Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : octobre 2022 Paru le : 01/10/2022 |
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---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAu cour des 24 h Rollers du Mans Une équipe de kinésithérapeutes / François DEBSI in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Au cour des 24 h Rollers du Mans Une équipe de kinésithérapeutes Type de document : texte imprimé Auteurs : François DEBSI ; Nathalie Faizang Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 51-55 Langues : Français (fre) Résumé : Au Mans, le 9 juillet 2022 à 16 h, partaient les 24 h Rollers après 3 années de suspension (canicule, puis période de Covid) (fig. 1). Une équipe de kinésithérapeutes, formée pour l’essentiel par des étudiants de l’IFMK de Laval, assurait les soins d’entretien physique pour les compétiteurs.En 24 heures, 708 actes ont été proposés auprès de 491 coureurs. Pour cet événement sportif, une moyenne de 6 masseurs-kinésithérapeutes (étudiants ou non) ont effectué en moyenne 29 actes masso-kinésithérapiques par heure pour 21 coureurs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106254
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 51-55[article] Au cour des 24 h Rollers du Mans Une équipe de kinésithérapeutes [texte imprimé] / François DEBSI ; Nathalie Faizang . - 2022 . - p. 51-55.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 51-55
Résumé : Au Mans, le 9 juillet 2022 à 16 h, partaient les 24 h Rollers après 3 années de suspension (canicule, puis période de Covid) (fig. 1). Une équipe de kinésithérapeutes, formée pour l’essentiel par des étudiants de l’IFMK de Laval, assurait les soins d’entretien physique pour les compétiteurs.En 24 heures, 708 actes ont été proposés auprès de 491 coureurs. Pour cet événement sportif, une moyenne de 6 masseurs-kinésithérapeutes (étudiants ou non) ont effectué en moyenne 29 actes masso-kinésithérapiques par heure pour 21 coureurs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106254 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtEn tant que patient, construire un partenariat avec les professionnels du soin / Jean-Michel Triquet in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : En tant que patient, construire un partenariat avec les professionnels du soin Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Triquet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 33-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Amputation chirurgicale patient partenaire Résumé : L’équipe de bénévoles ADEPA Hauts-de-France travaille depuis
2013 à instaurer des partenariats avec les établissements et
professionnels de leur territoire travaillant auprès de personnes
amputées.
Cet article retrace succinctement l’histoire du développement de
ces échanges fructueux. Il expose également les sujets de l’inter-
vention par les pairs et leurs modalités adaptées à chaque centre
de rééducation.
Il termine par l’explicitation des apports des bénévoles de
l’ADEPA au système de santé et aux professionnels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106255
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 33-38[article] En tant que patient, construire un partenariat avec les professionnels du soin [texte imprimé] / Jean-Michel Triquet . - 2022 . - p. 33-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 33-38
Mots-clés : Amputation chirurgicale patient partenaire Résumé : L’équipe de bénévoles ADEPA Hauts-de-France travaille depuis
2013 à instaurer des partenariats avec les établissements et
professionnels de leur territoire travaillant auprès de personnes
amputées.
Cet article retrace succinctement l’histoire du développement de
ces échanges fructueux. Il expose également les sujets de l’inter-
vention par les pairs et leurs modalités adaptées à chaque centre
de rééducation.
Il termine par l’explicitation des apports des bénévoles de
l’ADEPA au système de santé et aux professionnels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106255 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÊtes-vous un bon kinésithérapeute d'après vos patients ? / Guillaume Rousson in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Êtes-vous un bon kinésithérapeute d'après vos patients ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Rousson Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 20-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : Qualité des soins de santé Résumé : L’importance d’évaluer la qualité des soins, en kinésithérapie comme dans toutes disciplines, est devenue un enjeu central dans un contexte d’augmentation de la part du produit intérieur brut (PIB), de la plupart des pays industrialisés, dédiée à la santé. Une croissance qui s’est traduite par une volonté de rationalisation et de contrôle des dépenses. En France, cette part a été multipliée par 3,5 passant de 2,4 % du PIB en 1950 à 8,9 % en 2015, avec une augmentation de 10 % par an en moyenne, tandis que le PIB progressait sur la même période, de seulement 7,9 %.
Un rythme de croissance réduit a cependant pu être atteint par un renforcement graduel de la régulation des dépenses, mais les projections tendent tout de même à valider la persistance de ce phénomène [1]. Ce dernier est causé notamment par le vieillissement de la population, l’augmentation des maladies chroniques et les nouveaux traitements et technologies développés.
Cependant, le contrôle des dépenses, réalisé nationalement par la création d’une enveloppe budgétaire fermée, nommée « Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie (ONDAM) » et par le déploiement de la Tarification A l’Activité (T2A) dans les établissements, peut avoir comme conséquence la valorisation de la productivité au détriment de la qualité [2]. Ces nouveaux outils ont abouti à l’installation d’une tension entre qualité et coût, représentée par une interrogation sur l’efficacité des dépenses, de la qualité obtenue par rapport aux investissements réalisés, autrement dit un questionnement sur la pertinence du système de santé et de l’exercice des professionnels le composant. Plus que mesurer et contrôler les dépenses, il est apparu la nécessité de mesurer la qualité des soins pour l’améliorer ou, a minima, ne pas la dégrader dans un contexte de diminution des dépenses.
Et la kinésithérapie ne fera pas exception. En effet, même si les kinésithérapeutes exercent, pour une imposante majorité, en libéral (85 % en 2020(1)), l’incitation à monitorer la qualité de nos soins est déjà proposée, sans grand succès, par les deux syndicats historiques de la profession (la FFMKR et le SNMKR) avec respectivement une certification Afnor, KinéQuali+(2), et le label Quali’Kiné(3). Mais, depuis le 19 juillet 2021, date de la publication de l’ordonnance « relative à la certification périodique de certains professionnels de santé »4, cette incitation a été renforcée pour les kinésithérapeutes, a minima par la réalisation d’actions visant à « renforcer la qualité de leurs pratiques professionnelles » et à « améliorer la relation avec leurs patients ». Les contours précis de cette certification ne sont pas encore connus, mais il semble que nous sommes encore loin d’une obligation de mesurer précisément la qualité des soins ou d’une rémunération incluant les résultats de qualité des soins, deux transformations pourtant déjà en cours au sein des établissements de santé, qui impactent donc déjà les kinésithérapeutes salariés.
Dans ce contexte, comment anticiper ce potentiel changement pour notre pratique et tenter dès maintenant de mesurer la qualité de nos soins pour l’améliorer ? : une démarche à réaliser avec les patients pour en assurer sa pertinence.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106256
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 20-28[article] Êtes-vous un bon kinésithérapeute d'après vos patients ? [texte imprimé] / Guillaume Rousson . - 2022 . - p. 20-28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 20-28
Mots-clés : Qualité des soins de santé Résumé : L’importance d’évaluer la qualité des soins, en kinésithérapie comme dans toutes disciplines, est devenue un enjeu central dans un contexte d’augmentation de la part du produit intérieur brut (PIB), de la plupart des pays industrialisés, dédiée à la santé. Une croissance qui s’est traduite par une volonté de rationalisation et de contrôle des dépenses. En France, cette part a été multipliée par 3,5 passant de 2,4 % du PIB en 1950 à 8,9 % en 2015, avec une augmentation de 10 % par an en moyenne, tandis que le PIB progressait sur la même période, de seulement 7,9 %.
Un rythme de croissance réduit a cependant pu être atteint par un renforcement graduel de la régulation des dépenses, mais les projections tendent tout de même à valider la persistance de ce phénomène [1]. Ce dernier est causé notamment par le vieillissement de la population, l’augmentation des maladies chroniques et les nouveaux traitements et technologies développés.
Cependant, le contrôle des dépenses, réalisé nationalement par la création d’une enveloppe budgétaire fermée, nommée « Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie (ONDAM) » et par le déploiement de la Tarification A l’Activité (T2A) dans les établissements, peut avoir comme conséquence la valorisation de la productivité au détriment de la qualité [2]. Ces nouveaux outils ont abouti à l’installation d’une tension entre qualité et coût, représentée par une interrogation sur l’efficacité des dépenses, de la qualité obtenue par rapport aux investissements réalisés, autrement dit un questionnement sur la pertinence du système de santé et de l’exercice des professionnels le composant. Plus que mesurer et contrôler les dépenses, il est apparu la nécessité de mesurer la qualité des soins pour l’améliorer ou, a minima, ne pas la dégrader dans un contexte de diminution des dépenses.
Et la kinésithérapie ne fera pas exception. En effet, même si les kinésithérapeutes exercent, pour une imposante majorité, en libéral (85 % en 2020(1)), l’incitation à monitorer la qualité de nos soins est déjà proposée, sans grand succès, par les deux syndicats historiques de la profession (la FFMKR et le SNMKR) avec respectivement une certification Afnor, KinéQuali+(2), et le label Quali’Kiné(3). Mais, depuis le 19 juillet 2021, date de la publication de l’ordonnance « relative à la certification périodique de certains professionnels de santé »4, cette incitation a été renforcée pour les kinésithérapeutes, a minima par la réalisation d’actions visant à « renforcer la qualité de leurs pratiques professionnelles » et à « améliorer la relation avec leurs patients ». Les contours précis de cette certification ne sont pas encore connus, mais il semble que nous sommes encore loin d’une obligation de mesurer précisément la qualité des soins ou d’une rémunération incluant les résultats de qualité des soins, deux transformations pourtant déjà en cours au sein des établissements de santé, qui impactent donc déjà les kinésithérapeutes salariés.
Dans ce contexte, comment anticiper ce potentiel changement pour notre pratique et tenter dès maintenant de mesurer la qualité de nos soins pour l’améliorer ? : une démarche à réaliser avec les patients pour en assurer sa pertinence.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106256 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtOstéome ostéoïde du fémur / Pierre Le Hir in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Ostéome ostéoïde du fémur : Imagerie du mois Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Le Hir Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 56 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106257
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 56[article] Ostéome ostéoïde du fémur : Imagerie du mois [texte imprimé] / Pierre Le Hir . - 2022 . - p. 56.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 56
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106257 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa prise en charge de l'aide à l'arrêt du tabac : données actuelles (2e partie) / Jean Perriot in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : La prise en charge de l'aide à l'arrêt du tabac : données actuelles (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Perriot ; et al. Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 43-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tabac Nicotine Sevrage tabagique Traitement substitutif Résumé : En 2014, la Haute Autorité de Santé (HAS) a émis des recommandations qui soulignent l’impor-tance du dépistage systématique de la consom-
mation de tabac assortie du conseil d’arrêt et de la proposition de prise en charge du sevrage.Le repérage précoce-intervention brève (RPIB) constitue une approche permettant, en un temps limité, d’encourager un changement du comportement vis-à-vis du tabagisme n Balance décisionnelle
La réalisation d’une « balance décisionnelle » a pour objectif de mettre en perspective, les bénéfices et inconvénients à poursuivre la
consommation du tabac, avec les avantages et difficultés du sevrage tabagique. Elle permet d’identifier les désirs et les craintes du patient face à la perspective de l’arrêt et ainsi d’identifier les clés pour renforcer les premiers et parer les seconds.
Bilan du tabagisme
Le tabagisme du patient doit être caractérisé
avec précision :– la consommation de tabac : âge de début et
d’usage quotidien, consommation actuelle,type des cigarettes et autres produits utilisés (cigarette électronique ?) ;– les tentatives antérieures d’arrêt, ou de réduction, leurs durées et les raisons de la reprise sont évoquées ; – le niveau de dépendance tabagique se fait au moyen du test de Fagerström (tab. I) en 6 ou 2 questions (nombre de cigarettes fumées quotidiennement, délai entre le réveil et la première cigarette fumée). Un score ? 7 pour le premier et ? 4 pour le second, témoigne d’une forte dépendance. Parallèlement, il est souhaitable de mesurer le taux d'intoxication par le monoxyde de carbone dont la valeur observée (ppm) est le reflet de l'intensité
de l'inhalation tabagique. Le « craving » est mesuré au moyen du « French Tobacco Craving Questionnaire » en 12 items (FTCQ-12) [20] ;
– le niveau de motivation à l'arrêt du tabac est évalué au moyen d'une échelle visuelle analogique (EVA) ou d’un test plus spéci-
fique comme le test de Richmond. Si une forte motivation est un facteur de réussite du sevrage, des tentatives d'arrêt sans prépara-
tion préalable peuvent être marquées de succès ;– l'identification des troubles anxieux ou dépressifs est importante car ils pèsent sur
le pronostic du sevrage. À cette fin, l'échelle « Hospital Anxiety and Depression Scale » (HAD)[23] est la plus utilisée, lors de l’évaluation initiale, puis régulièrement au cours du suivi ;
– le repérage d’une consommation d'autres substances psychoactives est indispensable.Les substances inhalées (cannabis, cocaïne,
héroïne) et un mésusage d'alcool peuvent-être à l'origine de dommages respiratoires.Les questionnaires AUDIT-C pour l'alcool et
« Cannabis Abuse Screening Test » (CAST) pour le cannabis [17] facilitent ce repérage ; – il convient d’apprécier si l'entourage du
patient est non-fumeur et peut aider la tentative d’arrêt, de rechercher une situation de précarité socio-économique au moyen du
score EPICES [24], d’identifier le niveau d’activité physique, l’état nutritionnel, le poids,les capacités d’autosoin et d’adaptabilité du
patient (recours à l’éducation thérapeutique ?)et de suivre leur évolution ; – au terme du bilan, il est possible de distin-
guer les fumeurs qui relèvent d’une prise en charge « standard » [17], de ceux qui ont une forte dépendance nicotinique, présentent fréquemment des troubles anxieux ou dépressifs, une co-consommation de substances psychoactives et requièrent l’avis du spécialiste en tabacologiePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106258
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 43-50[article] La prise en charge de l'aide à l'arrêt du tabac : données actuelles (2e partie) [texte imprimé] / Jean Perriot ; et al. . - 2022 . - p. 43-50.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 43-50
Mots-clés : Tabac Nicotine Sevrage tabagique Traitement substitutif Résumé : En 2014, la Haute Autorité de Santé (HAS) a émis des recommandations qui soulignent l’impor-tance du dépistage systématique de la consom-
mation de tabac assortie du conseil d’arrêt et de la proposition de prise en charge du sevrage.Le repérage précoce-intervention brève (RPIB) constitue une approche permettant, en un temps limité, d’encourager un changement du comportement vis-à-vis du tabagisme n Balance décisionnelle
La réalisation d’une « balance décisionnelle » a pour objectif de mettre en perspective, les bénéfices et inconvénients à poursuivre la
consommation du tabac, avec les avantages et difficultés du sevrage tabagique. Elle permet d’identifier les désirs et les craintes du patient face à la perspective de l’arrêt et ainsi d’identifier les clés pour renforcer les premiers et parer les seconds.
Bilan du tabagisme
Le tabagisme du patient doit être caractérisé
avec précision :– la consommation de tabac : âge de début et
d’usage quotidien, consommation actuelle,type des cigarettes et autres produits utilisés (cigarette électronique ?) ;– les tentatives antérieures d’arrêt, ou de réduction, leurs durées et les raisons de la reprise sont évoquées ; – le niveau de dépendance tabagique se fait au moyen du test de Fagerström (tab. I) en 6 ou 2 questions (nombre de cigarettes fumées quotidiennement, délai entre le réveil et la première cigarette fumée). Un score ? 7 pour le premier et ? 4 pour le second, témoigne d’une forte dépendance. Parallèlement, il est souhaitable de mesurer le taux d'intoxication par le monoxyde de carbone dont la valeur observée (ppm) est le reflet de l'intensité
de l'inhalation tabagique. Le « craving » est mesuré au moyen du « French Tobacco Craving Questionnaire » en 12 items (FTCQ-12) [20] ;
– le niveau de motivation à l'arrêt du tabac est évalué au moyen d'une échelle visuelle analogique (EVA) ou d’un test plus spéci-
fique comme le test de Richmond. Si une forte motivation est un facteur de réussite du sevrage, des tentatives d'arrêt sans prépara-
tion préalable peuvent être marquées de succès ;– l'identification des troubles anxieux ou dépressifs est importante car ils pèsent sur
le pronostic du sevrage. À cette fin, l'échelle « Hospital Anxiety and Depression Scale » (HAD)[23] est la plus utilisée, lors de l’évaluation initiale, puis régulièrement au cours du suivi ;
– le repérage d’une consommation d'autres substances psychoactives est indispensable.Les substances inhalées (cannabis, cocaïne,
héroïne) et un mésusage d'alcool peuvent-être à l'origine de dommages respiratoires.Les questionnaires AUDIT-C pour l'alcool et
« Cannabis Abuse Screening Test » (CAST) pour le cannabis [17] facilitent ce repérage ; – il convient d’apprécier si l'entourage du
patient est non-fumeur et peut aider la tentative d’arrêt, de rechercher une situation de précarité socio-économique au moyen du
score EPICES [24], d’identifier le niveau d’activité physique, l’état nutritionnel, le poids,les capacités d’autosoin et d’adaptabilité du
patient (recours à l’éducation thérapeutique ?)et de suivre leur évolution ; – au terme du bilan, il est possible de distin-
guer les fumeurs qui relèvent d’une prise en charge « standard » [17], de ceux qui ont une forte dépendance nicotinique, présentent fréquemment des troubles anxieux ou dépressifs, une co-consommation de substances psychoactives et requièrent l’avis du spécialiste en tabacologiePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106258 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe rameur pourrait-il devenir un incontournable de la rééducation / Benoit Demey in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Le rameur pourrait-il devenir un incontournable de la rééducation Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoit Demey Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 3-9 Langues : Français (fre) Résumé :
Lyon (69)
L'auteur déclare ne pas avoir
un intérêt avec un organisme
Si certains kinésithérapeutes utilisent déjà le rameur au quoti-
dien, d’autres le méconnaissent complètement. Pourquoi 77 %
des kinésithérapeutes qui utilisent cet outil « tout en un » le
recommanderaient à un confrère, alors que les trois-quarts de la
profession n’en sont pas équipés ?
Nous avons cherché à comprendre les dessous d’une telle dispa-
rité. De surprises en solutions, nous avons tenté de synthétiser
les problématiques tout en explorant les clés de son développe-
ment. Le rameur a-t-il de l’avenir en kinésithérapie ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106259
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 3-9[article] Le rameur pourrait-il devenir un incontournable de la rééducation [texte imprimé] / Benoit Demey . - 2022 . - p. 3-9.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 3-9
Résumé :
Lyon (69)
L'auteur déclare ne pas avoir
un intérêt avec un organisme
Si certains kinésithérapeutes utilisent déjà le rameur au quoti-
dien, d’autres le méconnaissent complètement. Pourquoi 77 %
des kinésithérapeutes qui utilisent cet outil « tout en un » le
recommanderaient à un confrère, alors que les trois-quarts de la
profession n’en sont pas équipés ?
Nous avons cherché à comprendre les dessous d’une telle dispa-
rité. De surprises en solutions, nous avons tenté de synthétiser
les problématiques tout en explorant les clés de son développe-
ment. Le rameur a-t-il de l’avenir en kinésithérapie ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106259 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes maisons des usagers : théâtres d'échanges et de solidarités entre patients et « blouses blanches » / Colas Staerck in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Les maisons des usagers : théâtres d'échanges et de solidarités entre patients et « blouses blanches » Type de document : texte imprimé Auteurs : Colas Staerck Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 29-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : Droits des patients / tendances Droits des patients Résumé : Les Maisons des usagers (MDUs) sont des organismes développés initialement par des militants pour les droits des usagers en santé, en partenariat avec des associations également mobilisées dans ce sens. Elles se veulent des lieux d’accueil, d’écoute, d’information et d’échange. Leurs services sont à la disposition des personnes directement concernées par la maladie ou des troubles, mais aussi de leurs proches, des professionnels de santé, ou de toute personne se questionnant sur une problématique de santé. Ces organismes peuvent se trouver en ville, comme dans l’enceinte d’établissement de soins, et sont ouverts lors de permanences régulières où les différentes associations sont présentes tour à tour.
Chacune des associations partenaires propose un panel de services différent : certaines des activités de loisirs culturels, créatifs, sportifs, d’autres des rencontres informelles, ou l’accès à des suivis individualisés ou des groupes de paroles, etc.
La spécificité du fonctionnement des MDUs est due au rôle central qu’y jouent les personnes usagères de soins. À l’exception de quelques associations, la très grande majorité d’entre elles fonctionnent grâce au travail de salariés et/ou bénévoles directement concernés. La plupart des échanges se font donc entre pairs. Les professionnels de santé des hôpitaux et cliniques en relation avec les MDU sont ensuite ceux qui viennent le plus souvent mobiliser leurs services.
Le Programme EXPAIRs est une recherche pluridisciplinaire débutée en 2016 et portant sur les savoirs expérientiels relatifs aux situations de handicap, aux expériences de maladie chronique et aux troubles de santé mentale. Il investigue les espaces sociaux de la production de ces savoirs : les différents types d’accompagnement et de soutien par les pairs. Dans le cadre de cette recherche, des travaux d’ethnographie ont été menés pendant 2 mois dans une MDU en psychiatrie, consistant en des observations lors de permanences associatives, et d’entretiens avec divers membres de ces associations partenaires.
De cette enquête, ressort d’abord ici le pouvoir informatif des MDUs, mais également leur importance comme lieux d’écoute et d’échange entre pairs, puis comme forces créatrices de lien social entre les usagers d’établissement de santé et l’extérieurPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106260
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 29-32[article] Les maisons des usagers : théâtres d'échanges et de solidarités entre patients et « blouses blanches » [texte imprimé] / Colas Staerck . - 2022 . - p. 29-32.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 29-32
Mots-clés : Droits des patients / tendances Droits des patients Résumé : Les Maisons des usagers (MDUs) sont des organismes développés initialement par des militants pour les droits des usagers en santé, en partenariat avec des associations également mobilisées dans ce sens. Elles se veulent des lieux d’accueil, d’écoute, d’information et d’échange. Leurs services sont à la disposition des personnes directement concernées par la maladie ou des troubles, mais aussi de leurs proches, des professionnels de santé, ou de toute personne se questionnant sur une problématique de santé. Ces organismes peuvent se trouver en ville, comme dans l’enceinte d’établissement de soins, et sont ouverts lors de permanences régulières où les différentes associations sont présentes tour à tour.
Chacune des associations partenaires propose un panel de services différent : certaines des activités de loisirs culturels, créatifs, sportifs, d’autres des rencontres informelles, ou l’accès à des suivis individualisés ou des groupes de paroles, etc.
La spécificité du fonctionnement des MDUs est due au rôle central qu’y jouent les personnes usagères de soins. À l’exception de quelques associations, la très grande majorité d’entre elles fonctionnent grâce au travail de salariés et/ou bénévoles directement concernés. La plupart des échanges se font donc entre pairs. Les professionnels de santé des hôpitaux et cliniques en relation avec les MDU sont ensuite ceux qui viennent le plus souvent mobiliser leurs services.
Le Programme EXPAIRs est une recherche pluridisciplinaire débutée en 2016 et portant sur les savoirs expérientiels relatifs aux situations de handicap, aux expériences de maladie chronique et aux troubles de santé mentale. Il investigue les espaces sociaux de la production de ces savoirs : les différents types d’accompagnement et de soutien par les pairs. Dans le cadre de cette recherche, des travaux d’ethnographie ont été menés pendant 2 mois dans une MDU en psychiatrie, consistant en des observations lors de permanences associatives, et d’entretiens avec divers membres de ces associations partenaires.
De cette enquête, ressort d’abord ici le pouvoir informatif des MDUs, mais également leur importance comme lieux d’écoute et d’échange entre pairs, puis comme forces créatrices de lien social entre les usagers d’établissement de santé et l’extérieurPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106260 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes troubles musculo-squelettiques et les risques psychosociaux issus du télétravail : quand l’ergonomie s'en mêle / Arnaud Merel in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Les troubles musculo-squelettiques et les risques psychosociaux issus du télétravail : quand l’ergonomie s'en mêle : À propos d'un cas clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Merel ; Xavier Dufour Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 10-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : troubles musculo-squelettiques Télétravail Pandémies Résumé : Avec l’apparition de la pandémie de la Covid-19, le télétravail s’est imposé en France. Ce mode de travail représente environ 17 % des emplois en France contre 3 % avant la pandémie. Cette modalité semble favoriser 2 risques (le travail sur écran et la sédentarité accrue) :
– les troubles musculo-squelettiques (TMS) : en télétravail, il y a une charge statique prolongée due à un manque de variation de la tâche faisant reposer l’essentiel des activités sur des postes informatiques souvent des portables non réglables. Ajoutons au poste informatique une organisation du travail altérée (notamment des manques de pauses), un agencement du lieu de travail inadapté et une sédentarité accrue. Parmi les TMS, il y a les rachialgies majorées, des attitudes posturales conditionnées par la fatigue visuelle, les troubles de la ceinture scapulaire et des membres supérieurs ;
– les risques psychosociaux (RPS) : le télétravail permet une limitation du stress et de la fatigue par réduction du temps de transport favorisant une meilleure conciliation de la vie privée et de la vie professionnelle. Certains auteurs montrent une amélioration de la qualité du travail (concentration, productivité...) et une diminution de l’absentéisme. À outrance, un effet secondaire est à craindre ; il peut provoquer un surengagement, un isolement, une démotivation de l’opérateur.
L’ergonomie permet l’adaptation d'un environnement de travail et des tâches (outils, matériel, organisation...) aux besoins de l'utilisateur tout en conservant ou améliorant la performance globale des systèmes. Elle fait partie du décret de compétences du kinésithérapeute. Voyons comment l’ergonomie peut apporter des pistes pour la prise en charge des patients à travers un cas clinique réalisé au sortir du premier confinement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106261
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 10-19[article] Les troubles musculo-squelettiques et les risques psychosociaux issus du télétravail : quand l’ergonomie s'en mêle : À propos d'un cas clinique [texte imprimé] / Arnaud Merel ; Xavier Dufour . - 2022 . - p. 10-19.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 10-19
Mots-clés : troubles musculo-squelettiques Télétravail Pandémies Résumé : Avec l’apparition de la pandémie de la Covid-19, le télétravail s’est imposé en France. Ce mode de travail représente environ 17 % des emplois en France contre 3 % avant la pandémie. Cette modalité semble favoriser 2 risques (le travail sur écran et la sédentarité accrue) :
– les troubles musculo-squelettiques (TMS) : en télétravail, il y a une charge statique prolongée due à un manque de variation de la tâche faisant reposer l’essentiel des activités sur des postes informatiques souvent des portables non réglables. Ajoutons au poste informatique une organisation du travail altérée (notamment des manques de pauses), un agencement du lieu de travail inadapté et une sédentarité accrue. Parmi les TMS, il y a les rachialgies majorées, des attitudes posturales conditionnées par la fatigue visuelle, les troubles de la ceinture scapulaire et des membres supérieurs ;
– les risques psychosociaux (RPS) : le télétravail permet une limitation du stress et de la fatigue par réduction du temps de transport favorisant une meilleure conciliation de la vie privée et de la vie professionnelle. Certains auteurs montrent une amélioration de la qualité du travail (concentration, productivité...) et une diminution de l’absentéisme. À outrance, un effet secondaire est à craindre ; il peut provoquer un surengagement, un isolement, une démotivation de l’opérateur.
L’ergonomie permet l’adaptation d'un environnement de travail et des tâches (outils, matériel, organisation...) aux besoins de l'utilisateur tout en conservant ou améliorant la performance globale des systèmes. Elle fait partie du décret de compétences du kinésithérapeute. Voyons comment l’ergonomie peut apporter des pistes pour la prise en charge des patients à travers un cas clinique réalisé au sortir du premier confinement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106261 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPagayer ensemble : l'importance de rencontrer ses pairs pour faire face à l'épreuve du cancer / Laurence Catalon in Kinésithérapie scientifique, 646 (octobre 2022)
[article]
Titre : Pagayer ensemble : l'importance de rencontrer ses pairs pour faire face à l'épreuve du cancer Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Catalon Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 39-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs du sein Sports Entraide Résumé : Sur tous les continents, des femmes touchées par un cancer du
sein pagaient sur leurs Dragon-boats. Les bénéfices de cette
activité adaptée à leur pathologie dépassent la rééducation phy-
sique. Accessible et collectif, ce sport unit ces Dragon ladies sur un même bateau, mêlant défi, plaisir et entraide, guérissant le corps tout autant que l’esprit.
Se sentant comprises et soutenues, partager et échanger se
fait alors tout naturellement entre pairs. Elles avancent ainsi
ensembles, réunies sur l’eau et dans la vie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106262
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 39-42[article] Pagayer ensemble : l'importance de rencontrer ses pairs pour faire face à l'épreuve du cancer [texte imprimé] / Laurence Catalon . - 2022 . - p. 39-42.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 646 (octobre 2022) . - p. 39-42
Mots-clés : Tumeurs du sein Sports Entraide Résumé : Sur tous les continents, des femmes touchées par un cancer du
sein pagaient sur leurs Dragon-boats. Les bénéfices de cette
activité adaptée à leur pathologie dépassent la rééducation phy-
sique. Accessible et collectif, ce sport unit ces Dragon ladies sur un même bateau, mêlant défi, plaisir et entraide, guérissant le corps tout autant que l’esprit.
Se sentant comprises et soutenues, partager et échanger se
fait alors tout naturellement entre pairs. Elles avancent ainsi
ensembles, réunies sur l’eau et dans la vie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106262 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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