Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h30-16h30
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Histoire des savoirs et des pratiques en kinésithérapie / Rémi Remondière in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.34, n°1 ([01/05/2021])
[article]
Titre : Histoire des savoirs et des pratiques en kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Rémi Remondière Année de publication : 2021 Article en page(s) : 26-005-A-20 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Massage Gymnastique médicale Histoire de la kinésithérapie Résumé : Héritée de la médecine grecque et romaine, la kinésithérapie, y compris le massage, tire ses origines d'un ensemble composite de connaissances appartenant aux savoirs populaires, à la physiologie des êtres vivants, ainsi qu'aux pratiques sportives. Le massage, la gymnastique médicale, la balnéothérapie et l'électrothérapie en sont les composantes de base tout comme leurs variantes. Chacune d'entre elles a fait l'objet d'une expérimentation médicale, afin d'apporter des preuves tangibles d'efficacité dans un corpus qui deviendra officiellement la kinésithérapie. Et elle est un ensemble de pratiques orientées vers la restauration des capacités physiologiques déficitaires des individus, dont les médecins ont favorisé la connaissance. Son succès s'est trouvé confirmé lors de la Première Guerre mondiale et sa prescription lui aura permis de se faire connaître, puis reconnaître par le public. Les masseurs médicaux, qui restent silencieux sur leurs pratiques en attente d'officialisation jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale, gagnent progressivement en notoriété lorsqu'ils sont confrontés aux gymnastes médicaux et aux professeurs d'éducation physique ; ils défendent leur pratique manuelle à caractère médical qui associe spontanément le mouvement face à ceux qui prônent le développement de l'individu en dehors de toute pathologie. En l'espace d'une trentaine d'années, elle est passée de pratique combattue à pratique convoitée. En 1946, elle est restituée officiellement aux masseurs et elle est dorénavant soumise au contrôle médical. Cette même année, les masseurs médicaux fusionnent avec les gymnastes médicaux, plus faibles en nombre, mais chacun souhaitant garder sa spécificité. La nouvelle profession ainsi créée sera celle de masseur-kinésithérapeute, héritière des prérogatives des masseurs. Désormais, la kinésithérapie, qui est ancrée dans le domaine médical, évolue selon les progrès médicaux et scientifique et cette profession reste conforme à l'image de la médecine, à laquelle elle voue un attachement indéfectible. La formation devenue tardivement universitaire est une preuve d'évolution dans laquelle la tradition s'estompe régulièrement laissant place aux apports scientifiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94294
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34, n°1 [01/05/2021] . - 26-005-A-20 [Tome 1][article] Histoire des savoirs et des pratiques en kinésithérapie [texte imprimé] / Rémi Remondière . - 2021 . - 26-005-A-20 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34, n°1 [01/05/2021] . - 26-005-A-20 [Tome 1]
Mots-clés : Massage Gymnastique médicale Histoire de la kinésithérapie Résumé : Héritée de la médecine grecque et romaine, la kinésithérapie, y compris le massage, tire ses origines d'un ensemble composite de connaissances appartenant aux savoirs populaires, à la physiologie des êtres vivants, ainsi qu'aux pratiques sportives. Le massage, la gymnastique médicale, la balnéothérapie et l'électrothérapie en sont les composantes de base tout comme leurs variantes. Chacune d'entre elles a fait l'objet d'une expérimentation médicale, afin d'apporter des preuves tangibles d'efficacité dans un corpus qui deviendra officiellement la kinésithérapie. Et elle est un ensemble de pratiques orientées vers la restauration des capacités physiologiques déficitaires des individus, dont les médecins ont favorisé la connaissance. Son succès s'est trouvé confirmé lors de la Première Guerre mondiale et sa prescription lui aura permis de se faire connaître, puis reconnaître par le public. Les masseurs médicaux, qui restent silencieux sur leurs pratiques en attente d'officialisation jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale, gagnent progressivement en notoriété lorsqu'ils sont confrontés aux gymnastes médicaux et aux professeurs d'éducation physique ; ils défendent leur pratique manuelle à caractère médical qui associe spontanément le mouvement face à ceux qui prônent le développement de l'individu en dehors de toute pathologie. En l'espace d'une trentaine d'années, elle est passée de pratique combattue à pratique convoitée. En 1946, elle est restituée officiellement aux masseurs et elle est dorénavant soumise au contrôle médical. Cette même année, les masseurs médicaux fusionnent avec les gymnastes médicaux, plus faibles en nombre, mais chacun souhaitant garder sa spécificité. La nouvelle profession ainsi créée sera celle de masseur-kinésithérapeute, héritière des prérogatives des masseurs. Désormais, la kinésithérapie, qui est ancrée dans le domaine médical, évolue selon les progrès médicaux et scientifique et cette profession reste conforme à l'image de la médecine, à laquelle elle voue un attachement indéfectible. La formation devenue tardivement universitaire est une preuve d'évolution dans laquelle la tradition s'estompe régulièrement laissant place aux apports scientifiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94294 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Physiopathologie de l'arthrose / C.H. Roux in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.34, n°1 ([01/05/2021])
[article]
Titre : Physiopathologie de l'arthrose Type de document : texte imprimé Auteurs : C.H. Roux Année de publication : 2021 Article en page(s) : 26-007-D-40 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrose Cartilage Protéases Inflammation Facteurs mécaniques Synoviale Chondrocyte Facteurs de croissance Facteurs cataboliques Génétique Épigénétique Apoptose Autophagie Microcristaux Résumé : Les facteurs de risque de l'arthrose sont nombreux : âge, sexe féminin, facteurs hormonaux, facteurs génétiques, facteurs ethniques, densité minérale osseuse élevée, anomalies architecturales des articulations, traumatismes, surpoids, faiblesse musculaire, laxité articulaire, activité sportive excessive, certaines professions, tabagisme, chondrocalcinose articulaire, etc. Le poids de chacun de ces facteurs varie d'une articulation à l'autre. L'arthrose est une maladie d'un organe : l'articulation. Toutes les structures sont concernées, que ce soit le cartilage, le tissu synovial, l'os sous-chondral, les ligaments, les muscles ou encore les tendons. Les mécanismes généraux font intervenir des facteurs cataboliques : protéases (métalloprotéases [MMP], collagénases, stromélysines, gélatinases, métalloprotéinases membranaires, adamalysines), sérine-protéases, thiol-protéases, ainsi que d'autres tels que fibronectine, neuromédiateurs (leptine, neuropeptides, fragments cataboliques), cytokines inflammatoires (interleukine [IL]-1, IL-6, IL-17, IL-18, tumor necrosis factor, chimiokines), oxyde nitrique, dérivés réactifs de l'oxygène, calpaïne, eicosanoïdes et lipides, etc. Leurs effets sont équilibrés par des facteurs anaboliques : facteurs de croissance (transforming growth factor [TGF], insulin growth factor 1, connective-tissue growth factor, hepatocyte growth factor [HGF], fibroblast growth factors [FGF], tissue inhibitor metallo proteases, histone désacétylases, vaso intestinal peptide [VIP], sulfatases extracellulaires, cytokines anti-inflammatoires, etc.) avec l'intervention de nombreuses voies de signalisation : mitogen-activated protein (MAP)-kinases, nuclear factor kappa B (NF- B), voies de l'apoptose, TGF-β/bone morphogenic protein (BMP), Wnt, Hedgehog ou encore Notch, Janus kinases (JAK)/signal transducers and activators of transcription (STAT), etc. Le cartilage est le principal tissu cible avec des modifications de la matrice extracellulaire et des chondrocytes. Mais sont aussi présentes des anomalies des ligaments et des ménisques, de l'os sous-chondral (pour certains initiales), un os nouveau (l'ostéophyte), une atteinte synoviale, une atteinte des muscles, de la bourse sous-rotulienne au genou, de vaisseaux et de nerfs, etc. L'arthrose est une maladie inflammatoire de bas grade à laquelle concourent différents facteurs dont l'âge et le syndrome métabolique qui est souvent associé. L'état inflammatoire est attesté par la présence d'une synovite inflammatoire limitée, des anomalies de l'immunité innée, du complément, des protéines de la phase aiguë, et l'intervention de nombreux médiateurs inflammatoires. Des facteurs mécaniques interviennent aussi avec un double effet : bénéfique pour les stress physiologiques, néfaste pour les stress excessifs et l'immobilisation. Le poids de la génétique est évident, surtout pour certaines localisations, avec une place importante pour l'épigénétique dont le rôle commence à être mieux compris. L'arthrose est aussi une maladie systémique de l'obèse avec intervention particulièrement d'adipokines et d'anomalies lipidiques. Elle s'accompagne d'éléments témoignant d'une sénescence cellulaire, d'anomalies de l'apoptose et de l'autophagie, avec aussi des arguments pour une combinaison avec une pathologie microcristalline. La physiopathologie de l'arthrose est donc complexe, il est désormais clair que la maladie n'est pas seulement une affection dégénérative du cartilage. Les progrès réalisés ont permis l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques spécifiques, mais d'autres restent à découvrir. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94295
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34, n°1 [01/05/2021] . - 26-007-D-40 [Tome 1][article] Physiopathologie de l'arthrose [texte imprimé] / C.H. Roux . - 2021 . - 26-007-D-40 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34, n°1 [01/05/2021] . - 26-007-D-40 [Tome 1]
Mots-clés : Arthrose Cartilage Protéases Inflammation Facteurs mécaniques Synoviale Chondrocyte Facteurs de croissance Facteurs cataboliques Génétique Épigénétique Apoptose Autophagie Microcristaux Résumé : Les facteurs de risque de l'arthrose sont nombreux : âge, sexe féminin, facteurs hormonaux, facteurs génétiques, facteurs ethniques, densité minérale osseuse élevée, anomalies architecturales des articulations, traumatismes, surpoids, faiblesse musculaire, laxité articulaire, activité sportive excessive, certaines professions, tabagisme, chondrocalcinose articulaire, etc. Le poids de chacun de ces facteurs varie d'une articulation à l'autre. L'arthrose est une maladie d'un organe : l'articulation. Toutes les structures sont concernées, que ce soit le cartilage, le tissu synovial, l'os sous-chondral, les ligaments, les muscles ou encore les tendons. Les mécanismes généraux font intervenir des facteurs cataboliques : protéases (métalloprotéases [MMP], collagénases, stromélysines, gélatinases, métalloprotéinases membranaires, adamalysines), sérine-protéases, thiol-protéases, ainsi que d'autres tels que fibronectine, neuromédiateurs (leptine, neuropeptides, fragments cataboliques), cytokines inflammatoires (interleukine [IL]-1, IL-6, IL-17, IL-18, tumor necrosis factor, chimiokines), oxyde nitrique, dérivés réactifs de l'oxygène, calpaïne, eicosanoïdes et lipides, etc. Leurs effets sont équilibrés par des facteurs anaboliques : facteurs de croissance (transforming growth factor [TGF], insulin growth factor 1, connective-tissue growth factor, hepatocyte growth factor [HGF], fibroblast growth factors [FGF], tissue inhibitor metallo proteases, histone désacétylases, vaso intestinal peptide [VIP], sulfatases extracellulaires, cytokines anti-inflammatoires, etc.) avec l'intervention de nombreuses voies de signalisation : mitogen-activated protein (MAP)-kinases, nuclear factor kappa B (NF- B), voies de l'apoptose, TGF-β/bone morphogenic protein (BMP), Wnt, Hedgehog ou encore Notch, Janus kinases (JAK)/signal transducers and activators of transcription (STAT), etc. Le cartilage est le principal tissu cible avec des modifications de la matrice extracellulaire et des chondrocytes. Mais sont aussi présentes des anomalies des ligaments et des ménisques, de l'os sous-chondral (pour certains initiales), un os nouveau (l'ostéophyte), une atteinte synoviale, une atteinte des muscles, de la bourse sous-rotulienne au genou, de vaisseaux et de nerfs, etc. L'arthrose est une maladie inflammatoire de bas grade à laquelle concourent différents facteurs dont l'âge et le syndrome métabolique qui est souvent associé. L'état inflammatoire est attesté par la présence d'une synovite inflammatoire limitée, des anomalies de l'immunité innée, du complément, des protéines de la phase aiguë, et l'intervention de nombreux médiateurs inflammatoires. Des facteurs mécaniques interviennent aussi avec un double effet : bénéfique pour les stress physiologiques, néfaste pour les stress excessifs et l'immobilisation. Le poids de la génétique est évident, surtout pour certaines localisations, avec une place importante pour l'épigénétique dont le rôle commence à être mieux compris. L'arthrose est aussi une maladie systémique de l'obèse avec intervention particulièrement d'adipokines et d'anomalies lipidiques. Elle s'accompagne d'éléments témoignant d'une sénescence cellulaire, d'anomalies de l'apoptose et de l'autophagie, avec aussi des arguments pour une combinaison avec une pathologie microcristalline. La physiopathologie de l'arthrose est donc complexe, il est désormais clair que la maladie n'est pas seulement une affection dégénérative du cartilage. Les progrès réalisés ont permis l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques spécifiques, mais d'autres restent à découvrir. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94295 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Vertige positionnel paroxystique bénin / M. Toupet in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.34, n°1 ([01/05/2021])
[article]
Titre : Vertige positionnel paroxystique bénin Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Toupet ; C. Bouchot ; F. Buraux Année de publication : 2021 Article en page(s) : 26-099-A-10 [Tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Vertige positionnel paroxystique bénin (VPPB) Otolithes Cupulolithiase Canalolithiase Manœuvre diagnostique Manœuvre thérapeutique Résumé : Le vertige positionnel paroxystique bénin représente un tiers de tous les cas de vertiges, ce qui représente 1 % de la pratique d'un médecin généraliste. C'est un vertige rotatoire vrai déclenché par les changements de position de la tête, qui dure moins de 30 secondes, isolé de tout signe auditif et de tout signe neurologique (avant tout pas de céphalées). Il est dû à un déplacement d'un dépôt d'otolithes dans un des canaux semi-circulaires du vestibule de l'oreille interne. Dans 89 % des cas, il s'agit du canal postérieur, dans 10 % des cas du canal latéral et dans 1 % des cas du canal antérieur. Une manœuvre thérapeutique différente pour chaque canal fait sortir le dépôt d'otolithes et permet de guérir le patient (le plus souvent immédiatement). Le diagnostic différentiel doit être fait avec des migraines vestibulaires et de rares cas de lésions de la fosse postérieure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94296
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34, n°1 [01/05/2021] . - 26-099-A-10 [Tome 2][article] Vertige positionnel paroxystique bénin [texte imprimé] / M. Toupet ; C. Bouchot ; F. Buraux . - 2021 . - 26-099-A-10 [Tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34, n°1 [01/05/2021] . - 26-099-A-10 [Tome 2]
Mots-clés : Vertige positionnel paroxystique bénin (VPPB) Otolithes Cupulolithiase Canalolithiase Manœuvre diagnostique Manœuvre thérapeutique Résumé : Le vertige positionnel paroxystique bénin représente un tiers de tous les cas de vertiges, ce qui représente 1 % de la pratique d'un médecin généraliste. C'est un vertige rotatoire vrai déclenché par les changements de position de la tête, qui dure moins de 30 secondes, isolé de tout signe auditif et de tout signe neurologique (avant tout pas de céphalées). Il est dû à un déplacement d'un dépôt d'otolithes dans un des canaux semi-circulaires du vestibule de l'oreille interne. Dans 89 % des cas, il s'agit du canal postérieur, dans 10 % des cas du canal latéral et dans 1 % des cas du canal antérieur. Une manœuvre thérapeutique différente pour chaque canal fait sortir le dépôt d'otolithes et permet de guérir le patient (le plus souvent immédiatement). Le diagnostic différentiel doit être fait avec des migraines vestibulaires et de rares cas de lésions de la fosse postérieure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94296 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire