Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.34, n°4Paru le : 01/10/2020 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierMéthodes d'exploration du métabolisme du calcium et du phosphate / C. Cormier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Méthodes d'exploration du métabolisme du calcium et du phosphate Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Cormier ; E. Koumakis Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-002-C-10 [Tome 1] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)70452-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Calcium Phosphate Hormone parathyroïdienne Vitamine D FGF23 Marqueurs osseux tests dynamiques Tests génétiques Résumé : L'exploration du métabolisme du calcium et du phosphate est réalisée en présence de symptômes évocateurs d'anomalies de la concentration sérique de calcium et de phosphate, de lithiases rénales, dans l'exploration des ostéopathies fragilisantes et devant des calcifications des tissus mous, articulaires ou extra-articulaires. Peuvent être trouvées une ou plusieurs anomalies de la calcémie, de la phosphatémie, de la calciurie, de la phosphaturie, de l'hormone parathyroïdienne et des métabolites de la vitamine D. Une bonne interprétation de l'association de différentes anomalies par une démarche utilisant graduellement les divers outils tels que les paramètres phosphocalciques de base sanguins et urinaires, les hormones calciotropes et les hormones régulant l'homéostasie du phosphate, les marqueurs du remodelage osseux, les tests dynamiques et des recherches génétiques ciblées permet des diagnostics de certitude. Cette bonne interprétation est liée à une bonne connaissance de l'homéostasie du calcium et du phosphate, des contraintes analytiques des divers dosages disponibles en pratique courante et des possibilités d'exploration dans des structures spécialisées. Une anomalie isolée ou des anomalies complexes chroniques non expliquées peuvent être explorées dans des structures spécialisées permettant de réaliser des tests dynamiques et des recherches génétiques. Des prises en charge adaptées au diagnostic du trouble du métabolisme phosphocalcique sont alors possibles. L'efficacité de thérapeutiques médicamenteuses ou chirurgicales de prévention de récidive de lithiase rénale, de fracture, de signe d'ostéomalacie est alors au mieux obtenue grâce à des thérapeutiques ciblées sur la cause et non sur le symptôme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93087
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-002-C-10 [Tome 1][article] Méthodes d'exploration du métabolisme du calcium et du phosphate [texte imprimé] / C. Cormier ; E. Koumakis . - 2020 . - 14-002-C-10 [Tome 1].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)70452-3
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-002-C-10 [Tome 1]
Mots-clés : Calcium Phosphate Hormone parathyroïdienne Vitamine D FGF23 Marqueurs osseux tests dynamiques Tests génétiques Résumé : L'exploration du métabolisme du calcium et du phosphate est réalisée en présence de symptômes évocateurs d'anomalies de la concentration sérique de calcium et de phosphate, de lithiases rénales, dans l'exploration des ostéopathies fragilisantes et devant des calcifications des tissus mous, articulaires ou extra-articulaires. Peuvent être trouvées une ou plusieurs anomalies de la calcémie, de la phosphatémie, de la calciurie, de la phosphaturie, de l'hormone parathyroïdienne et des métabolites de la vitamine D. Une bonne interprétation de l'association de différentes anomalies par une démarche utilisant graduellement les divers outils tels que les paramètres phosphocalciques de base sanguins et urinaires, les hormones calciotropes et les hormones régulant l'homéostasie du phosphate, les marqueurs du remodelage osseux, les tests dynamiques et des recherches génétiques ciblées permet des diagnostics de certitude. Cette bonne interprétation est liée à une bonne connaissance de l'homéostasie du calcium et du phosphate, des contraintes analytiques des divers dosages disponibles en pratique courante et des possibilités d'exploration dans des structures spécialisées. Une anomalie isolée ou des anomalies complexes chroniques non expliquées peuvent être explorées dans des structures spécialisées permettant de réaliser des tests dynamiques et des recherches génétiques. Des prises en charge adaptées au diagnostic du trouble du métabolisme phosphocalcique sont alors possibles. L'efficacité de thérapeutiques médicamenteuses ou chirurgicales de prévention de récidive de lithiase rénale, de fracture, de signe d'ostéomalacie est alors au mieux obtenue grâce à des thérapeutiques ciblées sur la cause et non sur le symptôme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93087 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Responsabilité médicale en rhumatologie et chirurgie orthopédique / C. Manaouil in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Responsabilité médicale en rhumatologie et chirurgie orthopédique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Manaouil Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-016-D-10 [Tome 1] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)66335-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgien orthopédiste Rhumatologue Infection nosocomiale Pénale Civile Administratif ONIAM Commission de conciliation et d'indemnisation Ordre des médecins Résumé : Nous aborderons les différents types de responsabilité pouvant être mis en cause : la responsabilité pénale qui vise à prononcer une sanction à l'encontre d'un médecin lorsque les faits sont constitutifs d'une infraction prévue par le Code pénal ; la responsabilité ordinale, visant également à prononcer une sanction contre le médecin qui n'a pas respecté la déontologie médicale dont les règles sont intégrées au Code de la santé publique ; la responsabilité civile ou administrative dont l'objet est l'indemnisation d'un patient reconnu victime d'un accident médical fautif. Le médecin n'a pas une obligation de résultat mais une obligation de moyens. Sa responsabilité sera retenue en cas de faute prouvée. Le patient devra démontrer que cette faute est à l'origine du dommage. Il convient également d'étudier le rôle croissant des commissions de conciliation et d'indemnisation et la possibilité d'indemnisation au titre d'un aléa, c'est-à-dire d'un accident médical non fautif. Nous insistons sur l'information du patient et l'indemnisation des infections nosocomiales, dont l'orthopédie est un important pourvoyeur. Le médecin est dispensé de l'obligation d'informer son patient sur les risques inhérents aux investigations ou aux soins qu'il propose en cas d'urgence, d'impossibilité ou de refus du patient d'être informé. Quant aux infections nosocomiales, l'indemnisation repose sur les établissements de santé qui pour s'exonérer, doivent prouver une cause étrangère. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93088
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-016-D-10 [Tome 1][article] Responsabilité médicale en rhumatologie et chirurgie orthopédique [texte imprimé] / C. Manaouil . - 2020 . - 14-016-D-10 [Tome 1].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)66335-5
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-016-D-10 [Tome 1]
Mots-clés : Chirurgien orthopédiste Rhumatologue Infection nosocomiale Pénale Civile Administratif ONIAM Commission de conciliation et d'indemnisation Ordre des médecins Résumé : Nous aborderons les différents types de responsabilité pouvant être mis en cause : la responsabilité pénale qui vise à prononcer une sanction à l'encontre d'un médecin lorsque les faits sont constitutifs d'une infraction prévue par le Code pénal ; la responsabilité ordinale, visant également à prononcer une sanction contre le médecin qui n'a pas respecté la déontologie médicale dont les règles sont intégrées au Code de la santé publique ; la responsabilité civile ou administrative dont l'objet est l'indemnisation d'un patient reconnu victime d'un accident médical fautif. Le médecin n'a pas une obligation de résultat mais une obligation de moyens. Sa responsabilité sera retenue en cas de faute prouvée. Le patient devra démontrer que cette faute est à l'origine du dommage. Il convient également d'étudier le rôle croissant des commissions de conciliation et d'indemnisation et la possibilité d'indemnisation au titre d'un aléa, c'est-à-dire d'un accident médical non fautif. Nous insistons sur l'information du patient et l'indemnisation des infections nosocomiales, dont l'orthopédie est un important pourvoyeur. Le médecin est dispensé de l'obligation d'informer son patient sur les risques inhérents aux investigations ou aux soins qu'il propose en cas d'urgence, d'impossibilité ou de refus du patient d'être informé. Quant aux infections nosocomiales, l'indemnisation repose sur les établissements de santé qui pour s'exonérer, doivent prouver une cause étrangère. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93088 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures du calcanéus / J. Lucas y Hernandez in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Fractures du calcanéus Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Lucas y Hernandez ; M. Helix-Giordanino ; O. Laffenêtre Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-094-A-10 [Tome 3] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42052-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thalamus Articulation talocalcanéenne Cals vicieux thalamiques Cals vicieux calcanéens Arthrodèse talocalcanéenne Résumé : Les fractures du calcanéus représentent 1 à 2 % de l'ensemble des fractures. Elles touchent surtout l'homme jeune (40 ans). Elles se divisent en deux sous-groupes : les fractures thalamiques, touchant l'articulation talocalcanéenne (75 % des cas), et les fractures extrathalamiques, touchant la grosse tubérosité, le processus antérieur ou le sustentaculum tali (25 % des cas). Leur diagnostic, suspecté cliniquement, est affirmé par la radiologie mais surtout par la tomodensitométrie qui devient l'examen incontournable avec ses reconstructions en 3D. Le but du traitement est de prévenir les complications à long terme que sont l'arthrose talocalcanéenne et le cal vicieux extra-articulaire des fractures déplacées, en évitant les problèmes cicatriciels et cutanés. La localisation de la fracture et l'importance de son déplacement permettent de faire le choix entre un traitement chirurgical ou non. Les traitements orthopédiques s'adressent aux fractures peu ou non déplacées, ou aux contre-indications chirurgicales, en gardant à l'esprit qu'un cal vicieux calcanéen (extra-articulaire) conduit à des séquelles graves, et qu'un cal vicieux thalamique (articulaire) entraîne presque constamment une arthrose talocalcanéenne. Au stade séquellaire, le seul traitement d'une arthrose talocalcanéenne symptomatique est l'arthrodèse. Les traitements chirurgicaux se divisent en trois grandes catégories : les ostéosynthèses à foyer fermé (enclouage centromédullaire, relèvement-enclouage associé parfois à un ballon d'expansion sous contrôle radiographique ou un contrôle arthroscopique), les ostéosynthèses à foyer ouvert (voies d'abord latérales élargies ou du sinus du tarse, synthèse a minima par vis et/ou broches, ou par plaques), et l'arthrodèse réalisée d'emblée. Que le traitement soit conservateur ou chirurgical, il faut prévenir le patient qu'une fracture du calcanéus, surtout si elle est articulaire, est une fracture grave ; elle peut entraîner de lourdes séquelles, et son traitement chirurgical par une voie d'abord large latérale peut évoluer vers des problèmes cutanés et infectieux. En conséquence, la surveillance et les suites sont longues, et elles aboutissent parfois à des interventions itératives. Cependant de nouvelles techniques percutanées permettent de diminuer ces risques avec de meilleurs résultats qu'avec un traitement conservateur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93089
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-094-A-10 [Tome 3][article] Fractures du calcanéus [texte imprimé] / J. Lucas y Hernandez ; M. Helix-Giordanino ; O. Laffenêtre . - 2020 . - 14-094-A-10 [Tome 3].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)42052-2
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-094-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Thalamus Articulation talocalcanéenne Cals vicieux thalamiques Cals vicieux calcanéens Arthrodèse talocalcanéenne Résumé : Les fractures du calcanéus représentent 1 à 2 % de l'ensemble des fractures. Elles touchent surtout l'homme jeune (40 ans). Elles se divisent en deux sous-groupes : les fractures thalamiques, touchant l'articulation talocalcanéenne (75 % des cas), et les fractures extrathalamiques, touchant la grosse tubérosité, le processus antérieur ou le sustentaculum tali (25 % des cas). Leur diagnostic, suspecté cliniquement, est affirmé par la radiologie mais surtout par la tomodensitométrie qui devient l'examen incontournable avec ses reconstructions en 3D. Le but du traitement est de prévenir les complications à long terme que sont l'arthrose talocalcanéenne et le cal vicieux extra-articulaire des fractures déplacées, en évitant les problèmes cicatriciels et cutanés. La localisation de la fracture et l'importance de son déplacement permettent de faire le choix entre un traitement chirurgical ou non. Les traitements orthopédiques s'adressent aux fractures peu ou non déplacées, ou aux contre-indications chirurgicales, en gardant à l'esprit qu'un cal vicieux calcanéen (extra-articulaire) conduit à des séquelles graves, et qu'un cal vicieux thalamique (articulaire) entraîne presque constamment une arthrose talocalcanéenne. Au stade séquellaire, le seul traitement d'une arthrose talocalcanéenne symptomatique est l'arthrodèse. Les traitements chirurgicaux se divisent en trois grandes catégories : les ostéosynthèses à foyer fermé (enclouage centromédullaire, relèvement-enclouage associé parfois à un ballon d'expansion sous contrôle radiographique ou un contrôle arthroscopique), les ostéosynthèses à foyer ouvert (voies d'abord latérales élargies ou du sinus du tarse, synthèse a minima par vis et/ou broches, ou par plaques), et l'arthrodèse réalisée d'emblée. Que le traitement soit conservateur ou chirurgical, il faut prévenir le patient qu'une fracture du calcanéus, surtout si elle est articulaire, est une fracture grave ; elle peut entraîner de lourdes séquelles, et son traitement chirurgical par une voie d'abord large latérale peut évoluer vers des problèmes cutanés et infectieux. En conséquence, la surveillance et les suites sont longues, et elles aboutissent parfois à des interventions itératives. Cependant de nouvelles techniques percutanées permettent de diminuer ces risques avec de meilleurs résultats qu'avec un traitement conservateur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93089 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Hallux valgus : définition, physiopathologie, étude clinique et radiographique, principes du traitement / O. Laffenêtre in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Hallux valgus : définition, physiopathologie, étude clinique et radiographique, principes du traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Laffenêtre ; M. Saur ; J. Lucas y Hernandez Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-126-A-10 [Tome 4] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)44032-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Avant-pied Chirurgie de l'hallux valgus Chirurgie percutanée Résumé : L'hallux valgus reste l'une des déformations ostéoarticulaires ayant le plus stimulé l'intérêt des médecins et des chirurgiens qui se sont intéressés à son traitement comme à son évaluation radiologique. Il se définit comme la déviation exagérée du gros orteil latéralement. Il est associé à une proéminence de la tête du premier métatarsien, gênante dans la chaussure, et à une inflammation chronique réactionnelle de la bourse séreuse. Il est donc la conséquence d'un trouble morphostatique, aggravé par le terrain et les conditions de chaussage fermé. Son traitement curatif est uniquement chirurgical et l'histoire de la chirurgie correctrice de l'hallux valgus est jalonnée par de nombreuses descriptions de techniques opératoires et variantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93090
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-126-A-10 [Tome 4][article] Hallux valgus : définition, physiopathologie, étude clinique et radiographique, principes du traitement [texte imprimé] / O. Laffenêtre ; M. Saur ; J. Lucas y Hernandez . - 2020 . - 14-126-A-10 [Tome 4].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)44032-X
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-126-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Avant-pied Chirurgie de l'hallux valgus Chirurgie percutanée Résumé : L'hallux valgus reste l'une des déformations ostéoarticulaires ayant le plus stimulé l'intérêt des médecins et des chirurgiens qui se sont intéressés à son traitement comme à son évaluation radiologique. Il se définit comme la déviation exagérée du gros orteil latéralement. Il est associé à une proéminence de la tête du premier métatarsien, gênante dans la chaussure, et à une inflammation chronique réactionnelle de la bourse séreuse. Il est donc la conséquence d'un trouble morphostatique, aggravé par le terrain et les conditions de chaussage fermé. Son traitement curatif est uniquement chirurgical et l'histoire de la chirurgie correctrice de l'hallux valgus est jalonnée par de nombreuses descriptions de techniques opératoires et variantes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93090 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rhumatismes à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Rhumatismes à apatite Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; N. Velmans Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-272-A-10 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41589-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le phénomène de calcification tissulaire est physiologique dans les os, mais est pathologique dans les autres tissus. Le rhumatisme à apatite (RhAP) est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'apatite dans les tissus tant périarticulaires (la capsule, les ligaments et les tendons) qu'intra-articulaires (cartilage hyalin et fibrocartilage, synoviale). Cliniquement, le RhAP est à l'origine de poussées douloureuses très aiguës pour les localisations périarticulaires, alors qu'en intra-articulaire, elles sont moins fréquentes, moins reconnues, pouvant se manifester soit par une arthrite aiguë, soit par une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités de ce rhumatisme, périarticulaire et articulaire, affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale chronique hémodialysée, un diabète ou des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses (nous ne ferons que les citer, cette entité n'étant pas à proprement parlé un RhAP). Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. L'identification certaine des cristaux d'apatite repose sur des techniques de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X, peu accessibles en pratique courante. D'autres techniques sont en voie de développement (spectroscopie infrarouge transformée de Fourier [FTIR], spectroscopie Raman, microscopie à force atomique). Il n'existe pas de traitement étiologique du RhAP, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. De nouveaux traitements ont toutefois été proposés, à confirmer. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué, ce qui peut se faire dans la calcinose tumorale des hémodialysés, par un produit Ca × P < 70, sachant qu'il n'existe pas de traitement optimal. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93091
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-272-A-10 [Tome 5][article] Rhumatismes à apatite [texte imprimé] / D. Baron ; N. Velmans . - 2020 . - 14-272-A-10 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41589-X
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-272-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le phénomène de calcification tissulaire est physiologique dans les os, mais est pathologique dans les autres tissus. Le rhumatisme à apatite (RhAP) est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'apatite dans les tissus tant périarticulaires (la capsule, les ligaments et les tendons) qu'intra-articulaires (cartilage hyalin et fibrocartilage, synoviale). Cliniquement, le RhAP est à l'origine de poussées douloureuses très aiguës pour les localisations périarticulaires, alors qu'en intra-articulaire, elles sont moins fréquentes, moins reconnues, pouvant se manifester soit par une arthrite aiguë, soit par une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités de ce rhumatisme, périarticulaire et articulaire, affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale chronique hémodialysée, un diabète ou des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses (nous ne ferons que les citer, cette entité n'étant pas à proprement parlé un RhAP). Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. L'identification certaine des cristaux d'apatite repose sur des techniques de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X, peu accessibles en pratique courante. D'autres techniques sont en voie de développement (spectroscopie infrarouge transformée de Fourier [FTIR], spectroscopie Raman, microscopie à force atomique). Il n'existe pas de traitement étiologique du RhAP, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. De nouveaux traitements ont toutefois été proposés, à confirmer. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué, ce qui peut se faire dans la calcinose tumorale des hémodialysés, par un produit Ca × P < 70, sachant qu'il n'existe pas de traitement optimal. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93091 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Chordome / M. Ronai in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Chordome Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Ronai ; P.P. Varga Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-723 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)58312-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chordome Notochorde Sacrum Clivus Brachyurie Ion de carbone Résumé : Le chordome est une tumeur rare, à croissance lente, localement agressive, d'origine notochordale. Le diagnostic se fait le plus souvent au cours de la 5e ou 6e décennie de la vie. Les endroits d'incidence les plus fréquents sont le sacrum, la base du crâne et le rachis mobile. La présence de métastases n'est pas fréquente. L'impact de la maladie sur la vie, sur la qualité de vie dépend avant tout de l'agressivité locale. Les symptômes sont en général provoqués par la croissance de la masse tumorale. Pour le diagnostic du chordome, l'examen radiologique optimal est la tomodensitométrie en fenêtre osseuse et l'imagerie par résonance magnétique avec des produits de contraste à base de gadolinium. Une biopsie est nécessaire dans tous les cas, à des fins d'examens immunohistochimiques. La présence conjuguée de la brachyurie et de la cytokératine a la plus grande valeur diagnostique. Le chordome ne réagit pas à la chimiothérapie ni à la radiothérapie traditionnelle. En général, on peut atteindre le meilleur résultat par irradiation à la suite de résection radicale. L'irradiation par ions de carbone est une procédure de traitement prometteur. Le progrès attendu dans l'avenir se situe dans le domaine des traitements moléculaires ciblés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93092
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-723 [Tome 5][article] Chordome [texte imprimé] / M. Ronai ; P.P. Varga . - 2020 . - 14-723 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)58312-5
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-723 [Tome 5]
Mots-clés : Chordome Notochorde Sacrum Clivus Brachyurie Ion de carbone Résumé : Le chordome est une tumeur rare, à croissance lente, localement agressive, d'origine notochordale. Le diagnostic se fait le plus souvent au cours de la 5e ou 6e décennie de la vie. Les endroits d'incidence les plus fréquents sont le sacrum, la base du crâne et le rachis mobile. La présence de métastases n'est pas fréquente. L'impact de la maladie sur la vie, sur la qualité de vie dépend avant tout de l'agressivité locale. Les symptômes sont en général provoqués par la croissance de la masse tumorale. Pour le diagnostic du chordome, l'examen radiologique optimal est la tomodensitométrie en fenêtre osseuse et l'imagerie par résonance magnétique avec des produits de contraste à base de gadolinium. Une biopsie est nécessaire dans tous les cas, à des fins d'examens immunohistochimiques. La présence conjuguée de la brachyurie et de la cytokératine a la plus grande valeur diagnostique. Le chordome ne réagit pas à la chimiothérapie ni à la radiothérapie traditionnelle. En général, on peut atteindre le meilleur résultat par irradiation à la suite de résection radicale. L'irradiation par ions de carbone est une procédure de traitement prometteur. Le progrès attendu dans l'avenir se situe dans le domaine des traitements moléculaires ciblés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93092 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire