Dépouillements

Cheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge / Cédric Robert in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 37-42 Titre : Cheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Robert Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Course à pied  Cheville  tendon d’Achille Résumé : Entre 8 et 13 millions de français pratiquent la course à pied de façon régulière. 26 % des hommes et 19 % des femmes se blesseront à la cheville et au pied [1, 2]. Nous retrouverons des tendinopathies d’Achille que nous observerons particulièrement au cours de cet article mais aussi des fasciapathies plantaires et majoritairement des lésions du triceps.Y A-T-IL UN LIEN ENTRE LES PATHOLOGIES DE CHEVILLE, PRINCIPALEMENT LES TENDINOPATHIES D'ACHILLE ET LEUR ÉVOLUTION DANS LE PLAN SAGITTAL COURS DU CYCLE DE FOULÉE ?Cook et Purdam [3] ont avancé l’idée que les compressions du tendon en dorsiflexion pouvaient être un facteur de risque des tendinopathies d’Achille. C’est une situation que nous pourrions retrouver surtout lors de la phase d’appui sur des patients en situation « d’effondrement » du membre inférieur où la cheville va être au-delà de 25° de flexion dorsale.En 2016, Willy et al. [4] mettent en avant que les contraintes maximales se font au pic de dorsiflexion et non lors de la propulsion.L’argument de l’excès de dorsiflexion est pondéré par les revues de littératures de van der Vlist et al. en 2019 [5] et celle de Sancho et al. également en 2019 [6] qui ont des doutes sur cet argument mais mettent en avant moins de propulsion à la course, moins de vitesse de dorsiflexion, moins de contraction de la loge postérieure.Nous ne savons pas encore bien si la douleur entraîne une limitation de la contraction de la loge postérieure de jambe, ou que la faiblesse de la loge postérieure entraînent une modification de la cinématique qui serait à l’origine de la douleur.D’un point de vue clinique, nous retrouverons dans nos cabinets une majorité de tendinopathies d’Achille liées à un effondrement du membre inférieur avec augmentation de la flexion dorsale en phase d’appui et/ou une surutilisation, surcharge d’entraînement sur une attaque sur l’avant du pied (avant-pied ou mi-pied) dans un contexte de changement récent de foulée avec une possible faiblesse de la loge postérieure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94299 [article] Cheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge [texte imprimé] / Cédric Robert . - 2021 . - p. 37-42. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 37-42 Mots-clés : Course à pied  Cheville  tendon d’Achille Résumé : Entre 8 et 13 millions de français pratiquent la course à pied de façon régulière. 26 % des hommes et 19 % des femmes se blesseront à la cheville et au pied [1, 2]. Nous retrouverons des tendinopathies d’Achille que nous observerons particulièrement au cours de cet article mais aussi des fasciapathies plantaires et majoritairement des lésions du triceps.Y A-T-IL UN LIEN ENTRE LES PATHOLOGIES DE CHEVILLE, PRINCIPALEMENT LES TENDINOPATHIES D'ACHILLE ET LEUR ÉVOLUTION DANS LE PLAN SAGITTAL COURS DU CYCLE DE FOULÉE ?Cook et Purdam [3] ont avancé l’idée que les compressions du tendon en dorsiflexion pouvaient être un facteur de risque des tendinopathies d’Achille. C’est une situation que nous pourrions retrouver surtout lors de la phase d’appui sur des patients en situation « d’effondrement » du membre inférieur où la cheville va être au-delà de 25° de flexion dorsale.En 2016, Willy et al. [4] mettent en avant que les contraintes maximales se font au pic de dorsiflexion et non lors de la propulsion.L’argument de l’excès de dorsiflexion est pondéré par les revues de littératures de van der Vlist et al. en 2019 [5] et celle de Sancho et al. également en 2019 [6] qui ont des doutes sur cet argument mais mettent en avant moins de propulsion à la course, moins de vitesse de dorsiflexion, moins de contraction de la loge postérieure.Nous ne savons pas encore bien si la douleur entraîne une limitation de la contraction de la loge postérieure de jambe, ou que la faiblesse de la loge postérieure entraînent une modification de la cinématique qui serait à l’origine de la douleur.D’un point de vue clinique, nous retrouverons dans nos cabinets une majorité de tendinopathies d’Achille liées à un effondrement du membre inférieur avec augmentation de la flexion dorsale en phase d’appui et/ou une surutilisation, surcharge d’entraînement sur une attaque sur l’avant du pied (avant-pied ou mi-pied) dans un contexte de changement récent de foulée avec une possible faiblesse de la loge postérieure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94299

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Examen clinique et prise en charge de l'entorse récente de cheville Accès direct et parcours de soins / Brice Picot in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 31-36 Titre : Examen clinique et prise en charge de l'entorse récente de cheville Accès direct et parcours de soins Type de document : texte imprimé Auteurs : Brice Picot Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 31-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cheville  Entorse de la cheville  examen clinique Résumé : L’entorse latérale de la cheville se définit comme une atteinte ligamentaire touchant principalement le compartiment latéral de la cheville (avec environs 80 % de lésion du ligament talo-fibulaire antérieur). Le mécanisme lésionnel le plus fréquent correspond à une combinaison de supination et de rotation médiale du pied [1]. Ce traumatisme reste à ce jour le plus fréquent avec une incidence est de 6 500 cas par jour en France et 2 millions par an aux États-Unis [2]. Cependant, on estime que ce chiffre est à multiplier par 2 au minimum car la majorité des patients ne consulte pas à la suite de ce traumatisme [3]. Par ailleurs, moins de 10 % des patients qui ont consulté vont suivre une rééducation dans le mois qui suit la blessure [4]. Enfin, la cheville est la région présentant le plus de diagnostics erronés dans les services d’urgences [5]. Le kinésithérapeute à un rôle primordial car il est souvent le premier praticien à intervenir au moment de la blessure notamment dans la pratique sportive. L’objectif de l’examen clinique sur le terrain consiste donc à éliminer la présence de drapeaux rouges (fig. 1) ou de facteurs de gravité pouvant conduire à un pronostic défavorable pour le patient si la lésion n’est pas prise en charge rapidement (fracture, atteinte nerveuse...). Le diagnostic, médical, pourra être posé plus précisément dans un second temps. Dans la mesure où la précision des tests cliniques ligamentaires de la cheville est faible dans les premières heures qui suivent la lésion [3], il est préférable de les reporter (3 à 5 jours) pour définir plus précisément le type (structure(s) ligamentaire(s) touchée(s) et la gravité de la lésion (Grades 1 à 3). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94303 [article] Examen clinique et prise en charge de l'entorse récente de cheville Accès direct et parcours de soins [texte imprimé] / Brice Picot . - 2021 . - p. 31-36. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 31-36 Mots-clés : Cheville  Entorse de la cheville  examen clinique Résumé : L’entorse latérale de la cheville se définit comme une atteinte ligamentaire touchant principalement le compartiment latéral de la cheville (avec environs 80 % de lésion du ligament talo-fibulaire antérieur). Le mécanisme lésionnel le plus fréquent correspond à une combinaison de supination et de rotation médiale du pied [1]. Ce traumatisme reste à ce jour le plus fréquent avec une incidence est de 6 500 cas par jour en France et 2 millions par an aux États-Unis [2]. Cependant, on estime que ce chiffre est à multiplier par 2 au minimum car la majorité des patients ne consulte pas à la suite de ce traumatisme [3]. Par ailleurs, moins de 10 % des patients qui ont consulté vont suivre une rééducation dans le mois qui suit la blessure [4]. Enfin, la cheville est la région présentant le plus de diagnostics erronés dans les services d’urgences [5]. Le kinésithérapeute à un rôle primordial car il est souvent le premier praticien à intervenir au moment de la blessure notamment dans la pratique sportive. L’objectif de l’examen clinique sur le terrain consiste donc à éliminer la présence de drapeaux rouges (fig. 1) ou de facteurs de gravité pouvant conduire à un pronostic défavorable pour le patient si la lésion n’est pas prise en charge rapidement (fracture, atteinte nerveuse...). Le diagnostic, médical, pourra être posé plus précisément dans un second temps. Dans la mesure où la précision des tests cliniques ligamentaires de la cheville est faible dans les premières heures qui suivent la lésion [3], il est préférable de les reporter (3 à 5 jours) pour définir plus précisément le type (structure(s) ligamentaire(s) touchée(s) et la gravité de la lésion (Grades 1 à 3). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94303

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Examen, diagnostic et traitement (de l'entorse et) de l'instabilité chronique de cheville / François Fourchet in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 25-29 Titre : Examen, diagnostic et traitement (de l'entorse et) de l'instabilité chronique de cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : François Fourchet Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 25-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Instabilité articulaire  Cheville  Entorse de la cheville  Diagnostic Résumé : L’entorse latérale de la cheville (ELC) compte parmi les blessures les plus courantes dans la population générale et constitue la blessure la plus fréquemment rapportée par les sportifs en compétition [1, 2]. On évoque classiquement les chiffres de 6 500 cas par jour en France, ce qui représente quasiment 2,5 millions par an..., sachant que probablement environ un patient sur deux ne rentre pas dans le système de soins pour cette pathologie trop banalisée. Nous pourrions donc sans doute doubler ces estimations. La prévalence des ELC, associée à des taux élevés de récidives, de symptômes persistants, la détérioration des capacités fonctionnelles de la cheville rapportée par le patient et les séquelles à long terme constituent un réel problème de Santé publique. Ceci se concrétise dans le concept d’instabilité chronique de la cheville (ICC) : état caractérisé par des épisodes répétitifs d’entorses ou de dérobement, des symptômes permanents tels que la douleur, la faiblesse ou la réduction de l'amplitude de mouvement de la cheville, une diminution de la fonction auto-rapportée... et des entorses récurrentes de la cheville qui persistent pendant plus d'un an après la blessure initiale. Le modèle de l’instabilité de cheville a été récemment remis à jour par Hertel et al. et une adaptation en français est disponible à la figure 1 [1]. Des critères diagnostiques spécifiques pour l'ICC ont été recommandés par l'International Ankle Consortium (IAC) et sont résumés dans le tableau I. Ils correspondent aux critères d’inclusion de patients souffrant d’ICC dans des études scientifiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94304 [article] Examen, diagnostic et traitement (de l'entorse et) de l'instabilité chronique de cheville [texte imprimé] / François Fourchet . - 2021 . - p. 25-29. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 25-29 Mots-clés : Instabilité articulaire  Cheville  Entorse de la cheville  Diagnostic Résumé : L’entorse latérale de la cheville (ELC) compte parmi les blessures les plus courantes dans la population générale et constitue la blessure la plus fréquemment rapportée par les sportifs en compétition [1, 2]. On évoque classiquement les chiffres de 6 500 cas par jour en France, ce qui représente quasiment 2,5 millions par an..., sachant que probablement environ un patient sur deux ne rentre pas dans le système de soins pour cette pathologie trop banalisée. Nous pourrions donc sans doute doubler ces estimations. La prévalence des ELC, associée à des taux élevés de récidives, de symptômes persistants, la détérioration des capacités fonctionnelles de la cheville rapportée par le patient et les séquelles à long terme constituent un réel problème de Santé publique. Ceci se concrétise dans le concept d’instabilité chronique de la cheville (ICC) : état caractérisé par des épisodes répétitifs d’entorses ou de dérobement, des symptômes permanents tels que la douleur, la faiblesse ou la réduction de l'amplitude de mouvement de la cheville, une diminution de la fonction auto-rapportée... et des entorses récurrentes de la cheville qui persistent pendant plus d'un an après la blessure initiale. Le modèle de l’instabilité de cheville a été récemment remis à jour par Hertel et al. et une adaptation en français est disponible à la figure 1 [1]. Des critères diagnostiques spécifiques pour l'ICC ont été recommandés par l'International Ankle Consortium (IAC) et sont résumés dans le tableau I. Ils correspondent aux critères d’inclusion de patients souffrant d’ICC dans des études scientifiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94304

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La rééducation de la cheville en pleine mutation / Stéphane Fabri in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 1 Titre : La rééducation de la cheville en pleine mutation Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Fabri Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94308 [article] La rééducation de la cheville en pleine mutation [texte imprimé] / Stéphane Fabri . - 2021 . - p. 1. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 1 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94308

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Le périnée féminin dans le handball / Marion Pelmoine in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 43-46 Titre : Le périnée féminin dans le handball Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Pelmoine ; Franck Lagniaux Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 43-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : Périnée  HANDBALL Résumé : Lors de la pratique du handball, la mobilisation de l’ensemble des structures articulaires, musculaires et mentales sont une nécessité. Cependant, on constate que certaines zones du corps restent à l’écart des préoccupations. Parmi celle-ci, on retrouve le muscle transverse et l’ensemble du plancher pelvien. De nos jours, les langues se délient, et nous découvrons de plus en plus les faiblesses de cette zone taboue. L’incontinence urinaire touche une femme sur 5. Le taux de l’incontinence urinaire à l’effort (IUE) est de l’ordre de 48 % [1]. Dans le handball, l’incidence est encore plus importante car elle touche une femme sur 2, même nullipare. Le masseur-kinésithérapeute, de par sa proximité avec l’athlète, reste un interlocuteur privilégié. Souvent confident, il occupe une posture importante d’éducateur en santé. Fort de ces constatations, il a été mis en place une étude longitudinale sous forme de questionnaire afin d’identifier les savoirs exprimés des handballeuses sur cette thématique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94309 [article] Le périnée féminin dans le handball [texte imprimé] / Marion Pelmoine ; Franck Lagniaux . - 2021 . - p. 43-46. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 43-46 Mots-clés : Périnée  HANDBALL Résumé : Lors de la pratique du handball, la mobilisation de l’ensemble des structures articulaires, musculaires et mentales sont une nécessité. Cependant, on constate que certaines zones du corps restent à l’écart des préoccupations. Parmi celle-ci, on retrouve le muscle transverse et l’ensemble du plancher pelvien. De nos jours, les langues se délient, et nous découvrons de plus en plus les faiblesses de cette zone taboue. L’incontinence urinaire touche une femme sur 5. Le taux de l’incontinence urinaire à l’effort (IUE) est de l’ordre de 48 % [1]. Dans le handball, l’incidence est encore plus importante car elle touche une femme sur 2, même nullipare. Le masseur-kinésithérapeute, de par sa proximité avec l’athlète, reste un interlocuteur privilégié. Souvent confident, il occupe une posture importante d’éducateur en santé. Fort de ces constatations, il a été mis en place une étude longitudinale sous forme de questionnaire afin d’identifier les savoirs exprimés des handballeuses sur cette thématique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94309

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Migraines et céphalées de tension : traitement non médicamenteux sur des preuves (2e partie) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 47-49 Titre : Migraines et céphalées de tension : traitement non médicamenteux sur des preuves (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 47-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Migraines  Céphalée  Acupuncture  Biofeedback  electrostimulation  Dry Needling Résumé : Pendant les séances de thérapie manuelle, un traitement multimodal sera proposé par le praticien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94315 [article] Migraines et céphalées de tension : traitement non médicamenteux sur des preuves (2e partie) [texte imprimé] / Pascal Pommerol . - 2021 . - p. 47-49. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 47-49 Mots-clés : Migraines  Céphalée  Acupuncture  Biofeedback  electrostimulation  Dry Needling Résumé : Pendant les séances de thérapie manuelle, un traitement multimodal sera proposé par le praticien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94315

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Prise en charge podologique de l'instabilité chronique de cheville / Arnaud Foisy in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 11-23 Titre : Prise en charge podologique de l'instabilité chronique de cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Foisy Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 11-23 Langues : Français (fre) Mots-clés : controle postural  Instabilité articulaire  Cheville  Podologie  pied valgus  orthèse plantaire Résumé : L’instabilité chronique de cheville (ICC) se définit comme l’occurrence d’au moins une entorse externe de la cheville suivie d’au moins une répétition. Elle s’accompagne d’une sensation d’insécurité à la marche ou à la course et parfois de douleurs, même en dehors des épisodes d’entorse [1-3]. Les conséquences sur la qualité de vie peuvent être importantes, avec des effets délétères sur la santé à long terme [4]. Une revue récente de la littérature conclue que la douleur, la laxité, l’altération de la proprioception et de la stabilité peuvent être présentes un an après l’entorse [5]. L’ICC oblige à adapter les stratégies motrices, notamment pour les mouvements d’atteinte antérieure, avec davantage de mouvements des chevilles, des hanches et du tronc dans les plans frontal et transversal [6]. On note également une altération de la coordination cheville-genou-hanche et de la temporalité de l’activité des muscles de la cheville [7]. De nombreuses études montrent que l’ICC s’accompagne d’une augmentation du risque de récidives d’entorses [8-13], et du risque d’arthrose de l’arrière pied [14]. Nous présenterons d’abord l’état actuel des connaissances sur la physiopathologie de l’ICC, avant d’aborder les moyens diagnostiques et thérapeutiques utilisés (ou utilisables) en podologie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94320 [article] Prise en charge podologique de l'instabilité chronique de cheville [texte imprimé] / Arnaud Foisy . - 2021 . - p. 11-23. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 11-23 Mots-clés : controle postural  Instabilité articulaire  Cheville  Podologie  pied valgus  orthèse plantaire Résumé : L’instabilité chronique de cheville (ICC) se définit comme l’occurrence d’au moins une entorse externe de la cheville suivie d’au moins une répétition. Elle s’accompagne d’une sensation d’insécurité à la marche ou à la course et parfois de douleurs, même en dehors des épisodes d’entorse [1-3]. Les conséquences sur la qualité de vie peuvent être importantes, avec des effets délétères sur la santé à long terme [4]. Une revue récente de la littérature conclue que la douleur, la laxité, l’altération de la proprioception et de la stabilité peuvent être présentes un an après l’entorse [5]. L’ICC oblige à adapter les stratégies motrices, notamment pour les mouvements d’atteinte antérieure, avec davantage de mouvements des chevilles, des hanches et du tronc dans les plans frontal et transversal [6]. On note également une altération de la coordination cheville-genou-hanche et de la temporalité de l’activité des muscles de la cheville [7]. De nombreuses études montrent que l’ICC s’accompagne d’une augmentation du risque de récidives d’entorses [8-13], et du risque d’arthrose de l’arrière pied [14]. Nous présenterons d’abord l’état actuel des connaissances sur la physiopathologie de l’ICC, avant d’aborder les moyens diagnostiques et thérapeutiques utilisés (ou utilisables) en podologie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94320

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Quelle correspondance entre le complexe pied-cheville et le lombalgique chronique ? / Stéphane Fabri in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 4-10 Titre : Quelle correspondance entre le complexe pied-cheville et le lombalgique chronique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Fabri Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgie  Cheville  Pied  rééducation Résumé : La prise en charge de la lombalgie chronique en rééducation est complexe. Il existe de nombreuses approches qui semblent efficaces mais trop souvent empiriques avec une absence de preuve scientifi que.Les approches globales qui prennent en considération le pied et la cheville peuvent s’expliquer tant sur le plan mécanique, par l’alignement des segments les uns par rapport aux autres, que sur le plan neurophysiologique par les phénomènes de régression de la régulation posturale.Dans la lombalgie chronique, il faut aussi appréhender les nouveaux concepts de « pathologie douloureuse d’origine centrale », à la diff érence de la « douleur symptôme ». Cela considère l’importance des mécanismes de blocage de la douleur où la somesthésie du pied et de la cheville prennent une place prépondérante. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94321 [article] Quelle correspondance entre le complexe pied-cheville et le lombalgique chronique ? [texte imprimé] / Stéphane Fabri . - 2021 . - p. 4-10. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 4-10 Mots-clés : Lombalgie  Cheville  Pied  rééducation Résumé : La prise en charge de la lombalgie chronique en rééducation est complexe. Il existe de nombreuses approches qui semblent efficaces mais trop souvent empiriques avec une absence de preuve scientifi que.Les approches globales qui prennent en considération le pied et la cheville peuvent s’expliquer tant sur le plan mécanique, par l’alignement des segments les uns par rapport aux autres, que sur le plan neurophysiologique par les phénomènes de régression de la régulation posturale.Dans la lombalgie chronique, il faut aussi appréhender les nouveaux concepts de « pathologie douloureuse d’origine centrale », à la diff érence de la « douleur symptôme ». Cela considère l’importance des mécanismes de blocage de la douleur où la somesthésie du pied et de la cheville prennent une place prépondérante. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94321

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Troubles musculo-squelettiques chez les instrumentistes à vent / Céleste Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 51-55 Titre : Troubles musculo-squelettiques chez les instrumentistes à vent Type de document : texte imprimé Auteurs : Céleste Rousseau Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : musicien  Posture  troubles musculo-squelettiques Résumé : La pratique régulière et intensive d’un instrument de musique, que ce soit à un niveau professionnel ou juste pour son plaisir, applique sur le corps différentes contraintes, parfois relativement importantes tant du fait de la posture que du poids de l’instrument [1]. Les troubles musculo-squelettiques liés à la pratique instrumentale ont été définis en 1998 par tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. », en excluant les symptômes légers et transitoires qui n’affecteraient pas le jeu instrumental [2].De nombreux facteurs de risques de développement de blessures ou de pathologies chez les musiciens ont été décrits dans la littérature. La plupart de ces derniers s’appliquent aux instrumentistes à vent et seront discutés plus tard dans cet article.Afin que nous puissions parler des mêmes choses, le tableau I reprend les différents instruments à vent les plus fréquemment observés et investigués dans la littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94322 [article] Troubles musculo-squelettiques chez les instrumentistes à vent [texte imprimé] / Céleste Rousseau . - 2021 . - p. 51-55. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 51-55 Mots-clés : musicien  Posture  troubles musculo-squelettiques Résumé : La pratique régulière et intensive d’un instrument de musique, que ce soit à un niveau professionnel ou juste pour son plaisir, applique sur le corps différentes contraintes, parfois relativement importantes tant du fait de la posture que du poids de l’instrument [1]. Les troubles musculo-squelettiques liés à la pratique instrumentale ont été définis en 1998 par tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. », en excluant les symptômes légers et transitoires qui n’affecteraient pas le jeu instrumental [2].De nombreux facteurs de risques de développement de blessures ou de pathologies chez les musiciens ont été décrits dans la littérature. La plupart de ces derniers s’appliquent aux instrumentistes à vent et seront discutés plus tard dans cet article.Afin que nous puissions parler des mêmes choses, le tableau I reprend les différents instruments à vent les plus fréquemment observés et investigués dans la littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94322

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