Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Paru le : 01/01/2022 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAérosolthérapie & Kinésithérapie / Mathilde Profitt in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Aérosolthérapie & Kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Profitt ; et al. Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 39-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : kinesitherapie respiratoire aérosolthérapie Aérosols Pulvérisations nasales Lavage nasal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100543
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 39-44[article] Aérosolthérapie & Kinésithérapie [texte imprimé] / Mathilde Profitt ; et al. . - 2022 . - p. 39-44.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 39-44
Mots-clés : kinesitherapie respiratoire aérosolthérapie Aérosols Pulvérisations nasales Lavage nasal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100543 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtApplication du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite / Florian Forelli in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite Type de document : texte imprimé Auteurs : Florian Forelli ; Maude Traulle ; Nicolas Béchaud ; Clément Sansonnet ; Patrice Marine ; Jean Mazeas, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : réduction des risques Traumatismes sportifs Football Ligament croisé antérieur Résumé : Le sport d’élite constitue la période de transition vers le haut niveau. Cette période est marquée à la fois par l’accession à la maturité biologique mais aussi par l’expertise dans la spécialisation du sport pratiqué. C’est aussi malheureusement dans cette période que le jeune athlète peut se blesser, ralentir sa progression et voir le rêve du haut niveau s’envoler. En effet, le risque du surentraînement ou de l’entraînement non adapté à la maturité biologique peut entraîner de graves blessures avec un long temps d’indisponibilité, ce qui est le cas notamment lors de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA).
L’étude de Larruskain et al. [1] montre que la rupture du LCA est une blessure qui impacte de manière négative la carrière et la progression du jeune footballeur.
Même si cette blessure reste rare dans le monde du football d’élite, elle entraine des modifications physiologiques et psychologiques non négligeables qui porte la récidive à 18 % [2].
Notons que d’après l’étude de Gilchrist et al. [3], 31 % des joueurs de football d’élite ont des antécédents de blessures au genou dont 14 % avec un antécédent de blessure au LCA.
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir des bilans pertinents reposant sur un socle scientifique valide afin de prédire la rupture du LCA et de personnaliser les protocoles de prévention des blessures afin d’optimiser la performance. Parmi ces bilans, le 5 Factors Maximum Model [4] nous apparaît comme le plus adapté dans la prédiction des blessures sur LCA du jeune footballeur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100544
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 17-22[article] Application du 5 factors maximum model pour prédire les lésions du lca chez les jeunes joueurs de football d'élite [texte imprimé] / Florian Forelli ; Maude Traulle ; Nicolas Béchaud ; Clément Sansonnet ; Patrice Marine ; Jean Mazeas, Auteur . - 2022 . - p. 17-22.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 17-22
Mots-clés : réduction des risques Traumatismes sportifs Football Ligament croisé antérieur Résumé : Le sport d’élite constitue la période de transition vers le haut niveau. Cette période est marquée à la fois par l’accession à la maturité biologique mais aussi par l’expertise dans la spécialisation du sport pratiqué. C’est aussi malheureusement dans cette période que le jeune athlète peut se blesser, ralentir sa progression et voir le rêve du haut niveau s’envoler. En effet, le risque du surentraînement ou de l’entraînement non adapté à la maturité biologique peut entraîner de graves blessures avec un long temps d’indisponibilité, ce qui est le cas notamment lors de la rupture du ligament croisé antérieur (LCA).
L’étude de Larruskain et al. [1] montre que la rupture du LCA est une blessure qui impacte de manière négative la carrière et la progression du jeune footballeur.
Même si cette blessure reste rare dans le monde du football d’élite, elle entraine des modifications physiologiques et psychologiques non négligeables qui porte la récidive à 18 % [2].
Notons que d’après l’étude de Gilchrist et al. [3], 31 % des joueurs de football d’élite ont des antécédents de blessures au genou dont 14 % avec un antécédent de blessure au LCA.
C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir des bilans pertinents reposant sur un socle scientifique valide afin de prédire la rupture du LCA et de personnaliser les protocoles de prévention des blessures afin d’optimiser la performance. Parmi ces bilans, le 5 Factors Maximum Model [4] nous apparaît comme le plus adapté dans la prédiction des blessures sur LCA du jeune footballeur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100544 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtInfluence du ratio de force entre les inverseurs et les éverseurs de pied dans la stabilité dynamique de la cheville du coureur à pied / Franck Lagniaux in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Influence du ratio de force entre les inverseurs et les éverseurs de pied dans la stabilité dynamique de la cheville du coureur à pied Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck Lagniaux ; Andréa Braga, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 45-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sports Cheville Course à pied Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100545
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 45-46[article] Influence du ratio de force entre les inverseurs et les éverseurs de pied dans la stabilité dynamique de la cheville du coureur à pied [texte imprimé] / Franck Lagniaux ; Andréa Braga, Auteur . - 2022 . - p. 45-46.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 45-46
Mots-clés : Sports Cheville Course à pied Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100545 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL'épaule douloureuse : de l'examen au raisonnement clinique (2e partie) / Thierry Marc in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : L'épaule douloureuse : de l'examen au raisonnement clinique (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Marc Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : examen clinique Épaule Raisonnement clinique Résumé : LE TEMPS DE L'EXPLICATION
Une fois notre diagnostic établi, vient le temps fondamental de l’explication. L’alliance thérapeutique, qui a débuté dès le premier contact, va se nouer à ce moment-là. Le traitement de l’épaule étant souvent long avec une progression difficile à gérer, il est essentiel de constituer une véritable équipe avec le patient. Il doit ressentir une implication forte de son thérapeute. Il doit lui aussi s’engager ; il est en partie responsable du futur résultat.
Quelques principes doivent régir ce dialogue qui se poursuivra tout au long de la relation thérapeutique. Tout d’abord, il faut respecter les croyances du patient. Lorsqu’il vous dit : « J’ai bien compris mon problème, c’est mon acromion crochu qui m’a troué la coiffe », vous aurez du mal à lui expliquer que sa lésion de la face profonde a peu de chance de venir de l’acromion. Ce n’est pas grave dès qu’il verra qu’il est amélioré par les premières séances, c’est lui qui vous dira : « Alors finalement mon acromion, ce n’est pas lui qui gêne ». Vous l’orienterez progressivement vers une meilleure compréhension de sa pathologie et l’aiderez à modifier certains de ses comportements. Les explications doivent être simples, imagées et en reprenant si possible son vocabulaire. Il ne faut pas vouloir tout lui expliquer.
Un des points clés à aborder est la douleur. Ceux qui sont irritables ont déjà mis en place des stratégies d’évitement et des contractures de protection. Ils vous demandent si c’est une bonne attitude. Bien évidemment, il faut juste les aider à bien placer le curseur, étudier avec eux les mouvements qui peuvent les aggraver et les encourager à bouger dans les secteurs non douloureux.
D’autres patients craignent que leurs tendons lâchent. Lors de différentes consultations, ils ont enregistré le message que le reste de la coiffe pouvait lâcher, qu’elle allait se rétracter et qu’elle serait irrécupérable car les muscles se transformeraient en graisse. Dans ce cas-là, le chemin est long pour leur redonner confiance dans la capacité de la rééducation à leur faire retrouver une épaule fonctionnelle. C’est pourtant un des facteurs de bon pronostic. Il faut lui expliquer qu’à 70 ans, la moitié de la population a une rupture et, pourtant, 50 % de la population n’est pas handicapée. L’équilibre musculaire et articulaire de son épaule a été rompu mais on va le restaurer et son épaule fonctionnera à nouveau comme avant. Il peut vous poser la question : « Et si ça ne marche pas ? » ; il faudra à ce moment passer à l’option chirurgicale.
Si les tendons sont rétractés et irréparables, la prothèse inversée est une bonne option qui donne des résultats fonctionnels fiables, avec des délais de récupération relativement rapides par rapport à une réinsertion. Cette arthroplastie évite le risque de rupture itérative (50% des cas après 65 ans [40-42]). Cette explication pourra conforter le patient dans l’option qu’il a prise.
La question des craquements est fréquemment posée. Est-ce grave ? Quel est le risque encouru ? Il existe plusieurs types de craquement. Quand ces craquements apparaissent lors de la réalisation du tilt postérieur, c’est un phénomène normal car l’acromio-claviculaire et la scapula manquent de mobilité sur le gril costal. La remobilisation provoque ces craquements qui s’estomperont avec la répétition des exercices.
D’autres craquements sont à éviter. Les craquements sous-acromiaux, dans le cas de rupture de coiffe étendue, peuvent être douloureux ; il vaut mieux que le patient les évite jusqu’à ce que l’articulation soit plus souple et les muscles plus toniques. Les craquements peuvent survenir lors des mobilisations, en particulier lors des rotations. Il s’agit en général d’atteinte articulaire (arthrose, arthrite rhumatoïde ou ostéonécrose). Ils s’améliorent très souvent dans le cas d’arthrose. Le cas clinique 5 présente un patient ayant des craquements articulaires à la mobilisation.
Face à certaines questions, il faut savoir dire que l’on ne sait pas ou bien qu’à ce jour il n’y a pas de réponse. Le patient acceptera et appréciera d’avantage que d’avoir une explication qui manque de logique et de fondements.
Une question légitime revient souvent : « Combien de temps va durer la rééducation ? ». Lors de la première séance, il est souvent difficile de donner une réponse. Il faut donner des délais réalistes et pas exagérément optimistes, pour éviter des déceptions et mettre le patient dans une situation inconfortable, s’il a pris des engagements.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100546
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 5-15[article] L'épaule douloureuse : de l'examen au raisonnement clinique (2e partie) [texte imprimé] / Thierry Marc . - 2022 . - p. 5-15.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 5-15
Mots-clés : examen clinique Épaule Raisonnement clinique Résumé : LE TEMPS DE L'EXPLICATION
Une fois notre diagnostic établi, vient le temps fondamental de l’explication. L’alliance thérapeutique, qui a débuté dès le premier contact, va se nouer à ce moment-là. Le traitement de l’épaule étant souvent long avec une progression difficile à gérer, il est essentiel de constituer une véritable équipe avec le patient. Il doit ressentir une implication forte de son thérapeute. Il doit lui aussi s’engager ; il est en partie responsable du futur résultat.
Quelques principes doivent régir ce dialogue qui se poursuivra tout au long de la relation thérapeutique. Tout d’abord, il faut respecter les croyances du patient. Lorsqu’il vous dit : « J’ai bien compris mon problème, c’est mon acromion crochu qui m’a troué la coiffe », vous aurez du mal à lui expliquer que sa lésion de la face profonde a peu de chance de venir de l’acromion. Ce n’est pas grave dès qu’il verra qu’il est amélioré par les premières séances, c’est lui qui vous dira : « Alors finalement mon acromion, ce n’est pas lui qui gêne ». Vous l’orienterez progressivement vers une meilleure compréhension de sa pathologie et l’aiderez à modifier certains de ses comportements. Les explications doivent être simples, imagées et en reprenant si possible son vocabulaire. Il ne faut pas vouloir tout lui expliquer.
Un des points clés à aborder est la douleur. Ceux qui sont irritables ont déjà mis en place des stratégies d’évitement et des contractures de protection. Ils vous demandent si c’est une bonne attitude. Bien évidemment, il faut juste les aider à bien placer le curseur, étudier avec eux les mouvements qui peuvent les aggraver et les encourager à bouger dans les secteurs non douloureux.
D’autres patients craignent que leurs tendons lâchent. Lors de différentes consultations, ils ont enregistré le message que le reste de la coiffe pouvait lâcher, qu’elle allait se rétracter et qu’elle serait irrécupérable car les muscles se transformeraient en graisse. Dans ce cas-là, le chemin est long pour leur redonner confiance dans la capacité de la rééducation à leur faire retrouver une épaule fonctionnelle. C’est pourtant un des facteurs de bon pronostic. Il faut lui expliquer qu’à 70 ans, la moitié de la population a une rupture et, pourtant, 50 % de la population n’est pas handicapée. L’équilibre musculaire et articulaire de son épaule a été rompu mais on va le restaurer et son épaule fonctionnera à nouveau comme avant. Il peut vous poser la question : « Et si ça ne marche pas ? » ; il faudra à ce moment passer à l’option chirurgicale.
Si les tendons sont rétractés et irréparables, la prothèse inversée est une bonne option qui donne des résultats fonctionnels fiables, avec des délais de récupération relativement rapides par rapport à une réinsertion. Cette arthroplastie évite le risque de rupture itérative (50% des cas après 65 ans [40-42]). Cette explication pourra conforter le patient dans l’option qu’il a prise.
La question des craquements est fréquemment posée. Est-ce grave ? Quel est le risque encouru ? Il existe plusieurs types de craquement. Quand ces craquements apparaissent lors de la réalisation du tilt postérieur, c’est un phénomène normal car l’acromio-claviculaire et la scapula manquent de mobilité sur le gril costal. La remobilisation provoque ces craquements qui s’estomperont avec la répétition des exercices.
D’autres craquements sont à éviter. Les craquements sous-acromiaux, dans le cas de rupture de coiffe étendue, peuvent être douloureux ; il vaut mieux que le patient les évite jusqu’à ce que l’articulation soit plus souple et les muscles plus toniques. Les craquements peuvent survenir lors des mobilisations, en particulier lors des rotations. Il s’agit en général d’atteinte articulaire (arthrose, arthrite rhumatoïde ou ostéonécrose). Ils s’améliorent très souvent dans le cas d’arthrose. Le cas clinique 5 présente un patient ayant des craquements articulaires à la mobilisation.
Face à certaines questions, il faut savoir dire que l’on ne sait pas ou bien qu’à ce jour il n’y a pas de réponse. Le patient acceptera et appréciera d’avantage que d’avoir une explication qui manque de logique et de fondements.
Une question légitime revient souvent : « Combien de temps va durer la rééducation ? ». Lors de la première séance, il est souvent difficile de donner une réponse. Il faut donner des délais réalistes et pas exagérément optimistes, pour éviter des déceptions et mettre le patient dans une situation inconfortable, s’il a pris des engagements.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100546 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe patient COVID-19 (Delta) en stade aigu (été 2021) / Frédéric Xavier in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Le patient COVID-19 (Delta) en stade aigu (été 2021) Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 23-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épidémiologie Syndrome post phase aiguë de la COVID-19 COVID-19 / Complications Réanimation Résumé : SARS-CoV-2 (Covid-19)
Définition
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le nom officiel de la maladie comme « maladie à Coronavirus 2019 (Covid-19) » et fait désormais publiquement référence au virus comme « le virus Covid-19 ».L’analyse du génome viral a révélé que le nouveau Coronavirus est phylogénétiquement proche du Coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV), l’agent causal d’une épidémie virale en 2002. Ainsi, le nouveau coronavirus a été nommé « SARS-CoV-2 » par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV).
De nombreux coronavirus sont connus pour infecter les humains et divers animaux. En général, 15 à 30 % des rhumes sont causés par des coronavirus humains (HCoV). Cependant, certains coronavirus provenant de réservoirs animaux peuvent être transmis à l’homme, provoquant des épidémies dans la population humaine (exemple du SRAS-CoV en 2002 et MERS-CoV en 2012).
Contrairement aux HCoVs, ces virus zoonotiques infectent à la fois les humains et divers animaux et causent de graves maladies respiratoires tels que le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et la pneumonie, entraînant le décès [1, 2].
Au 26 août 2021, la pandémie Covid-19 en deux chiffres (https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6) :
– nombre de personnes testées positives : 213 937 377 ;
– nombre de personnes comptabilisées comme décédées suite à l’infection : 4 464 001.
Initialement, l’affection a été classée en 4 types mais de nombreuses études et l’état de la recherche actuelle montrent que la forme asymptomatique est une 5e classe avec la même contagiosité que les infections symptomatiques (les populations asymptomatiques développent une charge virale similaire à celle des patients symptomatiques) et des conséquences à long terme identiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100547
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 23-38[article] Le patient COVID-19 (Delta) en stade aigu (été 2021) [texte imprimé] / Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin . - 2022 . - p. 23-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 23-38
Mots-clés : Épidémiologie Syndrome post phase aiguë de la COVID-19 COVID-19 / Complications Réanimation Résumé : SARS-CoV-2 (Covid-19)
Définition
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le nom officiel de la maladie comme « maladie à Coronavirus 2019 (Covid-19) » et fait désormais publiquement référence au virus comme « le virus Covid-19 ».L’analyse du génome viral a révélé que le nouveau Coronavirus est phylogénétiquement proche du Coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV), l’agent causal d’une épidémie virale en 2002. Ainsi, le nouveau coronavirus a été nommé « SARS-CoV-2 » par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV).
De nombreux coronavirus sont connus pour infecter les humains et divers animaux. En général, 15 à 30 % des rhumes sont causés par des coronavirus humains (HCoV). Cependant, certains coronavirus provenant de réservoirs animaux peuvent être transmis à l’homme, provoquant des épidémies dans la population humaine (exemple du SRAS-CoV en 2002 et MERS-CoV en 2012).
Contrairement aux HCoVs, ces virus zoonotiques infectent à la fois les humains et divers animaux et causent de graves maladies respiratoires tels que le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et la pneumonie, entraînant le décès [1, 2].
Au 26 août 2021, la pandémie Covid-19 en deux chiffres (https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6) :
– nombre de personnes testées positives : 213 937 377 ;
– nombre de personnes comptabilisées comme décédées suite à l’infection : 4 464 001.
Initialement, l’affection a été classée en 4 types mais de nombreuses études et l’état de la recherche actuelle montrent que la forme asymptomatique est une 5e classe avec la même contagiosité que les infections symptomatiques (les populations asymptomatiques développent une charge virale similaire à celle des patients symptomatiques) et des conséquences à long terme identiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100547 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPHYSIOTHÉRAPIE Échographie et électrodiagnostic du muscle dénervé in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : PHYSIOTHÉRAPIE Échographie et électrodiagnostic du muscle dénervé Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : Techniques de physiothérapie Physiothérapie Muscle dénervé Résumé : L'intérêt de l’échographie dans différents domaines de la rééducation fonctionnelle a déjà fait l’objet de plusieurs publications dans KS : « Échographie neuro-musculo-squelettique appliquée en pédiatrie » , « Échographie, fonction diaphragmatique et fonction musculaire périphérique chez des patients atteints d'obésité », « Échographie dans les troubles de la déglutition ».En neurologie périphérique, l’électrodiagnostic de stimulation permet de mesurer la chronaxie afin de déterminer le niveau de dénervation du muscle et la durée d’impulsion nécessaire pour contracter le muscle. La durée d’impulsion est d’autant plus longue que le muscle est dénervé. En cas de récupération, cette durée diminue au décours du traitement.
La durée d’impulsion est le paramètre essentiel du traitement. La durée optimale doit être suffisante pour être efficace mais pas trop longue pour que l’impulsion reste confortable.De plus, il est primordial de bien localiser le muscle à traiter, ce qui n’est pas toujours évident lorsque ce muscle se trouve au sein d’une loge musculaire.L’échographie est une technique qui permet de cibler précisément le muscle concerné et de vérifier sa contraction.
Pour faire le point sur ce sujet, nous avons interrogé Jean-Michel Vitiello (J.-M.V.), DIU en Posturologie Clinique (Université Pierre et Marie Curie), kinésithérapeute au Centre de Réhabilitation du Château de Colpach au Luxembourg (CRCC), Service National de Réhabilitation Physique, spécialisé en réalité virtuelle, baropodoscopie dynamique, isocinétisme, thérapie manuelle et échographie, qui a expérimenté cette technique et qui a bien voulu répondre à nos questions.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100548
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 47-53[article] PHYSIOTHÉRAPIE Échographie et électrodiagnostic du muscle dénervé [texte imprimé] . - 2022 . - p. 47-53.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 47-53
Mots-clés : Techniques de physiothérapie Physiothérapie Muscle dénervé Résumé : L'intérêt de l’échographie dans différents domaines de la rééducation fonctionnelle a déjà fait l’objet de plusieurs publications dans KS : « Échographie neuro-musculo-squelettique appliquée en pédiatrie » , « Échographie, fonction diaphragmatique et fonction musculaire périphérique chez des patients atteints d'obésité », « Échographie dans les troubles de la déglutition ».En neurologie périphérique, l’électrodiagnostic de stimulation permet de mesurer la chronaxie afin de déterminer le niveau de dénervation du muscle et la durée d’impulsion nécessaire pour contracter le muscle. La durée d’impulsion est d’autant plus longue que le muscle est dénervé. En cas de récupération, cette durée diminue au décours du traitement.
La durée d’impulsion est le paramètre essentiel du traitement. La durée optimale doit être suffisante pour être efficace mais pas trop longue pour que l’impulsion reste confortable.De plus, il est primordial de bien localiser le muscle à traiter, ce qui n’est pas toujours évident lorsque ce muscle se trouve au sein d’une loge musculaire.L’échographie est une technique qui permet de cibler précisément le muscle concerné et de vérifier sa contraction.
Pour faire le point sur ce sujet, nous avons interrogé Jean-Michel Vitiello (J.-M.V.), DIU en Posturologie Clinique (Université Pierre et Marie Curie), kinésithérapeute au Centre de Réhabilitation du Château de Colpach au Luxembourg (CRCC), Service National de Réhabilitation Physique, spécialisé en réalité virtuelle, baropodoscopie dynamique, isocinétisme, thérapie manuelle et échographie, qui a expérimenté cette technique et qui a bien voulu répondre à nos questions.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100548 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSpondylarthropathie / Pierre Le Hir in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Spondylarthropathie Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Le Hir Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 54-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : Spondylarthrite Résumé : La spondylarthrite ankylosante (SPA) est une maladie beaucoup moins fréquente que la polyarthrite rhumatoïde. La prépondérance masculine est importante (ratio H/F = 5/1).L'association à des facteurs génétiques est forte et en particulier l’HLAB27 est présent chez 90% des patients. C’est une maladie des pays du nord ouest. Cliniquement elle associe une limitation des mouvements de la colonne lombaire et de l’expansion thoracique et des douleurs lombaires ou thoracolombaires. Elle est caractérisée par une enthésopathie inflammatoire qui entraîne une résorption puis une néoformation osseuse à l’insertion des fibres périphériques de l’anneau fibreux sur le coin antérieur des vertèbres. La néoformation aboutit à la formation d’ossifications verticales antérieures en pont intersomatique appelées syndesmophytes ( Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100549
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 54-55[article] Spondylarthropathie [texte imprimé] / Pierre Le Hir . - 2022 . - p. 54-55.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 54-55
Mots-clés : Spondylarthrite Résumé : La spondylarthrite ankylosante (SPA) est une maladie beaucoup moins fréquente que la polyarthrite rhumatoïde. La prépondérance masculine est importante (ratio H/F = 5/1).L'association à des facteurs génétiques est forte et en particulier l’HLAB27 est présent chez 90% des patients. C’est une maladie des pays du nord ouest. Cliniquement elle associe une limitation des mouvements de la colonne lombaire et de l’expansion thoracique et des douleurs lombaires ou thoracolombaires. Elle est caractérisée par une enthésopathie inflammatoire qui entraîne une résorption puis une néoformation osseuse à l’insertion des fibres périphériques de l’anneau fibreux sur le coin antérieur des vertèbres. La néoformation aboutit à la formation d’ossifications verticales antérieures en pont intersomatique appelées syndesmophytes ( Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100549 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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