Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Février 2021 Paru le : 01/02/2021 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierConflit ischio-fémoral (1ère partie) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Conflit ischio-fémoral (1ère partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol ; Vincent Jacquemin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Nerf ischiatique Résumé :
La neuropathie compressive du nerf sciatique dans la fesse dans sa partie basse est appelée syndrome ou conflit ischio-fémoral (CIF). Il s’agit d’un conflit entre l’ischion et le petit trochanter, ces deux massifs osseux étant séparés par le carré fémoral sur lequel repose le nerf sciatique [1].
La symptomatologie est bien différente par rapport au syndrome du fessier profond mais est assez souvent décrite dans ce syndrome de la traversée fessière.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91087
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 37-42[article] Conflit ischio-fémoral (1ère partie) [texte imprimé] / Pascal Pommerol ; Vincent Jacquemin . - 2021 . - p. 37-42.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 37-42
Mots-clés : Nerf ischiatique Résumé :
La neuropathie compressive du nerf sciatique dans la fesse dans sa partie basse est appelée syndrome ou conflit ischio-fémoral (CIF). Il s’agit d’un conflit entre l’ischion et le petit trochanter, ces deux massifs osseux étant séparés par le carré fémoral sur lequel repose le nerf sciatique [1].
La symptomatologie est bien différente par rapport au syndrome du fessier profond mais est assez souvent décrite dans ce syndrome de la traversée fessière.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91087 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉchographie dans les troubles de la déglutition in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Échographie dans les troubles de la déglutition Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 43-48 Langues : Français (fre) Mots-clés : Déglutition Résumé : Les troubles de la déglutition, bien que sous-diagnostiqués [1], peuvent atteindre une prévalence de 30 % chez les patients hospitalisés [2]. Cette prévalence est particulièrement élevée dans certaines situations cliniques comme les troubles ou maladies neurologiques telle que la maladie de Parkinson (80 %) [3], les maladies neuromusculaires (80 %) [4] ou en post-AVC (81 %) [5]. Dans les cancers de la tête et du cou, notamment après chirurgie, la prévalence peut aller jusqu’à 61 % [6]. En réanimation, ils pourront être la conséquence de l’intubation, des trachéotomies et de la ventilation mécanique prolongée, voire même du motif d’admission en réanimation.La complexité du mécanisme de déglutition ainsi que le manque de spécificité des symptômes souvent rencontrés, nécessite souvent une évaluation multidisciplinaire. Le manque de précision des tests cliniques nécessitera, quant à lui, l’utilisation d’examens complémentaires d’imagerie ou d’endoscopie.L’évaluation clinique de la dysphagie peut comprendre l’évaluation analytique des structures impliquées et l’utilisation de tests composites ou d’essais alimentaires. Le clinicien peut également se servir de questionnaires d’auto-évaluation pour évaluer le ressenti du patient afin d’orienter son exploration.
Dans le cadre de l’évaluation analytique, le kinésithérapeute, après lecture du dossier médical et interrogatoire du patient, procède à l’évaluation de structures telles que les lèvres, les joues, ou la langue ainsi que l’exploration des nerfs crâniens, de l’ascension laryngée et des réflexes impliqués dans la déglutition.Pour les essais alimentaires, de nombreux tests standardisés sont décrits dans la littérature. Ils sont basés sur un test de déglutition et le repérage par le clinicien d’apparition de signes tels que la toux, une désaturation en oxygène ou une modification de la voix, qui peuvent témoigner d’une inhalation . Ces tests diffèrent par les quantités d’aliments tests administrés, la variabilité de leur texture et leur méthodologie.
De nombreuses études ont évalué la validité de ces tests et de l’examen clinique pour le dépistage des troubles de la déglutition. Plusieurs revues de la littérature ont été réalisées ces dernières années et toutes s’accordent sur l’hétérogénéité des études, le grand nombre de méthodes d’évaluations existantes et le manque d’examen standardisé ayant une valeur prédictive suffisante sur différentes populations telles que les maladies neurologiques et neuromusculaires, les cancers de la sphère ORL, chez les sujets âgés ou chez les patients en réanimation.De plus, ces évaluations restent basées sur l’essai alimentaire et ne permettent pas le diagnostic des structures et fonctions déficitaires impliquées dans la déglutition et donc d’orienter la stratégie thérapeutique.
La littérature s’accorde pour définir la vidéofluoroscopie (VFSS) et la fibroscopie de déglutition (FEES) comme les standards de référence dans l’évaluation de la déglutition [11]. Différentes quantités et textures, qui évolueront de façon progressive en fonction du résultat des premiers essais alimentaires, seront utilisés afin d’évaluer les capacités de déglutition du patient.
La visualisation en temps réel de la déglutition permettra au clinicien d’objectiver une inhalation témoignant d’un trouble de la déglutition et d’en estimer la sévérité par le biais des scores tels que le « Dysphagia outcome and severity scale » (DOSS) ou la « Penetration-Aspiration Scale » (PAS).
La FEES, présente l’intérêt de permettre l’évaluation des tissus, des éventuels traumatismes locaux ou la présence de secrétions. De plus, elle permet l’évaluation de la sensibilité du larynx. Cependant, cet examen est souvent inconfortable pour le patient et nécessite l’utilisation fréquente d’un anesthésiant local ce qui altère la sensibilité. Par ailleurs, il existe un manque de protocole standardisé.Ces examens restent basés sur l’analyse subjective de l’examinateur et manquent de standardisation. De plus, la FEES est un examen invasif et qui nécessite souvent l’utilisation d’un anesthésiant. La VFSS, quant à elle, nécessite d’amener le patient à une salle spécifique et de l’exposer aux rayons. Elle nécessite également sa coopération et dépend de ses capacités à tenir la position assise.Dans ce contexte, l’échographie apparaît comme une alternative pour l’évaluation des troubles de la déglutition. Ses atouts font d’elle un excellent outil, faisant partie de la pratique clinique quotidienne de nombreux professionnels dont les kinésithérapeutes dans différents domaines d’exercice.Son utilisation, pour l’évaluation des troubles de la déglutition, est décrite depuis de nombreuses années et offre de nouvelles perspectives pour le kinésithérapeute.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91088
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 43-48[article] Échographie dans les troubles de la déglutition [texte imprimé] . - 2021 . - p. 43-48.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 43-48
Mots-clés : Déglutition Résumé : Les troubles de la déglutition, bien que sous-diagnostiqués [1], peuvent atteindre une prévalence de 30 % chez les patients hospitalisés [2]. Cette prévalence est particulièrement élevée dans certaines situations cliniques comme les troubles ou maladies neurologiques telle que la maladie de Parkinson (80 %) [3], les maladies neuromusculaires (80 %) [4] ou en post-AVC (81 %) [5]. Dans les cancers de la tête et du cou, notamment après chirurgie, la prévalence peut aller jusqu’à 61 % [6]. En réanimation, ils pourront être la conséquence de l’intubation, des trachéotomies et de la ventilation mécanique prolongée, voire même du motif d’admission en réanimation.La complexité du mécanisme de déglutition ainsi que le manque de spécificité des symptômes souvent rencontrés, nécessite souvent une évaluation multidisciplinaire. Le manque de précision des tests cliniques nécessitera, quant à lui, l’utilisation d’examens complémentaires d’imagerie ou d’endoscopie.L’évaluation clinique de la dysphagie peut comprendre l’évaluation analytique des structures impliquées et l’utilisation de tests composites ou d’essais alimentaires. Le clinicien peut également se servir de questionnaires d’auto-évaluation pour évaluer le ressenti du patient afin d’orienter son exploration.
Dans le cadre de l’évaluation analytique, le kinésithérapeute, après lecture du dossier médical et interrogatoire du patient, procède à l’évaluation de structures telles que les lèvres, les joues, ou la langue ainsi que l’exploration des nerfs crâniens, de l’ascension laryngée et des réflexes impliqués dans la déglutition.Pour les essais alimentaires, de nombreux tests standardisés sont décrits dans la littérature. Ils sont basés sur un test de déglutition et le repérage par le clinicien d’apparition de signes tels que la toux, une désaturation en oxygène ou une modification de la voix, qui peuvent témoigner d’une inhalation . Ces tests diffèrent par les quantités d’aliments tests administrés, la variabilité de leur texture et leur méthodologie.
De nombreuses études ont évalué la validité de ces tests et de l’examen clinique pour le dépistage des troubles de la déglutition. Plusieurs revues de la littérature ont été réalisées ces dernières années et toutes s’accordent sur l’hétérogénéité des études, le grand nombre de méthodes d’évaluations existantes et le manque d’examen standardisé ayant une valeur prédictive suffisante sur différentes populations telles que les maladies neurologiques et neuromusculaires, les cancers de la sphère ORL, chez les sujets âgés ou chez les patients en réanimation.De plus, ces évaluations restent basées sur l’essai alimentaire et ne permettent pas le diagnostic des structures et fonctions déficitaires impliquées dans la déglutition et donc d’orienter la stratégie thérapeutique.
La littérature s’accorde pour définir la vidéofluoroscopie (VFSS) et la fibroscopie de déglutition (FEES) comme les standards de référence dans l’évaluation de la déglutition [11]. Différentes quantités et textures, qui évolueront de façon progressive en fonction du résultat des premiers essais alimentaires, seront utilisés afin d’évaluer les capacités de déglutition du patient.
La visualisation en temps réel de la déglutition permettra au clinicien d’objectiver une inhalation témoignant d’un trouble de la déglutition et d’en estimer la sévérité par le biais des scores tels que le « Dysphagia outcome and severity scale » (DOSS) ou la « Penetration-Aspiration Scale » (PAS).
La FEES, présente l’intérêt de permettre l’évaluation des tissus, des éventuels traumatismes locaux ou la présence de secrétions. De plus, elle permet l’évaluation de la sensibilité du larynx. Cependant, cet examen est souvent inconfortable pour le patient et nécessite l’utilisation fréquente d’un anesthésiant local ce qui altère la sensibilité. Par ailleurs, il existe un manque de protocole standardisé.Ces examens restent basés sur l’analyse subjective de l’examinateur et manquent de standardisation. De plus, la FEES est un examen invasif et qui nécessite souvent l’utilisation d’un anesthésiant. La VFSS, quant à elle, nécessite d’amener le patient à une salle spécifique et de l’exposer aux rayons. Elle nécessite également sa coopération et dépend de ses capacités à tenir la position assise.Dans ce contexte, l’échographie apparaît comme une alternative pour l’évaluation des troubles de la déglutition. Ses atouts font d’elle un excellent outil, faisant partie de la pratique clinique quotidienne de nombreux professionnels dont les kinésithérapeutes dans différents domaines d’exercice.Son utilisation, pour l’évaluation des troubles de la déglutition, est décrite depuis de nombreuses années et offre de nouvelles perspectives pour le kinésithérapeute.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91088 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtIntérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique / Thierry Peron-Magnan in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Intérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Peron-Magnan Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystonie Toxines botuliniques Crampe musculaire Main Résumé : L’étiopathogénie de la dystonie et donc de la crampe de l’écrivain, n’est pas à ce jour clairement identifiée. La théorie qui prévaut, en s’appuyant sur les modèles animaux et sur les lésions observables dans les dystonies secondaires chez l’homme, est celle d’un dysfonctionnement sensorimoteur d’origine centrale. Le cortex moteur primaire (M1), sensoriel (S1), les boucles cortico-sous-corticales, les ganglions de la base, seraient les sièges possibles de ces dysfonctionnements.
Le traitement actuel recommandé est la rééducation fonctionnelle avec ou sans adjonction d’injection de toxine botulique. La toxine inhiberait, en présynaptique, l’action des neurotransmetteurs au niveau musculaire.
Il est en général admis que l’on optimise la prise en charge en associant des injections de toxine botulique et de la rééducation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91091
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 5-9[article] Intérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique [texte imprimé] / Thierry Peron-Magnan . - 2021 . - p. 5-9.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 5-9
Mots-clés : Dystonie Toxines botuliniques Crampe musculaire Main Résumé : L’étiopathogénie de la dystonie et donc de la crampe de l’écrivain, n’est pas à ce jour clairement identifiée. La théorie qui prévaut, en s’appuyant sur les modèles animaux et sur les lésions observables dans les dystonies secondaires chez l’homme, est celle d’un dysfonctionnement sensorimoteur d’origine centrale. Le cortex moteur primaire (M1), sensoriel (S1), les boucles cortico-sous-corticales, les ganglions de la base, seraient les sièges possibles de ces dysfonctionnements.
Le traitement actuel recommandé est la rééducation fonctionnelle avec ou sans adjonction d’injection de toxine botulique. La toxine inhiberait, en présynaptique, l’action des neurotransmetteurs au niveau musculaire.
Il est en général admis que l’on optimise la prise en charge en associant des injections de toxine botulique et de la rééducation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91091 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPrise de décision pour la rééducation du relever du sol chez la personne âgée : étude préliminaire / Frédéric Desramault in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Prise de décision pour la rééducation du relever du sol chez la personne âgée : étude préliminaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Desramault ; Marine BRIKA ; L. Coquisart ; France Mourey Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 11-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Gériatrie CHUTE Résumé : La conséquence majeure de la station au sol prolongée pour les personnes âgées est le risque accru de décès dans l’année suivant cette chute [1]. Ce constat, retrouvé dans nombre d’articles scientifiques montre la gravité de la chute et l’impact de la station au sol prolongée chez le sujet âgé [2]. Il est important de préciser qu’environ 450 000 chutes requérant un passage aux urgences ont lieu chez les sujets de plus de 65 ans chaque année en France. Plus de 9 000 personnes décèdent des suites d’une chute, avec ou sans station au sol prolongée [3, 4]. Ces chiffres font écho aux données de santé publique, mettant en évidence une augmentation importante du nombre de sujets âgés de plus de 75 ans. En effet, nous en comptions 5,7 millions en 2012, ils seront 12 millions en 2060 [5].
Par ailleurs, bien que les recommandations de pratique professionnelle proposent d’évaluer et pratiquer le relever du sol auprès des sujets âgés [2, 6, 7] la littérature scientifique évoque que l’exercice est peu proposé par les rééducateurs, au cours d’une prise en soin [8-13]. Ceci s’explique par les résistances et potentiels refus des personnes âgées qui se sentent incapables de se relever du sol ou qui présentent une appréhension majeure à l’idée de réexpérimenter sensoriellement une station au sol, surtout si la précédente s’est soldée par une incapacité à s’en relever. Les sujets évoquent par ailleurs leur âge ou leur surcharge pondérale pour motiver leur refus, ce qui est corroboré par la littérature scientifique qui indique que plus l’âge augmente, moins le sujet âgé est spontanément capable de se relever du sol [10-15]. Les résistances peuvent également provenir des rééducateurs parfois réticents à l’idée de proposer cet exercice [10], par manque de connaissance de la technique, par peur de ne pouvoir relever un sujet assis au sol par manque de force entre autre et de provoquer des douleurs.
Toutefois, à défaut d’évaluer systématiquement la capacité à se relever du sol, les rééducateurs utilisent plus fréquemment dans leur pratique quotidienne des tests fonctionnels d’évaluation de l’équilibre (TMM, test de Tinetti, TUG, etc.).
L’objectif de l’étude qui suit a donc consisté à évaluer la présence d’un lien entre les tests fonctionnels d’évaluation gériatrique et trois autres paramètres (âge, indice de masse corporelle (IMC) et la présence d’une gonalgie) avec la capacité à se relever du sol. À partir de cette étude nous avons élaboré un outil aidant le rééducateur dans sa prise de décision pour proposer le relever du sol aux personnes âgées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91096
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 11-18[article] Prise de décision pour la rééducation du relever du sol chez la personne âgée : étude préliminaire [texte imprimé] / Frédéric Desramault ; Marine BRIKA ; L. Coquisart ; France Mourey . - 2021 . - p. 11-18.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 11-18
Mots-clés : Gériatrie CHUTE Résumé : La conséquence majeure de la station au sol prolongée pour les personnes âgées est le risque accru de décès dans l’année suivant cette chute [1]. Ce constat, retrouvé dans nombre d’articles scientifiques montre la gravité de la chute et l’impact de la station au sol prolongée chez le sujet âgé [2]. Il est important de préciser qu’environ 450 000 chutes requérant un passage aux urgences ont lieu chez les sujets de plus de 65 ans chaque année en France. Plus de 9 000 personnes décèdent des suites d’une chute, avec ou sans station au sol prolongée [3, 4]. Ces chiffres font écho aux données de santé publique, mettant en évidence une augmentation importante du nombre de sujets âgés de plus de 75 ans. En effet, nous en comptions 5,7 millions en 2012, ils seront 12 millions en 2060 [5].
Par ailleurs, bien que les recommandations de pratique professionnelle proposent d’évaluer et pratiquer le relever du sol auprès des sujets âgés [2, 6, 7] la littérature scientifique évoque que l’exercice est peu proposé par les rééducateurs, au cours d’une prise en soin [8-13]. Ceci s’explique par les résistances et potentiels refus des personnes âgées qui se sentent incapables de se relever du sol ou qui présentent une appréhension majeure à l’idée de réexpérimenter sensoriellement une station au sol, surtout si la précédente s’est soldée par une incapacité à s’en relever. Les sujets évoquent par ailleurs leur âge ou leur surcharge pondérale pour motiver leur refus, ce qui est corroboré par la littérature scientifique qui indique que plus l’âge augmente, moins le sujet âgé est spontanément capable de se relever du sol [10-15]. Les résistances peuvent également provenir des rééducateurs parfois réticents à l’idée de proposer cet exercice [10], par manque de connaissance de la technique, par peur de ne pouvoir relever un sujet assis au sol par manque de force entre autre et de provoquer des douleurs.
Toutefois, à défaut d’évaluer systématiquement la capacité à se relever du sol, les rééducateurs utilisent plus fréquemment dans leur pratique quotidienne des tests fonctionnels d’évaluation de l’équilibre (TMM, test de Tinetti, TUG, etc.).
L’objectif de l’étude qui suit a donc consisté à évaluer la présence d’un lien entre les tests fonctionnels d’évaluation gériatrique et trois autres paramètres (âge, indice de masse corporelle (IMC) et la présence d’une gonalgie) avec la capacité à se relever du sol. À partir de cette étude nous avons élaboré un outil aidant le rééducateur dans sa prise de décision pour proposer le relever du sol aux personnes âgées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91096 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtReconstruction du ligament croisé antérieur au didt et facteurs de risques des troubles de la marche associés : une étude multicentrique contrôlée / Marine Gaignion in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Reconstruction du ligament croisé antérieur au didt et facteurs de risques des troubles de la marche associés : une étude multicentrique contrôlée Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine Gaignion, Auteur ; Jean Mazeas, Auteur ; Florian Forelli, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 19-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs Ligament croisé antérieur Résumé : La rupture du ligament croisé antérieur (LCA) est la lésion ligamentaire grave la plus fréquente avec 65 % des traumatismes dans la pratique sportive [1]. En effet, elle survient dans 20 % des cas lorsque le genou subit une altercation au cours d’une activité physique [2].
Ces ruptures du ligament croisé antérieur sont, de plus en plus, traitées chirurgicalement afin d’éviter l’apparition précoce de pathologies associées comme des pathologies méniscales ou l’apparition précoce de l’arthrose. En effet, le risque de développer des lésions méniscales ou une instabilité chronique du genou est de 20 %. Plus de 50 % des patients ayant une déficience du LCA présentent des signes radiologiques d’arthrose du genou 10 ans après leur blessure [3-5].
Aujourd’hui, on sait que la reconstruction permet de réduire les conséquences arthrosiques ainsi que l’instabilité antéro-postérieure et antéro-externe [6].
De plus en plus, la reconstruction a lieu dans des délais assez courts suite à la lésion. Certains auteurs considèrent que, dès 6 mois après une rupture de LCA, sans intervention opératoire, on peut observer des symptômes de dégénérescence des ménisques. Ainsi, ils préconisent une reconstruction dans l'année suivant la blessure afin d’éviter ces complications [7].
Dans une population sportive on considère le pourcentage de reconstruction chirurgicale à 76,6 % [8]. À titre d’exemple, la France a recensé 41 000 opérations de reconstruction du ligament croisé antérieur en 2012, ce qui représente un réel souci de santé publique ainsi qu’un coût économique non négligeable.
Bien souvent, malgré la reconstruction du LCA, persiste des asymétries des membres inférieurs. Ces asymétries sont responsables de troubles de la marche qui apparaissent à partir du premier mois postopératoire jusqu’à 6 mois parfois, voire quelques années après l’opération [9-16]. Il n’est pas rare qu’un geste chirurgical associé sur le ménisque puisse aggraver ces troubles de la marche [12, 13].
A fortiori, on imagine que ces défauts de marche affectent non seulement le fonctionnement du système musculo-squelettique et la cinématique du membre opéré, mais représentent également un danger pour les paramètres de marche du membre non opéré [17]. Ces troubles de la marche, tels qu’ils sont décrits dans la littérature, peuvent être responsables à long terme de l’apparition d’autres troubles ou lésions non désirées.
Afin de pouvoir proposer la meilleure rééducation possible aux patients, il semble important de déterminer s’il existe des facteurs de risque d’apparition des troubles de la marche suite à une reconstruction du LCA par ligamentoplastie. Ainsi, on peut se demander quels sont facteurs de risque des troubles de la marche post-ligamentoplastie du LCA à 3 mois et à 6 mois.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91098
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 19-29[article] Reconstruction du ligament croisé antérieur au didt et facteurs de risques des troubles de la marche associés : une étude multicentrique contrôlée [texte imprimé] / Marine Gaignion, Auteur ; Jean Mazeas, Auteur ; Florian Forelli, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p. 19-29.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 19-29
Mots-clés : Traumatismes sportifs Ligament croisé antérieur Résumé : La rupture du ligament croisé antérieur (LCA) est la lésion ligamentaire grave la plus fréquente avec 65 % des traumatismes dans la pratique sportive [1]. En effet, elle survient dans 20 % des cas lorsque le genou subit une altercation au cours d’une activité physique [2].
Ces ruptures du ligament croisé antérieur sont, de plus en plus, traitées chirurgicalement afin d’éviter l’apparition précoce de pathologies associées comme des pathologies méniscales ou l’apparition précoce de l’arthrose. En effet, le risque de développer des lésions méniscales ou une instabilité chronique du genou est de 20 %. Plus de 50 % des patients ayant une déficience du LCA présentent des signes radiologiques d’arthrose du genou 10 ans après leur blessure [3-5].
Aujourd’hui, on sait que la reconstruction permet de réduire les conséquences arthrosiques ainsi que l’instabilité antéro-postérieure et antéro-externe [6].
De plus en plus, la reconstruction a lieu dans des délais assez courts suite à la lésion. Certains auteurs considèrent que, dès 6 mois après une rupture de LCA, sans intervention opératoire, on peut observer des symptômes de dégénérescence des ménisques. Ainsi, ils préconisent une reconstruction dans l'année suivant la blessure afin d’éviter ces complications [7].
Dans une population sportive on considère le pourcentage de reconstruction chirurgicale à 76,6 % [8]. À titre d’exemple, la France a recensé 41 000 opérations de reconstruction du ligament croisé antérieur en 2012, ce qui représente un réel souci de santé publique ainsi qu’un coût économique non négligeable.
Bien souvent, malgré la reconstruction du LCA, persiste des asymétries des membres inférieurs. Ces asymétries sont responsables de troubles de la marche qui apparaissent à partir du premier mois postopératoire jusqu’à 6 mois parfois, voire quelques années après l’opération [9-16]. Il n’est pas rare qu’un geste chirurgical associé sur le ménisque puisse aggraver ces troubles de la marche [12, 13].
A fortiori, on imagine que ces défauts de marche affectent non seulement le fonctionnement du système musculo-squelettique et la cinématique du membre opéré, mais représentent également un danger pour les paramètres de marche du membre non opéré [17]. Ces troubles de la marche, tels qu’ils sont décrits dans la littérature, peuvent être responsables à long terme de l’apparition d’autres troubles ou lésions non désirées.
Afin de pouvoir proposer la meilleure rééducation possible aux patients, il semble important de déterminer s’il existe des facteurs de risque d’apparition des troubles de la marche suite à une reconstruction du LCA par ligamentoplastie. Ainsi, on peut se demander quels sont facteurs de risque des troubles de la marche post-ligamentoplastie du LCA à 3 mois et à 6 mois.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91098 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSyndrome du conflit fémoro-acétabulaire / Patrick Dorie in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Syndrome du conflit fémoro-acétabulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Dorie, Auteur ; Franck Lagniaux, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 31-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs gainage Hanche Acétabulum Conflit fémoro-acétabulaire Résumé : Le syndrome du conflit fémoro-acétabulaire (SCFA) représente une pathologie chez les sportifs pouvant entraîner un dysfonctionnement important.
Cette pathologie de description et de compréhension relativement récente, méconnue se retrouve préférentiellement dans des sports comme le football, le hockey, les arts martiaux, la danse ou la gymnastique [1]. Elle peut être source de freins majeurs à l’activité. Elle se retrouve plus fréquemment chez le sujet jeune [2]. Une attention particulière sera donc portée pendant les pics de croissance. Une spécificité de poste peut se retrouver, en lien à des sollicitations de fortes amplitudes (fig. 1) ou des changements de direction.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91099
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 31-35[article] Syndrome du conflit fémoro-acétabulaire [texte imprimé] / Patrick Dorie, Auteur ; Franck Lagniaux, Auteur . - 2021 . - p. 31-35.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 31-35
Mots-clés : Traumatismes sportifs gainage Hanche Acétabulum Conflit fémoro-acétabulaire Résumé : Le syndrome du conflit fémoro-acétabulaire (SCFA) représente une pathologie chez les sportifs pouvant entraîner un dysfonctionnement important.
Cette pathologie de description et de compréhension relativement récente, méconnue se retrouve préférentiellement dans des sports comme le football, le hockey, les arts martiaux, la danse ou la gymnastique [1]. Elle peut être source de freins majeurs à l’activité. Elle se retrouve plus fréquemment chez le sujet jeune [2]. Une attention particulière sera donc portée pendant les pics de croissance. Une spécificité de poste peut se retrouver, en lien à des sollicitations de fortes amplitudes (fig. 1) ou des changements de direction.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91099 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtToux chronique et toux réfractaire : évaluation et traitement en kinésithérapie / Grégoire Passard in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Toux chronique et toux réfractaire : évaluation et traitement en kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Grégoire Passard ; Bertrand Selleron Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 49-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : Toux / diagnostic Toux / classification Résumé : La toux est un motif de consultation fréquent pour les patients. Elle survient le plus souvent dans un contexte d’infection virale et se résout spontanément en quelques jours, voire quelques semaines. On parle de toux chronique lorsque celle-ci persiste plus de 8 semaines. Sa prévalence dans la population générale en Europe serait de 12,7 % [1]. Il n’est donc pas rare que les kinésithérapeutes soient confrontés à cette affection, d’autant plus dans le cas d’une prise en charge respiratoire.Cet article abordera uniquement la toux chronique chez l’adulte, les stratégies étant différentes chez les enfants. La toux réfractaire, quant à elle, est une notion qui se définit par rapport à l’absence d’amélioration des symptômes suite aux traitements entrepris.La toux a des conséquences physiques (douleurs musculo-squelettiques, perturbation du sommeil, modification de la voix), psychologiques (dépression, catastrophisme) et sociales (perturbations des relations personnelles et professionnelles). L’impact sur la qualité de vie est particulièrement important. Une enquête européenne portant sur 1 120 répondants s’est intéressée à l’impact de la toux sur la qualité de vie [2]. En France, 75 % des répondants ont indiqué que la toux avait un impact négatif sur leurs activités, 92 % se sentaient déprimés, 97 % ressentaient un impact négatif sur leur qualité de vie et 95 % avaient l’impression que leur toux perturbait leur entourage. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91100
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 49-51[article] Toux chronique et toux réfractaire : évaluation et traitement en kinésithérapie [texte imprimé] / Grégoire Passard ; Bertrand Selleron . - 2021 . - p. 49-51.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 49-51
Mots-clés : Toux / diagnostic Toux / classification Résumé : La toux est un motif de consultation fréquent pour les patients. Elle survient le plus souvent dans un contexte d’infection virale et se résout spontanément en quelques jours, voire quelques semaines. On parle de toux chronique lorsque celle-ci persiste plus de 8 semaines. Sa prévalence dans la population générale en Europe serait de 12,7 % [1]. Il n’est donc pas rare que les kinésithérapeutes soient confrontés à cette affection, d’autant plus dans le cas d’une prise en charge respiratoire.Cet article abordera uniquement la toux chronique chez l’adulte, les stratégies étant différentes chez les enfants. La toux réfractaire, quant à elle, est une notion qui se définit par rapport à l’absence d’amélioration des symptômes suite aux traitements entrepris.La toux a des conséquences physiques (douleurs musculo-squelettiques, perturbation du sommeil, modification de la voix), psychologiques (dépression, catastrophisme) et sociales (perturbations des relations personnelles et professionnelles). L’impact sur la qualité de vie est particulièrement important. Une enquête européenne portant sur 1 120 répondants s’est intéressée à l’impact de la toux sur la qualité de vie [2]. En France, 75 % des répondants ont indiqué que la toux avait un impact négatif sur leurs activités, 92 % se sentaient déprimés, 97 % ressentaient un impact négatif sur leur qualité de vie et 95 % avaient l’impression que leur toux perturbait leur entourage. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91100 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtUne seule santé / Christian Dauzac in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Une seule santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Dauzac Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Mots-clés : santé (concept) Résumé : Le concept de bonne santé change parce que le monde a changé. L’activité humaine devient une menace pour la santé et pour les générations futures. Les recherches sur les origines développementales(1) de la santé et des maladies démontrent les effets potentiellement néfastes des atteintes précoces, de la vie fœtale à l’adolescence, sur la santé des individus et sur leurs conditions de vie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91101
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 1[article] Une seule santé [texte imprimé] / Christian Dauzac . - 2021 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 1
Mots-clés : santé (concept) Résumé : Le concept de bonne santé change parce que le monde a changé. L’activité humaine devient une menace pour la santé et pour les générations futures. Les recherches sur les origines développementales(1) de la santé et des maladies démontrent les effets potentiellement néfastes des atteintes précoces, de la vie fœtale à l’adolescence, sur la santé des individus et sur leurs conditions de vie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91101 Exemplaires (1)
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