Dépouillements

Prestations de conseil (12) : Un cas de dénutrition protéino-énergétique / Fabrice Guerber in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.8-11 Titre : Prestations de conseil (12) : Un cas de dénutrition protéino-énergétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Guerber, Auteur ; Claude Naudin, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.8-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dénutrition protéino-énergétique Note de contenu : Plan Cas clinique La concertation clinico-biologique Comment affirmer le diagnostic d’une dénutrition ? Qu’en est-il de sa sévérité ? Quel est le mécanisme de la dénutrition et ses conséquences ? Comment surveiller la renutrition Quels en sont les risques ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75231 [article] Prestations de conseil (12) : Un cas de dénutrition protéino-énergétique [texte imprimé] / Fabrice Guerber, Auteur ; Claude Naudin, Auteur . - 2016 . - p.8-11. Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.8-11 Mots-clés : Dénutrition protéino-énergétique Note de contenu : Plan Cas clinique La concertation clinico-biologique Comment affirmer le diagnostic d’une dénutrition ? Qu’en est-il de sa sévérité ? Quel est le mécanisme de la dénutrition et ses conséquences ? Comment surveiller la renutrition Quels en sont les risques ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75231

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Liens biologiques entre virus Zika, syndrome de Guillain-Barré et microcéphalie in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)  

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p..23 Titre : Liens biologiques entre virus Zika, syndrome de Guillain-Barré et microcéphalie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Article en page(s) : p..23 Langues : Français (fre) Mots-clés : Virus Zika  syndrome de guillain-Barré  microcéphalie En ligne : http://www.em-consulte.com/article/1067898/article/liens-biologiques-entre-virus [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75232 [article] Liens biologiques entre virus Zika, syndrome de Guillain-Barré et microcéphalie [texte imprimé] . - 2016 . - p..23. Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p..23 Mots-clés : Virus Zika  syndrome de guillain-Barré  microcéphalie En ligne : http://www.em-consulte.com/article/1067898/article/liens-biologiques-entre-virus [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75232

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Les zoonoses : des affections trop souvent négligées [dossier] in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.25-72 Titre : Les zoonoses : des affections trop souvent négligées [dossier] Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.25-72 Langues : Français (fre) Mots-clés : zoonoses Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75233 [article] Les zoonoses : des affections trop souvent négligées [dossier] [texte imprimé] . - 2016 . - p.25-72. Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.25-72 Mots-clés : zoonoses Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75233

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Les zoonoses du Grand Nord / Patrice Bourée in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.27-35 Titre : Les zoonoses du Grand Nord Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrice Bourée, Auteur ; Jean Dupouy-Camet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.27-35 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : Cryptosporidium  Diphyllobothrium  Echinococcus canadensis  Echinococcus multilocularis  Giardia  Pays du Grand Nord  Trichinella Résumé : Résumé Les zoonoses parasitaires sont cosmopolites et représentent un important problème pour les populations habitant dans le grand nord, où la prévalence de certains parasites est plus élevée que dans le reste du continent nord Américain. Giardia intestinalis est très répandu dans les régions du grand nord et des kystes de Giardia ont été retrouvés chez les animaux domestiques et sauvages, comme les castors et les phoques. La prévalence de Cryptosporidium est relativement faible dans ces contrées froides. Des sérodiagnostics positifs de toxoplasmose ont été décelés chez les animaux et les populations locales. Des cas humains et animaux de trichinellose ont été signalés dans ces régions polaires, suite à l’ingestion de viande mal cuite d’ours ou de phoque. D’autres nématodoses (Anisakis, Toxocara) ont été répertoriées dans le grand nord, ainsi que différentes espèces de Diphyllobothrium. Echinococcus canadensis est retrouvé chez les canidés et les cervidés (caribous, rennes) au Canada et en Alaska, mais pas au Groenland. Les hôtes définitifs de Echinococcus multilocularis sont les renards polaires, les renards roux et les chiens. En raison de l’éducation sanitaire et de la surveillance épidémiologique, aucun cas humain n’a été signalé en Alaska depuis 1986. Le réchauffement climatique va provoquer des perturbations écologiques terrestres, fluviales et maritimes en facilitant la survie et la multiplication des parasites et donc leur dissémination parmi les animaux, les populations locales et les visiteurs. Note de contenu : Plan Introduction Le Grand Nord Les protozooses Giardiose Cryptosporidiose Toxoplasmose Helminthoses Trichinellose Toxocarose Anisakidose Diphyllobothriose Hydatidose Echinococcose alvéolaire Conclusion Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75234 [article] Les zoonoses du Grand Nord [texte imprimé] / Patrice Bourée, Auteur ; Jean Dupouy-Camet, Auteur . - 2016 . - p.27-35. Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.27-35 Mots-clés : Cryptosporidium  Diphyllobothrium  Echinococcus canadensis  Echinococcus multilocularis  Giardia  Pays du Grand Nord  Trichinella Résumé : Résumé Les zoonoses parasitaires sont cosmopolites et représentent un important problème pour les populations habitant dans le grand nord, où la prévalence de certains parasites est plus élevée que dans le reste du continent nord Américain. Giardia intestinalis est très répandu dans les régions du grand nord et des kystes de Giardia ont été retrouvés chez les animaux domestiques et sauvages, comme les castors et les phoques. La prévalence de Cryptosporidium est relativement faible dans ces contrées froides. Des sérodiagnostics positifs de toxoplasmose ont été décelés chez les animaux et les populations locales. Des cas humains et animaux de trichinellose ont été signalés dans ces régions polaires, suite à l’ingestion de viande mal cuite d’ours ou de phoque. D’autres nématodoses (Anisakis, Toxocara) ont été répertoriées dans le grand nord, ainsi que différentes espèces de Diphyllobothrium. Echinococcus canadensis est retrouvé chez les canidés et les cervidés (caribous, rennes) au Canada et en Alaska, mais pas au Groenland. Les hôtes définitifs de Echinococcus multilocularis sont les renards polaires, les renards roux et les chiens. En raison de l’éducation sanitaire et de la surveillance épidémiologique, aucun cas humain n’a été signalé en Alaska depuis 1986. Le réchauffement climatique va provoquer des perturbations écologiques terrestres, fluviales et maritimes en facilitant la survie et la multiplication des parasites et donc leur dissémination parmi les animaux, les populations locales et les visiteurs. Note de contenu : Plan Introduction Le Grand Nord Les protozooses Giardiose Cryptosporidiose Toxoplasmose Helminthoses Trichinellose Toxocarose Anisakidose Diphyllobothriose Hydatidose Echinococcose alvéolaire Conclusion Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75234

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Dirofilaria et dirofilarioses / Didier Basset in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.37-44 Titre : Dirofilaria et dirofilarioses Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Basset, Auteur ; Pauline Sauguet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.37-44 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : edes  chiens  Dirofilarioses  Dirofilaria immits  Dirofilaria repens  Wolbachia Résumé : Résumé Si les Dirofilaria sont des filaires peu connues du public, des biologistes et des médecins, leur impact chez les canidés et les félidés est pourtant un réel problème de santé publique. Les dirofilarioses canines entraînent souvent de graves conséquences en termes de morbidité et de mortalité. Chez l’homme, leur fréquence et leur gravité sont plus anecdotiques. Cependant, les atteintes cutanées, notamment au niveau du globe oculaire, sont plus souvent décrites qu’autrefois et peuvent inquiéter d’autant plus que cette pathologie sévit en France métropolitaine. En cause, la multiplication des moustiques vecteurs dans les zones lagunaires et l’augmentation du contact de l’homme et son animal préféré avec le vecteur. Plusieurs explications sont possibles : la meilleure connaissance de cette pathologie, ce qui augmente la sûreté du diagnostic mais, surtout, le réchauffement climatique aggravé par les décisions européennes qui interdisent dorénavant l’utilisation de certains insecticides comme les organo-phosphorés. Les traitements préventifs et curatifs par un macrolide, l’ivermectine, sur lequel on fondait de nombreux espoirs n’a pas complétement répondu à l’attente des vétérinaires. Note de contenu : Plan Introduction Un peu de systématique Les vecteurs Dirofilaria immitis Cycle Symptomatologie Dirofilaria repens Autres Dirofilaria Rôle des bactéries Wolbachia, symbiotes des filaires Le diagnostic Les traitements Conclusion Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75235 [article] Dirofilaria et dirofilarioses [texte imprimé] / Didier Basset, Auteur ; Pauline Sauguet, Auteur . - 2016 . - p.37-44. Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.37-44 Mots-clés : edes  chiens  Dirofilarioses  Dirofilaria immits  Dirofilaria repens  Wolbachia Résumé : Résumé Si les Dirofilaria sont des filaires peu connues du public, des biologistes et des médecins, leur impact chez les canidés et les félidés est pourtant un réel problème de santé publique. Les dirofilarioses canines entraînent souvent de graves conséquences en termes de morbidité et de mortalité. Chez l’homme, leur fréquence et leur gravité sont plus anecdotiques. Cependant, les atteintes cutanées, notamment au niveau du globe oculaire, sont plus souvent décrites qu’autrefois et peuvent inquiéter d’autant plus que cette pathologie sévit en France métropolitaine. En cause, la multiplication des moustiques vecteurs dans les zones lagunaires et l’augmentation du contact de l’homme et son animal préféré avec le vecteur. Plusieurs explications sont possibles : la meilleure connaissance de cette pathologie, ce qui augmente la sûreté du diagnostic mais, surtout, le réchauffement climatique aggravé par les décisions européennes qui interdisent dorénavant l’utilisation de certains insecticides comme les organo-phosphorés. Les traitements préventifs et curatifs par un macrolide, l’ivermectine, sur lequel on fondait de nombreux espoirs n’a pas complétement répondu à l’attente des vétérinaires. Note de contenu : Plan Introduction Un peu de systématique Les vecteurs Dirofilaria immitis Cycle Symptomatologie Dirofilaria repens Autres Dirofilaria Rôle des bactéries Wolbachia, symbiotes des filaires Le diagnostic Les traitements Conclusion Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75235

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L’angiostrongylose humaine : une maladie tropicale négligée / Loïc Epelboin in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.45-55 Titre : L’angiostrongylose humaine : une maladie tropicale négligée Type de document : texte imprimé Auteurs : Loïc Epelboin, Auteur ; Louis Collet, Auteur ; Maxime Raz, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.45-55 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : Achatina fulica  Angiostrongylose  angiostrongyloloïdose  Angiostrongylus cantonensis  hyperésinophilie  maladie tropicale négligée  méningite à éosinophiles Résumé : Résumé L’angiostrongylose humaine ou angiostrongylose nerveuse est une maladie parasitaire rare liée à un nématode, Angiostrongylus cantonensis. L’homme est un hôte accidentel et développe une pathologie neurologique à type de méningite et/ou encéphalite à éosinophiles d’évolution souvent favorable chez l’adulte mais parfois très sévère chez l‘enfant. Le diagnostic repose sur l’association de signes neurologiques avec une hyperéosinophilie dans le LCR chez un individu vivant ou revenant d’une zone d’endémie. Le diagnostic microbiologique n’est pas toujours possible, et repose sur la sérologie dans le sang voire dans le LCR, où la sensibilité est meilleure, mais aussi sur la PCR dans le LCR disponible depuis quelques années. Le traitement est mal codifié, et les formes sévères justifient l’association d’une corticothérapie et d’albendazole. Si la maladie est cosmopolite dans les régions intertropicales, elle est particulièrement fréquente en Chine, à Taïwan, en Thaïlande et dans les îles du Pacifique. On l’a retrouve également de façon éparse dans des îles de l’Océan Indien, mais aussi en Jamaïque et au Brésil. Le mode de transmission est variable d’un lieu à l’autre. En Chine, en Thaïlande et dans l’Océan Pacifique, la contamination se fait souvent via la consommation de crustacés mal cuits. Dans l’Océan Indien, à Taïwan, au Brésil et à Hawaï, le principal mode de contamination est l’ingestion par contact direct ou indirect de bave de l’escargot géant africain (Achatina fulica) : cette espèce considérée comme invasive, est présente dans la plupart des régions intertropicales du globe. Les cliniciens et parasitologues doivent évoquer systématiquement cette étiologie devant un tableau de méningite à éosinophiles chez un patient retournant ou vivant en zone tropicale. Note de contenu : Plan Introduction Épidémiologie Cycle parasitaire Physiopathologie Tableau clinique Tableau biologique Évolution et facteurs pronostiques Diagnostic Biologique Confirmer la méningite à éosinophiles Diagnostic Direct Diagnostic indirect Imagerie cérébrale et examens morphologiques Diagnostic différentiel des méningites à éosinophiles Traitement Traitement symptomatique Corticothérapie Traitements antiparasitaires Traitement chirurgical Prévention Collective Individuelle Remerciements Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75236 [article] L’angiostrongylose humaine : une maladie tropicale négligée [texte imprimé] / Loïc Epelboin, Auteur ; Louis Collet, Auteur ; Maxime Raz, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.45-55. Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.45-55 Mots-clés : Achatina fulica  Angiostrongylose  angiostrongyloloïdose  Angiostrongylus cantonensis  hyperésinophilie  maladie tropicale négligée  méningite à éosinophiles Résumé : Résumé L’angiostrongylose humaine ou angiostrongylose nerveuse est une maladie parasitaire rare liée à un nématode, Angiostrongylus cantonensis. L’homme est un hôte accidentel et développe une pathologie neurologique à type de méningite et/ou encéphalite à éosinophiles d’évolution souvent favorable chez l’adulte mais parfois très sévère chez l‘enfant. Le diagnostic repose sur l’association de signes neurologiques avec une hyperéosinophilie dans le LCR chez un individu vivant ou revenant d’une zone d’endémie. Le diagnostic microbiologique n’est pas toujours possible, et repose sur la sérologie dans le sang voire dans le LCR, où la sensibilité est meilleure, mais aussi sur la PCR dans le LCR disponible depuis quelques années. Le traitement est mal codifié, et les formes sévères justifient l’association d’une corticothérapie et d’albendazole. Si la maladie est cosmopolite dans les régions intertropicales, elle est particulièrement fréquente en Chine, à Taïwan, en Thaïlande et dans les îles du Pacifique. On l’a retrouve également de façon éparse dans des îles de l’Océan Indien, mais aussi en Jamaïque et au Brésil. Le mode de transmission est variable d’un lieu à l’autre. En Chine, en Thaïlande et dans l’Océan Pacifique, la contamination se fait souvent via la consommation de crustacés mal cuits. Dans l’Océan Indien, à Taïwan, au Brésil et à Hawaï, le principal mode de contamination est l’ingestion par contact direct ou indirect de bave de l’escargot géant africain (Achatina fulica) : cette espèce considérée comme invasive, est présente dans la plupart des régions intertropicales du globe. Les cliniciens et parasitologues doivent évoquer systématiquement cette étiologie devant un tableau de méningite à éosinophiles chez un patient retournant ou vivant en zone tropicale. Note de contenu : Plan Introduction Épidémiologie Cycle parasitaire Physiopathologie Tableau clinique Tableau biologique Évolution et facteurs pronostiques Diagnostic Biologique Confirmer la méningite à éosinophiles Diagnostic Direct Diagnostic indirect Imagerie cérébrale et examens morphologiques Diagnostic différentiel des méningites à éosinophiles Traitement Traitement symptomatique Corticothérapie Traitements antiparasitaires Traitement chirurgical Prévention Collective Individuelle Remerciements Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75236

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La balantidiose : une zoonose du porc pas toujours asymptomatique / Patrice Bourée in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.57-62 Titre : La balantidiose : une zoonose du porc pas toujours asymptomatique Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrice Bourée, Auteur ; Francine Bisaro, Auteur ; Sophie Delaigue, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.57-62 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : Balantidiose  balantidium coli  protozoaire cilié  syndrome dysentérique  porcs  zoonose Résumé : Résumé La balantidiose, zoonose parasitaire due à un protozoaire cilié, est cosmopolite, mais se rencontre surtout dans les pays tropicaux et subtropicaux. Elle se transmet à l’homme par ingestion d’eau ou d’aliments souillés contenant des kystes provenant des excréments des porcs. Comme les animaux, le sujet infesté reste le plus souvent porteur asymptomatique. Dans le cas contraire, les troubles cliniques peuvent prêter à confusion avec une amoebose intestinale. Les complications graves sont rares mais parfois mortelles. Le diagnostic biologique est facile par l’examen parasitologique des selles. Le traitement, à base de tétracyclines ou de nitro-imidazolés, est très efficace. Note de contenu : Plan Introduction Réservoir : le porc Infestation humaine très variable Une infection fréquemment asymptomatique Examen de selles Cyclines et métronidazole Conclusion Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75237 [article] La balantidiose : une zoonose du porc pas toujours asymptomatique [texte imprimé] / Patrice Bourée, Auteur ; Francine Bisaro, Auteur ; Sophie Delaigue, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.57-62. Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.57-62 Mots-clés : Balantidiose  balantidium coli  protozoaire cilié  syndrome dysentérique  porcs  zoonose Résumé : Résumé La balantidiose, zoonose parasitaire due à un protozoaire cilié, est cosmopolite, mais se rencontre surtout dans les pays tropicaux et subtropicaux. Elle se transmet à l’homme par ingestion d’eau ou d’aliments souillés contenant des kystes provenant des excréments des porcs. Comme les animaux, le sujet infesté reste le plus souvent porteur asymptomatique. Dans le cas contraire, les troubles cliniques peuvent prêter à confusion avec une amoebose intestinale. Les complications graves sont rares mais parfois mortelles. Le diagnostic biologique est facile par l’examen parasitologique des selles. Le traitement, à base de tétracyclines ou de nitro-imidazolés, est très efficace. Note de contenu : Plan Introduction Réservoir : le porc Infestation humaine très variable Une infection fréquemment asymptomatique Examen de selles Cyclines et métronidazole Conclusion Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75237

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L’orf, une zoonose virale fréquente mais mal connue / Patrice Bourée in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.63-66 Titre : L’orf, une zoonose virale fréquente mais mal connue Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrice Bourée, Auteur ; Pascale Sarrand, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.63-66 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : Agneaux  Orf  parapoxvirus  ecthyma contagiosum  zoonoses Résumé : Résumé L’orf est une zoonose cosmopolite due à un parapoxvirus ayant un tropisme pour les cellules épidermiques. L’infection, ou ecthyma contagiosum est endémique dans de nombreux troupeaux de moutons et de chèvres. Les lésions des animaux sont surtout localisées sur le museau. La transmission à l’homme s’effectue par contact direct avec un animal infecté. La lésion évolue en plusieurs phases (macule, papule, nodule puis croûte) avant de guérir spontanément en 4 à 6 semaines. L’examen histologique montre un infiltrat inflammatoire et des inclusions éosinophiliques dans les cellules épithéliales. L’infection par le parapoxvirus est confirmée par RT-PCR. Il n’y a pas de traitement spécifique. La prévention est basée sur l’hygiène de l’élevage des animaux. Note de contenu : Plan Introduction Un virus cosmopolite Une maladie des agneaux Une guérison spontanée Diagnostic : biopsie et PCR Traitement local Remerciements Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75238 [article] L’orf, une zoonose virale fréquente mais mal connue [texte imprimé] / Patrice Bourée, Auteur ; Pascale Sarrand, Auteur . - 2016 . - p.63-66. Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.63-66 Mots-clés : Agneaux  Orf  parapoxvirus  ecthyma contagiosum  zoonoses Résumé : Résumé L’orf est une zoonose cosmopolite due à un parapoxvirus ayant un tropisme pour les cellules épidermiques. L’infection, ou ecthyma contagiosum est endémique dans de nombreux troupeaux de moutons et de chèvres. Les lésions des animaux sont surtout localisées sur le museau. La transmission à l’homme s’effectue par contact direct avec un animal infecté. La lésion évolue en plusieurs phases (macule, papule, nodule puis croûte) avant de guérir spontanément en 4 à 6 semaines. L’examen histologique montre un infiltrat inflammatoire et des inclusions éosinophiliques dans les cellules épithéliales. L’infection par le parapoxvirus est confirmée par RT-PCR. Il n’y a pas de traitement spécifique. La prévention est basée sur l’hygiène de l’élevage des animaux. Note de contenu : Plan Introduction Un virus cosmopolite Une maladie des agneaux Une guérison spontanée Diagnostic : biopsie et PCR Traitement local Remerciements Conflits d’intérêts Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75238

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Diagnostic d’un cas importé d’infection par le virus Zika / Corinne Merle De Boever in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)

Public ISBD [article]  inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.68-72 Titre : Diagnostic d’un cas importé d’infection par le virus Zika Type de document : texte imprimé Auteurs : Corinne Merle De Boever, Auteur ; Vincent Foulongne, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.68-72 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : Virus Zika  cas clinique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75239 [article] Diagnostic d’un cas importé d’infection par le virus Zika [texte imprimé] / Corinne Merle De Boever, Auteur ; Vincent Foulongne, Auteur . - 2016 . - p.68-72. Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.68-72 Mots-clés : Virus Zika  cas clinique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75239

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