Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.35, n°1Paru le : 01/03/2021 |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierFracture récente de la diaphyse fémorale de l'adulte / P. Bonnevialle in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Fracture récente de la diaphyse fémorale de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Bonnevialle, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-078-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture récente de la diaphyse fémorale Enclouage centromédullaire verrouillé Plaque à vis verrouillée Ostéosynthèse mini-invasive Embolie graisseuse Fracture périprothétique Fracture fémorale pathologique Index. décimale : K 616.7 Kinésithérapie. Pathologie des organes locomoteurs Résumé : Les fractures de la diaphyse fémorale de l'adulte siègent dans les limites anatomiques de la cavité médullaire entourée d'une corticale compacte. Les caractéristiques morphologiques et les principaux rapports anatomiques sont rappelés. Apanage de l'adulte jeune et secondaires à un traumatisme à haute énergie, elles ont vu récemment se modifier leur contexte épidémiologique en intéressant le sujet âgé ou survenant sur os déjà porteur d'une arthroplastie ou d'une ostéosynthèse. La classification internationale est présentée en discutant son intérêt et les limites de la définition des lésions diaphysaires. L'enclouage antérograde avec alésage reste l'ostéosynthèse de référence ; les autres techniques ont une place spécifique, en particulier les plaques à vis verrouillées mini-invasives dans les fractures périprothétiques et la fixation externe dans les lésions largement ouvertes ou en ischémie et chez le polytraumatisé en détresse vitale ou le polyfracturé dans le cadre du Damaged Orthopaedic Control. Les indications opératoires de chaque technique sont détaillées en fonction des lésions associées, des complications immédiates et du contexte général et locorégional. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92443
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 14-078-10 [Tome 3][article] Fracture récente de la diaphyse fémorale de l'adulte [texte imprimé] / P. Bonnevialle, Auteur . - 2021 . - 14-078-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 14-078-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture récente de la diaphyse fémorale Enclouage centromédullaire verrouillé Plaque à vis verrouillée Ostéosynthèse mini-invasive Embolie graisseuse Fracture périprothétique Fracture fémorale pathologique Index. décimale : K 616.7 Kinésithérapie. Pathologie des organes locomoteurs Résumé : Les fractures de la diaphyse fémorale de l'adulte siègent dans les limites anatomiques de la cavité médullaire entourée d'une corticale compacte. Les caractéristiques morphologiques et les principaux rapports anatomiques sont rappelés. Apanage de l'adulte jeune et secondaires à un traumatisme à haute énergie, elles ont vu récemment se modifier leur contexte épidémiologique en intéressant le sujet âgé ou survenant sur os déjà porteur d'une arthroplastie ou d'une ostéosynthèse. La classification internationale est présentée en discutant son intérêt et les limites de la définition des lésions diaphysaires. L'enclouage antérograde avec alésage reste l'ostéosynthèse de référence ; les autres techniques ont une place spécifique, en particulier les plaques à vis verrouillées mini-invasives dans les fractures périprothétiques et la fixation externe dans les lésions largement ouvertes ou en ischémie et chez le polytraumatisé en détresse vitale ou le polyfracturé dans le cadre du Damaged Orthopaedic Control. Les indications opératoires de chaque technique sont détaillées en fonction des lésions associées, des complications immédiates et du contexte général et locorégional. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92443 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie périarticulaire de hanche / H. Bard in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Pathologie périarticulaire de hanche Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Bard, Auteur ; V. Vuillemin, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 15-174-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Tendinobursopathies trochantériennes Moyen glutéal Petit glutéal Ischiojambiers Iliopsoas Bursopathie Conflit ischiofémoral Index. décimale : K 616.7 Kinésithérapie. Pathologie des organes locomoteurs Résumé : La pathologie périarticulaire de hanche est un défi quotidien pour le clinicien car la hanche est une vaste région du corps appartenant au bassin et constituant la racine du membre inférieur, passage obligé de nombreuses douleurs provenant de la colonne comme du pelvis, et n'offrant pas de spécificité clinique caractéristique d'une douleur de hanche. La démarche diagnostique doit être programmée pour éviter un diagnostic par excès quand la pathologie tendineuse prédomine ou par défaut quand le siège de la douleur oriente d'abord vers une cause articulaire. Si certains tableaux cliniques sont d'emblée évocateurs pour celui qui les connaît, l'approche systématique est essentielle pour débrouiller les pathologies intriquées fréquentes, éviter des retards diagnostiques ou une inflation d'imagerie qui compliquera et n'évitera pas l'indispensable corrélation radioclinique. Cette pathologie intéresse surtout les tendons et leurs bourses de glissement et quelques neuropathies canalaires. Seront envisagées successivement les pathologies antérieures, latérales et postérieures, tournant ainsi autour de l'articulation coxofémorale. Les tendinobursopathies trochantériennes bénéficient ces dernières années d'un nombre considérable de publications, rattrapant petit à petit le retard pris sur la coiffe des rotateurs de l'épaule. Les tendinopathies et bursopathies antérieures, de l'iliopsoas et du droit fémoral et celles postérieures des tendons des ischiojambiers ne doivent pas pour autant être négligées, car souvent méconnues ou trompeuses. L'époque d'un diagnostic aussi flou que pratique de « périarthrite » est définitivement révolue et un diagnostic lésionnel précis est la condition indispensable à une prise en charge adaptée où les traitements étiologique et fonctionnel doivent l'emporter sur des traitements trop souvent uniquement symptomatiques pénalisants à terme pour le patient. Pour cela, l'examen clinique préalable est essentiel, aidé par l'échographie et selon les cas par l'imagerie par résonance magnétique (IRM) correctement réalisées et interprétées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92444
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 15-174-A-10 [Tome 6][article] Pathologie périarticulaire de hanche [texte imprimé] / H. Bard, Auteur ; V. Vuillemin, Auteur . - 2021 . - 15-174-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 15-174-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Hanche Tendinobursopathies trochantériennes Moyen glutéal Petit glutéal Ischiojambiers Iliopsoas Bursopathie Conflit ischiofémoral Index. décimale : K 616.7 Kinésithérapie. Pathologie des organes locomoteurs Résumé : La pathologie périarticulaire de hanche est un défi quotidien pour le clinicien car la hanche est une vaste région du corps appartenant au bassin et constituant la racine du membre inférieur, passage obligé de nombreuses douleurs provenant de la colonne comme du pelvis, et n'offrant pas de spécificité clinique caractéristique d'une douleur de hanche. La démarche diagnostique doit être programmée pour éviter un diagnostic par excès quand la pathologie tendineuse prédomine ou par défaut quand le siège de la douleur oriente d'abord vers une cause articulaire. Si certains tableaux cliniques sont d'emblée évocateurs pour celui qui les connaît, l'approche systématique est essentielle pour débrouiller les pathologies intriquées fréquentes, éviter des retards diagnostiques ou une inflation d'imagerie qui compliquera et n'évitera pas l'indispensable corrélation radioclinique. Cette pathologie intéresse surtout les tendons et leurs bourses de glissement et quelques neuropathies canalaires. Seront envisagées successivement les pathologies antérieures, latérales et postérieures, tournant ainsi autour de l'articulation coxofémorale. Les tendinobursopathies trochantériennes bénéficient ces dernières années d'un nombre considérable de publications, rattrapant petit à petit le retard pris sur la coiffe des rotateurs de l'épaule. Les tendinopathies et bursopathies antérieures, de l'iliopsoas et du droit fémoral et celles postérieures des tendons des ischiojambiers ne doivent pas pour autant être négligées, car souvent méconnues ou trompeuses. L'époque d'un diagnostic aussi flou que pratique de « périarthrite » est définitivement révolue et un diagnostic lésionnel précis est la condition indispensable à une prise en charge adaptée où les traitements étiologique et fonctionnel doivent l'emporter sur des traitements trop souvent uniquement symptomatiques pénalisants à terme pour le patient. Pour cela, l'examen clinique préalable est essentiel, aidé par l'échographie et selon les cas par l'imagerie par résonance magnétique (IRM) correctement réalisées et interprétées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92444 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Complications ostéoarticulaires des transplantations d'organes solides / T Funck-Brentano in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Complications ostéoarticulaires des transplantations d'organes solides Type de document : texte imprimé Auteurs : T Funck-Brentano, Auteur ; T. Bardin, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 14-277-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Transplantation Ostéoporose Ostéonécrose Goutte Arthrite Index. décimale : K 616.7 Kinésithérapie. Pathologie des organes locomoteurs Résumé : En France, chaque année près de 6000 patients en insuffisance viscérale terminale bénéficient d'une transplantation d'organe solide. Grâce aux progrès médicaux et chirurgicaux, les patients éligibles sont plus âgés et leur espérance de vie est allongée. La qualité de vie de ces patients est ainsi un nouvel enjeu et les complications ostéoarticulaires des patients transplantés sont une cause importante de la morbidité suivant la greffe. Les complications osseuses les plus fréquentes sont les fractures par fragilité osseuse, l'ostéonécrose aseptique et le syndrome douloureux induit par les inhibiteurs de la calcineurine. Les complications articulaires sont avant tout liées à la goutte, mais les autres causes, en particulier infectieuses, doivent être recherchées du fait de leur gravité et du risque de dissémination systémique chez ces patients immunodéprimés. Cet article a pour but de détailler les connaissances actuelles sur les complications ostéoarticulaires après une transplantation d'organe solide. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92445
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 14-277-A-10 [Tome 5][article] Complications ostéoarticulaires des transplantations d'organes solides [texte imprimé] / T Funck-Brentano, Auteur ; T. Bardin, Auteur . - 2021 . - 14-277-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 14-277-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Transplantation Ostéoporose Ostéonécrose Goutte Arthrite Index. décimale : K 616.7 Kinésithérapie. Pathologie des organes locomoteurs Résumé : En France, chaque année près de 6000 patients en insuffisance viscérale terminale bénéficient d'une transplantation d'organe solide. Grâce aux progrès médicaux et chirurgicaux, les patients éligibles sont plus âgés et leur espérance de vie est allongée. La qualité de vie de ces patients est ainsi un nouvel enjeu et les complications ostéoarticulaires des patients transplantés sont une cause importante de la morbidité suivant la greffe. Les complications osseuses les plus fréquentes sont les fractures par fragilité osseuse, l'ostéonécrose aseptique et le syndrome douloureux induit par les inhibiteurs de la calcineurine. Les complications articulaires sont avant tout liées à la goutte, mais les autres causes, en particulier infectieuses, doivent être recherchées du fait de leur gravité et du risque de dissémination systémique chez ces patients immunodéprimés. Cet article a pour but de détailler les connaissances actuelles sur les complications ostéoarticulaires après une transplantation d'organe solide. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92445 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dorsalgies / M. MARTY in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Dorsalgies Type de document : texte imprimé Auteurs : M. MARTY, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 15-867-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dorsalgie Spondylarthrite Tumeurs rachidiennes Tassement vertébral Ostéoporose Hernie discale thoracique Index. décimale : 616.7 Pathologie des organes locomoteurs Résumé : Une dorsalgie est définie par une douleur de la colonne vertébrale localisée entre la zone de la charnière cervicothoracique (C7-T1) et la jonction thoracolombaire (T12-L1), ou par une douleur de la paroi postérieure du thorax (paravertébrale ou plus latérale). En présence d'une dorsalgie, quelle que soit sa durée, la démarche diagnostique passe par l'interrogatoire, l'examen clinique et par la réalisation d'examens complémentaires orientés selon le contexte. La démarche diagnostique doit être présidée par deux objectifs : rechercher pour l'exclure ou l'identifier une affection rachidienne grave nécessitant un traitement spécifique urgent (infection, tumeur, etc.) en cherchant des signes d'alerte, ou une cause viscérale grave thoracique (infarctus du myocarde, dissection aortique, etc.) ou abdominale (ulcère de l'estomac, etc.), responsable d'une douleur projetée ou référée, et nécessitant un traitement spécifique urgent ; rechercher pour l'exclure ou l'identifier un signe neurologique témoignant de la gravité de la dorsalgie (compression médullaire). Les causes des dorsalgies sont très nombreuses. La démarche diagnostique recherche : des causes rachidiennes non spécifiques dont la prise en charge passe par trois modèles de compréhension (anatomoclinique, fonctionnel et psycho-socio-culturel) ; des causes rachidiennes spécifiques (fractures pathologiques, tumeurs, rhumatismes inflammatoires, rhumatismes à microcristaux, infections) ; des causes non rachidiennes d'origine viscérale thoracique (cœur, poumon, etc.) ou abdominale (estomac, pancréas, rein, etc.). Le traitement symptomatique et étiologique est à adapter selon les causes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92446
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 15-867-A-10 [Tome 7][article] Dorsalgies [texte imprimé] / M. MARTY, Auteur . - 2021 . - 15-867-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 15-867-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Dorsalgie Spondylarthrite Tumeurs rachidiennes Tassement vertébral Ostéoporose Hernie discale thoracique Index. décimale : 616.7 Pathologie des organes locomoteurs Résumé : Une dorsalgie est définie par une douleur de la colonne vertébrale localisée entre la zone de la charnière cervicothoracique (C7-T1) et la jonction thoracolombaire (T12-L1), ou par une douleur de la paroi postérieure du thorax (paravertébrale ou plus latérale). En présence d'une dorsalgie, quelle que soit sa durée, la démarche diagnostique passe par l'interrogatoire, l'examen clinique et par la réalisation d'examens complémentaires orientés selon le contexte. La démarche diagnostique doit être présidée par deux objectifs : rechercher pour l'exclure ou l'identifier une affection rachidienne grave nécessitant un traitement spécifique urgent (infection, tumeur, etc.) en cherchant des signes d'alerte, ou une cause viscérale grave thoracique (infarctus du myocarde, dissection aortique, etc.) ou abdominale (ulcère de l'estomac, etc.), responsable d'une douleur projetée ou référée, et nécessitant un traitement spécifique urgent ; rechercher pour l'exclure ou l'identifier un signe neurologique témoignant de la gravité de la dorsalgie (compression médullaire). Les causes des dorsalgies sont très nombreuses. La démarche diagnostique recherche : des causes rachidiennes non spécifiques dont la prise en charge passe par trois modèles de compréhension (anatomoclinique, fonctionnel et psycho-socio-culturel) ; des causes rachidiennes spécifiques (fractures pathologiques, tumeurs, rhumatismes inflammatoires, rhumatismes à microcristaux, infections) ; des causes non rachidiennes d'origine viscérale thoracique (cœur, poumon, etc.) ou abdominale (estomac, pancréas, rein, etc.). Le traitement symptomatique et étiologique est à adapter selon les causes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92446 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire