[article] 
inMotricité cérébrale > vol. 30/3 (septembre 2009) . - p. 108-114

Titre :	Installations de l’adulte atteint d’une infirmité motrice cérébrale ou polyhandicapé : savoir ne pas baisser les bras face à un état orthopédique gravissime
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	S. CHABRAN
Année de publication :	2009
Article en page(s) :	p. 108-114
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Personne polyhandicapée  Orthopédie
Résumé :	L’état orthopédique de certains adultes atteints d’une infirmité motrice cérébrale (IMC) ou polyhandicapés rend difficile l’installation dans des sièges moulés ou autres dispositifs adaptés. Un système mal conçu peut tout à fait majorer chez ces patients le handicap qui est déjà extrêmement important. Afin de choisir le type d’installation le plus adapté et performant, il faut tout d’abord réaliser une étude factorielle précise. Celle-ci sert de base à une réflexion pluridisciplinaire regroupant médecin, kinésithérapeute, ergothérapeute et appareilleur. La prise d’empreinte est alors réalisée en collaboration avec l’appareilleur ainsi que les essayages successifs. Le système doit absolument bénéficier d’une inclinaison variable pour pouvoir alterner au cours de la journée les positions de repos et les positions plus « actives ». Il est indispensable d’apporter un maximum de soin et de réflexion lors de l’élaboration et de la fabrication de ces installations afin d’en retirer le bénéfice maximal pour les patients.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=16685

[article] Installations de l’adulte atteint d’une infirmité motrice cérébrale ou polyhandicapé : savoir ne pas baisser les bras face à un état orthopédique gravissime [texte imprimé] / S. CHABRAN . - 2009 . - p. 108-114.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > vol. 30/3 (septembre 2009) . - p. 108-114

Mots-clés :	Personne polyhandicapée  Orthopédie
Résumé :	L’état orthopédique de certains adultes atteints d’une infirmité motrice cérébrale (IMC) ou polyhandicapés rend difficile l’installation dans des sièges moulés ou autres dispositifs adaptés. Un système mal conçu peut tout à fait majorer chez ces patients le handicap qui est déjà extrêmement important. Afin de choisir le type d’installation le plus adapté et performant, il faut tout d’abord réaliser une étude factorielle précise. Celle-ci sert de base à une réflexion pluridisciplinaire regroupant médecin, kinésithérapeute, ergothérapeute et appareilleur. La prise d’empreinte est alors réalisée en collaboration avec l’appareilleur ainsi que les essayages successifs. Le système doit absolument bénéficier d’une inclinaison variable pour pouvoir alterner au cours de la journée les positions de repos et les positions plus « actives ». Il est indispensable d’apporter un maximum de soin et de réflexion lors de l’élaboration et de la fabrication de ces installations afin d’en retirer le bénéfice maximal pour les patients.
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