Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
[article]
Titre : |
Réduction du risque allergique après injection d’aprotinine et traitement des tendinopathies |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2009 |
Article en page(s) : |
pp.187-191 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
tendinopathie aprotinine réaction allergique tendon d’Achille tendon de la coiffe |
Résumé : |
Objectifs
L’aprotinine est un inhibiteur de la collagénose dont l’efficacité a été démontrée dans le traitement des tendinopathies, mais associée à des réactions allergiques systémiques. Cette étude prospective vise à déterminer s’il existe une relation entre la fréquence des injections et le risque de réaction allergique.
Matériels et méthodes
Nous avons comparé 223 cas de tendinopathies (groupe R) traités par des injections rapprochées (un à deux injections hebdomadaires) à 158 cas (groupe D) correspondant à une injection unique, ou à un délai entre chaque injection supérieur à six semaines. Les effets secondaires et les résultats cliniques ont été analysés par questionnaire avec un taux de réponse de 75 %. Des réactions allergiques systémiques sont survenues pour 7 % des patients du groupe R contre 2 % dans le groupe D (ns). Les injections pratiquées deux à quatre semaines après une première injection s’accompagnent d’un risque significatif plus élevé de réactions allergiques (6 %), comparé aux injections initiales (0,3 %) et aux injections renouvelées à plus de six semaines (0,9 %) (p < 0,05). La satisfaction des patients, quant au résultat final du traitement était semblable dans les deux groupes.
Conclusion
Le risque d’allergie après injection d’aprotinine peut être réduit en limitant au maximum le nombre d’injections et en recommandant un espacement de plus de six semaines entre celles-ci. Les praticiens utilisant les injections d’aprotinine devraient être équipés pour traiter l’éventualité d’un choc anaphylactique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=21486 |
in Science & sports > Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009) . - pp.187-191
[article] Réduction du risque allergique après injection d’aprotinine et traitement des tendinopathies [texte imprimé] . - 2009 . - pp.187-191. Langues : Français ( fre) in Science & sports > Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009) . - pp.187-191
Mots-clés : |
tendinopathie aprotinine réaction allergique tendon d’Achille tendon de la coiffe |
Résumé : |
Objectifs
L’aprotinine est un inhibiteur de la collagénose dont l’efficacité a été démontrée dans le traitement des tendinopathies, mais associée à des réactions allergiques systémiques. Cette étude prospective vise à déterminer s’il existe une relation entre la fréquence des injections et le risque de réaction allergique.
Matériels et méthodes
Nous avons comparé 223 cas de tendinopathies (groupe R) traités par des injections rapprochées (un à deux injections hebdomadaires) à 158 cas (groupe D) correspondant à une injection unique, ou à un délai entre chaque injection supérieur à six semaines. Les effets secondaires et les résultats cliniques ont été analysés par questionnaire avec un taux de réponse de 75 %. Des réactions allergiques systémiques sont survenues pour 7 % des patients du groupe R contre 2 % dans le groupe D (ns). Les injections pratiquées deux à quatre semaines après une première injection s’accompagnent d’un risque significatif plus élevé de réactions allergiques (6 %), comparé aux injections initiales (0,3 %) et aux injections renouvelées à plus de six semaines (0,9 %) (p < 0,05). La satisfaction des patients, quant au résultat final du traitement était semblable dans les deux groupes.
Conclusion
Le risque d’allergie après injection d’aprotinine peut être réduit en limitant au maximum le nombre d’injections et en recommandant un espacement de plus de six semaines entre celles-ci. Les praticiens utilisant les injections d’aprotinine devraient être équipés pour traiter l’éventualité d’un choc anaphylactique. |
Permalink : |
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