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Spasticité chez l’enfant paralysé cérébral : quelle définition pour quelle évaluation clinique ? / C. Boulard in Motricité cérébrale, Vol.42, n°3 (Juillet/septembre 2021)
[article]
Titre : Spasticité chez l’enfant paralysé cérébral : quelle définition pour quelle évaluation clinique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Boulard ; Vincent Gautheron Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 64-74 Note générale : http://doi : 10.1016/j.motcer.2021.07.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Paralysie cérébrale Spasticité Définition Évaluation Échelle clinique Résumé : La spasticité est un des symptômes cliniques le plus fréquent chez l’enfant paralysé cérébral (PC). Depuis la version proposée par Lance en 1980, la définition du terme de « spasticité » a évolué à de multiples reprises sans pour autant devenir consensuelle. Depuis quelques années, la spasticité est intégrée dans des concepts plus globaux et définie comme un des facteurs responsable de l’augmentation de la résistance d’origine neuromusculaire à l’allongement du muscle parétique et spastique. L’évaluation clinique de la spasticité est principalement réalisée à l’aide d’échelles ordinales dont les qualités psychométriques sont limitées. Distinguer la spasticité des autres facteurs et en quantifier le niveau avec précision constituent des écueils majeurs. Cet article a pour objectif (1) de clarifier la signification du terme de « spasticité » à partir d’une synthèse de l’évolution de sa définition depuis 1980 jusqu’à aujourd’hui, (2) de décrire les propriétés psychométriques des principales échelles cliniques d’évaluation de la spasticité. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96375
in Motricité cérébrale > Vol.42, n°3 (Juillet/septembre 2021) . - p. 64-74[article] Spasticité chez l’enfant paralysé cérébral : quelle définition pour quelle évaluation clinique ? [texte imprimé] / C. Boulard ; Vincent Gautheron . - 2021 . - p. 64-74.
http://doi : 10.1016/j.motcer.2021.07.001
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.42, n°3 (Juillet/septembre 2021) . - p. 64-74
Mots-clés : Paralysie cérébrale Spasticité Définition Évaluation Échelle clinique Résumé : La spasticité est un des symptômes cliniques le plus fréquent chez l’enfant paralysé cérébral (PC). Depuis la version proposée par Lance en 1980, la définition du terme de « spasticité » a évolué à de multiples reprises sans pour autant devenir consensuelle. Depuis quelques années, la spasticité est intégrée dans des concepts plus globaux et définie comme un des facteurs responsable de l’augmentation de la résistance d’origine neuromusculaire à l’allongement du muscle parétique et spastique. L’évaluation clinique de la spasticité est principalement réalisée à l’aide d’échelles ordinales dont les qualités psychométriques sont limitées. Distinguer la spasticité des autres facteurs et en quantifier le niveau avec précision constituent des écueils majeurs. Cet article a pour objectif (1) de clarifier la signification du terme de « spasticité » à partir d’une synthèse de l’évolution de sa définition depuis 1980 jusqu’à aujourd’hui, (2) de décrire les propriétés psychométriques des principales échelles cliniques d’évaluation de la spasticité. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96375 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSpasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile / FEMERY V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Spasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile Type de document : texte imprimé Auteurs : FEMERY V. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 26-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Spasticité Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectif : Le but de cette étude était d'analyser la distribution des pressions plantaires chez neuf enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile afin de mettre en évidence les perturbations dynamiques lors de la phase d'appui liées au degré de spasticité. Matériel et méthode : L'évaluation de la spasticité de différents muscles des membres inférieurs d'après la méthode d'Aschworth a permis d'identifier deux groupes de sujets hémiplégiques. Les groupes Asch 1 et Asch 3 présentent respectivement une légère et une forte spasticité. Les pics de pression ont été enregistrés à l'aide d'un système de semelles embarquées intégrant 16 capteurs (Parotec by Paromed Medinzintechnik GMBH, Germany) chez 30 sujets valides et pour les deux groupes de sujets hémiplégiques spastiques au cours de cycles de marche consécutifs. Résultats : L'étude statistique a montré une similitude entre les sujets hémiplégiques : les pics de pression sous le médio-pied sont jusqu'à cinq fois supérieurs à ceux du groupe contrôle. En revanche, le profil de distribution des pressions plantaires est très spécifique à chaque groupe sous les autres zones du pied. En présence d'une spasticité importante, les perturbations les plus significatives sont apparues, au niveau du membre atteint, sous la première tête métatarsienne et l'hallux. Discussion-conclusion : La spasticité modifie l'appui du pied au sol et entraîne suivant son intensité des profils de distribution plantaire spécifiques. La position en équin du pied et la griffe des orteils induite par une spasticité importante semble être un facteur non négligeable des perturbations de la phase d'appui terminale. Toutefois le patron de marche adopté par les sujets hémiplégiques semble répondre à certains critères d'optimisation telle que la stabilité.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13439
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 26-34[article] Spasticité et distribution des pressions plantaires chez des enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile [texte imprimé] / FEMERY V. ; P. Moretto ; RENAUT H. ; André Thevenon . - 2001 . - p. 26-34.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 26-34
Mots-clés : Spasticité Hémiplégie Enfant Locomotion démarche Résumé : Objectif : Le but de cette étude était d'analyser la distribution des pressions plantaires chez neuf enfants atteints d'hémiplégie cérébrale infantile afin de mettre en évidence les perturbations dynamiques lors de la phase d'appui liées au degré de spasticité. Matériel et méthode : L'évaluation de la spasticité de différents muscles des membres inférieurs d'après la méthode d'Aschworth a permis d'identifier deux groupes de sujets hémiplégiques. Les groupes Asch 1 et Asch 3 présentent respectivement une légère et une forte spasticité. Les pics de pression ont été enregistrés à l'aide d'un système de semelles embarquées intégrant 16 capteurs (Parotec by Paromed Medinzintechnik GMBH, Germany) chez 30 sujets valides et pour les deux groupes de sujets hémiplégiques spastiques au cours de cycles de marche consécutifs. Résultats : L'étude statistique a montré une similitude entre les sujets hémiplégiques : les pics de pression sous le médio-pied sont jusqu'à cinq fois supérieurs à ceux du groupe contrôle. En revanche, le profil de distribution des pressions plantaires est très spécifique à chaque groupe sous les autres zones du pied. En présence d'une spasticité importante, les perturbations les plus significatives sont apparues, au niveau du membre atteint, sous la première tête métatarsienne et l'hallux. Discussion-conclusion : La spasticité modifie l'appui du pied au sol et entraîne suivant son intensité des profils de distribution plantaire spécifiques. La position en équin du pied et la griffe des orteils induite par une spasticité importante semble être un facteur non négligeable des perturbations de la phase d'appui terminale. Toutefois le patron de marche adopté par les sujets hémiplégiques semble répondre à certains critères d'optimisation telle que la stabilité.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13439 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSpasticité du membre supérieur après AVC, traitements pharmacologiques. Revue / Alain P. Yelnik in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°8 (octobre 2004)
[article]
Titre : Spasticité du membre supérieur après AVC, traitements pharmacologiques. Revue Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain P. Yelnik Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.575-589 Mots-clés : Spasticité Traitement Hémiplégie Thérapeutique médicamenteuse Accident cérébrovasculaire Résumé : Cette revue, réalisée pour la conférence de consensus Orthotic management of stroke patients organisée par l'International Society of Prosthetics and Orthotics, septembre 2003, s'intéresse aux traitements pharmacologiques par voie générale et locale utilisables pour traiter la spasticité du membre supérieur après AVC. Méthode.-Revue de la littérature internationale à partir des bases de données Medline et Réédoc. Selon les instructions du comité d'organisation, chaque traitement fait l'objet d'un degré de recommandation A, B ou C. Résultats.-Les traitements pharmacologiques généraux comme le Baclofène, la Tizanidine et le Dantrolène sodique, les traitements régionaux comme le Baclofène intrathécal et les traitements locaux par neurolyse chimique à l'alcool ou au phénol peuvent être recommandés avec un grade B. Les blocs neuromusculaires à la toxine botulique peuvent être recommandés avec un grade A. Discussion-conclusion.-En dépit d'un niveau satisfaisant de recommandation, les traitements pharmacologiques généraux sont limités par leurs effets secondaires et le manque de preuve de leur intérêt fonctionnel ; le Baclofène intrathécal mérite d'être discuté pour la spasticité du membre supérieur mais des études complémentaires sont nécessaires avant de pouvoir le recommander ; la place des neurolyses chimiques à l'alcool ou au phénol doit être évaluée au coté des neurotomies chirurgicales et de la toxine botulique. La toxine botulique est le seul traitement étayé par des résultats scientifiques, mais des nombreuses questions demeurent comme les meilleurs sites d'injection, la manière d'améliorer son efficacité et son influence sur la récupération neurologique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13438
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°8 (octobre 2004) . - p.575-589[article] Spasticité du membre supérieur après AVC, traitements pharmacologiques. Revue [texte imprimé] / Alain P. Yelnik . - 2004 . - p.575-589.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°8 (octobre 2004) . - p.575-589
Mots-clés : Spasticité Traitement Hémiplégie Thérapeutique médicamenteuse Accident cérébrovasculaire Résumé : Cette revue, réalisée pour la conférence de consensus Orthotic management of stroke patients organisée par l'International Society of Prosthetics and Orthotics, septembre 2003, s'intéresse aux traitements pharmacologiques par voie générale et locale utilisables pour traiter la spasticité du membre supérieur après AVC. Méthode.-Revue de la littérature internationale à partir des bases de données Medline et Réédoc. Selon les instructions du comité d'organisation, chaque traitement fait l'objet d'un degré de recommandation A, B ou C. Résultats.-Les traitements pharmacologiques généraux comme le Baclofène, la Tizanidine et le Dantrolène sodique, les traitements régionaux comme le Baclofène intrathécal et les traitements locaux par neurolyse chimique à l'alcool ou au phénol peuvent être recommandés avec un grade B. Les blocs neuromusculaires à la toxine botulique peuvent être recommandés avec un grade A. Discussion-conclusion.-En dépit d'un niveau satisfaisant de recommandation, les traitements pharmacologiques généraux sont limités par leurs effets secondaires et le manque de preuve de leur intérêt fonctionnel ; le Baclofène intrathécal mérite d'être discuté pour la spasticité du membre supérieur mais des études complémentaires sont nécessaires avant de pouvoir le recommander ; la place des neurolyses chimiques à l'alcool ou au phénol doit être évaluée au coté des neurotomies chirurgicales et de la toxine botulique. La toxine botulique est le seul traitement étayé par des résultats scientifiques, mais des nombreuses questions demeurent comme les meilleurs sites d'injection, la manière d'améliorer son efficacité et son influence sur la récupération neurologique.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13438 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSpasticité musculaire : état des lieux et perspectives / P. Le Cavorzin in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Novembre 2012)
[article]
Titre : Spasticité musculaire : état des lieux et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Le Cavorzin Année de publication : 2012 Article en page(s) : 26-011-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Spasticité Hypertonie musculaire Neuropharmacologie Évaluation Technologie embarquée Milieu de vie Résumé : La spasticité musculaire appartient à la symptomatologie du syndrome pyramidal. Du point de vue des neurosciences, ce trouble constitue une bonne introduction aux phénomènes de plasticité neuronale (au travers des concepts de plasticité spinale, de réorganisation de réseaux fonctionnels - vicariance ou adaptation de la commande motrice) et aux stratégies de sélection de cibles neuropharmacologiques. Malgré l'incidence importante de ce trouble, en particulier au travers de la pathologie vasculaire cérébrale, la difficulté demeure, pour le clinicien, dans le choix de l'objectif thérapeutique, en particulier s'il est fonctionnel. En effet, il n'existe pas de relation univoque entre spasticité et performance motrice ou entre spasticité et qualité de vie. De plus, l'évaluation de ce trouble, tant au plan analytique que fonctionnel, présente encore de nombreuses lacunes. Les perspectives de recherche dans ce domaine sont, en conséquence, importantes, s'adressant à des thérapeutiques dont les plus récentes restent relativement coûteuses, comme la toxine botulique et le baclofène intrathécal. Ainsi, la technologie embarquée, proposée dans l'évaluation des troubles moteurs pour certaines pathologies neurologiques chroniques, comme la maladie de Parkinson, possède un potentiel de développement important dans le domaine de la spasticité musculaire et de son impact sur la performance fonctionnelle dans le milieu de vie. Note de contenu : Physiopathologie. Définitions
Définition classique : exagération du réflexe d'étirement
Raideur non réflexe
Vers un modèle neuroanatomique de la spasticité
Introduction
Anatomie fonctionnelle de la spasticité
Spasticité : modèle clinique
Contexte de survenue
Tableaux cliniques
Évolution temporelle
Conclusion
Évaluation
Évaluation clinique
Mesures instrumentales
Conclusion
Thérapeutique
Introduction
Thérapeutiques physiques
Thérapeutiques médicamenteuses
Indications
Thérapeutiques chirurgicales
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43530
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2012) . - 26-011-A-10[article] Spasticité musculaire : état des lieux et perspectives [texte imprimé] / P. Le Cavorzin . - 2012 . - 26-011-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2012) . - 26-011-A-10
Mots-clés : Spasticité Hypertonie musculaire Neuropharmacologie Évaluation Technologie embarquée Milieu de vie Résumé : La spasticité musculaire appartient à la symptomatologie du syndrome pyramidal. Du point de vue des neurosciences, ce trouble constitue une bonne introduction aux phénomènes de plasticité neuronale (au travers des concepts de plasticité spinale, de réorganisation de réseaux fonctionnels - vicariance ou adaptation de la commande motrice) et aux stratégies de sélection de cibles neuropharmacologiques. Malgré l'incidence importante de ce trouble, en particulier au travers de la pathologie vasculaire cérébrale, la difficulté demeure, pour le clinicien, dans le choix de l'objectif thérapeutique, en particulier s'il est fonctionnel. En effet, il n'existe pas de relation univoque entre spasticité et performance motrice ou entre spasticité et qualité de vie. De plus, l'évaluation de ce trouble, tant au plan analytique que fonctionnel, présente encore de nombreuses lacunes. Les perspectives de recherche dans ce domaine sont, en conséquence, importantes, s'adressant à des thérapeutiques dont les plus récentes restent relativement coûteuses, comme la toxine botulique et le baclofène intrathécal. Ainsi, la technologie embarquée, proposée dans l'évaluation des troubles moteurs pour certaines pathologies neurologiques chroniques, comme la maladie de Parkinson, possède un potentiel de développement important dans le domaine de la spasticité musculaire et de son impact sur la performance fonctionnelle dans le milieu de vie. Note de contenu : Physiopathologie. Définitions
Définition classique : exagération du réflexe d'étirement
Raideur non réflexe
Vers un modèle neuroanatomique de la spasticité
Introduction
Anatomie fonctionnelle de la spasticité
Spasticité : modèle clinique
Contexte de survenue
Tableaux cliniques
Évolution temporelle
Conclusion
Évaluation
Évaluation clinique
Mesures instrumentales
Conclusion
Thérapeutique
Introduction
Thérapeutiques physiques
Thérapeutiques médicamenteuses
Indications
Thérapeutiques chirurgicales
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43530 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La validité de la mesure de la spasticité par méthode EMG : revue bibliographique / Geoffrey Deltenre ; José-Gabriel Guerrero in Kinésithérapie scientifique, 605 (Janvier 2019)
[article]
Titre : La validité de la mesure de la spasticité par méthode EMG : revue bibliographique Type de document : texte imprimé Auteurs : Geoffrey Deltenre ; José-Gabriel Guerrero Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 35-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Électromyographie Réflexe spasticité Spasticité musculaire Résumé : La spasticité est un désordre moteur fréquemment rencontré lors de pathologies du système nerveux central. Au niveau clinique, la spasticité se manifeste par une raideur réflexe, liée à l?exagération du réflexe d?étirement et une raideur non réflexe, induite par des modifications des propriétés mécaniques du muscle.PHYSIOPATHOLOGIE
Le réflexe d?étirement est organisé en boucle de rétroaction. Outre ces principaux constituants, il est influencé par des afférences qui partagent une partie du pool des interneurones médullaires. Ces interneurones reçoivent des influx des centres supérieurs et sont des relais majeurs de la régulation supra-spinale.Ainsi, les interneurones sont des carrefours convergents des informations périphériques et supra-spinales. Ils ont principalement un rôle inhibiteur. L?atteinte du contrôle cortical aurait pour conséquence une levée de l?inhibition et par conséquence, une dérégulation des boucles réflexes traduite par le signe clinique de la spasticité.L?opposition d?un muscle à l?étirement est la conséquence d?une résistance élastique et d?une résistance visqueuse [5-7]. La modification des propriétés viscoélastiques du muscle contribuerait à la raideur engendrée par la spasticité.
Les structures responsables de la régulation des boucles réflexes spinales sont dépendantes de l?encéphale et du tronc cérébral.Ces systèmes influencent les réflexes profonds et le tonus musculaire. Ainsi, la spasticité lors de lésions de l?encéphale serait issue de la diminution de l?action excitatrice du cortex cérébral sur la formation réticulée inhibitricePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61218
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 35-42[article] La validité de la mesure de la spasticité par méthode EMG : revue bibliographique [texte imprimé] / Geoffrey Deltenre ; José-Gabriel Guerrero . - 2019 . - p. 35-42.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 605 (Janvier 2019) . - p. 35-42
Mots-clés : Électromyographie Réflexe spasticité Spasticité musculaire Résumé : La spasticité est un désordre moteur fréquemment rencontré lors de pathologies du système nerveux central. Au niveau clinique, la spasticité se manifeste par une raideur réflexe, liée à l?exagération du réflexe d?étirement et une raideur non réflexe, induite par des modifications des propriétés mécaniques du muscle.PHYSIOPATHOLOGIE
Le réflexe d?étirement est organisé en boucle de rétroaction. Outre ces principaux constituants, il est influencé par des afférences qui partagent une partie du pool des interneurones médullaires. Ces interneurones reçoivent des influx des centres supérieurs et sont des relais majeurs de la régulation supra-spinale.Ainsi, les interneurones sont des carrefours convergents des informations périphériques et supra-spinales. Ils ont principalement un rôle inhibiteur. L?atteinte du contrôle cortical aurait pour conséquence une levée de l?inhibition et par conséquence, une dérégulation des boucles réflexes traduite par le signe clinique de la spasticité.L?opposition d?un muscle à l?étirement est la conséquence d?une résistance élastique et d?une résistance visqueuse [5-7]. La modification des propriétés viscoélastiques du muscle contribuerait à la raideur engendrée par la spasticité.
Les structures responsables de la régulation des boucles réflexes spinales sont dépendantes de l?encéphale et du tronc cérébral.Ces systèmes influencent les réflexes profonds et le tonus musculaire. Ainsi, la spasticité lors de lésions de l?encéphale serait issue de la diminution de l?action excitatrice du cortex cérébral sur la formation réticulée inhibitricePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61218 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtBatterie comparative d’évaluation du traitement de la spasticité par injection de toxine botulinique au membre supérieur / G. Abada in Ergothérapies, 26 (juin 2007)
PermalinkConduite à tenir devant une recrudescence de spasticité chez un patient porteur d'une pompe à baclofène / N. Roche in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°2 (mars 2007)
PermalinkEffet de la spasticité sur les capacités fonctionnelles des patients atteints de lésion médullaire : intérêt de l'évaluation par échelle visuelle analogique (étude préliminaire) / BLANCHARD-DAUPHIN A. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°9 (décembre 2001)
PermalinkEffets des ondes de choc radiales sur la spasticité du triceps sural de patients hémiplégiques en phase subaiguë: un essai contrôlé randomisé / Léa Tirbisch in Kinésithérapie, la revue, 164-165 (Août-Septembre 2015)
PermalinkEfficacité du traitement de la spasticité en fonction des différentes formes d'IMC et de la classification GMFCS / Steevens Baudine
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