique sportive augmente l’exposition et l’incidence des blessures sportives. Par conséquent, des études sont nécessaires pour démontrer les schémas de blessures associés aux parasports, ce qui permettra prospectivement de suggérer des protocoles préventifs spécifiques. Objectif Démontrer le profil des blessures en parasport, dans différents sports et types de handicap. Sources de données Des recherches ont été menées dans les bases de données PubMed/MEDLINE, EMBASE, PEDro, Cochrane, SportsDiscus et Scielo jusqu’en mars 2020. Les termes de recherche comprenaient des combinaisons de mots-clés liés au parasport et aux blessures sportives. Pour être incluses, des études étaient nécessaires pour : (1) cibler les athlètes handicapés ; (2) évaluer les niveaux amateur ou professionnel ; et (3) vérifier les mesures des blessures sportives. Résultats Un total de 31 études (n=17 608 participants) ont été incluses. Il a été trouvé une prévalence plus élevée de blessures dans les fibres musculaires et dans les modalités pratiquées en position debout. Le site anatomique ayant la plus forte incidence était les membres inférieurs, en particulier la cuisse, tandis qu’en position assise sportive, dans l’eau et en compétition, l’incidence la plus élevée était observée dans les membres supérieurs, en particulier l’épaule. Conclusion Ces résultats fournissent aux cliniciens et aux chercheurs des paramètres pour guider la prescription d’interventions préventives spécifiques, compte tenu du type de sous-modalité sportive pratiquée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106735

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Anthropométrie et performance physique pour différents styles de natation / D.S. Lima-Borges in Science & sports, Vol.37 N°7 (Novembre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 542-551 Titre : Anthropométrie et performance physique pour différents styles de natation Type de document : texte imprimé Auteurs : D.S. Lima-Borges ; N. O. Portilho ; D.S. Araujo Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 542-551 Langues : Français (fre) Mots-clés : Performance athlétique  La natation  La composition corporelle Résumé : Objectifs Les exigences anthropométriques sont différentes entre les styles de natation et les épreuves de natation. Ainsi, cette revue systématique visait à vérifier la relation entre l’anthropométrie et la performance pour différents styles de natation. Données Nous avons ainsi colligé les études parues entre 2000 et 2020 à l’aide des bases bibliographiques PubMed, SciELO, Lilacs et Google Scholar. Cent quatre-vingts publications ont été recensées, mais 21 articles répondaient aux critères d’inclusion. Résultats Les résultats ont montré les fréquences d’études suivantes sur les variables anthropométriques ayant pour effet d’interférer avec les performances physiques des nageurs: (57,1 %) longueur du segment supérieur, (51,4 %) taille, (23,8 %) masse corporelle et (19,0 %) longueur des segments inférieurs. Par conséquent, la hauteur peut influencer les gains de vitesse, et s’avère la variable la plus appropriée pour la prédiction des performances, conjointement avec la taille des segments supérieurs. Conclusion Néanmoins, certaines limites doivent être soulignées, telles que le manque de comparaison entre les différents styles et tailles d’épreuves de natation. Ainsi, bien que les résultats inclus dans cette revue indiquent que les variables anthropométriques s’associent à des différences de performances en termes de style de natation, elles ne montrent pas de différences en fonction de la durée des tests. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106736 [article] Anthropométrie et performance physique pour différents styles de natation [texte imprimé] / D.S. Lima-Borges ; N. O. Portilho ; D.S. Araujo . - 2022 . - p. 542-551. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 542-551 Mots-clés : Performance athlétique  La natation  La composition corporelle Résumé : Objectifs Les exigences anthropométriques sont différentes entre les styles de natation et les épreuves de natation. Ainsi, cette revue systématique visait à vérifier la relation entre l’anthropométrie et la performance pour différents styles de natation. Données Nous avons ainsi colligé les études parues entre 2000 et 2020 à l’aide des bases bibliographiques PubMed, SciELO, Lilacs et Google Scholar. Cent quatre-vingts publications ont été recensées, mais 21 articles répondaient aux critères d’inclusion. Résultats Les résultats ont montré les fréquences d’études suivantes sur les variables anthropométriques ayant pour effet d’interférer avec les performances physiques des nageurs: (57,1 %) longueur du segment supérieur, (51,4 %) taille, (23,8 %) masse corporelle et (19,0 %) longueur des segments inférieurs. Par conséquent, la hauteur peut influencer les gains de vitesse, et s’avère la variable la plus appropriée pour la prédiction des performances, conjointement avec la taille des segments supérieurs. Conclusion Néanmoins, certaines limites doivent être soulignées, telles que le manque de comparaison entre les différents styles et tailles d’épreuves de natation. Ainsi, bien que les résultats inclus dans cette revue indiquent que les variables anthropométriques s’associent à des différences de performances en termes de style de natation, elles ne montrent pas de différences en fonction de la durée des tests. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106736

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Effet d’une supplémentation orale en l-arginine sur la pression sanguine post-exercice chez les adultes hypertendus / A. Alves Porto in Science & sports, Vol.37 N°7 (Novembre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 552-561 Titre : Effet d’une supplémentation orale en l-arginine sur la pression sanguine post-exercice chez les adultes hypertendus : examen systématique et méta-analyse d’études randomisées en double aveugle, contrôlées par placebo Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Alves Porto ; L. Almeida Gonzaga ; C.J.R. Benjamin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 552-561 Langues : Français (fre) Mots-clés : L-arginine  Hypertension artérielle  Post-exercice  Cœur  Revue systématique Résumé : Objectifs Nous avons évalué les effets de la L-arginine orale sur la tension artérielle après l’exercice. Actualités Tout au long d’octobre 2020 et février 2021, les bases de données électroniques Medline, Web of Science, CINAHL, Embase, Cochrane, Bireme, Open Gray, MedRxiv, Clinical Trials et Scopus ont été étudiées. Les termes utilisés pour rechercher des essais cliniques randomisés, en double aveugle et contrôlés par placebo étaient «Arginine» ET «Post-exercice». Trois études ont été impliquées dans la méta-analyse, les résultats originaux des trois études ont démontré une tendance liée à l’intervention avec la L-arginine. L’IC à 95 % variait de −7,94 à −2,14 avec une taille d’effet combiné de −5,04 pour la PA systolique et de −4,96 à −0,97 avec une taille d’effet combiné de −2, 96 pour la PA diastolique. Perspectives et projets Notre méta-analyse a révélé une taille d’effet combiné de 3,40 (p=0,0007) pour la tension artérielle systolique et de 2,91 (p=0,004) pour la tension artérielle diastolique en faveur d’une intervention avec la L-arginine. Conclusions Notre revue fournit des preuves que la supplémentation orale en L-arginine a le potentiel de réduire la tension artérielle systolique et diastolique post-exercice chez les patients hypertendus. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106737 [article] Effet d’une supplémentation orale en l-arginine sur la pression sanguine post-exercice chez les adultes hypertendus : examen systématique et méta-analyse d’études randomisées en double aveugle, contrôlées par placebo [texte imprimé] / A. Alves Porto ; L. Almeida Gonzaga ; C.J.R. Benjamin . - 2022 . - p. 552-561. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 552-561 Mots-clés : L-arginine  Hypertension artérielle  Post-exercice  Cœur  Revue systématique Résumé : Objectifs Nous avons évalué les effets de la L-arginine orale sur la tension artérielle après l’exercice. Actualités Tout au long d’octobre 2020 et février 2021, les bases de données électroniques Medline, Web of Science, CINAHL, Embase, Cochrane, Bireme, Open Gray, MedRxiv, Clinical Trials et Scopus ont été étudiées. Les termes utilisés pour rechercher des essais cliniques randomisés, en double aveugle et contrôlés par placebo étaient «Arginine» ET «Post-exercice». Trois études ont été impliquées dans la méta-analyse, les résultats originaux des trois études ont démontré une tendance liée à l’intervention avec la L-arginine. L’IC à 95 % variait de −7,94 à −2,14 avec une taille d’effet combiné de −5,04 pour la PA systolique et de −4,96 à −0,97 avec une taille d’effet combiné de −2, 96 pour la PA diastolique. Perspectives et projets Notre méta-analyse a révélé une taille d’effet combiné de 3,40 (p=0,0007) pour la tension artérielle systolique et de 2,91 (p=0,004) pour la tension artérielle diastolique en faveur d’une intervention avec la L-arginine. Conclusions Notre revue fournit des preuves que la supplémentation orale en L-arginine a le potentiel de réduire la tension artérielle systolique et diastolique post-exercice chez les patients hypertendus. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106737

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L’influence de l’obésité sur la coordination motrice chez les enfants entre 6 et 9 ans / J.M.C. Martins in Science & sports, Vol.37 N°7 (Novembre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 564-571 Titre : L’influence de l’obésité sur la coordination motrice chez les enfants entre 6 et 9 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : J.M.C. Martins ; J.C. Landeiro ; J.N. Cardoso Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 564-571 Langues : Français (fre) Mots-clés : Indice de masse corporelle  Enfants  Test KTK  Coordination motrice  Tour de taille Résumé : Objectif L’obésité est la maladie infantile la plus courante dans les pays développés et sa prévalence continue d’augmenter. L’objectif était d’analyser l’influence de l’obésité sur la coordination motrice des enfants entre 6 et 9 ans. Matériel et méthodes Un certain nombre de 52 élèves des deux sexes ont participé à l’évaluation de la prévalence de l’obésité en utilisant la mesure du périmètre abdominal et l’indice de masse corporelle (IMC) catégorisé comme normal, excès de poids et obésité. L’évaluation de la coordination motrice a été réalisée par le test KTK. Le SPSS (version 19.0) a été utilisé à des fins statistiques. Résultats Les femmes avaient des niveaux de performance plus faibles que les hommes, et les élèves présentaient des niveaux de performance motrice plus faibles au fur et à mesure que l’âge avançait. En ce qui concerne la prévalence de l’obésité, les deux sexes ont obtenu des valeurs moyennes élevées pour la catégorie pondérée norboys, alors que 25 % sont en surpoids. En ce qui concerne le niveau de coordination motrice, 57,7 % des élèves avaient une coordination norboys et 40,4 % avaient des difficultés de coordination. Les élèves ayant des valeurs plus élevées d’IMC et de périmètre abdominal obtiennent des résultats inférieurs en matière de coordination motrice. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106742 [article] L’influence de l’obésité sur la coordination motrice chez les enfants entre 6 et 9 ans [texte imprimé] / J.M.C. Martins ; J.C. Landeiro ; J.N. Cardoso . - 2022 . - p. 564-571. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 564-571 Mots-clés : Indice de masse corporelle  Enfants  Test KTK  Coordination motrice  Tour de taille Résumé : Objectif L’obésité est la maladie infantile la plus courante dans les pays développés et sa prévalence continue d’augmenter. L’objectif était d’analyser l’influence de l’obésité sur la coordination motrice des enfants entre 6 et 9 ans. Matériel et méthodes Un certain nombre de 52 élèves des deux sexes ont participé à l’évaluation de la prévalence de l’obésité en utilisant la mesure du périmètre abdominal et l’indice de masse corporelle (IMC) catégorisé comme normal, excès de poids et obésité. L’évaluation de la coordination motrice a été réalisée par le test KTK. Le SPSS (version 19.0) a été utilisé à des fins statistiques. Résultats Les femmes avaient des niveaux de performance plus faibles que les hommes, et les élèves présentaient des niveaux de performance motrice plus faibles au fur et à mesure que l’âge avançait. En ce qui concerne la prévalence de l’obésité, les deux sexes ont obtenu des valeurs moyennes élevées pour la catégorie pondérée norboys, alors que 25 % sont en surpoids. En ce qui concerne le niveau de coordination motrice, 57,7 % des élèves avaient une coordination norboys et 40,4 % avaient des difficultés de coordination. Les élèves ayant des valeurs plus élevées d’IMC et de périmètre abdominal obtiennent des résultats inférieurs en matière de coordination motrice. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106742

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Effets d’un entraînement fractionné de haute intensité (HIIT) après une période de confinement due au COVID 19, chez des joueurs de football d’élite / L. Vardakis in Science & sports, Vol.37 N°7 (Novembre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 572-580 Titre : Effets d’un entraînement fractionné de haute intensité (HIIT) après une période de confinement due au COVID 19, chez des joueurs de football d’élite Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Vardakis ; Y. Michailidis ; A. Mandroukas Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 572-580 Langues : Français (fre) Mots-clés : Football  COVID-19  Microcycle  Entraînement fractionné de haute intensité  Joueurs d’élite Résumé : Objectifs L’altération des capacités physiques est inévitable après une période de deux à six semaines d’absence d’entraînement chez les athlètes. La période de confinement due au COVID19 a changé les caractéristiques de la préparation des joueurs de football. But de l’étude Le but de notre étude était d’appliquer un microcycle d’entrainement fractionné de haute intensité (HIIT, ou microcycle de choc SM), après le retour à l’entraînement, et d’évaluer ses effets sur les performances des joueurs. Matériel et méthodes Dix-neuf footballeurs professionnels d’élite ont effectué 3-4 séances d’entraînement individuel par semaine pendant la période de confinement de mars à mai 2020 (LP, 8 semaines). Les séances prévoyaient des exercices de courses à pied par intervalles, de courte et longue durée. L’intensité des exercices évaluée par des tests d’ergospirométrie en laboratoire deux semaines avant la LP. Tous les joueurs ont suivi le programme en salle close (3–6 séances par semaine) comprenant des exercices de base, d’équilibre et de flexibilité (∼45minutes). Le contenu du HIIT était le même pour les deux groupes et a débuté après la LP, pendant les deux semaines suivant l’entraînement et comprenant 8 sessions de HIIT, 2 sessions d’entrainement technique, 2 sessions de tactiques et 2jours de congé. Résultats RSAMeanTime et RSA4,5,6S testé après le HIIT (p=0.025, p=0,010, p=0,009, p=0,037 respectivement. YYIR2Total Distance: la distance totale parcourue par les joueurs durant la seconde évaluation était plus longue de 10,8 % (p=0,004). De même, le pourcentage de YYIR2HeartRateRecovery était plus bat durant la seconde évaluation (p=0,014). Conclusions Les résultats de l’étude ont démontré que le SM peut améliorer les performances YYIR2 et RSA, et constitue une arme utile pour la régénération des aptitudes physiques dans un espace limité. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106743 [article] Effets d’un entraînement fractionné de haute intensité (HIIT) après une période de confinement due au COVID 19, chez des joueurs de football d’élite [texte imprimé] / L. Vardakis ; Y. Michailidis ; A. Mandroukas . - 2022 . - p. 572-580. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 572-580 Mots-clés : Football  COVID-19  Microcycle  Entraînement fractionné de haute intensité  Joueurs d’élite Résumé : Objectifs L’altération des capacités physiques est inévitable après une période de deux à six semaines d’absence d’entraînement chez les athlètes. La période de confinement due au COVID19 a changé les caractéristiques de la préparation des joueurs de football. But de l’étude Le but de notre étude était d’appliquer un microcycle d’entrainement fractionné de haute intensité (HIIT, ou microcycle de choc SM), après le retour à l’entraînement, et d’évaluer ses effets sur les performances des joueurs. Matériel et méthodes Dix-neuf footballeurs professionnels d’élite ont effectué 3-4 séances d’entraînement individuel par semaine pendant la période de confinement de mars à mai 2020 (LP, 8 semaines). Les séances prévoyaient des exercices de courses à pied par intervalles, de courte et longue durée. L’intensité des exercices évaluée par des tests d’ergospirométrie en laboratoire deux semaines avant la LP. Tous les joueurs ont suivi le programme en salle close (3–6 séances par semaine) comprenant des exercices de base, d’équilibre et de flexibilité (∼45minutes). Le contenu du HIIT était le même pour les deux groupes et a débuté après la LP, pendant les deux semaines suivant l’entraînement et comprenant 8 sessions de HIIT, 2 sessions d’entrainement technique, 2 sessions de tactiques et 2jours de congé. Résultats RSAMeanTime et RSA4,5,6S testé après le HIIT (p=0.025, p=0,010, p=0,009, p=0,037 respectivement. YYIR2Total Distance: la distance totale parcourue par les joueurs durant la seconde évaluation était plus longue de 10,8 % (p=0,004). De même, le pourcentage de YYIR2HeartRateRecovery était plus bat durant la seconde évaluation (p=0,014). Conclusions Les résultats de l’étude ont démontré que le SM peut améliorer les performances YYIR2 et RSA, et constitue une arme utile pour la régénération des aptitudes physiques dans un espace limité. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106743

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Troubles de santé à la marche au long cours et impacts de facteurs associés in Science & sports, Vol.37 N°7 (Novembre 2022)

Public ISBD [article]  inScience & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 581-594 Titre : Troubles de santé à la marche au long cours et impacts de facteurs associés Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 581-594 Langues : Français (fre) Mots-clés : Marche de longue distance  Pèlerinage  Troubles de santé  Symptômes  Indice de masse corporelle Résumé : Objectifs Une pratique de la marche, modérée et périodique, est associée à un faible risque de dommages corporels. Les troubles de santé reliés à une pratique substantielle et soutenue sont rarement documentés. Seulement quelques études conduites chez des randonneurs de long parcours en montagne en ont fait un recensement. Les troubles de santé associés à la marche au long cours sont alors peu connus. Ce contexte de pratique, pour lequel l’intérêt est grandissant dans la communauté, est propre aux longues traversées à pied ou aux pèlerinages à pied. L’étude consiste à recenser les troubles de santé rapportés par des marcheurs-pèlerins après un pèlerinage. Elle documente aussi les impacts de quatre facteurs, soit l’indice de masse corporelle (IMC), l’expérience au contexte de pratique, la charge transportée et la durée du pèlerinage (enjours de marche). Méthode Cette étude exploratoire examine les données recueillies auprès de 35 marcheurs (âge : 63,1±7,7 ans ; 60,0 % de femmes ; IMC : 25,5±3,7kg/m2). Ces participants ont complété des questionnaires et pris part à deux rencontres en laboratoire, avec une entrevue, se déroulant avant et après leur période de marche au long cours. La rencontre initiale était tenue à l’intérieur d’un délai de 30jours avant la marche, celle de suivi en moins de 10jours suivant la fin de la marche. Le projet de marche des participants devait être défini a priori. Le profil des troubles de santé présenté est réalisé selon une analyse descriptive. Aussi, sur les proportions observées, une approche basée sur des tests statistiques a servi à vérifier la significativité des effets associés pour chacun des quatre facteurs ciblés a priori. En complément, l’état initial des participants est documenté ainsi que des conditions de pratique durant le pèlerinage à pied. Résultats En moyenne, la distance pédestre parcourue couvre 586,31±301,80km, répartie sur une période de 29,0±14,0jours. La durée moyenne de marche sur une base journalière s’étend à 6,0±1,0heures (19,93±3,24km par jour). En somme, 88,6 % des participants (n=31) ont rapporté avoir rencontré au moins un trouble de santé durant la période de marche. Le total des blessures et symptômes s’est élevé à 54 troubles rapportés (taux moyen de 1,54 par individu). Les manifestations les plus courantes sont de nature musculosquelettique (68,5 % des cas, taux moyen de 1,06 par individu), suivies de celles de nature cutanée (22,2 % des cas, taux moyen de 0,34 par individu). Le genou est l’articulation portante du membre inférieur la plus couramment symptomatique (taux moyen de 0,29 par individu). La jambe ou la zone jambe-pied (excluant les atteintes localisées au pied) est aussi un segment corporel fréquemment rapporté (taux moyen de 0,20 par individu). Parmi les quatre facteurs étudiés, seul l’IMC a significativement influencé les proportions observées reliées aux troubles de santé et aux conditions de pratique à la marche au long cours. Conclusion L’apparition de symptômes musculosquelettiques (raideur, tension, douleur, inflammation, etc.) est très fréquente à la marche au long cours selon cette étude. Le genou et la jambe sont les régions corporelles qui semblent les plus vulnérables. L’indice de masse corporelle appert être un facteur déterminant de la survenue de troubles de santé et d’une modulation des conditions de pratique. Par contre, la durée (enjours) du pèlerinage pédestre ne semble pas influer significativement. Davantage d’études sont indiquées afin de mieux comprendre cette pratique de la marche. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106744 [article] Troubles de santé à la marche au long cours et impacts de facteurs associés [texte imprimé] . - 2022 . - p. 581-594. Langues : Français (fre) in Science & sports > Vol.37 N°7 (Novembre 2022) . - p. 581-594 Mots-clés : Marche de longue distance  Pèlerinage  Troubles de santé  Symptômes  Indice de masse corporelle Résumé : Objectifs Une pratique de la marche, modérée et périodique, est associée à un faible risque de dommages corporels. Les troubles de santé reliés à une pratique substantielle et soutenue sont rarement documentés. Seulement quelques études conduites chez des randonneurs de long parcours en montagne en ont fait un recensement. Les troubles de santé associés à la marche au long cours sont alors peu connus. Ce contexte de pratique, pour lequel l’intérêt est grandissant dans la communauté, est propre aux longues traversées à pied ou aux pèlerinages à pied. L’étude consiste à recenser les troubles de santé rapportés par des marcheurs-pèlerins après un pèlerinage. Elle documente aussi les impacts de quatre facteurs, soit l’indice de masse corporelle (IMC), l’expérience au contexte de pratique, la charge transportée et la durée du pèlerinage (enjours de marche). Méthode Cette étude exploratoire examine les données recueillies auprès de 35 marcheurs (âge : 63,1±7,7 ans ; 60,0 % de femmes ; IMC : 25,5±3,7kg/m2). Ces participants ont complété des questionnaires et pris part à deux rencontres en laboratoire, avec une entrevue, se déroulant avant et après leur période de marche au long cours. La rencontre initiale était tenue à l’intérieur d’un délai de 30jours avant la marche, celle de suivi en moins de 10jours suivant la fin de la marche. Le projet de marche des participants devait être défini a priori. Le profil des troubles de santé présenté est réalisé selon une analyse descriptive. Aussi, sur les proportions observées, une approche basée sur des tests statistiques a servi à vérifier la significativité des effets associés pour chacun des quatre facteurs ciblés a priori. En complément, l’état initial des participants est documenté ainsi que des conditions de pratique durant le pèlerinage à pied. Résultats En moyenne, la distance pédestre parcourue couvre 586,31±301,80km, répartie sur une période de 29,0±14,0jours. La durée moyenne de marche sur une base journalière s’étend à 6,0±1,0heures (19,93±3,24km par jour). En somme, 88,6 % des participants (n=31) ont rapporté avoir rencontré au moins un trouble de santé durant la période de marche. Le total des blessures et symptômes s’est élevé à 54 troubles rapportés (taux moyen de 1,54 par individu). Les manifestations les plus courantes sont de nature musculosquelettique (68,5 % des cas, taux moyen de 1,06 par individu), suivies de celles de nature cutanée (22,2 % des cas, taux moyen de 0,34 par individu). Le genou est l’articulation portante du membre inférieur la plus couramment symptomatique (taux moyen de 0,29 par individu). La jambe ou la zone jambe-pied (excluant les atteintes localisées au pied) est aussi un segment corporel fréquemment rapporté (taux moyen de 0,20 par individu). Parmi les quatre facteurs étudiés, seul l’IMC a significativement influencé les proportions observées reliées aux troubles de santé et aux conditions de pratique à la marche au long cours. Conclusion L’apparition de symptômes musculosquelettiques (raideur, tension, douleur, inflammation, etc.) est très fréquente à la marche au long cours selon cette étude. Le genou et la jambe sont les régions corporelles qui semblent les plus vulnérables. L’indice de masse corporelle appert être un facteur déterminant de la survenue de troubles de santé et d’une modulation des conditions de pratique. Par contre, la durée (enjours) du pèlerinage pédestre ne semble pas influer significativement. Davantage d’études sont indiquées afin de mieux comprendre cette pratique de la marche. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106744

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