Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Paru le : 01/12/2019 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDrapeaux rouges et pathologies sérieuses de la colonne lombaire (2e partie) / Jean-Philippe Deneuville in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Drapeaux rouges et pathologies sérieuses de la colonne lombaire (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Deneuville Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 29-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgie Raisonnement clinique Résumé : Les pathologies sérieuses dans des populations de patients lombalgiques sont très rares et les drapeaux rouges très fréquents. Une étude australienne, incluant 1 172 patients lombalgiques aigus, consultant en première intention retrouve 11 cas de fracture (0,9 %) et aucune autre pathologie sérieuse.
En revanche, ces chercheurs ont posé les 25 questions « drapeaux rouges » les plus communes en médecine orthopédique et musculo-squelettique (âge, consommation de corticoïde ou de drogue, trauma significatif, etc.). 80,4 % des patients ont répondu positivement à au moins une question, avec un score médian de 2 [20].
De tels résultats doivent inciter à la prudence : sous couvert de chercher quelque chose de rare mais sinistre, nous risquons de surmédicaliser une condition qui reste bénigne.
Les examens de référence standard ont un coût et des effets secondaires non négligeables. Par exemple, une IRM, précoce, chez un patient lombalgique aigu augmente la durée d’incapacité du patient et les coûts de santé associés [21-23]. Il y a donc un processus logique à respecter pour garantir la sécurité et l’efficience des soins.
Comme toute pathologie rare, les pathologies sérieuses impliquées dans les lombalgies sont difficiles à étudier au moyen des études épidémiologiques classiques.
Pour obtenir des statistiques correctes les cohortes de patients à inclure sont gigantesques, ce qui rend ce type de recherche très coûteuse. La plupart des connaissances dans ce domaine viennent donc d’études rétrospectives, d’analyses de dossier de patient ou de séries de cas – d’où une part d’incertitude importante.
Les différents chapitres de cette section décrivent les principales pathologies sérieuses ainsi que les outils de dépistages disponibles pour les kinésithérapeutes. Nous classifions ces outils selon la classification de Sizer et nous donnons les seuils d’intervention. Pour garder un discours clair et concis nous nous sommes concentrés sur les pathologies sérieuses les plus communes. La liste n’est donc pas complètement exhaustive. Vous pouvez la compléter grâce à quelques ouvrages de référencePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83053
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 29-38[article] Drapeaux rouges et pathologies sérieuses de la colonne lombaire (2e partie) [texte imprimé] / Jean-Philippe Deneuville . - 2019 . - p. 29-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 29-38
Mots-clés : Lombalgie Raisonnement clinique Résumé : Les pathologies sérieuses dans des populations de patients lombalgiques sont très rares et les drapeaux rouges très fréquents. Une étude australienne, incluant 1 172 patients lombalgiques aigus, consultant en première intention retrouve 11 cas de fracture (0,9 %) et aucune autre pathologie sérieuse.
En revanche, ces chercheurs ont posé les 25 questions « drapeaux rouges » les plus communes en médecine orthopédique et musculo-squelettique (âge, consommation de corticoïde ou de drogue, trauma significatif, etc.). 80,4 % des patients ont répondu positivement à au moins une question, avec un score médian de 2 [20].
De tels résultats doivent inciter à la prudence : sous couvert de chercher quelque chose de rare mais sinistre, nous risquons de surmédicaliser une condition qui reste bénigne.
Les examens de référence standard ont un coût et des effets secondaires non négligeables. Par exemple, une IRM, précoce, chez un patient lombalgique aigu augmente la durée d’incapacité du patient et les coûts de santé associés [21-23]. Il y a donc un processus logique à respecter pour garantir la sécurité et l’efficience des soins.
Comme toute pathologie rare, les pathologies sérieuses impliquées dans les lombalgies sont difficiles à étudier au moyen des études épidémiologiques classiques.
Pour obtenir des statistiques correctes les cohortes de patients à inclure sont gigantesques, ce qui rend ce type de recherche très coûteuse. La plupart des connaissances dans ce domaine viennent donc d’études rétrospectives, d’analyses de dossier de patient ou de séries de cas – d’où une part d’incertitude importante.
Les différents chapitres de cette section décrivent les principales pathologies sérieuses ainsi que les outils de dépistages disponibles pour les kinésithérapeutes. Nous classifions ces outils selon la classification de Sizer et nous donnons les seuils d’intervention. Pour garder un discours clair et concis nous nous sommes concentrés sur les pathologies sérieuses les plus communes. La liste n’est donc pas complètement exhaustive. Vous pouvez la compléter grâce à quelques ouvrages de référencePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83053 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtEffets symptomatique de la kinésithérapie respiratoire avec augmentation du flux expiratoire dans la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson en ambulatoire.Une étude contrôlée randomisée multicentrique Une étude contrôlée randomisée multicentrique / Sydney Sebban in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Effets symptomatique de la kinésithérapie respiratoire avec augmentation du flux expiratoire dans la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson en ambulatoire.Une étude contrôlée randomisée multicentrique Une étude contrôlée randomisée multicentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Sydney Sebban, Auteur ; Didier Evenou, Auteur ; Camille Jung, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 3-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bronchiolite Nourrisson kinésithérapie respiratoire Résumé : La bronchiolite du nourrisson est une pathologie fréquente à l’origine d’un très grand nombre de prises en charge ambulatoires médicales et kinésithérapiques en France. De nombreuses études et recommandations internationales [1-3] ont invalidé tout traitement médicamenteux au cours de sa prise en charge. En France, la Conférence de consensus promue par l’Agence nationale de l’accréditation et de l’évaluation en santé (ANAES) en septembre 2000 [4] a été dans le même sens. Concernant le volet de la kinésithérapie respiratoire (KR), le drainage de posture, les vibrations et les percussions « Conventional Chest Physiotherapy » (CPT) ne sont pas considérées comme efficaces [5, 6]. L’ANAES a recommandé l’utilisation de la kinésithérapie respiratoire avec des techniques d’expiration passives et lentes associées à la toux provoquée [4]. Pour autant, le niveau de preuve de son efficacité est faible (grade C). À ce titre, l’ANAES a préconisé la réalisation d’études « en ambulatoire » pour en évaluer le degré. Bien plus récemment, une revue Cochrane [6] a recommandé d’explorer les effets des techniques de KR chez les patients non hospitalisés avec une gêne respiratoire de légère à modérée. En effet, à ce jour, les études se sont intéressées majoritairement à une population de nourrissons hospitalisés pour bronchiolite sévère. Pour ce type de population, l’intérêt d’un tel traitement en vue de raccourcir le délai de guérison n’a pas été mis en évidence [7, 8]. Cependant, 3 études réalisées récemment [9-11] apportent de nouvelles données ; malgré les réserves inhérentes à leurs méthodologies et/ou à leurs effectifs, elles relancent la question de l’intérêt de la KR avec AFE en ambulatoire. Aussi, nous avons souhaité en évaluer l’effet symptomatique dans la prise en charge ambulatoire des bronchiolites du nourrisson telle que recommandée en France. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83054
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 3-12[article] Effets symptomatique de la kinésithérapie respiratoire avec augmentation du flux expiratoire dans la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson en ambulatoire.Une étude contrôlée randomisée multicentrique Une étude contrôlée randomisée multicentrique [texte imprimé] / Sydney Sebban, Auteur ; Didier Evenou, Auteur ; Camille Jung, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 3-12.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 3-12
Mots-clés : Bronchiolite Nourrisson kinésithérapie respiratoire Résumé : La bronchiolite du nourrisson est une pathologie fréquente à l’origine d’un très grand nombre de prises en charge ambulatoires médicales et kinésithérapiques en France. De nombreuses études et recommandations internationales [1-3] ont invalidé tout traitement médicamenteux au cours de sa prise en charge. En France, la Conférence de consensus promue par l’Agence nationale de l’accréditation et de l’évaluation en santé (ANAES) en septembre 2000 [4] a été dans le même sens. Concernant le volet de la kinésithérapie respiratoire (KR), le drainage de posture, les vibrations et les percussions « Conventional Chest Physiotherapy » (CPT) ne sont pas considérées comme efficaces [5, 6]. L’ANAES a recommandé l’utilisation de la kinésithérapie respiratoire avec des techniques d’expiration passives et lentes associées à la toux provoquée [4]. Pour autant, le niveau de preuve de son efficacité est faible (grade C). À ce titre, l’ANAES a préconisé la réalisation d’études « en ambulatoire » pour en évaluer le degré. Bien plus récemment, une revue Cochrane [6] a recommandé d’explorer les effets des techniques de KR chez les patients non hospitalisés avec une gêne respiratoire de légère à modérée. En effet, à ce jour, les études se sont intéressées majoritairement à une population de nourrissons hospitalisés pour bronchiolite sévère. Pour ce type de population, l’intérêt d’un tel traitement en vue de raccourcir le délai de guérison n’a pas été mis en évidence [7, 8]. Cependant, 3 études réalisées récemment [9-11] apportent de nouvelles données ; malgré les réserves inhérentes à leurs méthodologies et/ou à leurs effectifs, elles relancent la question de l’intérêt de la KR avec AFE en ambulatoire. Aussi, nous avons souhaité en évaluer l’effet symptomatique dans la prise en charge ambulatoire des bronchiolites du nourrisson telle que recommandée en France. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83054 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉtude et analyse de la marche de l'enfant âgé de 18 à 36 mois avec l'appareil « G-Walk » : quel intérêt en kinésithérapie ? / Robert NICAULT in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Étude et analyse de la marche de l'enfant âgé de 18 à 36 mois avec l'appareil « G-Walk » : quel intérêt en kinésithérapie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert NICAULT ; Tania Cargnelutti ; Xavier Dufour, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 13-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : analyse de la marche enfant Pédiatrie Résumé : Les études sur l’acquisition de la marche de l’enfant sont nombreuses, elles ont toutes fait appel à l’utilisation d’un matériel complexe, comportant des moyens d’études : piste de marche, plateforme de force d’enregistrement informatisée des contraintes d’appui, électromyogramme, caméras dans un environnement universitaire avec des moyens financiers à la hauteur du projet.
L’originalité de notre étude repose sur l’analyse de la marche de l’enfant entre 18 et 36 mois, avec l’utilisation de l’appareil « G-Walk » (société BTS) qui permet une analyse spatio-temporelle. La simplicité d’utilisation et la fiabilité permettent dans l’environnement professionnel d’un cabinet de kinésithérapie de réaliser une étude de la marche dans les conditions quotidiennes de son exercice et de pouvoir envisager en fonction des résultats une démarche thérapeutique.
L’étude de ces différentes étapes qui marquent l’évolution des acquisitions du déplacement de l’enfant est importante. En effet, les premiers pas témoignent de l’évolution neuromotrice de l’enfant et la date de leur réalisation est un repère important dans l’évaluation de ses compétences motricesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83056
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 13-28[article] Étude et analyse de la marche de l'enfant âgé de 18 à 36 mois avec l'appareil « G-Walk » : quel intérêt en kinésithérapie ? [texte imprimé] / Robert NICAULT ; Tania Cargnelutti ; Xavier Dufour, Auteur . - 2019 . - p. 13-28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 13-28
Mots-clés : analyse de la marche enfant Pédiatrie Résumé : Les études sur l’acquisition de la marche de l’enfant sont nombreuses, elles ont toutes fait appel à l’utilisation d’un matériel complexe, comportant des moyens d’études : piste de marche, plateforme de force d’enregistrement informatisée des contraintes d’appui, électromyogramme, caméras dans un environnement universitaire avec des moyens financiers à la hauteur du projet.
L’originalité de notre étude repose sur l’analyse de la marche de l’enfant entre 18 et 36 mois, avec l’utilisation de l’appareil « G-Walk » (société BTS) qui permet une analyse spatio-temporelle. La simplicité d’utilisation et la fiabilité permettent dans l’environnement professionnel d’un cabinet de kinésithérapie de réaliser une étude de la marche dans les conditions quotidiennes de son exercice et de pouvoir envisager en fonction des résultats une démarche thérapeutique.
L’étude de ces différentes étapes qui marquent l’évolution des acquisitions du déplacement de l’enfant est importante. En effet, les premiers pas témoignent de l’évolution neuromotrice de l’enfant et la date de leur réalisation est un repère important dans l’évaluation de ses compétences motricesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83056 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe pot de terre contre le pot de fer / Aude Quesnot in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Le pot de terre contre le pot de fer Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Quesnot, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.1 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83071
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p.1[article] Le pot de terre contre le pot de fer [texte imprimé] / Aude Quesnot, Auteur . - 2019 . - p.1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p.1
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83071 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPourquoi et comment développer la capacité vitale d’un enfant ? / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Pourquoi et comment développer la capacité vitale d’un enfant ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 49-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : kinesitherapie respiratoire Capacité vitale Résumé : L’augmentation de la capacité vitale (CV) est un objectif classique de la kinésithérapie d’enfant atteint de maladies respiratoires chroniques. Cet objectif vise souvent à considérer les valeurs normales de capacité vitale comme un minimum à atteindre, voire dépasser.
Qu'est-ce qu'une CV normale chez l'enfant ?
La capacité vitale est le volume d’air mobilisable au cours d’une expiration maximale précédée d’une inspiration maximale. La manœuvre peut être mesurée lentement (CVL) ou avec une expiration forcée (CVF). Chez l’enfant d’âge pré-scolaire, l‘inspiration maximale n’est pas réalisable mais une expiration complète peut être progressivement demandée, souvent par un processus d’imitation. L’inspiration maximale n’est souvent obtenue qu’à partir de l’âge de 5 ans, si bien que, de 2 à 5 ans, l’augmentation du volume inspiré à partir du volume courant se fait progressivement en préalable à une expiration forcée.
Avant 5 ans, la fonction ventilatoire ne peut donc être mesurée avec un pneumo-tachographe classique et nécessite l’utilisation de méthodes de mesures disponibles uniquement dans des cabinets médicaux spécialisés : pléthysmographie, oscillation forcée, interruption d’un débit aérien... [1]. Progressivement, les mouvements ventilatoires volontaires se développent et s’améliorent en qualité, permettant une réelle mesure de la CV pour laquelle des valeurs de références ont été établies pour une population à partir de 3 ans et jusqu’à l’âge adulte [Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83078
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 49-51[article] Pourquoi et comment développer la capacité vitale d’un enfant ? [texte imprimé] / Bertrand Selleron . - 2019 . - p. 49-51.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 49-51
Mots-clés : kinesitherapie respiratoire Capacité vitale Résumé : L’augmentation de la capacité vitale (CV) est un objectif classique de la kinésithérapie d’enfant atteint de maladies respiratoires chroniques. Cet objectif vise souvent à considérer les valeurs normales de capacité vitale comme un minimum à atteindre, voire dépasser.
Qu'est-ce qu'une CV normale chez l'enfant ?
La capacité vitale est le volume d’air mobilisable au cours d’une expiration maximale précédée d’une inspiration maximale. La manœuvre peut être mesurée lentement (CVL) ou avec une expiration forcée (CVF). Chez l’enfant d’âge pré-scolaire, l‘inspiration maximale n’est pas réalisable mais une expiration complète peut être progressivement demandée, souvent par un processus d’imitation. L’inspiration maximale n’est souvent obtenue qu’à partir de l’âge de 5 ans, si bien que, de 2 à 5 ans, l’augmentation du volume inspiré à partir du volume courant se fait progressivement en préalable à une expiration forcée.
Avant 5 ans, la fonction ventilatoire ne peut donc être mesurée avec un pneumo-tachographe classique et nécessite l’utilisation de méthodes de mesures disponibles uniquement dans des cabinets médicaux spécialisés : pléthysmographie, oscillation forcée, interruption d’un débit aérien... [1]. Progressivement, les mouvements ventilatoires volontaires se développent et s’améliorent en qualité, permettant une réelle mesure de la CV pour laquelle des valeurs de références ont été établies pour une population à partir de 3 ans et jusqu’à l’âge adulte [Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83078 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRéflexions sur les compétences à acquérir par le kinésithérapeute pour la pratique de l’échographie / Marion Lemarinel in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Réflexions sur les compétences à acquérir par le kinésithérapeute pour la pratique de l’échographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Lemarinel ; Anthony Demont Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 3ç-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie Résumé : L’échographie est pratiquée par les kinésithérapeutes depuis plus de 20 ans dans les pays anglo-américains et a été introduite initialement en pratique clinique comme un outil d’évaluation des structures et de la fonction musculo-tendineuse [1].
En France, son utilisation s’est démocratisée plus récemment. Le Conseil national de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes (CNOMK) a rendu un avis concernant la pratique de l’échographie par le kinésithérapeute dans le cadre de l’élaboration de son diagnostic kinésithérapique et de la mise en œuvre de ses traitements le 27 mars 2015 [2].
L’échographie est un outil complémentaire à l’évaluation habituelle du kinésithérapeute qui va permettre au praticien d’affiner ses hypothèses cliniques afin d’améliorer le choix du traitement mis en place ainsi que d’en réévaluer sa pertinence. De plus, cela va lui permettre de mettre en évidence les anormalités contribuant à la symptomatologie du patient [3]. Cependant, la littérature met en évidence les limites de l’utilisation de l’échographie en terme de fiabilité et de validité intra et interopérateur, dépendant du niveau de qualification et d’expérience du praticien. Il existerait donc un risque d’erreur non négligeable en fonction de la compétence de celui-ci et donc de la qualité de la formation qu’il a reçue. Une formation insuffisante pourrait contribuer à des erreurs d’interprétations des anormalités observées à l’échographie et donc un plan de traitement non adapté à la symptomatologie du patient [4].
Les applications actuelles de l’Imagerie par ultrasons (USI) en rééducation dans les pays anglo-américains relèvent essentiellement de deux types d’intervention de l’imagerie musculo-squelettique : l’Imagerie par ultrasons en rééducation (RUSI) visant à évaluer la fonction [5] et l’imagerie à des fins de diagnostic [6, 7]. En France, le kinésithérapeute ne peut pas poser de diagnostic médical ; c’est pourquoi le terme de RUSI est le plus adapté pour décrire l’utilisation de l’échographie.
C’est en 2006 lors de la première réunion internationale sur l’élaboration de standards en échographie en physiothérapie que le terme RUSI fait son apparition pour la première fois. Il sera défini ainsi : « L’Imagerie par Ultrasons de Rééducation est une procédure utilisée par les kinésithérapeutes pour évaluer la morphologie et les fonctions musculaires et les tissus mous pendant l'exercice et les tâches physiques. Cette technique est utilisée pour faciliter l'application d'interventions thérapeutiques visant à améliorer la fonction neuromusculaire. [...] Actuellement, la communauté internationale élabore des directives en matière d'éducation et de sécurité conformément à la Fédération mondiale pour l'échographie en médecine et biologie (WFUMB). Daté du 10 mai 2006. » [8].
Il faut donc que le kinésithérapeute puisse avoir accès à une formation encadrée afin d'être suffisamment compétent pour diminuer au maximum le risque d’erreurs d’interprétations et être le plus sécuritaire possible pour le patient.
Malheureusement en France, il n’existe à l’heure actuelle que des programmes de formation continue pour les kinésithérapeutes développés par des organismes privés sans dispositif de standardisation ou de recommandations nationales pour les encadrer. De ce fait, la sécurité et la qualité de l’examen ne sont pas garanties pour les patients [9].
Contrairement à la France, certains pays comme le Royaume-Uni et les États-Unis ont déjà intégré cette pratique dans le programme national de formation initiale [1]. Cependant, il n’existe pas encore officiellement de standards internationaux encadrant la formation et la pratique de l’utilisation de cet outil en kinésithérapie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83083
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 3ç-44[article] Réflexions sur les compétences à acquérir par le kinésithérapeute pour la pratique de l’échographie [texte imprimé] / Marion Lemarinel ; Anthony Demont . - 2019 . - p. 3ç-44.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 3ç-44
Mots-clés : Échographie Résumé : L’échographie est pratiquée par les kinésithérapeutes depuis plus de 20 ans dans les pays anglo-américains et a été introduite initialement en pratique clinique comme un outil d’évaluation des structures et de la fonction musculo-tendineuse [1].
En France, son utilisation s’est démocratisée plus récemment. Le Conseil national de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes (CNOMK) a rendu un avis concernant la pratique de l’échographie par le kinésithérapeute dans le cadre de l’élaboration de son diagnostic kinésithérapique et de la mise en œuvre de ses traitements le 27 mars 2015 [2].
L’échographie est un outil complémentaire à l’évaluation habituelle du kinésithérapeute qui va permettre au praticien d’affiner ses hypothèses cliniques afin d’améliorer le choix du traitement mis en place ainsi que d’en réévaluer sa pertinence. De plus, cela va lui permettre de mettre en évidence les anormalités contribuant à la symptomatologie du patient [3]. Cependant, la littérature met en évidence les limites de l’utilisation de l’échographie en terme de fiabilité et de validité intra et interopérateur, dépendant du niveau de qualification et d’expérience du praticien. Il existerait donc un risque d’erreur non négligeable en fonction de la compétence de celui-ci et donc de la qualité de la formation qu’il a reçue. Une formation insuffisante pourrait contribuer à des erreurs d’interprétations des anormalités observées à l’échographie et donc un plan de traitement non adapté à la symptomatologie du patient [4].
Les applications actuelles de l’Imagerie par ultrasons (USI) en rééducation dans les pays anglo-américains relèvent essentiellement de deux types d’intervention de l’imagerie musculo-squelettique : l’Imagerie par ultrasons en rééducation (RUSI) visant à évaluer la fonction [5] et l’imagerie à des fins de diagnostic [6, 7]. En France, le kinésithérapeute ne peut pas poser de diagnostic médical ; c’est pourquoi le terme de RUSI est le plus adapté pour décrire l’utilisation de l’échographie.
C’est en 2006 lors de la première réunion internationale sur l’élaboration de standards en échographie en physiothérapie que le terme RUSI fait son apparition pour la première fois. Il sera défini ainsi : « L’Imagerie par Ultrasons de Rééducation est une procédure utilisée par les kinésithérapeutes pour évaluer la morphologie et les fonctions musculaires et les tissus mous pendant l'exercice et les tâches physiques. Cette technique est utilisée pour faciliter l'application d'interventions thérapeutiques visant à améliorer la fonction neuromusculaire. [...] Actuellement, la communauté internationale élabore des directives en matière d'éducation et de sécurité conformément à la Fédération mondiale pour l'échographie en médecine et biologie (WFUMB). Daté du 10 mai 2006. » [8].
Il faut donc que le kinésithérapeute puisse avoir accès à une formation encadrée afin d'être suffisamment compétent pour diminuer au maximum le risque d’erreurs d’interprétations et être le plus sécuritaire possible pour le patient.
Malheureusement en France, il n’existe à l’heure actuelle que des programmes de formation continue pour les kinésithérapeutes développés par des organismes privés sans dispositif de standardisation ou de recommandations nationales pour les encadrer. De ce fait, la sécurité et la qualité de l’examen ne sont pas garanties pour les patients [9].
Contrairement à la France, certains pays comme le Royaume-Uni et les États-Unis ont déjà intégré cette pratique dans le programme national de formation initiale [1]. Cependant, il n’existe pas encore officiellement de standards internationaux encadrant la formation et la pratique de l’utilisation de cet outil en kinésithérapie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83083 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTendinopathie de De Quervain et névrite de Wartenberg : raisonnement clinique / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 615 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Tendinopathie de De Quervain et névrite de Wartenberg : raisonnement clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 45-48 Langues : Français (fre) Mots-clés : Névrite Tendinopathie thérapie manuelle Résumé : Au niveau de la face postérieure du radius, il est fréquent d’avoir des pathologies mixtes neuromusculaires. Il existe 3 syndromes fréquents :
– la ténosynovite « De Quervain » ;
– le syndrome de la branche superficielle du nerf radial ;
– le syndrome d’entrecroisement.
Les problèmes articulaires du poignet ont été traités dans un de nos précédents articles [1]. Fontes [2] évoque également la perte des capacités de glissement du nerf à l’émergence de l’aponévrose anti-brachiale qui pourrait en être la cause.
Il est décrit par différents auteurs [3-5] une notion de pince dynamique qui serait réalisée par la contraction simultanée du brachio-radial et long extenseur radial du carpe plaquant la branche sensitive vers la profondeur.
Le nerf interosseux postérieur, qui est la partie terminale de la branche postérieure motrice du nerf radial, peut être aussi responsable de douleurs en cas de compression, généralement secondaire à une tuméfaction de la face postérieure du poignet le plus souvent d’origine kystique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83088
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 45-48[article] Tendinopathie de De Quervain et névrite de Wartenberg : raisonnement clinique [texte imprimé] / Pascal Pommerol . - 2019 . - p. 45-48.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 615 (Décembre 2019) . - p. 45-48
Mots-clés : Névrite Tendinopathie thérapie manuelle Résumé : Au niveau de la face postérieure du radius, il est fréquent d’avoir des pathologies mixtes neuromusculaires. Il existe 3 syndromes fréquents :
– la ténosynovite « De Quervain » ;
– le syndrome de la branche superficielle du nerf radial ;
– le syndrome d’entrecroisement.
Les problèmes articulaires du poignet ont été traités dans un de nos précédents articles [1]. Fontes [2] évoque également la perte des capacités de glissement du nerf à l’émergence de l’aponévrose anti-brachiale qui pourrait en être la cause.
Il est décrit par différents auteurs [3-5] une notion de pince dynamique qui serait réalisée par la contraction simultanée du brachio-radial et long extenseur radial du carpe plaquant la branche sensitive vers la profondeur.
Le nerf interosseux postérieur, qui est la partie terminale de la branche postérieure motrice du nerf radial, peut être aussi responsable de douleurs en cas de compression, généralement secondaire à une tuméfaction de la face postérieure du poignet le plus souvent d’origine kystique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83088 Exemplaires (1)
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