Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : mars 2022
Paru le : 01/03/2022
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[article]
Titre : |
Cause atypique de boiterie chez l’enfant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. Sauvant ; Jean-François Kaux ; V. Gillot |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 54-59 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.jts.2021.11.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Pédiatrie Hernie discale Boiterie |
Résumé : |
Une boiterie non-traumatique est une manifestation clinique peu spécifique et très fréquente au sein de la population pédiatrique. Elle ouvre un large éventail d’hypothèses diagnostiques, notamment les atteintes de la hanche ainsi que les pathologies neurologiques, inflammatoires, infectieuses ou néoplasiques. Les hernies discales doivent être également évoquées car elles peuvent se présenter comme une radiculalgie isolée et entraîner une altération de la marche. Une anamnèse ainsi qu’un examen clinique minutieux sont, dès lors, indispensables pour orienter d’éventuelles explorations complémentaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101926 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 54-59
[article] Cause atypique de boiterie chez l’enfant [texte imprimé] / C. Sauvant ; Jean-François Kaux ; V. Gillot . - 2022 . - p. 54-59. https://doi : 10.1016/j.jts.2021.11.001 Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 54-59
Mots-clés : |
Pédiatrie Hernie discale Boiterie |
Résumé : |
Une boiterie non-traumatique est une manifestation clinique peu spécifique et très fréquente au sein de la population pédiatrique. Elle ouvre un large éventail d’hypothèses diagnostiques, notamment les atteintes de la hanche ainsi que les pathologies neurologiques, inflammatoires, infectieuses ou néoplasiques. Les hernies discales doivent être également évoquées car elles peuvent se présenter comme une radiculalgie isolée et entraîner une altération de la marche. Une anamnèse ainsi qu’un examen clinique minutieux sont, dès lors, indispensables pour orienter d’éventuelles explorations complémentaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101926 |
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[article]
Titre : |
Évaluation des blessures musculosquelettiques en « trail-running » chez deux populations amateurs d’experts et de novices définies par clustering : étude pilote |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A Brayer ; Y. Delpierre ; D. Colin |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 40-46 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.jts.2021.11.002 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Blessure musculosquelettique Clustering Expert Novice Trail-running |
Résumé : |
Introduction
Considérant novices et experts en « trail-running », le but de cette étude était d’établir une épidémiologie précise des blessures musculosquelettiques et leur typologie. L’étude évaluait ensuite la connaissance des moyens de prévention ainsi que l’apport de conseils par les médecins généralistes.
Méthode
Un questionnaire informatisé a servi d’outil d’évaluation. La population générale des répondants a été séparée en experts et novices selon des critères de niveau sportif et une analyse par clustering .
Résultats
Avec 472 répondants, les novices présentaient plus de blessures lors des compétitions par rapport aux pratiquants ayant plus d’expérience et avaient plus de lésions musculaires. Les entraînements spécifiques réalisés n’influençaient pas la survenue de blessures dans notre population.
Conclusion
Sans influer le risque lors des entraînements, le niveau d’expertise tendrait à diminuer les risques de blessures observées lors des courses. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101927 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 40-46
[article] Évaluation des blessures musculosquelettiques en « trail-running » chez deux populations amateurs d’experts et de novices définies par clustering : étude pilote [texte imprimé] / A Brayer ; Y. Delpierre ; D. Colin . - 2022 . - p. 40-46. https://doi : 10.1016/j.jts.2021.11.002 Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 40-46
Mots-clés : |
Blessure musculosquelettique Clustering Expert Novice Trail-running |
Résumé : |
Introduction
Considérant novices et experts en « trail-running », le but de cette étude était d’établir une épidémiologie précise des blessures musculosquelettiques et leur typologie. L’étude évaluait ensuite la connaissance des moyens de prévention ainsi que l’apport de conseils par les médecins généralistes.
Méthode
Un questionnaire informatisé a servi d’outil d’évaluation. La population générale des répondants a été séparée en experts et novices selon des critères de niveau sportif et une analyse par clustering .
Résultats
Avec 472 répondants, les novices présentaient plus de blessures lors des compétitions par rapport aux pratiquants ayant plus d’expérience et avaient plus de lésions musculaires. Les entraînements spécifiques réalisés n’influençaient pas la survenue de blessures dans notre population.
Conclusion
Sans influer le risque lors des entraînements, le niveau d’expertise tendrait à diminuer les risques de blessures observées lors des courses. |
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./index.php?lvl=notice_display&id=101927 |
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[article]
Titre : |
La rééducation des tendinopathies du membre inférieur : que s’est-il passé depuis 40 ans ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Mathilde Gaspard ; B. Tamalet |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p.30-39 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.jts.2021.12.002 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tendinopathie Membre inférieur Tendons Mécanisation du tendon isométrie Heavy Slow Resistance Training (HSRT) |
Résumé : |
La rééducation des tendinopathies a connu une évolution considérable au cours de ces 40 dernières années. Alors que le traitement de choix était le repos dans les années 70, l’amélioration des connaissances sur la physiologie, grâce à l’influence et aux travaux de Fox, Blazina, Kerlan ou encore, Puddu et al. ont permis de faire évoluer les pratiques. Toutes ces avancées, principalement orientées sur les tendinopathies calcanéennes et patellaires permettent d’affirmer que le travail actif, basé sur l’amélioration de la tolérance à la charge tendineuse, a fait preuve de son efficacité et qu’il doit constituer l’essence de la prise en charge rééducative. Tout cela a depuis été confirmé et développé, entre autres par les travaux des chercheurs de l’Université La Trobe en Australie. Cet article retrace de manière chronologique l’évolution des différentes méthodes de traitement en kinésithérapie. Depuis le premier protocole excentrique développé par Stanish à celui de Silbernagel combinant les différents modes de contraction, on évoque aussi le nombre croissant d’adjuvants de physiothérapie (ondes de choc, laser, técar…). Les auteurs décryptent les protocoles et font le lien avec les données actuelles de la littérature, dans le but de guider les praticiens dans leurs pratiques quotidiennes. Existe-t-il une méthode supérieure à l’autre ? Doit-on en privilégier certaines en fonction des phases ? Les adjuvants thérapeutiques ont-ils leurs places en parallèle d’une méthode ? |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101928 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p.30-39
[article] La rééducation des tendinopathies du membre inférieur : que s’est-il passé depuis 40 ans ? [texte imprimé] / Mathilde Gaspard ; B. Tamalet . - 2022 . - p.30-39. https://doi : 10.1016/j.jts.2021.12.002 Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p.30-39
Mots-clés : |
Tendinopathie Membre inférieur Tendons Mécanisation du tendon isométrie Heavy Slow Resistance Training (HSRT) |
Résumé : |
La rééducation des tendinopathies a connu une évolution considérable au cours de ces 40 dernières années. Alors que le traitement de choix était le repos dans les années 70, l’amélioration des connaissances sur la physiologie, grâce à l’influence et aux travaux de Fox, Blazina, Kerlan ou encore, Puddu et al. ont permis de faire évoluer les pratiques. Toutes ces avancées, principalement orientées sur les tendinopathies calcanéennes et patellaires permettent d’affirmer que le travail actif, basé sur l’amélioration de la tolérance à la charge tendineuse, a fait preuve de son efficacité et qu’il doit constituer l’essence de la prise en charge rééducative. Tout cela a depuis été confirmé et développé, entre autres par les travaux des chercheurs de l’Université La Trobe en Australie. Cet article retrace de manière chronologique l’évolution des différentes méthodes de traitement en kinésithérapie. Depuis le premier protocole excentrique développé par Stanish à celui de Silbernagel combinant les différents modes de contraction, on évoque aussi le nombre croissant d’adjuvants de physiothérapie (ondes de choc, laser, técar…). Les auteurs décryptent les protocoles et font le lien avec les données actuelles de la littérature, dans le but de guider les praticiens dans leurs pratiques quotidiennes. Existe-t-il une méthode supérieure à l’autre ? Doit-on en privilégier certaines en fonction des phases ? Les adjuvants thérapeutiques ont-ils leurs places en parallèle d’une méthode ? |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101928 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Lombalgie et sport |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Saverio Tomasella ; Jean-François Kaux |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 1-3 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.jts.2022.01.002 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Lombalgie sportif |
Résumé : |
Le sport doit promouvoir la bonne santé et peut être pratiqué toute une vie à condition d’être adapté à l’âge et aux capacités du sportif. Pourtant, la pratique d’un sport peut engendrer des lésions rachidiennes ou aggraver une pathologie déjà existante. La surcharge de compétitions ou d’entraînements est forcément nocive. Il y a peu d’études critiques et validées publiées sur les effets bénéfiques ou délétères de certains sports chez les patients lombalgiques [5]. On a l’habitude de dire que la natation est une bonne activité pour le dos tandis que la course à pied ne l’est pas. Certains considèrent que tous les sports générant des contraintes mécaniques importantes sont à proscrire [1]. En d’autres termes, il vaudrait mieux éviter toutes les activités sportives qui impactent la colonne vertébrale (course à pied, équitation), qui provoquent des gestes brusques et asymétriques (tennis, padel, golf) ou qui exposent à des chocs violents (football, judo, rugby). Les sports sans contact peuvent également déclencher une symptomatologie invalidante, particulièrement lorsque la vitesse et l’amplitude des mouvements compliquent le contrôle du tronc dans les positions extrêmes (volley-ball, badminton). D’autres rapportent que la plupart des sports, y compris la course à pied en loisir, constituent un certain degré de protection contre le mal de dos et que les exercices d’étirement et de renforcement musculaires ont fait leur preuve [3]. En réalité, il n’y a pas de consensus clairement établi entre la lombalgie et le sport. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101929 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 1-3
[article] Lombalgie et sport [texte imprimé] / Saverio Tomasella ; Jean-François Kaux . - 2022 . - p. 1-3. https://doi : 10.1016/j.jts.2022.01.002 Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 1-3
Mots-clés : |
Lombalgie sportif |
Résumé : |
Le sport doit promouvoir la bonne santé et peut être pratiqué toute une vie à condition d’être adapté à l’âge et aux capacités du sportif. Pourtant, la pratique d’un sport peut engendrer des lésions rachidiennes ou aggraver une pathologie déjà existante. La surcharge de compétitions ou d’entraînements est forcément nocive. Il y a peu d’études critiques et validées publiées sur les effets bénéfiques ou délétères de certains sports chez les patients lombalgiques [5]. On a l’habitude de dire que la natation est une bonne activité pour le dos tandis que la course à pied ne l’est pas. Certains considèrent que tous les sports générant des contraintes mécaniques importantes sont à proscrire [1]. En d’autres termes, il vaudrait mieux éviter toutes les activités sportives qui impactent la colonne vertébrale (course à pied, équitation), qui provoquent des gestes brusques et asymétriques (tennis, padel, golf) ou qui exposent à des chocs violents (football, judo, rugby). Les sports sans contact peuvent également déclencher une symptomatologie invalidante, particulièrement lorsque la vitesse et l’amplitude des mouvements compliquent le contrôle du tronc dans les positions extrêmes (volley-ball, badminton). D’autres rapportent que la plupart des sports, y compris la course à pied en loisir, constituent un certain degré de protection contre le mal de dos et que les exercices d’étirement et de renforcement musculaires ont fait leur preuve [3]. En réalité, il n’y a pas de consensus clairement établi entre la lombalgie et le sport. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101929 |
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[article]
Titre : |
Neurotracker comparé au SCAT5 dans la prise en charge des commotions cérébrales |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A. Radafy ; Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; E. Servien ; Jean-François Chermann |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 47-53 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.jts.2022.01.003 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Commotion cérébrale Neurotracker Syndrome post-commotionnel Sport |
Résumé : |
Le SCAT5 est le score principal pour évaluer la gravité d’une commotion cérébrale. Néanmoins, ce score prédit mal le pronostic d’une commotion cérébrale. Le neurotracker pourrait être pertinent pour évaluer les fonctions cognitives après une commotion cérébrale. Le but de cette étude est de comparer les performances du score SCAT5 avec celles du neurotracker à 48-72h après une commotion cérébrale pour prédire la gravité du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Notre étude est une cohorte prospective monocentrique. Les deux tests ont été effectués à 48–72h après une commotion cérébrale et au retour au jeu. Les corrélations entre la durée du syndrome post-commotionnel et les tests à 48-72h ont été évaluées par le test de Spearman.
Résultats
Trent quatre patients ont été inclus. Les résultats des tests de retour au jeu étaient significativement (p <0,001) supérieurs à 48h, 211/214 vs 177/214 pour SCAT5 et 1,6 vs 1,1 pour le neurotracker. Les tests étaient également significativement corrélés avec la durée du syndrome post-commotionnel, R=0,38 pour le SCAT5 (p =0,026) et R=?0,79 pour le neurotracker (p <0,001).
Conclusion
Le neurotracker semble être un outil utile dans la prise en charge des commotions cérébrales. Les performances des athlètes de retour au jeu sont significativement améliorées. Le neurotracker présenterait un intérêt au cours de la première consultation pour prédire l’intensité et la durée du syndrome post-commotionnel. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101930 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 47-53
[article] Neurotracker comparé au SCAT5 dans la prise en charge des commotions cérébrales [texte imprimé] / A. Radafy ; Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; E. Servien ; Jean-François Chermann . - 2022 . - p. 47-53. https://doi : 10.1016/j.jts.2022.01.003 Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 47-53
Mots-clés : |
Commotion cérébrale Neurotracker Syndrome post-commotionnel Sport |
Résumé : |
Le SCAT5 est le score principal pour évaluer la gravité d’une commotion cérébrale. Néanmoins, ce score prédit mal le pronostic d’une commotion cérébrale. Le neurotracker pourrait être pertinent pour évaluer les fonctions cognitives après une commotion cérébrale. Le but de cette étude est de comparer les performances du score SCAT5 avec celles du neurotracker à 48-72h après une commotion cérébrale pour prédire la gravité du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Notre étude est une cohorte prospective monocentrique. Les deux tests ont été effectués à 48–72h après une commotion cérébrale et au retour au jeu. Les corrélations entre la durée du syndrome post-commotionnel et les tests à 48-72h ont été évaluées par le test de Spearman.
Résultats
Trent quatre patients ont été inclus. Les résultats des tests de retour au jeu étaient significativement (p <0,001) supérieurs à 48h, 211/214 vs 177/214 pour SCAT5 et 1,6 vs 1,1 pour le neurotracker. Les tests étaient également significativement corrélés avec la durée du syndrome post-commotionnel, R=0,38 pour le SCAT5 (p =0,026) et R=?0,79 pour le neurotracker (p <0,001).
Conclusion
Le neurotracker semble être un outil utile dans la prise en charge des commotions cérébrales. Les performances des athlètes de retour au jeu sont significativement améliorées. Le neurotracker présenterait un intérêt au cours de la première consultation pour prédire l’intensité et la durée du syndrome post-commotionnel. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101930 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Les tendinopathies du coude (deuxième partie) : à propos des infiltrations |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Gleizes Cervera |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 4-29 |
Note générale : |
https://doi : 10.1016/j.jts.2021.12.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tendinopathie Coude Infiltrations |
Résumé : |
La pathologie tendineuse du coude, et plus particulièrement l’épicondylalgie tendineuse latérale, est fréquente dans le cadre des activités professionnelles, de loisir ou dans la pratique sportive. Dans la stratégie thérapeutique, le recours à différentes techniques de rééducation, le port d’orthèse et les traitements médicamenteux sont généralement utilisés en première intention. Les infiltrations font également partie des options thérapeutiques en deuxième ligne. Les infiltrations de corticoïdes ont généralement une efficacité à court terme mais ne sont plus recommandées en raison d’un taux de récidive élevé à long terme. Des infiltrations alternatives ont fait l’objet de nombreuses études offrant de nouvelles perspectives thérapeutiques. Les injections de plasma riche en plaquette (PRP) sont les plus étudiées montrant une efficacité supérieure à long terme aux injections de corticoïdes. D’après de nombreux travaux in vitro, le PRP, par l’intermédiaire des facteurs de croissance qu’il libère, agirait directement sur la régénération tendineuse. Les infiltrations d’acide hyaluronique ont également des résultats prometteurs mais les études sont encore trop peu nombreuses. Les injections de toxine botulique au niveau du muscle court extenseur radial du carpe (CERC) favorisent la réparation tendineuse par une mise au repos musculaire mais possèdent également une action antalgique. Les effets indésirables liés à la parésie musculaire induite ne permettent cependant pas une large utilisation. Si les infiltrations de PRP et d’acide hyaluronique constituent désormais une option dans la prise en charge des tendinopathies du coude, l’absence de consensus sur les modalités précises d’utilisation, des résultats parfois contradictoires dans la littérature scientifique et le niveau de preuve finalement insuffisant imposent encore de la prudence quant à une recommandation large. Dans tous les cas, ces thérapies s’inscrivent dans une prise en charge plus globale du patient. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101932 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 4-29
[article] Les tendinopathies du coude (deuxième partie) : à propos des infiltrations [texte imprimé] / S. Gleizes Cervera . - 2022 . - p. 4-29. https://doi : 10.1016/j.jts.2021.12.001 Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 4-29
Mots-clés : |
Tendinopathie Coude Infiltrations |
Résumé : |
La pathologie tendineuse du coude, et plus particulièrement l’épicondylalgie tendineuse latérale, est fréquente dans le cadre des activités professionnelles, de loisir ou dans la pratique sportive. Dans la stratégie thérapeutique, le recours à différentes techniques de rééducation, le port d’orthèse et les traitements médicamenteux sont généralement utilisés en première intention. Les infiltrations font également partie des options thérapeutiques en deuxième ligne. Les infiltrations de corticoïdes ont généralement une efficacité à court terme mais ne sont plus recommandées en raison d’un taux de récidive élevé à long terme. Des infiltrations alternatives ont fait l’objet de nombreuses études offrant de nouvelles perspectives thérapeutiques. Les injections de plasma riche en plaquette (PRP) sont les plus étudiées montrant une efficacité supérieure à long terme aux injections de corticoïdes. D’après de nombreux travaux in vitro, le PRP, par l’intermédiaire des facteurs de croissance qu’il libère, agirait directement sur la régénération tendineuse. Les infiltrations d’acide hyaluronique ont également des résultats prometteurs mais les études sont encore trop peu nombreuses. Les injections de toxine botulique au niveau du muscle court extenseur radial du carpe (CERC) favorisent la réparation tendineuse par une mise au repos musculaire mais possèdent également une action antalgique. Les effets indésirables liés à la parésie musculaire induite ne permettent cependant pas une large utilisation. Si les infiltrations de PRP et d’acide hyaluronique constituent désormais une option dans la prise en charge des tendinopathies du coude, l’absence de consensus sur les modalités précises d’utilisation, des résultats parfois contradictoires dans la littérature scientifique et le niveau de preuve finalement insuffisant imposent encore de la prudence quant à une recommandation large. Dans tous les cas, ces thérapies s’inscrivent dans une prise en charge plus globale du patient. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=101932 |
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