Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.36 N°1Paru le : 01/02/2022 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierMédiateurs de l'inflammation rhumatismale / M. Jarlborg in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Médiateurs de l'inflammation rhumatismale Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Jarlborg ; C. Gabay Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-013-A-10 [Tome1] Note générale : httsp://doi : 10.1016/S0246-0521(21)66627-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médiateurs inflammatoires Cytokines Alarmines Chimiokines Inflammation Résolvines Résumé : Les médiateurs inflammatoires constituent l'ensemble des molécules impliquées dans la régulation du processus inflammatoire. Ils interviennent dans les stades initiaux de l'inflammation, à l'instar des alarmines permettant la transmission des signaux de dangers, ou des médiateurs lipidiques contribuant à la constitution de l'exsudat inflammatoire. Différentes cytokines et chimiokines amplifient et coordonnent la réponse immunitaire sur le plan local mais également systémique. Ainsi, ces médiateurs régissent de manière active et dynamique l'immunité innée et adaptative, de son initiation à sa résolution. Une dérégulation de ces mécanismes moléculaires est souvent à l'origine d'une chronicisation de la réponse inflammatoire, caractéristique des pathologies rhumatismales telle que la polyarthrite rhumatoïde, les spondylarthrites ou les connectivites. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101479
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-013-A-10 [Tome1][article] Médiateurs de l'inflammation rhumatismale [texte imprimé] / M. Jarlborg ; C. Gabay . - 2022 . - p. 14-013-A-10 [Tome1].
httsp://doi : 10.1016/S0246-0521(21)66627-5
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-013-A-10 [Tome1]
Mots-clés : Médiateurs inflammatoires Cytokines Alarmines Chimiokines Inflammation Résolvines Résumé : Les médiateurs inflammatoires constituent l'ensemble des molécules impliquées dans la régulation du processus inflammatoire. Ils interviennent dans les stades initiaux de l'inflammation, à l'instar des alarmines permettant la transmission des signaux de dangers, ou des médiateurs lipidiques contribuant à la constitution de l'exsudat inflammatoire. Différentes cytokines et chimiokines amplifient et coordonnent la réponse immunitaire sur le plan local mais également systémique. Ainsi, ces médiateurs régissent de manière active et dynamique l'immunité innée et adaptative, de son initiation à sa résolution. Une dérégulation de ces mécanismes moléculaires est souvent à l'origine d'une chronicisation de la réponse inflammatoire, caractéristique des pathologies rhumatismales telle que la polyarthrite rhumatoïde, les spondylarthrites ou les connectivites. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101479 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture vertébrale non traumatique / M. Slouma in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Fracture vertébrale non traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-024-A-01 [Tome 1] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1][article] Fracture vertébrale non traumatique [texte imprimé] / M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour . - 2022 . - p. 14-024-A-01 [Tome 1].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1]
Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique / J. Paccou in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Paccou ; B. Cortet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-024-A-10 [Tome 1] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)41574-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoporose Fragilité osseuse Ostéodensitométrie Fractures Remodelage osseux Résumé : L'ostéoporose est un problème majeur de santé publique, car elle est responsable, essentiellement à cause des fractures associées à la fragilité osseuse, d'une augmentation de la morbidité et de la mortalité, et d'une altération de la qualité de vie chez les sujets qui en sont atteints. Le diagnostic d'ostéoporose doit être évoqué après 50 ans pour toute fracture survenant après un traumatisme à bas niveau d'énergie (chute de sa hauteur) ou devant la découverte d'une faible masse osseuse, ou encore en cas de facteurs de risque tels qu'une ménopause avant 40 ans, une corticothérapie prolongée, une prédisposition familiale, etc. Les fractures dites « sévères » comme les fractures vertébrales ou celles de l'extrémité supérieure du fémur (FESF) sont associées à une surmortalité. Les fractures du poignet sont également fréquentes, et bien que considérées comme des fractures « non sévères », elles doivent attirer l'attention du clinicien. L'ostéoporose peut également être diagnostiquée avant la survenue d'une fracture grâce à l'ostéodensitométrie par absorptiométrie biphotonique à rayons X (DXA), technique de référence pour la mesure de la densité minérale osseuse (DMO). Chez la femme ménopausée et l'homme de 50 ans ou plus, il est admis que l'on peut utiliser le seuil diagnostique de T-score inférieur ou égal à -2,5 pour l'ostéoporose. Ce seuil diagnostique est différent du seuil d'intervention thérapeutique qui varie selon le type de fracture associée (sévère, non sévère, pas de fracture). Une démarche diagnostique combinant interrogatoire (circonstances de survenue de la fracture, facteurs de risque d'ostéoporose, etc.), examen clinique (arguments pour une ostéoporose secondaire, une autre ostéopathie fragilisante, etc.) et explorations complémentaires (DXA, imagerie et biologie) est nécessaire afin d'écarter les diagnostics différentiels et avant de discuter l'indication d'un traitement antiostéoporotique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101481
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-10 [Tome 1][article] Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique [texte imprimé] / J. Paccou ; B. Cortet . - 2022 . - p. 14-024-A-10 [Tome 1].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)41574-3
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Ostéoporose Fragilité osseuse Ostéodensitométrie Fractures Remodelage osseux Résumé : L'ostéoporose est un problème majeur de santé publique, car elle est responsable, essentiellement à cause des fractures associées à la fragilité osseuse, d'une augmentation de la morbidité et de la mortalité, et d'une altération de la qualité de vie chez les sujets qui en sont atteints. Le diagnostic d'ostéoporose doit être évoqué après 50 ans pour toute fracture survenant après un traumatisme à bas niveau d'énergie (chute de sa hauteur) ou devant la découverte d'une faible masse osseuse, ou encore en cas de facteurs de risque tels qu'une ménopause avant 40 ans, une corticothérapie prolongée, une prédisposition familiale, etc. Les fractures dites « sévères » comme les fractures vertébrales ou celles de l'extrémité supérieure du fémur (FESF) sont associées à une surmortalité. Les fractures du poignet sont également fréquentes, et bien que considérées comme des fractures « non sévères », elles doivent attirer l'attention du clinicien. L'ostéoporose peut également être diagnostiquée avant la survenue d'une fracture grâce à l'ostéodensitométrie par absorptiométrie biphotonique à rayons X (DXA), technique de référence pour la mesure de la densité minérale osseuse (DMO). Chez la femme ménopausée et l'homme de 50 ans ou plus, il est admis que l'on peut utiliser le seuil diagnostique de T-score inférieur ou égal à -2,5 pour l'ostéoporose. Ce seuil diagnostique est différent du seuil d'intervention thérapeutique qui varie selon le type de fracture associée (sévère, non sévère, pas de fracture). Une démarche diagnostique combinant interrogatoire (circonstances de survenue de la fracture, facteurs de risque d'ostéoporose, etc.), examen clinique (arguments pour une ostéoporose secondaire, une autre ostéopathie fragilisante, etc.) et explorations complémentaires (DXA, imagerie et biologie) est nécessaire afin d'écarter les diagnostics différentiels et avant de discuter l'indication d'un traitement antiostéoporotique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101481 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lésions ligamentaires récentes du genou de l'adulte / E. Sappey-Marinier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Lésions ligamentaires récentes du genou de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Sappey-Marinier ; C. Batailler ; P. Neyret ; E. Servien ; S. Lustig Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-080-A-20 [Tome 3] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)43622-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Lésions ligamentaires aiguës Triade Pentade Luxation Résumé : Les mécanismes de survenue des traumatismes ligamentaires du genou sont très variés, depuis le faux pas jusqu'à l'accident d'avalanche, en passant par les accidents de sport et de la voie publique. L'examen clinique initial est primordial afin de débuter un traitement et de dépister une complication, il est souvent difficile en urgence mais doit néanmoins être complet. Ce premier examen, ainsi qu'un bilan radiographique standard, permettent le plus souvent d'établir un diagnostic, confirmé lors d'un examen différé. D'autres examens complémentaires (clichés dynamiques, imagerie par résonance magnétique, arthroscanner, angioscanner) sont réalisés selon les cas. Nous rappelons dans cet exposé les notions d'anatomie chirurgicale du genou et de physiopathologie des lésions ligamentaires, nécessaires à la compréhension et au démembrement des lésions. Les différents traitements des lésions ligamentaires isolées ou associées à la phase aiguë sont exposés. Des arbres décisionnels complètent les schémas thérapeutiques. Cet exposé permet une analyse diagnostique et thérapeutique globale des lésions ligamentaires récentes du genou. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101482
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-080-A-20 [Tome 3][article] Lésions ligamentaires récentes du genou de l'adulte [texte imprimé] / E. Sappey-Marinier ; C. Batailler ; P. Neyret ; E. Servien ; S. Lustig . - 2022 . - p. 14-080-A-20 [Tome 3].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)43622-3
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-080-A-20 [Tome 3]
Mots-clés : Genou Lésions ligamentaires aiguës Triade Pentade Luxation Résumé : Les mécanismes de survenue des traumatismes ligamentaires du genou sont très variés, depuis le faux pas jusqu'à l'accident d'avalanche, en passant par les accidents de sport et de la voie publique. L'examen clinique initial est primordial afin de débuter un traitement et de dépister une complication, il est souvent difficile en urgence mais doit néanmoins être complet. Ce premier examen, ainsi qu'un bilan radiographique standard, permettent le plus souvent d'établir un diagnostic, confirmé lors d'un examen différé. D'autres examens complémentaires (clichés dynamiques, imagerie par résonance magnétique, arthroscanner, angioscanner) sont réalisés selon les cas. Nous rappelons dans cet exposé les notions d'anatomie chirurgicale du genou et de physiopathologie des lésions ligamentaires, nécessaires à la compréhension et au démembrement des lésions. Les différents traitements des lésions ligamentaires isolées ou associées à la phase aiguë sont exposés. Des arbres décisionnels complètent les schémas thérapeutiques. Cet exposé permet une analyse diagnostique et thérapeutique globale des lésions ligamentaires récentes du genou. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101482 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux essentiel / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Kyste osseux essentiel Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier ; T. Schubert Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-767 [Tome 6] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44861-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion osseuse bénigne qui débute en position centrale dans la métaphyse et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. Ce sont surtout les enfants qui sont touchés entre 5 et 15 ans. En grandissant, la lésion peut s'étendre à toute la largeur de la métaphyse et aussi s'étendre à la diaphyse. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle peut finir par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures pathologiques qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. Le signe du « fragment tombé » est pathognomonique. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101483
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-767 [Tome 6][article] Kyste osseux essentiel [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier ; T. Schubert . - 2022 . - p. 14-767 [Tome 6].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44861-8
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-767 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion osseuse bénigne qui débute en position centrale dans la métaphyse et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. Ce sont surtout les enfants qui sont touchés entre 5 et 15 ans. En grandissant, la lésion peut s'étendre à toute la largeur de la métaphyse et aussi s'étendre à la diaphyse. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle peut finir par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures pathologiques qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. Le signe du « fragment tombé » est pathognomonique. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101483 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Syndromes canalaires et des défilés : généralités et racine du membre supérieur / E. Roulot in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Syndromes canalaires et des défilés : généralités et racine du membre supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Roulot ; C. Vandendries ; P. Corlobé Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-005-A-10 [Tome 6] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)43198-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome du défilé Syndrome canalaire Nerf supra-scapulaire Nerf axillaire Nerf accessoire Nerf long thoracique Nerf scapulaire dorsal Nerf musculocutané Résumé : La souffrance des troncs nerveux ou des axes vasculaires au niveau des défilés ou des tunnels dans la région de la racine du membre supérieur doit être diagnostiquée en s'appuyant sur les signes fonctionnels décrits par le patient, sur un examen clinique et sur les résultats d'examens complémentaires (électromyographie, radiographie, échographie, scanner, imagerie par résonance magnétique [IRM], éventuellement biologie). Les données ainsi recueillies doivent permettre de préciser la nature et le degré de l'atteinte, de tenter d'évaluer son pronostic, afin d'orienter au mieux le traitement, le plus souvent médical en première intention, chirurgical en cas d'échec du traitement conservateur, parfois d'emblée dans certaines circonstances ; l'important étant de traiter avant la survenue de lésions nerveuses irréversibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101484
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 15-005-A-10 [Tome 6][article] Syndromes canalaires et des défilés : généralités et racine du membre supérieur [texte imprimé] / E. Roulot ; C. Vandendries ; P. Corlobé . - 2022 . - p. 15-005-A-10 [Tome 6].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)43198-0
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 15-005-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Syndrome du défilé Syndrome canalaire Nerf supra-scapulaire Nerf axillaire Nerf accessoire Nerf long thoracique Nerf scapulaire dorsal Nerf musculocutané Résumé : La souffrance des troncs nerveux ou des axes vasculaires au niveau des défilés ou des tunnels dans la région de la racine du membre supérieur doit être diagnostiquée en s'appuyant sur les signes fonctionnels décrits par le patient, sur un examen clinique et sur les résultats d'examens complémentaires (électromyographie, radiographie, échographie, scanner, imagerie par résonance magnétique [IRM], éventuellement biologie). Les données ainsi recueillies doivent permettre de préciser la nature et le degré de l'atteinte, de tenter d'évaluer son pronostic, afin d'orienter au mieux le traitement, le plus souvent médical en première intention, chirurgical en cas d'échec du traitement conservateur, parfois d'emblée dans certaines circonstances ; l'important étant de traiter avant la survenue de lésions nerveuses irréversibles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101484 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire