Dépouillements

Conflit ishio-fémoral (2° partie) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 47-50 Titre : Conflit ishio-fémoral (2° partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 47-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : thérapie manuelle Résumé : Traitement de l'interface Les mobilisations sont articulaires pour la hanche, surtout en flexion. Techniques myotensives Les techniques myotensives concernent le carré fémoral, le grand fessier et les ischio-jambiers. Elles comportent 2 phases : contraction du muscle, puis une phase de relâchement accompagnée d’un étirement du muscle.Pour le grand fessier, on réalise un étirement en 2 temps avec une flexion adduction pour le chef superficiel, puis une flexion abduction pour le chef profond.Pour le carré fémoral, idem mais en position de flexion, abduction et rotation médiale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92599 [article] Conflit ishio-fémoral (2° partie) [texte imprimé] / Pascal Pommerol . - 2021 . - p. 47-50. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 47-50 Mots-clés : thérapie manuelle Résumé : Traitement de l'interface Les mobilisations sont articulaires pour la hanche, surtout en flexion. Techniques myotensives Les techniques myotensives concernent le carré fémoral, le grand fessier et les ischio-jambiers. Elles comportent 2 phases : contraction du muscle, puis une phase de relâchement accompagnée d’un étirement du muscle.Pour le grand fessier, on réalise un étirement en 2 temps avec une flexion adduction pour le chef superficiel, puis une flexion abduction pour le chef profond.Pour le carré fémoral, idem mais en position de flexion, abduction et rotation médiale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92599

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DGS n°2021_37 Recommandations d'orgnisation du suivi des patients présentant des symptômes prolongés suite à une Covid-19 de l'adulte / Jérôme SALOMON in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 51-55 Titre : DGS n°2021_37 Recommandations d'orgnisation du suivi des patients présentant des symptômes prolongés suite à une Covid-19 de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme SALOMON Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92609 [article] DGS n°2021_37 Recommandations d'orgnisation du suivi des patients présentant des symptômes prolongés suite à une Covid-19 de l'adulte [texte imprimé] / Jérôme SALOMON . - 2021 . - p. 51-55. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 51-55 Mots-clés : COVID-19 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92609

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L'image motrice et l'hypnose, des techniques innovantes pour optimiser la récupération après une chirurgie du genou / Hélène Cullin in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 23-33 Titre : L'image motrice et l'hypnose, des techniques innovantes pour optimiser la récupération après une chirurgie du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Cullin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 23-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypnose  Arthralgie  mobilité articulaire  Genou / chirurgie Résumé : Kinésithérapeute et praticienne en hypno-analgésie, j’ai eu la chance d’accompagner Cyrielle Buteau-Fabre pour la réalisation de son mémoire de recherche dans le cadre de la validation de son D.E. de masseur-kinésithérapeute [1]. Celui-ci a apporté des pistes nouvelles, suggérant que la technique de réification, permet en agissant sur la représentation corporelle de diminuer la douleur et d’améliorer la flexion de genou en postopératoire. À partir de ce travail de recherche sur une technique d’hypnose basée sur l’imaginaire, j’ai cherché à savoir si des études sur l’imagerie mentale avaient été réalisées dans les suites d’une chirurgie du genou. Cette recherche m’a amenée sur une revue de littérature réalisée par Déborah Lacroix en 2019 qui a étudié les effets de l’imagerie motrice pour améliorer les amplitudes articulaires [2]. Elle a retenu 7 essais contrôlés randomisés qui lui ont permis de montrer que ces techniques étaient intéressantes en kinésithérapie sur des syndromes de conflit d’épaule mais aussi dans les suites d’intervention chirurgicale au niveau du genou. Dans le cadre de cet article, je ne présenterai que les 3 articles concernant les suites de chirurgies du genou comprenant un programme de kinésithérapie classique associée ou non à des techniques d’imagerie motrice. La chirurgie du genou est très fréquente, souvent douloureuse ; elle s’accompagne parfois de complications telles que des raideurs articulaires ou des problèmes de stabilité. La kinésithérapie a toute sa place dans les suites postopératoires mais peut-être gagnerait-elle en efficacité en intégrant des techniques cognitives basées sur l’imaginaire ? C’est cette hypothèse que je vais tester au travers de la présentation des travaux de ces 4 auteurs : Buteau-Fabre pour la réification ; Lebon, Mahoud et Moukarzel pour les techniques d’imagerie motrice utilisées dans les suites opératoires de ligamentoplasties du LCAE pour le premier et de prothèses de genou pour les 2 suivants. S’en suivra une discussion sur les modalités d’utilisation de l’imagerie motrice utilisées dans ces études ainsi qu’un apport sur les mécanismes d’action de l’image motrice et de l’hypnose amenant à des perspectives nouvelles en matière de prise en charge kinésithérapique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92633 [article] L'image motrice et l'hypnose, des techniques innovantes pour optimiser la récupération après une chirurgie du genou [texte imprimé] / Hélène Cullin . - 2021 . - p. 23-33. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 23-33 Mots-clés : Hypnose  Arthralgie  mobilité articulaire  Genou / chirurgie Résumé : Kinésithérapeute et praticienne en hypno-analgésie, j’ai eu la chance d’accompagner Cyrielle Buteau-Fabre pour la réalisation de son mémoire de recherche dans le cadre de la validation de son D.E. de masseur-kinésithérapeute [1]. Celui-ci a apporté des pistes nouvelles, suggérant que la technique de réification, permet en agissant sur la représentation corporelle de diminuer la douleur et d’améliorer la flexion de genou en postopératoire. À partir de ce travail de recherche sur une technique d’hypnose basée sur l’imaginaire, j’ai cherché à savoir si des études sur l’imagerie mentale avaient été réalisées dans les suites d’une chirurgie du genou. Cette recherche m’a amenée sur une revue de littérature réalisée par Déborah Lacroix en 2019 qui a étudié les effets de l’imagerie motrice pour améliorer les amplitudes articulaires [2]. Elle a retenu 7 essais contrôlés randomisés qui lui ont permis de montrer que ces techniques étaient intéressantes en kinésithérapie sur des syndromes de conflit d’épaule mais aussi dans les suites d’intervention chirurgicale au niveau du genou. Dans le cadre de cet article, je ne présenterai que les 3 articles concernant les suites de chirurgies du genou comprenant un programme de kinésithérapie classique associée ou non à des techniques d’imagerie motrice. La chirurgie du genou est très fréquente, souvent douloureuse ; elle s’accompagne parfois de complications telles que des raideurs articulaires ou des problèmes de stabilité. La kinésithérapie a toute sa place dans les suites postopératoires mais peut-être gagnerait-elle en efficacité en intégrant des techniques cognitives basées sur l’imaginaire ? C’est cette hypothèse que je vais tester au travers de la présentation des travaux de ces 4 auteurs : Buteau-Fabre pour la réification ; Lebon, Mahoud et Moukarzel pour les techniques d’imagerie motrice utilisées dans les suites opératoires de ligamentoplasties du LCAE pour le premier et de prothèses de genou pour les 2 suivants. S’en suivra une discussion sur les modalités d’utilisation de l’imagerie motrice utilisées dans ces études ainsi qu’un apport sur les mécanismes d’action de l’image motrice et de l’hypnose amenant à des perspectives nouvelles en matière de prise en charge kinésithérapique. 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La place des étirements dans la pratique de l'escalade / Jérémy Cavanne in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 17-22 Titre : La place des étirements dans la pratique de l'escalade Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérémy Cavanne Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exercices d'étirement musculaire  Entraînement sportif Résumé : La pratique de l’escalade est en plein essor. L’augmentation constante du nombre de salles et l’entrée de cette discipline aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020/2021 vont probablement contribuer à faire augmenter le nombre de pratiquants. L’escalade est un sport complet qui demande force, endurance, flexibilité, souplesse et mental [1]. Les étirements sont souvent utilisés par les grimpeurs pour éviter les blessures, augmenter la souplesse, diminuer la fatigue musculaire ou encore éviter les courbatures. Mais leur pratique laisse place à de nombreux questionnements quant à leur effet réel en fonction du moment où ils sont pratiqués. Le but de cet article est d’optimiser leur utilisation au cours d’une séance d’escalade type (hors compétition). Dans cet article, nous nous appuierons sur la synthèse des recherches menées jusqu’à présent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92655 [article] La place des étirements dans la pratique de l'escalade [texte imprimé] / Jérémy Cavanne . - 2021 . - p. 17-22. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 17-22 Mots-clés : Exercices d'étirement musculaire  Entraînement sportif Résumé : La pratique de l’escalade est en plein essor. L’augmentation constante du nombre de salles et l’entrée de cette discipline aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020/2021 vont probablement contribuer à faire augmenter le nombre de pratiquants. L’escalade est un sport complet qui demande force, endurance, flexibilité, souplesse et mental [1]. Les étirements sont souvent utilisés par les grimpeurs pour éviter les blessures, augmenter la souplesse, diminuer la fatigue musculaire ou encore éviter les courbatures. Mais leur pratique laisse place à de nombreux questionnements quant à leur effet réel en fonction du moment où ils sont pratiqués. Le but de cet article est d’optimiser leur utilisation au cours d’une séance d’escalade type (hors compétition). Dans cet article, nous nous appuierons sur la synthèse des recherches menées jusqu’à présent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92655

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LE PHÉNOMÈNE «ESPORT» La place du kinésithérapeute dans sa pratique / Josselin Dauvilaire in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 11-16 Titre : LE PHÉNOMÈNE «ESPORT» La place du kinésithérapeute dans sa pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Josselin Dauvilaire Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 11-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : troubles musculo-squelettiques  Syndromes de compression nerveuse  e-sport Résumé : Le terme de « esport » (ou « sport électronique ») émerge en Angleterre à la fin des années 1990 avec le développement d’Internet et de l’industrie du jeu vidéo. Dans les années 2000, il connaît un essor important et se popularise. L’apparition d’organisations dédiées à sa pratique et de compétitions internationales en font un phénomène de société incontournable. Calqué sur le modèle du sport professionnel, des structures d’encadrement des joueurs se mettent en place. Des clubs, un marché des transferts, et différents corps de métier (coach, manager, préparateur mental…) voient le jour et s’organisent autour de l’esport. En 2014, les phases finales des « League of Legends World Championship » se sont tenues dans le stade de Sang Am de Séoul, même stade ayant accueilli la Coupe du monde de football FIFA en 2002. 40 000 personnes assistent à cet événement. En France, l’engouement pour l’esport n’est pas en reste. C’est à Paris que se déroule la finale 2019 de la même licence devant un AcordHotel Arena comble (15 000 personnes). L’esport s’est professionnalisé à tel point que le débat sur son intégration comme discipline médaillable aux Jeux Olympiques est régulièrement discuté( Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92666 [article] LE PHÉNOMÈNE «ESPORT» La place du kinésithérapeute dans sa pratique [texte imprimé] / Josselin Dauvilaire . - 2021 . - p. 11-16. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 11-16 Mots-clés : troubles musculo-squelettiques  Syndromes de compression nerveuse  e-sport Résumé : Le terme de « esport » (ou « sport électronique ») émerge en Angleterre à la fin des années 1990 avec le développement d’Internet et de l’industrie du jeu vidéo. Dans les années 2000, il connaît un essor important et se popularise. L’apparition d’organisations dédiées à sa pratique et de compétitions internationales en font un phénomène de société incontournable. Calqué sur le modèle du sport professionnel, des structures d’encadrement des joueurs se mettent en place. Des clubs, un marché des transferts, et différents corps de métier (coach, manager, préparateur mental…) voient le jour et s’organisent autour de l’esport. En 2014, les phases finales des « League of Legends World Championship » se sont tenues dans le stade de Sang Am de Séoul, même stade ayant accueilli la Coupe du monde de football FIFA en 2002. 40 000 personnes assistent à cet événement. En France, l’engouement pour l’esport n’est pas en reste. C’est à Paris que se déroule la finale 2019 de la même licence devant un AcordHotel Arena comble (15 000 personnes). L’esport s’est professionnalisé à tel point que le débat sur son intégration comme discipline médaillable aux Jeux Olympiques est régulièrement discuté( Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92666

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Les douleurs d'épaule chez le surfeur : proposition d'une fiche préventive / Sylvie Maret in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 41-46 Titre : Les douleurs d'épaule chez le surfeur : proposition d'une fiche préventive Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Maret Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 41-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : Entraînement sportif  Épaule  Douleurs Résumé : Le surf est au sommet de la vague en raison du nombre croissant de pratiquants, de l’intérêt publicitaire et médiatique qu’il suscite, jusqu’à être désormais sport olympique. La majorité des surfeurs s’adonnent à leur passion à l’écart des clubs, ce qui ne favorise pas le suivi médical et l’apprentissage des bons gestes spécifiques à l’activité [1]. Les douleurs d’épaule représentent 10 à 27 % des troubles musculo-squelettiques à déclenchement progressif en surf. C’est la région anatomique la plus concernée par les blessures non traumatiques en lien avec la pratique du surf, devant la colonne lombaire et cervicale [2-9]. La rame répétitive et prolongée ainsi que le Take off sont les principaux mouvements responsables [3, 7, 10]. Une fiche préventive de lutte contre ces douleurs, simple, ludique et facile d’accès, pourrait aider les pratiquants, en majorité « free surfeur », à prendre soin de leurs épaules pour profiter pleinement et longtemps des joies de l’océan. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92675 [article] Les douleurs d'épaule chez le surfeur : proposition d'une fiche préventive [texte imprimé] / Sylvie Maret . - 2021 . - p. 41-46. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 41-46 Mots-clés : Entraînement sportif  Épaule  Douleurs Résumé : Le surf est au sommet de la vague en raison du nombre croissant de pratiquants, de l’intérêt publicitaire et médiatique qu’il suscite, jusqu’à être désormais sport olympique. La majorité des surfeurs s’adonnent à leur passion à l’écart des clubs, ce qui ne favorise pas le suivi médical et l’apprentissage des bons gestes spécifiques à l’activité [1]. Les douleurs d’épaule représentent 10 à 27 % des troubles musculo-squelettiques à déclenchement progressif en surf. C’est la région anatomique la plus concernée par les blessures non traumatiques en lien avec la pratique du surf, devant la colonne lombaire et cervicale [2-9]. La rame répétitive et prolongée ainsi que le Take off sont les principaux mouvements responsables [3, 7, 10]. Une fiche préventive de lutte contre ces douleurs, simple, ludique et facile d’accès, pourrait aider les pratiquants, en majorité « free surfeur », à prendre soin de leurs épaules pour profiter pleinement et longtemps des joies de l’océan. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92675

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Séance de kinésithérapie préopératoire dans le cadre du protocole raac de la chirurgie de la coiffe des rotateurs / Costa Kavvadias in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 5-10 Titre : Séance de kinésithérapie préopératoire dans le cadre du protocole raac de la chirurgie de la coiffe des rotateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Costa Kavvadias, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE Résumé : La rééducation en chirurgie orthopédique connaît une évolution permanente. Dans ce domaine, la notion de rééducation préopératoire apparaît autour des années 1980. Elle est dans un premier temps conseillé mais peu décrite [1]. Ses avantages sont, d’une part l’amélioration des potentiels articulaires et musculaires avant même l’opération et, d’autre part une prise de conscience du patient sur ce qui l’attend. Depuis une dizaine d’années, les établissements de santé français et la Haute autorité de Santé (HAS) accélèrent la mise en place de programmes de Réhabilitation Accéléré Après Chirurgie (RAAC). Ces nouveaux projets d’établissements débutent avant l’hospitalisation. Ils placent le patient au centre de sa récupération. Selon la synthèse du rapport d’orientation de juin 2016 [2], la HAS détaille les objectifs suivants : – informer le patient et le former à la démarche ; – anticiper l’organisation des soins et la sortie du patient ; – minimiser les conséquences du stress chirurgical – contrôler la douleur dans toutes les situations ;– favoriser et stimuler l’autonomie des patients. Sur le site de la Polyclinique du Maine à Laval, dans le protocole RAAC de la chirurgie de la coiffe des rotateurs, une séance de kinésithérapie préopératoire est organisée. Elle intervient 15 jours avant l’opération. Elle consiste en un temps d’échanges avec le patient. Le masseur-kinésithérapeute, va pouvoir mettre en place ses consignes et prendre le temps de les détailler. Il travaille ainsi sur l’autonomisation de son patient qui devra s’exercer tout au long de la quinzaine préopératoire. Nous avons remarqué que, lorsque le patient sait maîtriser ses douleurs dans chacune des situations de son quotidien, ses positions antalgiques et compensatrices diminuent, voire disparaissent rapidement. C’est pour cela, que nous avons décidé de consacrer une séance entière à ce temps de formation.Dans les paragraphes suivants, nous allons d’abord expliquer quelles notions et principes nous avons respectés et transmis au patient. Dans un deuxième temps, nous allons détailler les applications concrètes lors des différentes situations de sa journée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92708 [article] Séance de kinésithérapie préopératoire dans le cadre du protocole raac de la chirurgie de la coiffe des rotateurs [texte imprimé] / Costa Kavvadias, Auteur . - 2021 . - p. 5-10. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 5-10 Mots-clés : CHIRURGIE Résumé : La rééducation en chirurgie orthopédique connaît une évolution permanente. Dans ce domaine, la notion de rééducation préopératoire apparaît autour des années 1980. Elle est dans un premier temps conseillé mais peu décrite [1]. Ses avantages sont, d’une part l’amélioration des potentiels articulaires et musculaires avant même l’opération et, d’autre part une prise de conscience du patient sur ce qui l’attend. Depuis une dizaine d’années, les établissements de santé français et la Haute autorité de Santé (HAS) accélèrent la mise en place de programmes de Réhabilitation Accéléré Après Chirurgie (RAAC). Ces nouveaux projets d’établissements débutent avant l’hospitalisation. Ils placent le patient au centre de sa récupération. Selon la synthèse du rapport d’orientation de juin 2016 [2], la HAS détaille les objectifs suivants : – informer le patient et le former à la démarche ; – anticiper l’organisation des soins et la sortie du patient ; – minimiser les conséquences du stress chirurgical – contrôler la douleur dans toutes les situations ;– favoriser et stimuler l’autonomie des patients. Sur le site de la Polyclinique du Maine à Laval, dans le protocole RAAC de la chirurgie de la coiffe des rotateurs, une séance de kinésithérapie préopératoire est organisée. Elle intervient 15 jours avant l’opération. Elle consiste en un temps d’échanges avec le patient. Le masseur-kinésithérapeute, va pouvoir mettre en place ses consignes et prendre le temps de les détailler. Il travaille ainsi sur l’autonomisation de son patient qui devra s’exercer tout au long de la quinzaine préopératoire. Nous avons remarqué que, lorsque le patient sait maîtriser ses douleurs dans chacune des situations de son quotidien, ses positions antalgiques et compensatrices diminuent, voire disparaissent rapidement. C’est pour cela, que nous avons décidé de consacrer une séance entière à ce temps de formation.Dans les paragraphes suivants, nous allons d’abord expliquer quelles notions et principes nous avons respectés et transmis au patient. Dans un deuxième temps, nous allons détailler les applications concrètes lors des différentes situations de sa journée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92708

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Stéréotypes sur les personnes âgées et conséquences sur leur prise en charge Le lien entre la dépendance et l'âgisme / Eléonore Durand- Larmignat in Kinésithérapie scientifique, 630 (Avril 2020)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 35-39 Titre : Stéréotypes sur les personnes âgées et conséquences sur leur prise en charge Le lien entre la dépendance et l'âgisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Eléonore Durand- Larmignat Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 35-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sujet âgé  Autonomie personnelle  Âgisme  dépendance (autonomie) Résumé : La société vs les personnes âgées Pour définir ou comprendre le monde et essayer d’y trouver notre place, nous avons recours à la catégorisation : nous mettons les gens dans des cases en les classant selon certaines caractéristiques (traits de caractères, particularités physiques, idéologiques ou encore le mode de vie). Petit à petit, les ressemblances sont surestimées et par le phénomène naturel d’assimilation, les personnes sont rangées dans une même catégorie. C’est alors que les stéréotypes apparaissent. Habituellement négatifs, les stéréotypes permettent d’effectuer des comparaisons favorables pour soi (selon la Théorie de l’identité sociale de Tajfel et Trurner, 1979). Comment imaginez-vous un vieux ? Quelle est votre représentation de la vieillesse ? Généralement, on pense à une personne aux cheveux blancs, avec des rides, des lunettes, un dentier. D’ailleurs, un enfant mimant un papy se courbera en deux, tremblera, marchera à petit pas avec une canne. Pour ceux d’entre vous œuvrant dans le milieu médical, s’ajoute une part de dépendance, qu’il s’agisse d’une canne, d’un fauteuil roulant, de troubles de la vue, voire de formes de démence. Notre représentation sociale est bien ancrée autour de cette idée. Avant, les pépés et mémés étaient considérés comme des sages, les porteurs de l’histoire familiale et de savoirs [3]. Ils imposaient le plus grand des respects. Avec l’évolution de notre société, les rapports familiaux et le mode de transmission des connaissances ont été modifiés [3]. Les antiquités, reléguées au silence, ne sont plus consultées sur leurs opinions, ils ne sont plus « dans le coup » et sont devenus une charge affective et financière [3]. Ces stéréotypes sur les aînés démontrent un malaise vis-à-vis de la vieillesse et particulièrement de notre propre vieillesse. L’âgisme est un comportement discriminatoire envers nos ancêtres induit par tous les stéréotypes qui nous bercent depuis l’enfance. Notre attitude et notre regard sur les retraités en sont alors modifiés. Nous n’aborderons pas les comportements maltraitants générés par l’âgisme, mais nous mettrons en lumière un versant moins connu : le lien entre la dépendance et l’âgisme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92710 [article] Stéréotypes sur les personnes âgées et conséquences sur leur prise en charge Le lien entre la dépendance et l'âgisme [texte imprimé] / Eléonore Durand- Larmignat . - 2021 . - p. 35-39. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 630 (Avril 2020) . - p. 35-39 Mots-clés : Sujet âgé  Autonomie personnelle  Âgisme  dépendance (autonomie) Résumé : La société vs les personnes âgées Pour définir ou comprendre le monde et essayer d’y trouver notre place, nous avons recours à la catégorisation : nous mettons les gens dans des cases en les classant selon certaines caractéristiques (traits de caractères, particularités physiques, idéologiques ou encore le mode de vie). Petit à petit, les ressemblances sont surestimées et par le phénomène naturel d’assimilation, les personnes sont rangées dans une même catégorie. C’est alors que les stéréotypes apparaissent. Habituellement négatifs, les stéréotypes permettent d’effectuer des comparaisons favorables pour soi (selon la Théorie de l’identité sociale de Tajfel et Trurner, 1979). Comment imaginez-vous un vieux ? Quelle est votre représentation de la vieillesse ? Généralement, on pense à une personne aux cheveux blancs, avec des rides, des lunettes, un dentier. D’ailleurs, un enfant mimant un papy se courbera en deux, tremblera, marchera à petit pas avec une canne. Pour ceux d’entre vous œuvrant dans le milieu médical, s’ajoute une part de dépendance, qu’il s’agisse d’une canne, d’un fauteuil roulant, de troubles de la vue, voire de formes de démence. Notre représentation sociale est bien ancrée autour de cette idée. Avant, les pépés et mémés étaient considérés comme des sages, les porteurs de l’histoire familiale et de savoirs [3]. Ils imposaient le plus grand des respects. Avec l’évolution de notre société, les rapports familiaux et le mode de transmission des connaissances ont été modifiés [3]. Les antiquités, reléguées au silence, ne sont plus consultées sur leurs opinions, ils ne sont plus « dans le coup » et sont devenus une charge affective et financière [3]. Ces stéréotypes sur les aînés démontrent un malaise vis-à-vis de la vieillesse et particulièrement de notre propre vieillesse. L’âgisme est un comportement discriminatoire envers nos ancêtres induit par tous les stéréotypes qui nous bercent depuis l’enfance. Notre attitude et notre regard sur les retraités en sont alors modifiés. Nous n’aborderons pas les comportements maltraitants générés par l’âgisme, mais nous mettrons en lumière un versant moins connu : le lien entre la dépendance et l’âgisme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92710

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