Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : Janvier 2021 Paru le : 01/01/2021 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierErgonomie chez le musicien / Céleste Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Ergonomie chez le musicien Type de document : texte imprimé Auteurs : Céleste Rousseau, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 47-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : ERGONOMIE Résumé : Les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale (TMEM) ont été définis comme toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. ».
De nombreux facteurs de risque ont été décrits comme certaines caractéristiques anthropométriques (longueur du cou, des membres supérieurs, de l’empan de la main), la position assise et notamment les chaises utilisées pour jouer, ainsi que le poids de l’instrument et la façon dont celui-ci est porté. Il s’avère que l’ensemble des facteurs de risque listés ici sont modifiables et leur impact peut être diminué fortement, voire réduit à néant par l’utilisation de certains outils ergonomiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91089
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 47-49[article] Ergonomie chez le musicien [texte imprimé] / Céleste Rousseau, Auteur . - 2021 . - p. 47-49.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 47-49
Mots-clés : ERGONOMIE Résumé : Les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale (TMEM) ont été définis comme toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué. ».
De nombreux facteurs de risque ont été décrits comme certaines caractéristiques anthropométriques (longueur du cou, des membres supérieurs, de l’empan de la main), la position assise et notamment les chaises utilisées pour jouer, ainsi que le poids de l’instrument et la façon dont celui-ci est porté. Il s’avère que l’ensemble des facteurs de risque listés ici sont modifiables et leur impact peut être diminué fortement, voire réduit à néant par l’utilisation de certains outils ergonomiques.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91089 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtEvidence-based-practice dans la pratique holistique et la prise de décision d'un masseur-kinésithérapeute clinicien Une recherche qualitative / Pierre Legrand in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Evidence-based-practice dans la pratique holistique et la prise de décision d'un masseur-kinésithérapeute clinicien Une recherche qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Legrand ; Edwin Rogez Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 19-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : Raisonnement clinique Prise de décision Pratique basée sur des faits Résumé : À une époque où la masso-kinésithérapie s’inscrit dans une recherche d’émancipation et de reconnaissance, elle tend à fonder sa pratique sur les preuves scientifiques afin d’assurer sa légitimité. Elle cherche à faire valoir sa spécificité par rapport aux autres activités « concurrentes » de thérapies manuelles que représentent l’ostéopathie ou la chiropraxie pour ne citer qu’elles.
Le masseur-kinésithérapeute se doit déontologiquement d’essayer d’apporter le meilleur niveau de soin à son patient, en le considérant dans son ensemble. Ce procédé comprend les 5 étapes suivantes : une évaluation initiale, un diagnostic masso-kinésithérapique, une planification des soins, une intervention et une réévaluation post-intervention [1, 2]. L’Evidence-Based Practice (EBP), ou pratique factuelle, outil au service du thérapeute, vise à optimiser chacune de ces phases dans le respect des principes fondamentaux de la profession. Cette démarche instaurée tout d’abord en médecine, notamment par Sackett et al. [3] à partir des années 1980, vise à intégrer les meilleures données de la recherche à l’expertise clinique et aux valeurs du patient pour étayer la prise de décision médicale [3].
Rapidement, toutes les professions paramédicales ont suivi ce nouveau courant [4]. C’est notamment le cas de la masso-kinésithérapie qui, depuis 2015, l’a intégrée dans le contenu de sa formation initiale. Au travers des unités d’enseignements 8 et 27 « Méthodes de travail et méthodes de recherche (en kinésithérapie pour l’unité 27) », des cours magistraux sont dispensés concernant l’EBP. Des cours portant sur le raisonnement clinique, l’esprit critique ou encore les biostatistiques sont également dispensés [5].
Pallot [6], masseur-kinésithérapeute, définit l’EBP de façon plus contemporaine comme étant « l’application clinique individualisée raisonnée du plus haut niveau de preuve possible dans un contexte de soin multidimensionnel unique. ». Il réutilise le triptyque princeps composé de :
– l’expérience du clinicien ;
– les préférences du patient ;
– les meilleures données de la recherche.
Auquel il ajoute à ces 3 notions le contexte sociopolitique (fig. 1) et sur lequel s’appuie un autre triptyque cognitif « Évaluation – Problématisation – Prise de décision » afin de répondre au mieux à la situation de soin à laquelle il est confronté.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91090
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 19-24[article] Evidence-based-practice dans la pratique holistique et la prise de décision d'un masseur-kinésithérapeute clinicien Une recherche qualitative [texte imprimé] / Pierre Legrand ; Edwin Rogez . - 2021 . - p. 19-24.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 19-24
Mots-clés : Raisonnement clinique Prise de décision Pratique basée sur des faits Résumé : À une époque où la masso-kinésithérapie s’inscrit dans une recherche d’émancipation et de reconnaissance, elle tend à fonder sa pratique sur les preuves scientifiques afin d’assurer sa légitimité. Elle cherche à faire valoir sa spécificité par rapport aux autres activités « concurrentes » de thérapies manuelles que représentent l’ostéopathie ou la chiropraxie pour ne citer qu’elles.
Le masseur-kinésithérapeute se doit déontologiquement d’essayer d’apporter le meilleur niveau de soin à son patient, en le considérant dans son ensemble. Ce procédé comprend les 5 étapes suivantes : une évaluation initiale, un diagnostic masso-kinésithérapique, une planification des soins, une intervention et une réévaluation post-intervention [1, 2]. L’Evidence-Based Practice (EBP), ou pratique factuelle, outil au service du thérapeute, vise à optimiser chacune de ces phases dans le respect des principes fondamentaux de la profession. Cette démarche instaurée tout d’abord en médecine, notamment par Sackett et al. [3] à partir des années 1980, vise à intégrer les meilleures données de la recherche à l’expertise clinique et aux valeurs du patient pour étayer la prise de décision médicale [3].
Rapidement, toutes les professions paramédicales ont suivi ce nouveau courant [4]. C’est notamment le cas de la masso-kinésithérapie qui, depuis 2015, l’a intégrée dans le contenu de sa formation initiale. Au travers des unités d’enseignements 8 et 27 « Méthodes de travail et méthodes de recherche (en kinésithérapie pour l’unité 27) », des cours magistraux sont dispensés concernant l’EBP. Des cours portant sur le raisonnement clinique, l’esprit critique ou encore les biostatistiques sont également dispensés [5].
Pallot [6], masseur-kinésithérapeute, définit l’EBP de façon plus contemporaine comme étant « l’application clinique individualisée raisonnée du plus haut niveau de preuve possible dans un contexte de soin multidimensionnel unique. ». Il réutilise le triptyque princeps composé de :
– l’expérience du clinicien ;
– les préférences du patient ;
– les meilleures données de la recherche.
Auquel il ajoute à ces 3 notions le contexte sociopolitique (fig. 1) et sur lequel s’appuie un autre triptyque cognitif « Évaluation – Problématisation – Prise de décision » afin de répondre au mieux à la situation de soin à laquelle il est confronté.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91090 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe bilan musculaire d'anne-marie chevalier, un outil universel et reproductible ? / Alexia Roumegas in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Le bilan musculaire d'anne-marie chevalier, un outil universel et reproductible ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexia Roumegas ; et al. Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Reproductibilité des résultats bilan Paralysie faciale Fiabilité interexaminateurs bilan d'Anne-Marie Chevalier Résumé : Le bilan des paralysies faciales d’Anne-Marie Chevalier est un
outil d'évaluation simple à eff ectuer après un temps d’initiation.
Largement enseigné dans les IFMK il est très utilisé par les MK.
Toutefois, ses propriétés psychométriques ne sont pas validées.
L’objectif de cette étude est d’évaluer la fi abilité interexaminateur et la durée de réalisation cet examen, spécifi que aux paralysies faciales.
32 patients ont été inclus et examinés simultanément par deux
kinésithérapeutes. Le coeffi cient de corrélation intraclasse (CCI)
a été analysé selon l’interprétation proposée par Koo et Li. Le
temps de passation a été mesuré avec un chronomètre.
Le CCI retrouvé est de 0,98 ± 0,01 ; la fi abilité interexaminateur
est donc excellente. Le temps de passation de moins de 10'
(8'58 ± 1'57) rend ce bilan pertinent en pratique libérale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91092
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 37-45[article] Le bilan musculaire d'anne-marie chevalier, un outil universel et reproductible ? [texte imprimé] / Alexia Roumegas ; et al. . - 2021 . - p. 37-45.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 37-45
Mots-clés : Reproductibilité des résultats bilan Paralysie faciale Fiabilité interexaminateurs bilan d'Anne-Marie Chevalier Résumé : Le bilan des paralysies faciales d’Anne-Marie Chevalier est un
outil d'évaluation simple à eff ectuer après un temps d’initiation.
Largement enseigné dans les IFMK il est très utilisé par les MK.
Toutefois, ses propriétés psychométriques ne sont pas validées.
L’objectif de cette étude est d’évaluer la fi abilité interexaminateur et la durée de réalisation cet examen, spécifi que aux paralysies faciales.
32 patients ont été inclus et examinés simultanément par deux
kinésithérapeutes. Le coeffi cient de corrélation intraclasse (CCI)
a été analysé selon l’interprétation proposée par Koo et Li. Le
temps de passation a été mesuré avec un chronomètre.
Le CCI retrouvé est de 0,98 ± 0,01 ; la fi abilité interexaminateur
est donc excellente. Le temps de passation de moins de 10'
(8'58 ± 1'57) rend ce bilan pertinent en pratique libérale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91092 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe programme lsvt big® dans la pratique clinique des kinésithérapeutes / Manon Grand in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Le programme lsvt big® dans la pratique clinique des kinésithérapeutes Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Grand ; Cyrille Gailleton Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 25-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pratique clinique Maladie de Parkinson Résumé : La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative résultant de la dégénération des neurones dopaminergique de la substance noire compacte du cerveau [1]. Elle a été pour la première fois décrite par James Parkinson dans « An essay on the Shaking Palsy » en 1817 comme une association de 2 symptômes : le tremblement de repos et la démarche festinante [2]. Elle touche environ 5 millions de personnes dans le monde et représente la deuxième maladie neurodégénérative après la maladie d’Alzheimer en France. La prévalence de cette maladie est estimée à 0-3 % et elle augmente avec l’âge pour atteindre un pic autour de 70 ans [1, 3, 4].
Les signes cliniques moteurs de la maladie sont variables d’un patient à l’autre et comportent :
– la bradykinésie (lenteur d’initiation et diminution d’amplitude et de vitesse lors de la réalisation d’un mouvement) ;
– la rigidité musculaire ;
– le tremblement de repos (4-6 Hz) ;
– l'instabilité posturale.
Il existe aussi des signes non moteurs qui précèdent souvent les signes moteurs tels que la fatigue, des troubles du système olfactif, des troubles du sommeil, des symptômes psychiatriques... Les patients commencent à présenter des symptômes lorsque 50 à 70 % des neurones de la substance noire sont détruits [1, 5].À l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement contre la maladie de parkinson. Les thérapeutiques mises en place ne traitent que les symptômes de la maladie. Le traitement médicamenteux a pour but d’augmenter les concentrations intracérébrales en dopamine ou de mimer l’action de celle-ci en stimulant les récepteurs à la dopamine. On retrouve par exemple la lévodopa, les agonistes de la dopamine, les inhibiteurs de la monoamine oxydase de type B, l'amantadine... Certains patients peuvent aussi se voir proposer un traitement chirurgical par stimulation cérébrale profonde du noyau subthalamique ou du globus pallidus interne lorsque le traitement médicamenteux n’est plus suffisant [5].La maladie continuant à progresser, les effets de ces traitements diminuent et des effets secondaires liés au traitement à long terme peuvent apparaitre tel que des dyskinésies ou la psychose [5].
Associée à ces traitements, la prise en charge kinésithérapique tient une place importante. Cette rééducation fonctionnelle a pour but de maintenir une fonction motrice de qualité le plus longtemps possible. Elle se compose des divers exercices qui ont pour objectif de travailler la force, l’amplitude de mouvement, la posture, la démarche, la coordination et l'équilibrePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91093
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 25-36[article] Le programme lsvt big® dans la pratique clinique des kinésithérapeutes [texte imprimé] / Manon Grand ; Cyrille Gailleton . - 2021 . - p. 25-36.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 25-36
Mots-clés : Pratique clinique Maladie de Parkinson Résumé : La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative résultant de la dégénération des neurones dopaminergique de la substance noire compacte du cerveau [1]. Elle a été pour la première fois décrite par James Parkinson dans « An essay on the Shaking Palsy » en 1817 comme une association de 2 symptômes : le tremblement de repos et la démarche festinante [2]. Elle touche environ 5 millions de personnes dans le monde et représente la deuxième maladie neurodégénérative après la maladie d’Alzheimer en France. La prévalence de cette maladie est estimée à 0-3 % et elle augmente avec l’âge pour atteindre un pic autour de 70 ans [1, 3, 4].
Les signes cliniques moteurs de la maladie sont variables d’un patient à l’autre et comportent :
– la bradykinésie (lenteur d’initiation et diminution d’amplitude et de vitesse lors de la réalisation d’un mouvement) ;
– la rigidité musculaire ;
– le tremblement de repos (4-6 Hz) ;
– l'instabilité posturale.
Il existe aussi des signes non moteurs qui précèdent souvent les signes moteurs tels que la fatigue, des troubles du système olfactif, des troubles du sommeil, des symptômes psychiatriques... Les patients commencent à présenter des symptômes lorsque 50 à 70 % des neurones de la substance noire sont détruits [1, 5].À l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement contre la maladie de parkinson. Les thérapeutiques mises en place ne traitent que les symptômes de la maladie. Le traitement médicamenteux a pour but d’augmenter les concentrations intracérébrales en dopamine ou de mimer l’action de celle-ci en stimulant les récepteurs à la dopamine. On retrouve par exemple la lévodopa, les agonistes de la dopamine, les inhibiteurs de la monoamine oxydase de type B, l'amantadine... Certains patients peuvent aussi se voir proposer un traitement chirurgical par stimulation cérébrale profonde du noyau subthalamique ou du globus pallidus interne lorsque le traitement médicamenteux n’est plus suffisant [5].La maladie continuant à progresser, les effets de ces traitements diminuent et des effets secondaires liés au traitement à long terme peuvent apparaitre tel que des dyskinésies ou la psychose [5].
Associée à ces traitements, la prise en charge kinésithérapique tient une place importante. Cette rééducation fonctionnelle a pour but de maintenir une fonction motrice de qualité le plus longtemps possible. Elle se compose des divers exercices qui ont pour objectif de travailler la force, l’amplitude de mouvement, la posture, la démarche, la coordination et l'équilibrePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91093 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes tests antigéniques / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Les tests antigéniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : Coronavirus Antigènes kinesitherarpie cardio- respiratoire Résumé : Dans le numéro de décembre 2020 [1], nous vous présentions la technique des prélèvements naso-pharyngés, phase pré-analytique des tests RT-PCR. Nous insistions à la fois sur la nécessité de « tester, tracer et isoler » pour diminuer la diffusion de la Covid-19 et sur la possibilité singulière, bien que transitoire, offerte aux kinésithérapeutes d’effectuer des prélèvements biologiques. Cette technique de prélèvement naso-pharyngé trouve désormais un nouveau champ d’application : les tests antigéniques. Leur développement est particulièrement croissant et doit permettre une sortie de deuxième confinement en évitant un nouveau rebond de l’épidémie. Les kinésithérapeutes sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à se mobiliser pour participer à ces tests dont l’objectif est de repérer rapidement les sujets contagieux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91094
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 51-54[article] Les tests antigéniques [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2021 . - p. 51-54.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 51-54
Mots-clés : Coronavirus Antigènes kinesitherarpie cardio- respiratoire Résumé : Dans le numéro de décembre 2020 [1], nous vous présentions la technique des prélèvements naso-pharyngés, phase pré-analytique des tests RT-PCR. Nous insistions à la fois sur la nécessité de « tester, tracer et isoler » pour diminuer la diffusion de la Covid-19 et sur la possibilité singulière, bien que transitoire, offerte aux kinésithérapeutes d’effectuer des prélèvements biologiques. Cette technique de prélèvement naso-pharyngé trouve désormais un nouveau champ d’application : les tests antigéniques. Leur développement est particulièrement croissant et doit permettre une sortie de deuxième confinement en évitant un nouveau rebond de l’épidémie. Les kinésithérapeutes sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à se mobiliser pour participer à ces tests dont l’objectif est de repérer rapidement les sujets contagieux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91094 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtNécessaire, indispensable, essentielle / Christian Dauzac in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Nécessaire, indispensable, essentielle Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Dauzac Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Résumé : Que va nous offrir 2021 pour se faire pardonner 2020 ? Une vaccination qui stoppera la pandémie ? Espèreront les plus naïfs. Les autres, positifs mais réalistes, savent que l’épidémie sera toujours présente, certes mieux maîtrisée, mais dépendante de la durée d’immunité qu’offriront les vaccins. On sait déjà que cette dernière ne devrait pas être éternelle. Le temps scientifique s’est accéléré au cours de l’année écoulée, tout le monde souhaitant le réduire pour mieux répondre à cette crise. La précipitation n’étant pas scientifique, il va nous falloir continuer d’exercer en respectant l’ensemble des règles relatives aux gestes barrières en toutes circonstances.
L’avenir est déjà à nos portes puisque la téléconsultation, soin de repli au début de l’épidémie, est devenue le télésoin reconnu et remboursé au patient. Les acquis de la crise sanitaire sont à souligner.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91095
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 1[article] Nécessaire, indispensable, essentielle [texte imprimé] / Christian Dauzac . - 2021 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 1
Résumé : Que va nous offrir 2021 pour se faire pardonner 2020 ? Une vaccination qui stoppera la pandémie ? Espèreront les plus naïfs. Les autres, positifs mais réalistes, savent que l’épidémie sera toujours présente, certes mieux maîtrisée, mais dépendante de la durée d’immunité qu’offriront les vaccins. On sait déjà que cette dernière ne devrait pas être éternelle. Le temps scientifique s’est accéléré au cours de l’année écoulée, tout le monde souhaitant le réduire pour mieux répondre à cette crise. La précipitation n’étant pas scientifique, il va nous falloir continuer d’exercer en respectant l’ensemble des règles relatives aux gestes barrières en toutes circonstances.
L’avenir est déjà à nos portes puisque la téléconsultation, soin de repli au début de l’épidémie, est devenue le télésoin reconnu et remboursé au patient. Les acquis de la crise sanitaire sont à souligner.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91095 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPrise en charge thérapeutique et principes de rééducation des entorses de la syndesmose tibio-fibulaire inférieure / Adrien Diouf in Kinésithérapie scientifique, 627 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Prise en charge thérapeutique et principes de rééducation des entorses de la syndesmose tibio-fibulaire inférieure Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrien Diouf ; Renaud Guiu ; Damien Hansdeteufel Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 3-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : biomécanique Entorse de la cheville Résumé : La syndesmose tibio-fibulaire est une articulation peu mobile reliant 2 os avec une partie convexe (face médiale de la fibula) et une partie concave (face latérale du tibia avec son incisure fibulaire) [1]. Une fine couche de cartilage recouvre les structures osseuses et un récessus synovial est souvent présent Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91097
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 3-17[article] Prise en charge thérapeutique et principes de rééducation des entorses de la syndesmose tibio-fibulaire inférieure [texte imprimé] / Adrien Diouf ; Renaud Guiu ; Damien Hansdeteufel . - 2021 . - p. 3-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 627 (Janvier 2021) . - p. 3-17
Mots-clés : biomécanique Entorse de la cheville Résumé : La syndesmose tibio-fibulaire est une articulation peu mobile reliant 2 os avec une partie convexe (face médiale de la fibula) et une partie concave (face latérale du tibia avec son incisure fibulaire) [1]. Une fine couche de cartilage recouvre les structures osseuses et un récessus synovial est souvent présent Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91097 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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