Dépouillements

Décision kinésithérapique : Jim M. Paraparésie spastique qui n’empêchera pas son projet / Marine Brault in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°208 (Avril 2019)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 23-25 Titre : Décision kinésithérapique : Jim M. Paraparésie spastique qui n’empêchera pas son projet Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine Brault Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 23-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : spasticité  DIAGNOSTIC Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78912 [article] Décision kinésithérapique : Jim M. Paraparésie spastique qui n’empêchera pas son projet [texte imprimé] / Marine Brault . - 2019 . - p. 23-25. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 23-25 Mots-clés : spasticité  DIAGNOSTIC Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78912

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Il est temps d’évaluer le coût-bénéfice de la physiothérapie / Lara Allet in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°208 (Avril 2019)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 1-2 Titre : Il est temps d’évaluer le coût-bénéfice de la physiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Lara Allet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Analyse coût-bénéfice Résumé : Les coûts des soins de santé ne cessent d’augmenter, en particulier dans les pays les plus riches de la Communauté européenne. Kocher a identifié 292 motifs qui expliquent l’explosion de ces coûts. Les trois principaux étaient le progrès technologique médical, le vieillissement de la population et le nombre croissant de services de soins de santé liés à une demande induite par les prestataires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78922 [article] Il est temps d’évaluer le coût-bénéfice de la physiothérapie [texte imprimé] / Lara Allet . - 2019 . - p. 1-2. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 1-2 Mots-clés : Analyse coût-bénéfice Résumé : Les coûts des soins de santé ne cessent d’augmenter, en particulier dans les pays les plus riches de la Communauté européenne. Kocher a identifié 292 motifs qui expliquent l’explosion de ces coûts. Les trois principaux étaient le progrès technologique médical, le vieillissement de la population et le nombre croissant de services de soins de santé liés à une demande induite par les prestataires. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78922

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L’activité physique en endurance peut être bénéfique aux patients fibromyalgiques / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°208 (Avril 2019)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 19-20 Titre : L’activité physique en endurance peut être bénéfique aux patients fibromyalgiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Monnin ; Balz Winteler Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 19-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité physique  Revue de la littérature Résumé : La fibromyalgie est une affection chronique qui se caractérise par des douleurs généralisées des muscles et des tissus mous. Elle est souvent associée à de la fatigue, des troubles du sommeil, de l’anxiété, des épisodes dépressifs et à un déconditionnement physique. Ces problèmes peuvent avoir un fort retentissement sur la qualité de vie, la vie familiale, sociale et professionnelle ainsi que sur l’autonomie. En Europe, l’estimation de sa prévalence varie entre 1,4 % en France et 3,7 % en Italie, plus chez les femmes que chez les hommes (7/1). Des revues systématiques Cochrane ont montré des effets positifs mais de faible niveau d’évidence pour l’activité physique générale, la thérapie cognitivo-comportementale et l’acupuncture. Cette revue Cochrane porte sur les exercices aérobies de faible intensité, la marche, la course, le vélo et le vélo aquatique. Les auteurs ont limité la comparaison à une liste d’attente, au traitement habituel ou à des groupes qui n’effectuaient pas d’exercices. Le seuil qui déterminait la différence clinique significative entre groupes a été fixé à 15 %. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78927 [article] L’activité physique en endurance peut être bénéfique aux patients fibromyalgiques [texte imprimé] / Dominique Monnin ; Balz Winteler . - 2019 . - p. 19-20. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 19-20 Mots-clés : activité physique  Revue de la littérature Résumé : La fibromyalgie est une affection chronique qui se caractérise par des douleurs généralisées des muscles et des tissus mous. Elle est souvent associée à de la fatigue, des troubles du sommeil, de l’anxiété, des épisodes dépressifs et à un déconditionnement physique. Ces problèmes peuvent avoir un fort retentissement sur la qualité de vie, la vie familiale, sociale et professionnelle ainsi que sur l’autonomie. En Europe, l’estimation de sa prévalence varie entre 1,4 % en France et 3,7 % en Italie, plus chez les femmes que chez les hommes (7/1). Des revues systématiques Cochrane ont montré des effets positifs mais de faible niveau d’évidence pour l’activité physique générale, la thérapie cognitivo-comportementale et l’acupuncture. Cette revue Cochrane porte sur les exercices aérobies de faible intensité, la marche, la course, le vélo et le vélo aquatique. Les auteurs ont limité la comparaison à une liste d’attente, au traitement habituel ou à des groupes qui n’effectuaient pas d’exercices. Le seuil qui déterminait la différence clinique significative entre groupes a été fixé à 15 %. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78927

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Point d’anatomie : la colonne vertébrale lombaire / Xavier Dufour in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°208 (Avril 2019)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 26-30 Titre : Point d’anatomie : la colonne vertébrale lombaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Xavier Dufour ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 26-30 Langues : Français (fre) Mots-clés : colonne lombaire  Anatomie Résumé : La colonne vertébrale lombaire est une zone assez courte, située entre le complexe colonne thoracique/côtes et le bassin. Cet empilement de 5 vertèbres, articulées entre elles et séparées antérieurement par un disque intervertébral, forme une lordose d’en moyenne 60° [1]. Cette lordose varie en fonction des paramètres pelviens, de l’incidence pelvienne et de la pente sacrée [1]. La mobilité de la colonne vertébrale lombaire est principalement orientée par la conformation des articulations zygapohysaires qui ont une forme ovoïde et sont incurvées.Cette orientation est variable en fonction des étages, ce qui permet d’expliquer les différences de mobilités observées entre les étages [2]. De manière générale, ces articulations regardent vers l’arrière et le dedans, limitant ainsi la rotation qui n’est que de 7°. Le centre de rotation des vertèbres lombaires se situe hors du plateau vertébral, à la base des processus épineux Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78942 [article] Point d’anatomie : la colonne vertébrale lombaire [texte imprimé] / Xavier Dufour ; et al. . - 2019 . - p. 26-30. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 26-30 Mots-clés : colonne lombaire  Anatomie Résumé : La colonne vertébrale lombaire est une zone assez courte, située entre le complexe colonne thoracique/côtes et le bassin. Cet empilement de 5 vertèbres, articulées entre elles et séparées antérieurement par un disque intervertébral, forme une lordose d’en moyenne 60° [1]. Cette lordose varie en fonction des paramètres pelviens, de l’incidence pelvienne et de la pente sacrée [1]. La mobilité de la colonne vertébrale lombaire est principalement orientée par la conformation des articulations zygapohysaires qui ont une forme ovoïde et sont incurvées.Cette orientation est variable en fonction des étages, ce qui permet d’expliquer les différences de mobilités observées entre les étages [2]. De manière générale, ces articulations regardent vers l’arrière et le dedans, limitant ainsi la rotation qui n’est que de 7°. Le centre de rotation des vertèbres lombaires se situe hors du plateau vertébral, à la base des processus épineux Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78942

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Recherche du meilleur mouvement sous autobandage de décongestion pour traiter le lymphœdème de l’avant-bras postérieur : étude des pressions sur sujet sain / Jean-Claude Ferrandez in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°208 (Avril 2019)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 12-18 Titre : Recherche du meilleur mouvement sous autobandage de décongestion pour traiter le lymphœdème de l’avant-bras postérieur : étude des pressions sur sujet sain Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Ferrandez ; Pierre-Henri Ganchou ; Guillaume Cassignac Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 12-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur sein  Lymphoedème  Bandages Résumé : Les variations de pression sous bandage optimisent la décongestion d’un œdème lors des mouvements. Méthode L’étude, réalisée sur 17 sujets sains, mesure les pressions maximales et les plus grandes variations de pressions à la face postérieure de l’avant-bras sous un autobandage de type Bandage Thonic® lors de 4 mouvements. Les mesures utilisent un capteur de pression de type Kikuhime®. Quatre couples de mouvements sont réalisés sans résistance : flexion-extension des doigts, flexion-extension du poignet, pronosupination, flexion-extension du coude. Résultats Dans ces 4 couples de mouvements, c’est la supination qui a la plus forte valeur de pression (45,75 ± 17,99 mm Hg, p < 0,005). Le couple de mouvement qui induit le plus grand écart de pression est la pronosupination (écart absolu de pression de 15,27 ± 11,13 mm Hg). Il réalise une variation relative de 61,7 ± 59,5 %. Conclusion Ce mouvement sera à conseiller pour cibler la décongestion de cette partie du membre supérieur si une étude chez des sujets pathologiques confirme ces résultats préliminaires chez le sujet sain. Niveau de preuve 5. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78948 [article] Recherche du meilleur mouvement sous autobandage de décongestion pour traiter le lymphœdème de l’avant-bras postérieur : étude des pressions sur sujet sain [texte imprimé] / Jean-Claude Ferrandez ; Pierre-Henri Ganchou ; Guillaume Cassignac . - 2019 . - p. 12-18. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 12-18 Mots-clés : Tumeur sein  Lymphoedème  Bandages Résumé : Les variations de pression sous bandage optimisent la décongestion d’un œdème lors des mouvements. Méthode L’étude, réalisée sur 17 sujets sains, mesure les pressions maximales et les plus grandes variations de pressions à la face postérieure de l’avant-bras sous un autobandage de type Bandage Thonic® lors de 4 mouvements. Les mesures utilisent un capteur de pression de type Kikuhime®. Quatre couples de mouvements sont réalisés sans résistance : flexion-extension des doigts, flexion-extension du poignet, pronosupination, flexion-extension du coude. Résultats Dans ces 4 couples de mouvements, c’est la supination qui a la plus forte valeur de pression (45,75 ± 17,99 mm Hg, p < 0,005). Le couple de mouvement qui induit le plus grand écart de pression est la pronosupination (écart absolu de pression de 15,27 ± 11,13 mm Hg). Il réalise une variation relative de 61,7 ± 59,5 %. Conclusion Ce mouvement sera à conseiller pour cibler la décongestion de cette partie du membre supérieur si une étude chez des sujets pathologiques confirme ces résultats préliminaires chez le sujet sain. Niveau de preuve 5. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78948

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Ténosynovite de De Quervain : « descendre » le radius permet de diminuer la douleur. Analyse de 36 cas / Denis Gerlac in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n°208 (Avril 2019)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 3-11 Titre : Ténosynovite de De Quervain : « descendre » le radius permet de diminuer la douleur. Analyse de 36 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Gerlac Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 3-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Attelles  Orthèses  Ténosynovite sténosante de De Quervain Résumé : L’abductus pollicis longus (APL) et l’extensor pollicis brevis (EPB) génèrent une abduction du pouce et du poignet lorsqu’ils se contractent et provoquent une ascension (mouvement de piston) du radius par rapport à l’ulna. L’hypothèse était que si cette ascension du radius est maintenue, elle modifie l’angle de pénétration des deux tendons dans la première coulisse du rétinaculum des extenseurs de telle sorte qu’elle augmente les frottements de ces deux tendons. Ainsi, si l’angle que forment les deux tendons à l’entrée de la coulisse augmente quand le radius est ascensionné, cet angle doit diminuer, voire disparaître, lorsque le radius est redescendu par une traction. Auquel cas, les douleurs elles-aussi devraient diminuer ou disparaître.Objectif Cette étude a été menée pour savoir si une traction exercée sur le radius, en même temps que la réalisation d’un test de Finkelstein, modifie la douleur, dans le cadre d’une Ténosynovite de De Quervain (TDDQ). Patients et méthode Nous avons réalisé une étude prospective, mono centrique, sur un groupe de 36 patients (34 femmes, 2 hommes) qui présentaient chacun une TDDQ. Lors du premier rendez-vous avec les patients nous avons réalisé deux tests de Finkelstein consécutifs. Le premier test servait à mettre en évidence la TDDQ, le second était réalisé en associant une traction sur le radius pour savoir si cela modifiait la douleur. Résultat 100 % des patients soumis à ce test ont vu leur douleur disparaître ou diminuer. Huit patients ont vu leur douleur disparaître complètement (22,22 %). En moyenne, l’intensité de la douleur a baissé de 3,97 points sur 10 (sur l’échelle verbale simple : EVS). Sachant que la plus haute douleur mesurée lors du premier test était cotée 8/10 et la plus basse 3/10.Discussion Mais est-ce réellement une ascension du radius qui est responsable de la pathologie ? La question reste en suspens. Si c’est le cas, qu’est-ce qui peut maintenir le radius ascensionné ? Conclusion Cette étude nous montre qu’une traction sur le radius fait diminuer voire disparaître la douleur présente lors d’une ténosynovite de De Quervain.Niveau de preuve 5. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78955 [article] Ténosynovite de De Quervain : « descendre » le radius permet de diminuer la douleur. Analyse de 36 cas [texte imprimé] / Denis Gerlac . - 2019 . - p. 3-11. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n°208 (Avril 2019) . - p. 3-11 Mots-clés : Attelles  Orthèses  Ténosynovite sténosante de De Quervain Résumé : L’abductus pollicis longus (APL) et l’extensor pollicis brevis (EPB) génèrent une abduction du pouce et du poignet lorsqu’ils se contractent et provoquent une ascension (mouvement de piston) du radius par rapport à l’ulna. L’hypothèse était que si cette ascension du radius est maintenue, elle modifie l’angle de pénétration des deux tendons dans la première coulisse du rétinaculum des extenseurs de telle sorte qu’elle augmente les frottements de ces deux tendons. Ainsi, si l’angle que forment les deux tendons à l’entrée de la coulisse augmente quand le radius est ascensionné, cet angle doit diminuer, voire disparaître, lorsque le radius est redescendu par une traction. Auquel cas, les douleurs elles-aussi devraient diminuer ou disparaître.Objectif Cette étude a été menée pour savoir si une traction exercée sur le radius, en même temps que la réalisation d’un test de Finkelstein, modifie la douleur, dans le cadre d’une Ténosynovite de De Quervain (TDDQ). Patients et méthode Nous avons réalisé une étude prospective, mono centrique, sur un groupe de 36 patients (34 femmes, 2 hommes) qui présentaient chacun une TDDQ. Lors du premier rendez-vous avec les patients nous avons réalisé deux tests de Finkelstein consécutifs. Le premier test servait à mettre en évidence la TDDQ, le second était réalisé en associant une traction sur le radius pour savoir si cela modifiait la douleur. Résultat 100 % des patients soumis à ce test ont vu leur douleur disparaître ou diminuer. Huit patients ont vu leur douleur disparaître complètement (22,22 %). En moyenne, l’intensité de la douleur a baissé de 3,97 points sur 10 (sur l’échelle verbale simple : EVS). Sachant que la plus haute douleur mesurée lors du premier test était cotée 8/10 et la plus basse 3/10.Discussion Mais est-ce réellement une ascension du radius qui est responsable de la pathologie ? La question reste en suspens. Si c’est le cas, qu’est-ce qui peut maintenir le radius ascensionné ? Conclusion Cette étude nous montre qu’une traction sur le radius fait diminuer voire disparaître la douleur présente lors d’une ténosynovite de De Quervain.Niveau de preuve 5. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=78955

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