Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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1 & 2 / 2021 - Juillet 2021 - Les espaces publics et leurs indésirables [texte imprimé] . - 2021. Langues : Français (fre)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierLes espaces publics et leurs indésirables : interactions, institutions, politiques / Sarah Van Hollebeke in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Les espaces publics et leurs indésirables : interactions, institutions, politiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Van Hollebeke ; Mathieu Berger ; Louise Carlier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Espaces publics Demandeurs d'asiles Migrants Réfugiés Demandeurs d'asile : accueil Sociologie urbaine Exclusion culturelle Marginaux Résumé : La problématique des indésirables a souvent été traitée ces dernières années dans l’espace public médiatique et politique à travers le traitement des « nouvelles » questions sociales : la question de l’accueil des migrants, réfugiés, demandeurs d’asile, la « question rom », ou plus généralement la régulation de la pauvreté visible (sans-abrisme, drogue) et entreprenante (mendicité, prostitution) . D’un côté, l’indésirable est vu comme celui qui menace la stabilité des fondements de la société depuis l’extérieur ; de l’autre, il renvoie à l’image d’un ennemi intérieur, source d’inquiétude pour les élites et les groupes dominants. Si plusieurs études ont abordé la « fabrique des indésirables » (Agier, 2008 ; 2014 ; 2017), elles se sont focalisées sur l’« exclusion politique » de la figure de l’errant, du paria, du métèque, et ont exploré principalement les espaces cloisonnés dans lesquels ces différentes catégories d’indésirable sont reléguées, expulsées et mises à distance physiquement, comme les camps de transit ou les centres de détention (Berger & Carlier, 2016). Les politiques publiques mises en place pour intégrer, réguler ou empêcher ces présences sur le territoire sont souvent au cœur de telles approches mobilisées essentiellement dans le champ des études migratoires (Estebanez & Raad, 2016). L’indésirabilité ne touche pourtant pas uniquement le nouveau venu ou l’étranger qui se tient clairement au dehors de la communauté (que cette communauté soit nationale ou plus locale) ; elle concerne aussi d’autres figures qui évoluent en son sein en tant qu… Note de contenu :
1. Introduction
2. Les espaces publics urbains et leurs indésirables dans la sociologie urbaine
3. L’expérience ordinaire de l’altérité citadine, entre indifférence et répulsion
4. L’espace public de discussion et ses indésirables
5. Enquêter sur l’indésirable : interactions, institutions, politiques
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95344
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 4-26[article] Les espaces publics et leurs indésirables : interactions, institutions, politiques [texte imprimé] / Sarah Van Hollebeke ; Mathieu Berger ; Louise Carlier . - 2021 . - p. 4-26.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 4-26
Mots-clés : Espaces publics Demandeurs d'asiles Migrants Réfugiés Demandeurs d'asile : accueil Sociologie urbaine Exclusion culturelle Marginaux Résumé : La problématique des indésirables a souvent été traitée ces dernières années dans l’espace public médiatique et politique à travers le traitement des « nouvelles » questions sociales : la question de l’accueil des migrants, réfugiés, demandeurs d’asile, la « question rom », ou plus généralement la régulation de la pauvreté visible (sans-abrisme, drogue) et entreprenante (mendicité, prostitution) . D’un côté, l’indésirable est vu comme celui qui menace la stabilité des fondements de la société depuis l’extérieur ; de l’autre, il renvoie à l’image d’un ennemi intérieur, source d’inquiétude pour les élites et les groupes dominants. Si plusieurs études ont abordé la « fabrique des indésirables » (Agier, 2008 ; 2014 ; 2017), elles se sont focalisées sur l’« exclusion politique » de la figure de l’errant, du paria, du métèque, et ont exploré principalement les espaces cloisonnés dans lesquels ces différentes catégories d’indésirable sont reléguées, expulsées et mises à distance physiquement, comme les camps de transit ou les centres de détention (Berger & Carlier, 2016). Les politiques publiques mises en place pour intégrer, réguler ou empêcher ces présences sur le territoire sont souvent au cœur de telles approches mobilisées essentiellement dans le champ des études migratoires (Estebanez & Raad, 2016). L’indésirabilité ne touche pourtant pas uniquement le nouveau venu ou l’étranger qui se tient clairement au dehors de la communauté (que cette communauté soit nationale ou plus locale) ; elle concerne aussi d’autres figures qui évoluent en son sein en tant qu… Note de contenu :
1. Introduction
2. Les espaces publics urbains et leurs indésirables dans la sociologie urbaine
3. L’expérience ordinaire de l’altérité citadine, entre indifférence et répulsion
4. L’espace public de discussion et ses indésirables
5. Enquêter sur l’indésirable : interactions, institutions, politiques
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleHabermas au Starbucks. Clients, oisifs et traînards dans le tiers-lieu capitaliste / Robin Wagner-Pacifici in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Habermas au Starbucks. Clients, oisifs et traînards dans le tiers-lieu capitaliste Type de document : texte imprimé Auteurs : Robin Wagner-Pacifici Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 27-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : violences policières : Etats-Unis Esclavagisme Racisme -- Etats-Unis Philadelphie Starbucks café Résumé : Réinterrogeant la conceptualisation habermassienne du « café » dans la société des XVIIe et XVIIIe siècle pour analyser le rôle démocratique des cafés contemporains, l’auteure revient sur un incident survenu entre un employé d’un établissement Starbucks à Philadelphie et des clients afro-américains – le terme « client » posant justement ici question. Elle documente cette interaction en resituant ses observations et interprétations à la fois dans l’histoire urbaine d’un quartier et dans l’histoire des héritages sociaux et culturels du racisme et du capitalisme aux États-Unis. Elle montre que les obligations et charges du capitalisme (la nécessité de consommer, de travailler, d’éviter l’oisiveté) pour entrer et rester dans ces espaces supposés ouverts à tous, pèsent différemment sur les visiteurs selon qu’ils sont reconnus comme clients ou comme potentiels « traînards », et cela à partir d’indices de leur condition sociale et économique, mais aussi selon leur couleur de peau. L’article présente le tiers-lieu capitaliste comme un espace particulièrement ambigu, distinct du café habermassien et de sa prétendue atmosphère de civilité, d’ouverture démocratique et d’accessibilité universelle ; un espace qui, malgré lui, à travers des incidents comme celui du Starbucks de Philadelphie, est devenu aux USA une scène publique de mobilisation et de débat autour de ces questions. Note de contenu : 1. Conséquences et contexte
2. Philadelphie
3. Rittenhouse Square
4. Qu’est-ce qu’un café ?
5. Starbucks dans le contexte historique
6. Que signifie être oisif ?
7. Que signifie « être de la classe moyenne » ?
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95345
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 27-53[article] Habermas au Starbucks. Clients, oisifs et traînards dans le tiers-lieu capitaliste [texte imprimé] / Robin Wagner-Pacifici . - 2021 . - p. 27-53.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 27-53
Mots-clés : violences policières : Etats-Unis Esclavagisme Racisme -- Etats-Unis Philadelphie Starbucks café Résumé : Réinterrogeant la conceptualisation habermassienne du « café » dans la société des XVIIe et XVIIIe siècle pour analyser le rôle démocratique des cafés contemporains, l’auteure revient sur un incident survenu entre un employé d’un établissement Starbucks à Philadelphie et des clients afro-américains – le terme « client » posant justement ici question. Elle documente cette interaction en resituant ses observations et interprétations à la fois dans l’histoire urbaine d’un quartier et dans l’histoire des héritages sociaux et culturels du racisme et du capitalisme aux États-Unis. Elle montre que les obligations et charges du capitalisme (la nécessité de consommer, de travailler, d’éviter l’oisiveté) pour entrer et rester dans ces espaces supposés ouverts à tous, pèsent différemment sur les visiteurs selon qu’ils sont reconnus comme clients ou comme potentiels « traînards », et cela à partir d’indices de leur condition sociale et économique, mais aussi selon leur couleur de peau. L’article présente le tiers-lieu capitaliste comme un espace particulièrement ambigu, distinct du café habermassien et de sa prétendue atmosphère de civilité, d’ouverture démocratique et d’accessibilité universelle ; un espace qui, malgré lui, à travers des incidents comme celui du Starbucks de Philadelphie, est devenu aux USA une scène publique de mobilisation et de débat autour de ces questions. Note de contenu : 1. Conséquences et contexte
2. Philadelphie
3. Rittenhouse Square
4. Qu’est-ce qu’un café ?
5. Starbucks dans le contexte historique
6. Que signifie être oisif ?
7. Que signifie « être de la classe moyenne » ?
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePerception et sémiose du malvenu. Retracer l’excommunication d’un participant dans une assemblée publique / Mathieu Berger in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Perception et sémiose du malvenu. Retracer l’excommunication d’un participant dans une assemblée publique Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Berger Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 74-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : exclusion sociale -- Etats-Unis malvenu Insertion Sociale Résumé : Les travaux en sciences sociales et politiques relatifs à la disqualification de certains participants dans des processus de démocratie participative ne manquent pas. La plupart d’entre eux traitent de la question en se focalisant sur les actes de discours ratés, malheureux, par lesquels les participants considérés apparaissent publiquement inaptes à la discussion, délibération, consultation, etc. Lorsqu’elles s’inquiètent de difficultés pouvant précéder la prise de parole, pointant la reconnaissance antédiscursive de l’énonciateur comme condition de félicité primordiale pour l’énonciation, ces recherches limitent souvent l’examen empirique à quelques critères catégoriels (genre, couleur de peau, signes culturels ou religieux, marqueurs de classe), et associent donc les processus d’exclusion à des types de participants. Dans ce texte, en revenant sur un exemple flagrant d’infélicité issu d’une ethnographie d’assemblées civiques en Californie, l’auteur retrouve les signes spécifiques et retrace les processus perceptifs et sémiotiques non verbaux à travers lesquels, en amont de la prise de parole, le caractère malvenu de la participation d’un individu “se pressent”, “se devine”, puis “se découvre” dans une séquence de microévénements générant un trouble croissant. Dans une perspective pragmatiste, l’indésirable y est redéfini dans les termes du malvenu, l’exclusion du participant — que l’auteur nomme ici excommunication — s’accomplissant pas à pas au fil d’une venue malencontreuse à la communauté communicante. Note de contenu : 1. Des sujets malvenus
2. Le malvenu, sous un regard pragmatiste
3. Retracer une venue malencontreuse
3.1. Deviner puis découvrir le malvenu dans des indices
3.2. Pressentir le malvenu dans une présence
4. (Im)passibilités sélectivesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95346
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 74-71[article] Perception et sémiose du malvenu. Retracer l’excommunication d’un participant dans une assemblée publique [texte imprimé] / Mathieu Berger . - 2021 . - p. 74-71.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 74-71
Mots-clés : exclusion sociale -- Etats-Unis malvenu Insertion Sociale Résumé : Les travaux en sciences sociales et politiques relatifs à la disqualification de certains participants dans des processus de démocratie participative ne manquent pas. La plupart d’entre eux traitent de la question en se focalisant sur les actes de discours ratés, malheureux, par lesquels les participants considérés apparaissent publiquement inaptes à la discussion, délibération, consultation, etc. Lorsqu’elles s’inquiètent de difficultés pouvant précéder la prise de parole, pointant la reconnaissance antédiscursive de l’énonciateur comme condition de félicité primordiale pour l’énonciation, ces recherches limitent souvent l’examen empirique à quelques critères catégoriels (genre, couleur de peau, signes culturels ou religieux, marqueurs de classe), et associent donc les processus d’exclusion à des types de participants. Dans ce texte, en revenant sur un exemple flagrant d’infélicité issu d’une ethnographie d’assemblées civiques en Californie, l’auteur retrouve les signes spécifiques et retrace les processus perceptifs et sémiotiques non verbaux à travers lesquels, en amont de la prise de parole, le caractère malvenu de la participation d’un individu “se pressent”, “se devine”, puis “se découvre” dans une séquence de microévénements générant un trouble croissant. Dans une perspective pragmatiste, l’indésirable y est redéfini dans les termes du malvenu, l’exclusion du participant — que l’auteur nomme ici excommunication — s’accomplissant pas à pas au fil d’une venue malencontreuse à la communauté communicante. Note de contenu : 1. Des sujets malvenus
2. Le malvenu, sous un regard pragmatiste
3. Retracer une venue malencontreuse
3.1. Deviner puis découvrir le malvenu dans des indices
3.2. Pressentir le malvenu dans une présence
4. (Im)passibilités sélectivesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95346 Réservation
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DisponibleCe que produit l’incongru. Affects et socialité dans un lieu public à Shanghai / Lisa Richaud in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Ce que produit l’incongru. Affects et socialité dans un lieu public à Shanghai Type de document : texte imprimé Auteurs : Lisa Richaud Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 72-82 Langues : Français (fre) Mots-clés : exclusion sociale sociologie urbaine exclus Marginaux Résumé : Qu’apprend-on de l’indésirabilité lorsqu’elle est envisagée non comme objet de contrôle mais dans sa dimension productive, tant au niveau interactionnel qu‘affectif ? La question sert de fil conducteur à ce court essai, où l’indésirabilité réfère à une « impropriété situationnelle » telle qu’elle se manifeste dans une librairie de Shanghai, perturbant momentanément les conditions de la coprésence. Oscillant entre interactionnisme goffmanien et analyse des variations atmosphériques, la contribution met en évidence la socialité et les affects ordinaires que fait émerger l’indésirabilité. Celle-ci désorganise l’ordre interactionnel local autant qu’elle réorganise les possibilités d’engagements entre inconnus, orientés au-delà d’une restauration des conditions sensibles à la conduite des activités individuelles. En dialogue avec la littérature sur la socialité urbaine, l’article conclut sur le caractère heuristique des affects suscités par la situation, et décrits ici comme tempérés. Note de contenu : 1. Penser l’indésirabilité dans ses dimensions productives
2. Affects tempérés et socialité urbainePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95347
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 72-82[article] Ce que produit l’incongru. Affects et socialité dans un lieu public à Shanghai [texte imprimé] / Lisa Richaud . - 2021 . - p. 72-82.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 72-82
Mots-clés : exclusion sociale sociologie urbaine exclus Marginaux Résumé : Qu’apprend-on de l’indésirabilité lorsqu’elle est envisagée non comme objet de contrôle mais dans sa dimension productive, tant au niveau interactionnel qu‘affectif ? La question sert de fil conducteur à ce court essai, où l’indésirabilité réfère à une « impropriété situationnelle » telle qu’elle se manifeste dans une librairie de Shanghai, perturbant momentanément les conditions de la coprésence. Oscillant entre interactionnisme goffmanien et analyse des variations atmosphériques, la contribution met en évidence la socialité et les affects ordinaires que fait émerger l’indésirabilité. Celle-ci désorganise l’ordre interactionnel local autant qu’elle réorganise les possibilités d’engagements entre inconnus, orientés au-delà d’une restauration des conditions sensibles à la conduite des activités individuelles. En dialogue avec la littérature sur la socialité urbaine, l’article conclut sur le caractère heuristique des affects suscités par la situation, et décrits ici comme tempérés. Note de contenu : 1. Penser l’indésirabilité dans ses dimensions productives
2. Affects tempérés et socialité urbainePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95347 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleD’intruses à invitées, l’accès des femmes à la ville d’Alger et leur appropriation des espaces urbains / Ghaliya Djelloul in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : D’intruses à invitées, l’accès des femmes à la ville d’Alger et leur appropriation des espaces urbains Type de document : texte imprimé Auteurs : Ghaliya Djelloul Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 83-94 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exclusion Sociale Femmes -- Statut juridique -- Algérie Résumé : À partir d’une expérience en première personne des rapports de genre dans les quartiers périphériques d’Alger, l’auteure propose d’éclairer les obstacles rencontrés pour accéder, en tant que femme, à l’espace extradomestique, et s’y mouvoir. Elle décrit les circonstances particulières dans lesquelles ces présences jamais totalement légitimes peuvent déambuler dans certains lieux, comme des espaces marchands et des cérémonies festives, tout en se gardant de réduire le trouble que la perception de leur corps peut susciter pour certains hommes à l’ordre moral et religieux. Elle décrit la dynamique d’enserrement et de desserrement qui gouverne la mobilité des femmes et qui les fait glisser entre la figure d’intruse, d’invitée ou d’indésirable. Note de contenu : 1. Une approche genrée de l’engagement dans la ville à partir de ses marges
2. D’intruse à invitée : l’espace marchand comme levier de desserrement
3. D’intruse à indésirable : l’espace communautaire comme levier d’enserrement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95348
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 83-94[article] D’intruses à invitées, l’accès des femmes à la ville d’Alger et leur appropriation des espaces urbains [texte imprimé] / Ghaliya Djelloul . - 2021 . - p. 83-94.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 83-94
Mots-clés : Exclusion Sociale Femmes -- Statut juridique -- Algérie Résumé : À partir d’une expérience en première personne des rapports de genre dans les quartiers périphériques d’Alger, l’auteure propose d’éclairer les obstacles rencontrés pour accéder, en tant que femme, à l’espace extradomestique, et s’y mouvoir. Elle décrit les circonstances particulières dans lesquelles ces présences jamais totalement légitimes peuvent déambuler dans certains lieux, comme des espaces marchands et des cérémonies festives, tout en se gardant de réduire le trouble que la perception de leur corps peut susciter pour certains hommes à l’ordre moral et religieux. Elle décrit la dynamique d’enserrement et de desserrement qui gouverne la mobilité des femmes et qui les fait glisser entre la figure d’intruse, d’invitée ou d’indésirable. Note de contenu : 1. Une approche genrée de l’engagement dans la ville à partir de ses marges
2. D’intruse à invitée : l’espace marchand comme levier de desserrement
3. D’intruse à indésirable : l’espace communautaire comme levier d’enserrement
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DisponibleEntre bienfaisance et pollution. Les ambassadeurs d’ONG dans l’espace public / Baptiste Véroone in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Entre bienfaisance et pollution. Les ambassadeurs d’ONG dans l’espace public Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Véroone Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 95-100 Langues : Français (fre) Mots-clés : sociologie urbaine ambassadeurs Résumé : Cet article traite des dispositions et des techniques que les ambassadeurs d’ONG présents dans les espaces publics urbains utilisent pour déjouer, par anticipation, les réactions et affects négatifs qu’ils peuvent générer. À partir d’expériences vécues et d’une enquête ethnographique, l’auteur analyse cette figure d’« indésirable », ambivalente du fait de sa fonction bienfaitrice. À travers des formations qui préparent l’entrée sur le terrain de ces salariés, ces derniers en viennent à développer certaines dispositions socioprofessionnelles, ainsi que des règles de conduites ajustées à leur statut d’indésirable tout autant qu’à leur objectif de récolte monétaire. Grâce à elles, ils apprennent, de manière subtile, à surmonter le sentiment de constituer une « pollution urbaine » et à susciter la sympathie des passants à leur égard. Un préalable nécessaire pour tenir bon et parvenir à recruter des donateurs. Note de contenu :
1. Casser la routine impersonnelle par la rencontre sympathique
2. Manier son implication subjective dans le rôle d’ambassadeur
3. « On cherche de vrais héros »
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95349
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 95-100[article] Entre bienfaisance et pollution. Les ambassadeurs d’ONG dans l’espace public [texte imprimé] / Baptiste Véroone . - 2021 . - p. 95-100.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 95-100
Mots-clés : sociologie urbaine ambassadeurs Résumé : Cet article traite des dispositions et des techniques que les ambassadeurs d’ONG présents dans les espaces publics urbains utilisent pour déjouer, par anticipation, les réactions et affects négatifs qu’ils peuvent générer. À partir d’expériences vécues et d’une enquête ethnographique, l’auteur analyse cette figure d’« indésirable », ambivalente du fait de sa fonction bienfaitrice. À travers des formations qui préparent l’entrée sur le terrain de ces salariés, ces derniers en viennent à développer certaines dispositions socioprofessionnelles, ainsi que des règles de conduites ajustées à leur statut d’indésirable tout autant qu’à leur objectif de récolte monétaire. Grâce à elles, ils apprennent, de manière subtile, à surmonter le sentiment de constituer une « pollution urbaine » et à susciter la sympathie des passants à leur égard. Un préalable nécessaire pour tenir bon et parvenir à recruter des donateurs. Note de contenu :
1. Casser la routine impersonnelle par la rencontre sympathique
2. Manier son implication subjective dans le rôle d’ambassadeur
3. « On cherche de vrais héros »
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleFeindre l’indifférence en passant. Perceptions des femmes en attente de clients au coin d’une rue à Bruxelles / Sarah Van Hollebeke in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Feindre l’indifférence en passant. Perceptions des femmes en attente de clients au coin d’une rue à Bruxelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarah Van Hollebeke Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 101-111 Langues : Français (fre) Mots-clés : prostitution : difficultés exclusion sociale INDIFFÉRENCE A SOI Sociologie urbaine Résumé : Cet article questionne le trouble et les affects négatifs relatifs à la visibilité des situations d’interaction entre des prostituées et leurs clients dans la rue. À partir des parcours ordinaires d’un groupe d’habitantes, cette contribution montre que cette rencontre déclenche un éventail de réactions émotionnelles et de façons de se déplacer parfois ambivalentes : entre répulsion, anxiété, embarras et compassion. L’article revient sur les conduites par lesquelles ces résidentes tentent de se prémunir de ces situations embarrassantes, et sur leurs façons de contrôler l’image qu’elles-mêmes renvoient à des visiteurs extérieurs à ce quartier. L’article conclut sur la possibilité d’un renversement du geste de répulsion initial vers une forme d’assistance mutuelle et de prise en charge institutionnelle. Note de contenu : 1. Une proximité éprouvante : invasion et intrusion
2. Se montrer indisponible et contrôler les inférences
3. De victimes à indésirables : un rejet ambivalent
4. De la répulsion déshumanisante à la reconnaissancePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95350
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 101-111[article] Feindre l’indifférence en passant. Perceptions des femmes en attente de clients au coin d’une rue à Bruxelles [texte imprimé] / Sarah Van Hollebeke . - 2021 . - p. 101-111.
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Mots-clés : prostitution : difficultés exclusion sociale INDIFFÉRENCE A SOI Sociologie urbaine Résumé : Cet article questionne le trouble et les affects négatifs relatifs à la visibilité des situations d’interaction entre des prostituées et leurs clients dans la rue. À partir des parcours ordinaires d’un groupe d’habitantes, cette contribution montre que cette rencontre déclenche un éventail de réactions émotionnelles et de façons de se déplacer parfois ambivalentes : entre répulsion, anxiété, embarras et compassion. L’article revient sur les conduites par lesquelles ces résidentes tentent de se prémunir de ces situations embarrassantes, et sur leurs façons de contrôler l’image qu’elles-mêmes renvoient à des visiteurs extérieurs à ce quartier. L’article conclut sur la possibilité d’un renversement du geste de répulsion initial vers une forme d’assistance mutuelle et de prise en charge institutionnelle. Note de contenu : 1. Une proximité éprouvante : invasion et intrusion
2. Se montrer indisponible et contrôler les inférences
3. De victimes à indésirables : un rejet ambivalent
4. De la répulsion déshumanisante à la reconnaissancePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95350 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleNégocier le discrédit dans des réunions de patients vivant avec la maladie d’Alzheimer / Simon Lemaire in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Négocier le discrédit dans des réunions de patients vivant avec la maladie d’Alzheimer Type de document : texte imprimé Auteurs : Simon Lemaire Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 112-127 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exclusion sociale Maladie d'Alzheimer Résumé : Dans ce texte, l’auteur présente les particularités communicationnelles d’espaces visant à recueillir la parole et les expériences de personnes jeunes vivant avec la maladie d’Alzheimer, et de leurs aidants proches. Cette attention permet de mettre en lumière un dispositif cherchant à la fois à faire participer les personnes directement concernées, et à faire de ces espaces des lieux dans lesquels l’indésirabilité de leurs symptômes est renégociée. À cet effet, l’auteur aborde les modalités pratiques de ces réunions, les normes participatives et les difficultés rencontrées pour les concilier avec la maladie d’Alzheimer. Il compare ensuite la recevabilité du discours des jeunes patients et le travail de réception effectué par l’assemblée. Note de contenu : 1. Cadre et déroulement des réunions
2. Alzheimer et normes participatives
3. Recevabilité : entre troubles communicationnels et identitaires
4. Accepter de mettre des choses de côté, ne pas mettre en difficulté : la subjectivité à plusieurs
5. Vers une induction démocratique ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95351
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 112-127[article] Négocier le discrédit dans des réunions de patients vivant avec la maladie d’Alzheimer [texte imprimé] / Simon Lemaire . - 2021 . - p. 112-127.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 112-127
Mots-clés : Exclusion sociale Maladie d'Alzheimer Résumé : Dans ce texte, l’auteur présente les particularités communicationnelles d’espaces visant à recueillir la parole et les expériences de personnes jeunes vivant avec la maladie d’Alzheimer, et de leurs aidants proches. Cette attention permet de mettre en lumière un dispositif cherchant à la fois à faire participer les personnes directement concernées, et à faire de ces espaces des lieux dans lesquels l’indésirabilité de leurs symptômes est renégociée. À cet effet, l’auteur aborde les modalités pratiques de ces réunions, les normes participatives et les difficultés rencontrées pour les concilier avec la maladie d’Alzheimer. Il compare ensuite la recevabilité du discours des jeunes patients et le travail de réception effectué par l’assemblée. Note de contenu : 1. Cadre et déroulement des réunions
2. Alzheimer et normes participatives
3. Recevabilité : entre troubles communicationnels et identitaires
4. Accepter de mettre des choses de côté, ne pas mettre en difficulté : la subjectivité à plusieurs
5. Vers une induction démocratique ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95351 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePsychiatrie hors les murs et signalement des citoyens / Antoine Printz in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Psychiatrie hors les murs et signalement des citoyens Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Printz Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 128-139 Langues : Français (fre) Mots-clés : indésirable exclus Psychiatrie -- Études de cas Résumé : Cet article interroge la pratique de signalement psychiatrique dans les espaces publics urbains. À partir de l’analyse documentaire des rapports d’intervention de police pour des « indésirables » à Bruxelles, il est possible de saisir les caractéristiques typiques des troubles « psychiatrisables » qui mènent à une prise en charge institutionnelle. Cette démarche permet d’identifier les conduites et comportements qui sont requis de la part de « la personne du malade mental » pour déclencher une prise en charge institutionnelle. Cela soulève des enjeux majeurs de contrôle social, d’accès aux soins et de protection des personnes, d’autant plus brûlants à l’heure de la désinstitutionalisation psychiatrique. Note de contenu : 1. Vulnérabilité dans l’espace public
2. Citoyenneté en acte ?
3. Un trouble à encaisser et un monde à maintenir en ordre
4. Motifs de signalement
5. Les accrocs de la prise en charge vernaculaire
6. Invisibilité ou indésirabilité : le dilemme de la vulnérabilité ?
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in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 128-139[article] Psychiatrie hors les murs et signalement des citoyens [texte imprimé] / Antoine Printz . - 2021 . - p. 128-139.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 128-139
Mots-clés : indésirable exclus Psychiatrie -- Études de cas Résumé : Cet article interroge la pratique de signalement psychiatrique dans les espaces publics urbains. À partir de l’analyse documentaire des rapports d’intervention de police pour des « indésirables » à Bruxelles, il est possible de saisir les caractéristiques typiques des troubles « psychiatrisables » qui mènent à une prise en charge institutionnelle. Cette démarche permet d’identifier les conduites et comportements qui sont requis de la part de « la personne du malade mental » pour déclencher une prise en charge institutionnelle. Cela soulève des enjeux majeurs de contrôle social, d’accès aux soins et de protection des personnes, d’autant plus brûlants à l’heure de la désinstitutionalisation psychiatrique. Note de contenu : 1. Vulnérabilité dans l’espace public
2. Citoyenneté en acte ?
3. Un trouble à encaisser et un monde à maintenir en ordre
4. Motifs de signalement
5. Les accrocs de la prise en charge vernaculaire
6. Invisibilité ou indésirabilité : le dilemme de la vulnérabilité ?
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLes gardiens de la paix bruxellois, défenseurs d’un ordre moral aux contours flous / Lionel Francou in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Les gardiens de la paix bruxellois, défenseurs d’un ordre moral aux contours flous Type de document : texte imprimé Auteurs : Lionel Francou Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 140-150 Langues : Français (fre) Mots-clés : sécurité urbaine sociologie urbaine Bruxelles Prévention & Sécurité Résumé : Cet article porte sur la pratique d’identification et de traitement des indésirables dans les espaces publics urbains par des agents appelés, en Belgique, les « gardiens de la paix », qui ne sont pas des policiers. Ces métiers de la gestion de l’ordre en public et de la régulation des espaces se sont multipliés ces trente dernières années et leur professionnalisation fait débat. À partir d’un travail ethnographique qui l’a conduit à participer aux rondes de ces agents dans une commune de la région bruxelloise et à analyser les rapports d’observation de ces travailleurs, l’auteur décrit la manière dont ils identifient les situations problématiques et les usages indésirés des espaces qu’ils parcourent, pour ensuite relayer leurs observations vers les services compétents. L’article montre qu’ils remplissent un rôle paradoxal qui revient à la fois à repérer, accueillir et gérer le trouble, à prévenir et réprimer son apparition ; ce qui conduit, dans certains cas, à une prise en charge institutionnelle et/ou policière de l’indésirable. Note de contenu : 1. Repérer le trouble et y répondre
2. À défaut de signes, une focalisation sur des figures familières
3. Des capacités répressives entravées
4. Trouver sa place face aux citoyens
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95353
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 140-150[article] Les gardiens de la paix bruxellois, défenseurs d’un ordre moral aux contours flous [texte imprimé] / Lionel Francou . - 2021 . - p. 140-150.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 140-150
Mots-clés : sécurité urbaine sociologie urbaine Bruxelles Prévention & Sécurité Résumé : Cet article porte sur la pratique d’identification et de traitement des indésirables dans les espaces publics urbains par des agents appelés, en Belgique, les « gardiens de la paix », qui ne sont pas des policiers. Ces métiers de la gestion de l’ordre en public et de la régulation des espaces se sont multipliés ces trente dernières années et leur professionnalisation fait débat. À partir d’un travail ethnographique qui l’a conduit à participer aux rondes de ces agents dans une commune de la région bruxelloise et à analyser les rapports d’observation de ces travailleurs, l’auteur décrit la manière dont ils identifient les situations problématiques et les usages indésirés des espaces qu’ils parcourent, pour ensuite relayer leurs observations vers les services compétents. L’article montre qu’ils remplissent un rôle paradoxal qui revient à la fois à repérer, accueillir et gérer le trouble, à prévenir et réprimer son apparition ; ce qui conduit, dans certains cas, à une prise en charge institutionnelle et/ou policière de l’indésirable. Note de contenu : 1. Repérer le trouble et y répondre
2. À défaut de signes, une focalisation sur des figures familières
3. Des capacités répressives entravées
4. Trouver sa place face aux citoyens
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLa figure de l’enquêteur dans le quartier de la Villeneuve de Grenoble / Maïlys Toussaint in Les Politiques sociales, 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021)
[article]
Titre : La figure de l’enquêteur dans le quartier de la Villeneuve de Grenoble Type de document : texte imprimé Auteurs : Maïlys Toussaint Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 151-159 Langues : Français (fre) Mots-clés : sociologie urbaine Grenoble Résumé : En s’appuyant sur un récit de terrain restituant un moment d’échange entre l’ethnographe et une habitante d’un quartier de la Villeneuve de Grenoble, cet article soulève les réactions ambivalentes que suscite cette figure d’enquêteur, potentiel indésirable. Le contexte particulier de ce quartier, entre rénovation urbaine et enquêtes à répétition, influence et prédispose la perception de cette présence qui vient perturber et dérégler le déroulement ordinaire de la vie. À travers les notions d’habituation aux ambiances, de trouble et d’évitement, l’auteure explore les affects négatifs que peuvent générer les interactions entre enquêteurs et habitants. L’article montre que la conjonction entre des épreuves du passé, l’inquiétude du présent et l’anticipation de ce qui pourrait se produire génère une hypervigilance des habitants vis-à-vis des ambiances de leur espace de vie. Pour ces habitants sur le qui-vive, il y a toujours la possibilité que l’ambiance recherchée se teinte subitement de quelque chose de désagréable, ces affects négatifs troublant alors tant l’ordre interactionnel que la conduite ordinaire des activités. Note de contenu : 1. Les 40 et 50 Arlequin
2. Un dérèglement du quotidien et l’émergence de troubles dans les interactions
3. Le reportage d’Envoyé spécial : une parole profanée
4. Des habitants sur le qui-vive et fatigués de « parler pour rien »
5. Restaurer le quotidien, se prémunir des sollicitations
Conclusion. Faire preuve de déférence pour contrôler sa propre indésirabilité
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=95354
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 151-159[article] La figure de l’enquêteur dans le quartier de la Villeneuve de Grenoble [texte imprimé] / Maïlys Toussaint . - 2021 . - p. 151-159.
Langues : Français (fre)
in Les Politiques sociales > 1 & 2 / 2021 (Juillet 2021) . - p. 151-159
Mots-clés : sociologie urbaine Grenoble Résumé : En s’appuyant sur un récit de terrain restituant un moment d’échange entre l’ethnographe et une habitante d’un quartier de la Villeneuve de Grenoble, cet article soulève les réactions ambivalentes que suscite cette figure d’enquêteur, potentiel indésirable. Le contexte particulier de ce quartier, entre rénovation urbaine et enquêtes à répétition, influence et prédispose la perception de cette présence qui vient perturber et dérégler le déroulement ordinaire de la vie. À travers les notions d’habituation aux ambiances, de trouble et d’évitement, l’auteure explore les affects négatifs que peuvent générer les interactions entre enquêteurs et habitants. L’article montre que la conjonction entre des épreuves du passé, l’inquiétude du présent et l’anticipation de ce qui pourrait se produire génère une hypervigilance des habitants vis-à-vis des ambiances de leur espace de vie. Pour ces habitants sur le qui-vive, il y a toujours la possibilité que l’ambiance recherchée se teinte subitement de quelque chose de désagréable, ces affects négatifs troublant alors tant l’ordre interactionnel que la conduite ordinaire des activités. Note de contenu : 1. Les 40 et 50 Arlequin
2. Un dérèglement du quotidien et l’émergence de troubles dans les interactions
3. Le reportage d’Envoyé spécial : une parole profanée
4. Des habitants sur le qui-vive et fatigués de « parler pour rien »
5. Restaurer le quotidien, se prémunir des sollicitations
Conclusion. Faire preuve de déférence pour contrôler sa propre indésirabilité
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