Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Paru le : 01/02/2020 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierExtension du domaine de la kinésithérapie / Christian Dauzac in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : Extension du domaine de la kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Dauzac, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Note de contenu : Les évolutions qui ont concerné la définition de la profession, les rôles et les missions du kinésithérapeute et le programme des études, l’affranchissent progressivement de la tutelle médicale. Dans le cadre de la réforme des études de santé [1] à partir de la rentrée 2021, le recrutement sera plus large, les étudiants intègreront toujours les écoles de kinésithérapie après une première année universitaire validée, mais sa part « santé » sera abordée de manière variée, en fonction des parcours et des universités.
Comment ne pas observer l’extension du domaine de la kinésithérapie ? 4 années d’études professionnelles, des missions qui la définissent, plutôt que des actes, une responsabilité accrue du traitement avec le libre choix des techniques jugées les plus adaptées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83646
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 1[article] Extension du domaine de la kinésithérapie [texte imprimé] / Christian Dauzac, Auteur . - 2020 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 1
Note de contenu : Les évolutions qui ont concerné la définition de la profession, les rôles et les missions du kinésithérapeute et le programme des études, l’affranchissent progressivement de la tutelle médicale. Dans le cadre de la réforme des études de santé [1] à partir de la rentrée 2021, le recrutement sera plus large, les étudiants intègreront toujours les écoles de kinésithérapie après une première année universitaire validée, mais sa part « santé » sera abordée de manière variée, en fonction des parcours et des universités.
Comment ne pas observer l’extension du domaine de la kinésithérapie ? 4 années d’études professionnelles, des missions qui la définissent, plutôt que des actes, une responsabilité accrue du traitement avec le libre choix des techniques jugées les plus adaptées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83646 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtFONCTION MUSCULAIRE, POSTURE ET LOCOMOTION CHEZ LES PERSONNES EN SITUATION D'OBÉSITÉ : effet conjugué de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique et de l'activité physique / Alice Bellicha in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : FONCTION MUSCULAIRE, POSTURE ET LOCOMOTION CHEZ LES PERSONNES EN SITUATION D'OBÉSITÉ : effet conjugué de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique et de l'activité physique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Bellicha ; Cécile Ciangura ; Jean-Michel Oppert ; Pierre Portero Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 5-14 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité physique Obésité Entraînement autogène Résumé : L’obésité est définie comme un excès de masse grasse qui entraîne des inconvénients pour la santé [1]. Son diagnostic repose sur la mesure de l’indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur la taille au carré exprimé en kg.m-2), avec les seuils de 30, 35 et 40 kg/m-2 retenus pour définir l’obésité grades I, II et III (ou modérée, sévère et massive) chez l’adulte.
Selon les dernières enquêtes OBEPI (2012) et ESTEBAN (2017), respectivement 15 et 17 % de la population adulte française présentent une obésité [2, 3]. La prévalence de l’obésité aurait ainsi presque doublé depuis la première enquête OBEPI réalisée en 1997. La prévalence de l’obésité de grade III a particulièrement augmenté, passant de 0,4 % de la population adulte en 1997 à 1,2 % en 2012 [2].
L’activité physique (AP) joue un rôle important dans la prise en charge de l’obésité. Ses bénéfices sont en effet bien démontrés sur la prévention des principales complications cardio-métaboliques de l'obésité (en particulier le diabète de type 2) et sur l'amélioration de la capacité physique [1]. Les bénéfices de l'AP dans certaines situations spécifiques, comme celle de la chirurgie bariatrique, nécessitent cependant d'être mieux définis. La chirurgie bariatrique correspond à différents types d’interventions chirurgicales réduisant la taille de l’estomac, et limitant de ce fait la prise alimentaire, avec ou sans court-circuit intestinal, limitant l’absorption des nutriments. Elle est aujourd’hui considérée comme le traitement le plus efficace à long terme de l’obésité sévère, et le nombre d’actes de chirurgie bariatrique a considérablement augmenté, passant en France de 15 000 par an en 2006 à plus de 40 000 par an en 2013 [4].
L'intervention bariatrique la plus souvent réalisée en France est la gastrectomie en manchon (ou sleeve) qui est une intervention uniquement restrictive et le court-circuit gastrique (ou bypass en Y) qui est une intervention à la fois restrictive et malabsorptive. L'essentiel de la perte de poids est obtenu au cours de la première année postopératoire (-30 % du poids initial en un an) [5]. Si une reprise de poids progressive est souvent observée à distance, la perte de poids reste significative, de l’ordre de 20 % après 20 ans de suivi [6].
La chirurgie bariatrique entraîne par ailleurs d'importants bénéfices de santé : diminution du risque de mortalité de 29 %, de l'incidence du diabète de type 2 de 83 %, d'accident coronaire aigu de 29 %, d'accident vasculaire cérébral de 34 % et de cancers chez les femmes de 42 % [6] ; ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie [7] et de la capacité physique fonctionnelle [8]. Un nombre relativement restreint d'études a évalué l’effet de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, et le rôle spécifique de l'AP dans ce contexte.Après avoir rappelé les effets de l’obésité sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, nous présenterons une synthèse de la littérature décrivant les effets de la chirurgie bariatrique sur ces trois paramètres, puis les effets bénéfiques de l’AP dans le contexte de chirurgie bariatrique. Nous présenterons ensuite les méthodes de mesure de l’AP et de la fonction musculaire pouvant être utilisées chez les sujets obèses. Enfin, nous présenterons les recommandations actuelles d’AP pour ces patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83647
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 5-14[article] FONCTION MUSCULAIRE, POSTURE ET LOCOMOTION CHEZ LES PERSONNES EN SITUATION D'OBÉSITÉ : effet conjugué de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique et de l'activité physique [texte imprimé] / Alice Bellicha ; Cécile Ciangura ; Jean-Michel Oppert ; Pierre Portero . - 2020 . - p. 5-14.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 5-14
Mots-clés : activité physique Obésité Entraînement autogène Résumé : L’obésité est définie comme un excès de masse grasse qui entraîne des inconvénients pour la santé [1]. Son diagnostic repose sur la mesure de l’indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur la taille au carré exprimé en kg.m-2), avec les seuils de 30, 35 et 40 kg/m-2 retenus pour définir l’obésité grades I, II et III (ou modérée, sévère et massive) chez l’adulte.
Selon les dernières enquêtes OBEPI (2012) et ESTEBAN (2017), respectivement 15 et 17 % de la population adulte française présentent une obésité [2, 3]. La prévalence de l’obésité aurait ainsi presque doublé depuis la première enquête OBEPI réalisée en 1997. La prévalence de l’obésité de grade III a particulièrement augmenté, passant de 0,4 % de la population adulte en 1997 à 1,2 % en 2012 [2].
L’activité physique (AP) joue un rôle important dans la prise en charge de l’obésité. Ses bénéfices sont en effet bien démontrés sur la prévention des principales complications cardio-métaboliques de l'obésité (en particulier le diabète de type 2) et sur l'amélioration de la capacité physique [1]. Les bénéfices de l'AP dans certaines situations spécifiques, comme celle de la chirurgie bariatrique, nécessitent cependant d'être mieux définis. La chirurgie bariatrique correspond à différents types d’interventions chirurgicales réduisant la taille de l’estomac, et limitant de ce fait la prise alimentaire, avec ou sans court-circuit intestinal, limitant l’absorption des nutriments. Elle est aujourd’hui considérée comme le traitement le plus efficace à long terme de l’obésité sévère, et le nombre d’actes de chirurgie bariatrique a considérablement augmenté, passant en France de 15 000 par an en 2006 à plus de 40 000 par an en 2013 [4].
L'intervention bariatrique la plus souvent réalisée en France est la gastrectomie en manchon (ou sleeve) qui est une intervention uniquement restrictive et le court-circuit gastrique (ou bypass en Y) qui est une intervention à la fois restrictive et malabsorptive. L'essentiel de la perte de poids est obtenu au cours de la première année postopératoire (-30 % du poids initial en un an) [5]. Si une reprise de poids progressive est souvent observée à distance, la perte de poids reste significative, de l’ordre de 20 % après 20 ans de suivi [6].
La chirurgie bariatrique entraîne par ailleurs d'importants bénéfices de santé : diminution du risque de mortalité de 29 %, de l'incidence du diabète de type 2 de 83 %, d'accident coronaire aigu de 29 %, d'accident vasculaire cérébral de 34 % et de cancers chez les femmes de 42 % [6] ; ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie [7] et de la capacité physique fonctionnelle [8]. Un nombre relativement restreint d'études a évalué l’effet de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, et le rôle spécifique de l'AP dans ce contexte.Après avoir rappelé les effets de l’obésité sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, nous présenterons une synthèse de la littérature décrivant les effets de la chirurgie bariatrique sur ces trois paramètres, puis les effets bénéfiques de l’AP dans le contexte de chirurgie bariatrique. Nous présenterons ensuite les méthodes de mesure de l’AP et de la fonction musculaire pouvant être utilisées chez les sujets obèses. Enfin, nous présenterons les recommandations actuelles d’AP pour ces patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83647 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'échographie pulmonaire par le kinésithérapeute : un développement international grandissant / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : L'échographie pulmonaire par le kinésithérapeute : un développement international grandissant Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 45-49 Langues : Français (fre) Résumé : L’échographie pulmonaire est l’une des applications les plus récentes de l’échographie en médecine. En effet, celle-ci a été longtemps délaissée en raison de la présence d’air dans le poumon : l’ultrason ne franchissant pas la barrière aérique, il apparaissait futile d’explorer le poumon à l’aide d’un échographe. Mais la persévérance du Dr Daniel Lichtenstein, réanimateur français et père de l’échographie pulmonaire et de son équipe de l’Hôpital Ambroise-Paré à Paris, a permis la démocratisation de cet outil [1].
Dès les année 1980, l’équipe de Daniel Lichtenstein utilisait l’échographie pulmonaire chez le patient admis aux urgences ou en réanimation, notamment dans le diagnostic différentiel d’une dyspnée aiguë. Cette situation urgente nécessitait, et nécessite toujours, d’établir un diagnostic rapide afin de mettre en place le traitement permettant de sauver la vie du patient. Les outils usuels, tels que la radiographie thoracique ou l’examen physique, montraient leurs limites en termes de précision et le scanner thoracique était à l’époque à son balbutiement. Leur utilisation routinière de l’échographie cardiaque leur a permis de découvrir les signes pulmonaires associés en présence de cette situation clinique critique.La sémiologie en échographie pulmonaire était alors connue par cette équipe française dès la fin des années 1980 et la mention publique d’un algorithme décisionnel utilisant les données échographiques pulmonaires faisait son apparition. Cet algorithme permettait le diagnostic différentiel de la dyspnée aiguë avec une plus grande précision, et donc une moindre perte de chance pour le patient, et apparaissait au début des années 1990. Avant de pouvoir publier cet algorithme, il aura fallu aux auteurs de nombreuses publications préliminaires décrivant la sémiologie en échographie pulmonaire, inconnue jusque-là, se confrontant ainsi à de nombreux rejets dans les revues scientifiques par des relecteurs doutant de l’intérêt de l’outil.Les difficultés rencontrées par le Dr Lichtenstein dans la publication de ces données ont retardé le partage des connaissances sur ce sujet, puisque ces publications se sont étalées de 1993 à 2008, date de la publication de l’algorithme décisionnel impliquant l’échographie dans la dyspnée aiguë, aujourd’hui plus largement utilisé par les médecins urgentistes et réanimateurs.Les années 2010 marquent un accroissement exponentiel des publications scientifiques sur l’échographie pulmonaire, signes de l’intérêt grandissant de l’outil en médecine d’urgence, de réanimation et maintenant de pneumologie, de néphrologie, de cardiologie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83648
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 45-49[article] L'échographie pulmonaire par le kinésithérapeute : un développement international grandissant [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre . - 2020 . - p. 45-49.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 45-49
Résumé : L’échographie pulmonaire est l’une des applications les plus récentes de l’échographie en médecine. En effet, celle-ci a été longtemps délaissée en raison de la présence d’air dans le poumon : l’ultrason ne franchissant pas la barrière aérique, il apparaissait futile d’explorer le poumon à l’aide d’un échographe. Mais la persévérance du Dr Daniel Lichtenstein, réanimateur français et père de l’échographie pulmonaire et de son équipe de l’Hôpital Ambroise-Paré à Paris, a permis la démocratisation de cet outil [1].
Dès les année 1980, l’équipe de Daniel Lichtenstein utilisait l’échographie pulmonaire chez le patient admis aux urgences ou en réanimation, notamment dans le diagnostic différentiel d’une dyspnée aiguë. Cette situation urgente nécessitait, et nécessite toujours, d’établir un diagnostic rapide afin de mettre en place le traitement permettant de sauver la vie du patient. Les outils usuels, tels que la radiographie thoracique ou l’examen physique, montraient leurs limites en termes de précision et le scanner thoracique était à l’époque à son balbutiement. Leur utilisation routinière de l’échographie cardiaque leur a permis de découvrir les signes pulmonaires associés en présence de cette situation clinique critique.La sémiologie en échographie pulmonaire était alors connue par cette équipe française dès la fin des années 1980 et la mention publique d’un algorithme décisionnel utilisant les données échographiques pulmonaires faisait son apparition. Cet algorithme permettait le diagnostic différentiel de la dyspnée aiguë avec une plus grande précision, et donc une moindre perte de chance pour le patient, et apparaissait au début des années 1990. Avant de pouvoir publier cet algorithme, il aura fallu aux auteurs de nombreuses publications préliminaires décrivant la sémiologie en échographie pulmonaire, inconnue jusque-là, se confrontant ainsi à de nombreux rejets dans les revues scientifiques par des relecteurs doutant de l’intérêt de l’outil.Les difficultés rencontrées par le Dr Lichtenstein dans la publication de ces données ont retardé le partage des connaissances sur ce sujet, puisque ces publications se sont étalées de 1993 à 2008, date de la publication de l’algorithme décisionnel impliquant l’échographie dans la dyspnée aiguë, aujourd’hui plus largement utilisé par les médecins urgentistes et réanimateurs.Les années 2010 marquent un accroissement exponentiel des publications scientifiques sur l’échographie pulmonaire, signes de l’intérêt grandissant de l’outil en médecine d’urgence, de réanimation et maintenant de pneumologie, de néphrologie, de cardiologie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83648 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa place de la kinésithérapie dans la prévention des chutes des personnes âgées Un soutien à l'autonomie des personnes âgées fragiles vivant dans leur logement Une prise en charge de la perte d'autonomie des résidents en EHPAD / Laurence Lestra in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : La place de la kinésithérapie dans la prévention des chutes des personnes âgées Un soutien à l'autonomie des personnes âgées fragiles vivant dans leur logement Une prise en charge de la perte d'autonomie des résidents en EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Lestra ; Jacky Robin ; Pierre Mardyks Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 15-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : autonomie du patient dépendance physique CHUTE Résumé : La prévention des chutes est un enjeu important pour la préservation de l’autonomie (prévention primaire), la prévention des pertes d’autonomie évitables (prévention secondaire) et, enfin, l’évitement de l’aggravation des situations déjà caractérisées par une incapacité (prévention tertiaire) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83649
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 15-29[article] La place de la kinésithérapie dans la prévention des chutes des personnes âgées Un soutien à l'autonomie des personnes âgées fragiles vivant dans leur logement Une prise en charge de la perte d'autonomie des résidents en EHPAD [texte imprimé] / Laurence Lestra ; Jacky Robin ; Pierre Mardyks . - 2020 . - p. 15-29.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 15-29
Mots-clés : autonomie du patient dépendance physique CHUTE Résumé : La prévention des chutes est un enjeu important pour la préservation de l’autonomie (prévention primaire), la prévention des pertes d’autonomie évitables (prévention secondaire) et, enfin, l’évitement de l’aggravation des situations déjà caractérisées par une incapacité (prévention tertiaire) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83649 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes représentations de l'activité physique lors des prises en charges masso-kiné dans les services gériatriques / Laura Niksarlian in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : Les représentations de l'activité physique lors des prises en charges masso-kiné dans les services gériatriques Type de document : texte imprimé Auteurs : Laura Niksarlian Année de publication : 2020 Article en page(s) : P. 31-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement CHUTE autonomie du patient Relation de soins Résumé : Au 1er janvier 2019, la France recense près de 17 millions de personnes de plus de 60 ans selon l’INSEE. En 2050, les personnes âgées représenteront un quart de la population française [1].
L’avancée en âge peut induire des états de fragilité, de dépendance, de perte d’autonomie conduisant à l’hospitalisation voire l’institutionnalisation des personnes. En effet, malgré une incitation de nos politiques actuelles à l’hospitalisation à domicile [2] et aux soins ambulatoires, la prise en charge gériatrique reste souvent l’office des institutions (hôpitaux, cliniques, Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD)...).
Les masseurs-kinésithérapeutes interviennent en gériatrie. De la désadaptation motrice, au syndrome post-chute, en passant par les atteintes traumatologiques, neurologiques ou cardio-respiratoires, ils assurent le suivi de ces patients. L’activité physique, à l’origine de la pratique masso-kinésithérapique, occupe alors une place importante dans le soin. Cependant, malgré les liens établis entre activité physique et soin masso-kinésithérapique, la littérature n’offre pas l’exploration des représentations de l’activité physique au sein de la relation masseur-kinésithérapeute et personne âgée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83650
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - P. 31-42[article] Les représentations de l'activité physique lors des prises en charges masso-kiné dans les services gériatriques [texte imprimé] / Laura Niksarlian . - 2020 . - P. 31-42.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - P. 31-42
Mots-clés : Vieillissement CHUTE autonomie du patient Relation de soins Résumé : Au 1er janvier 2019, la France recense près de 17 millions de personnes de plus de 60 ans selon l’INSEE. En 2050, les personnes âgées représenteront un quart de la population française [1].
L’avancée en âge peut induire des états de fragilité, de dépendance, de perte d’autonomie conduisant à l’hospitalisation voire l’institutionnalisation des personnes. En effet, malgré une incitation de nos politiques actuelles à l’hospitalisation à domicile [2] et aux soins ambulatoires, la prise en charge gériatrique reste souvent l’office des institutions (hôpitaux, cliniques, Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD)...).
Les masseurs-kinésithérapeutes interviennent en gériatrie. De la désadaptation motrice, au syndrome post-chute, en passant par les atteintes traumatologiques, neurologiques ou cardio-respiratoires, ils assurent le suivi de ces patients. L’activité physique, à l’origine de la pratique masso-kinésithérapique, occupe alors une place importante dans le soin. Cependant, malgré les liens établis entre activité physique et soin masso-kinésithérapique, la littérature n’offre pas l’exploration des représentations de l’activité physique au sein de la relation masseur-kinésithérapeute et personne âgée.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83650 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMaladie thrombo-embolique veineuse : dépistage et conduite à tenir par le kinésithérapeute / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : Maladie thrombo-embolique veineuse : dépistage et conduite à tenir par le kinésithérapeute Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 51-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thromboembolisme veineux Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83651
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 51-52[article] Maladie thrombo-embolique veineuse : dépistage et conduite à tenir par le kinésithérapeute [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2020 . - p. 51-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 51-52
Mots-clés : Thromboembolisme veineux Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83651 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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