Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.35, n°2Paru le : 01/04/2021 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOstéopathies fragilisantes endocriniennes / Q. Rochoux in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Ostéopathies fragilisantes endocriniennes Type de document : texte imprimé Auteurs : Q. Rochoux ; C. Marcelli Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-025-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperparathyroïdie Métabolisme phosphocalcique Endocrinopathie Ostéoporose Os Résumé : Le remodelage osseux et l'homéostasie phosphocalcique sont régulés par de nombreux facteurs, intrinsèques et extrinsèques. Parmi les facteurs intrinsèques, l'implication de la plupart des axes endocriniens est maintenant bien établie. En effet, au cours des endocrinopathies, de nombreuses complications ostéoarticulaires peuvent être rencontrées, notamment une ostéopathie fragilisante. Actuellement, en raison de la réalisation de bilans radiobiologiques de dépistage et d'une prise en charge plus précoce, les complications osseuses des endocrinopathies sont modérées. Cependant, elles restent insuffisamment diagnostiquées et prises en charge. Or, de par la grande fréquence des endocrinopathies dans la population, il est nécessaire de rechercher et de savoir appréhender ces atteintes osseuses et d'en connaître la prise en charge. Après un court rappel physiopathologique, sont détaillées dans cet article les différentes causes d'ostéoporoses secondaires aux dysrégulations hormonales, en précisant, pour chacune, l'état des connaissances physiopathologiques et la prise en charge thérapeutique proposée actuellement. L'article s'intéresse également aux principales causes d'ostéopathie endocrinienne que sont l'hyperparathyroïdie primitive, l'hypogonadisme, le syndrome de Cushing et l'hyperthyroïdie. D'autres pathologies sont encore abordées, dont le retentissement osseux est à ce jour clairement reconnu, comme le diabète, l'acromégalie, l'hyperprolactinémie, ou encore l'anorexie mentale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95166
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-025-B-10 [Tome 1][article] Ostéopathies fragilisantes endocriniennes [texte imprimé] / Q. Rochoux ; C. Marcelli . - 2021 . - 14-025-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-025-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Hyperparathyroïdie Métabolisme phosphocalcique Endocrinopathie Ostéoporose Os Résumé : Le remodelage osseux et l'homéostasie phosphocalcique sont régulés par de nombreux facteurs, intrinsèques et extrinsèques. Parmi les facteurs intrinsèques, l'implication de la plupart des axes endocriniens est maintenant bien établie. En effet, au cours des endocrinopathies, de nombreuses complications ostéoarticulaires peuvent être rencontrées, notamment une ostéopathie fragilisante. Actuellement, en raison de la réalisation de bilans radiobiologiques de dépistage et d'une prise en charge plus précoce, les complications osseuses des endocrinopathies sont modérées. Cependant, elles restent insuffisamment diagnostiquées et prises en charge. Or, de par la grande fréquence des endocrinopathies dans la population, il est nécessaire de rechercher et de savoir appréhender ces atteintes osseuses et d'en connaître la prise en charge. Après un court rappel physiopathologique, sont détaillées dans cet article les différentes causes d'ostéoporoses secondaires aux dysrégulations hormonales, en précisant, pour chacune, l'état des connaissances physiopathologiques et la prise en charge thérapeutique proposée actuellement. L'article s'intéresse également aux principales causes d'ostéopathie endocrinienne que sont l'hyperparathyroïdie primitive, l'hypogonadisme, le syndrome de Cushing et l'hyperthyroïdie. D'autres pathologies sont encore abordées, dont le retentissement osseux est à ce jour clairement reconnu, comme le diabète, l'acromégalie, l'hyperprolactinémie, ou encore l'anorexie mentale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95166 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatisme psoriasique / L. Pina Vegas in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Rhumatisme psoriasique Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Pina Vegas ; P. Claudepierre Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-246-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhumatisme psoriasique Spondyloarthrite Rhumatisme inflammatoire Résumé : Le rhumatisme psoriasique (RhPso) est un rhumatisme inflammatoire chronique qui appartient à la famille des spondyloarthrites. Sa prévalence serait de l'ordre de 0,01 à 0,2 % dans la population générale et pourrait atteindre jusqu'à 40 % des sujets ayant un psoriasis cutané. Il s'agit d'une pathologie hétérogène et complexe, dont les manifestations cliniques rhumatologiques et extrarhumatologiques peuvent être extrêmement variées, entraînant souvent un retard diagnostique et thérapeutique. L'atteinte de l'appareil locomoteur associe à divers degrés des manifestations axiales avec rachialgies inflammatoires, prédominant en cervicodorsal, et sacro-iliite, parfois asymptomatique, une atteinte enthésitique pouvant être disséminée ainsi qu'une atteinte articulaire périphérique touchant en priorité les mains et les pieds. Outre l'atteinte dermatologique du psoriasis, ce rhumatisme peut s'accompagner d'une uvéite ou encore d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. Aujourd'hui reconnu comme une entité propre, le RhPso a longtemps été confondu avec d'autres rhumatismes, et en particulier avec la polyarthrite rhumatoïde. Son évolution peut être sévère, à l'origine d'une impotence fonctionnelle et d'une dégradation importante de la qualité de vie ; il nécessite un suivi clinique, biologique et radiologique adapté. L'amélioration récente des connaissances physiopathologiques a permis le développement rapide de biomédicaments et thérapies ciblées (anti-tumor necrosis factor alpha, anti-interleukine 12/23, anti-interleukine 17, aprémilast, anti-janus kinase), efficaces sur les différents symptômes pour la plupart, complétant ainsi l'arsenal thérapeutique préexistant (anti-inflammatoires non stéroïdiens, injection locale de corticoïdes, méthotrexate, léflunomide, sulfasalazine). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95167
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-246-A-10 [Tome 4][article] Rhumatisme psoriasique [texte imprimé] / L. Pina Vegas ; P. Claudepierre . - 2021 . - 14-246-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-246-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Rhumatisme psoriasique Spondyloarthrite Rhumatisme inflammatoire Résumé : Le rhumatisme psoriasique (RhPso) est un rhumatisme inflammatoire chronique qui appartient à la famille des spondyloarthrites. Sa prévalence serait de l'ordre de 0,01 à 0,2 % dans la population générale et pourrait atteindre jusqu'à 40 % des sujets ayant un psoriasis cutané. Il s'agit d'une pathologie hétérogène et complexe, dont les manifestations cliniques rhumatologiques et extrarhumatologiques peuvent être extrêmement variées, entraînant souvent un retard diagnostique et thérapeutique. L'atteinte de l'appareil locomoteur associe à divers degrés des manifestations axiales avec rachialgies inflammatoires, prédominant en cervicodorsal, et sacro-iliite, parfois asymptomatique, une atteinte enthésitique pouvant être disséminée ainsi qu'une atteinte articulaire périphérique touchant en priorité les mains et les pieds. Outre l'atteinte dermatologique du psoriasis, ce rhumatisme peut s'accompagner d'une uvéite ou encore d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. Aujourd'hui reconnu comme une entité propre, le RhPso a longtemps été confondu avec d'autres rhumatismes, et en particulier avec la polyarthrite rhumatoïde. Son évolution peut être sévère, à l'origine d'une impotence fonctionnelle et d'une dégradation importante de la qualité de vie ; il nécessite un suivi clinique, biologique et radiologique adapté. L'amélioration récente des connaissances physiopathologiques a permis le développement rapide de biomédicaments et thérapies ciblées (anti-tumor necrosis factor alpha, anti-interleukine 12/23, anti-interleukine 17, aprémilast, anti-janus kinase), efficaces sur les différents symptômes pour la plupart, complétant ainsi l'arsenal thérapeutique préexistant (anti-inflammatoires non stéroïdiens, injection locale de corticoïdes, méthotrexate, léflunomide, sulfasalazine). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95167 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoarthropathies nerveuses / P. Lafforgue in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Ostéoarthropathies nerveuses Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Lafforgue ; S. Trijau Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-285-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Pied Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses sont une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant entraîner des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés, voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours d'atteintes sensitives (proprioceptives, nociceptives et dysautonomiques) d'origine périphérique comme dans le diabète ou centrale. Le diabète a maintenant remplacé la syphilis comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. Une seule région est généralement concernée, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir, d'une part, des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse et, d'autre part, une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire au dérèglement de la circulation locale. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, et des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un œdème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. Le syndrome inflammatoire est modéré ou absent. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'œdème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. L'utilité des bisphosphonates n'est pas clairement établie. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'œdème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95168
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-285-A-10 [Tome 5][article] Ostéoarthropathies nerveuses [texte imprimé] / P. Lafforgue ; S. Trijau . - 2021 . - 14-285-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 14-285-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéoarthropathies nerveuses Charcot Diabète Neuropathie sensitive Ostéomyélite Pied Résumé : Les ostéoarthropathies nerveuses sont une atteinte destructrice ostéoarticulaire régionale, potentiellement sévère et pouvant entraîner des déformations, une instabilité, des ulcères cutanés, voire conduire à une amputation. Elles surviennent au cours d'atteintes sensitives (proprioceptives, nociceptives et dysautonomiques) d'origine périphérique comme dans le diabète ou centrale. Le diabète a maintenant remplacé la syphilis comme cause principale, suivi des atteintes médullaires post-traumatiques et des neuropathies héréditaires. Cette atteinte sensitive explique le caractère relativement peu douloureux de l'affection. Une seule région est généralement concernée, le plus souvent le pied et/ou la cheville, moins souvent le genou, l'épaule, le rachis, les autres localisations étant très rares. La physiopathologie fait intervenir, d'une part, des microtraumatismes favorisés par l'absence de perception douloureuse et, d'autre part, une déminéralisation favorisée par l'hyperhémie secondaire au dérèglement de la circulation locale. On distingue deux phases. À la phase aiguë, l'articulation est chaude, gonflée, rouge ; les radiographies initialement normales montrent ensuite une déminéralisation, des érosions articulaires, des fractures et fragmentations des os, et des déformations. Il existe une hyperfixation scintigraphique régionale non spécifique. L'imagerie par résonance magnétique montre précocement un œdème osseux et des parties molles, des fractures, un épanchement articulaire et les destructions. Le syndrome inflammatoire est modéré ou absent. À ce stade, les diagnostics différentiels sont les arthrites, l'algodystrophie et surtout l'ostéomyélite. Ensuite, la chaleur et l'œdème diminuent progressivement, les lésions radiologiques s'organisent, laissant la place à des séquelles définitives. Le traitement doit donc être très précoce. À la phase aiguë, il faut imposer une décharge ou une semi-décharge associée au port d'orthèse. L'utilité des bisphosphonates n'est pas clairement établie. La reprise progressive de l'appui avec un chaussage orthopédique est autorisée lorsque l'œdème et la chaleur cutanée se sont normalisés, au bout de plusieurs semaines. La chirurgie vise à corriger des séquelles fonctionnellement gênantes (ulcère ou menace d'ulcère, trouble statique empêchant le chaussage, instabilité). Globalement, elle expose à des taux d'échec et de complications importants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95168 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Paralysie néonatale du plexus brachial : prise en charge initiale / A. Abid in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Paralysie néonatale du plexus brachial : prise en charge initiale Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Abid ; F. Accadbled ; J. Sales de Gauzy Année de publication : 2021 Article en page(s) : 15-001-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Plexus brachial Paralysie Obstétricale Résumé : La paralysie néonatale du plexus brachial définit l'ensemble des lésions d'une ou de plusieurs racines du plexus brachial survenant lors d'un accouchement difficile. C'est une affection relativement rare et son incidence est restée constante au cours des dernières décennies, en raison de l'imprévisibilité des facteurs de risque, en particulier de la dystocie des épaules. Le diagnostic et l'évaluation de la récupération sont basés essentiellement sur l'examen clinique. L'électromyographie, d'interprétation difficile chez le nourrisson, a peu d'intérêt. L'imagerie par résonance magnétique du rachis cervical, nécessitant à cet âge une prémédication, voire une anesthésie générale, est un examen particulièrement indiqué dans le cadre du bilan préopératoire à la recherche d'une lésion préganglionnaire. Le pronostic dépend essentiellement du niveau lésionnel (pré- ou postganglionnaire), de l'étendue et de la sévérité des lésions plexiques postganglionnaires, de la vitesse de récupération et de la qualité de la prise en charge initiale. Bien que l'évolution se fasse le plus souvent vers la récupération spontanée, certains enfants gardent des séquelles plus ou moins importantes pouvant aller jusqu'à la perte totale de la fonction du membre atteint. Si les publications récentes ont amélioré la compréhension des indications chirurgicales, de nombreux points restent sujets à controverse, en particulier l'indication et le moment exact de la réparation nerveuse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95169
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 15-001-A-10 [Tome 6][article] Paralysie néonatale du plexus brachial : prise en charge initiale [texte imprimé] / A. Abid ; F. Accadbled ; J. Sales de Gauzy . - 2021 . - 15-001-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°2 (Avril 2021) . - 15-001-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Plexus brachial Paralysie Obstétricale Résumé : La paralysie néonatale du plexus brachial définit l'ensemble des lésions d'une ou de plusieurs racines du plexus brachial survenant lors d'un accouchement difficile. C'est une affection relativement rare et son incidence est restée constante au cours des dernières décennies, en raison de l'imprévisibilité des facteurs de risque, en particulier de la dystocie des épaules. Le diagnostic et l'évaluation de la récupération sont basés essentiellement sur l'examen clinique. L'électromyographie, d'interprétation difficile chez le nourrisson, a peu d'intérêt. L'imagerie par résonance magnétique du rachis cervical, nécessitant à cet âge une prémédication, voire une anesthésie générale, est un examen particulièrement indiqué dans le cadre du bilan préopératoire à la recherche d'une lésion préganglionnaire. Le pronostic dépend essentiellement du niveau lésionnel (pré- ou postganglionnaire), de l'étendue et de la sévérité des lésions plexiques postganglionnaires, de la vitesse de récupération et de la qualité de la prise en charge initiale. Bien que l'évolution se fasse le plus souvent vers la récupération spontanée, certains enfants gardent des séquelles plus ou moins importantes pouvant aller jusqu'à la perte totale de la fonction du membre atteint. Si les publications récentes ont amélioré la compréhension des indications chirurgicales, de nombreux points restent sujets à controverse, en particulier l'indication et le moment exact de la réparation nerveuse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95169 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire