Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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[article]
Titre : Des moustiques mutants contre le paludisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias Germain Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 74-75 Langues : Français (fre) Mots-clés : paludisme traitement moustique Anopheles gambiae Résumé : Grâce à une manipulation génétique, une équipe britannique vient de réussir à faire disparaître en laboratoire toute une population de moustiques responsables de la transmission du paludisme. Elle a utilisé une technique qui permet de modifier l'ADN des insectes - par exemple, pour les rendre stériles -et de transmettre cette mutation de génération en génération. En ligne : https://www.larecherche.fr/sant%C3%A9/des-moustiques-mutants-contre-le-paludisme Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=66578
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 74-75[article] Des moustiques mutants contre le paludisme [texte imprimé] / Mathias Germain . - 2019 . - p. 74-75.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 74-75
Mots-clés : paludisme traitement moustique Anopheles gambiae Résumé : Grâce à une manipulation génétique, une équipe britannique vient de réussir à faire disparaître en laboratoire toute une population de moustiques responsables de la transmission du paludisme. Elle a utilisé une technique qui permet de modifier l'ADN des insectes - par exemple, pour les rendre stériles -et de transmettre cette mutation de génération en génération. En ligne : https://www.larecherche.fr/sant%C3%A9/des-moustiques-mutants-contre-le-paludisme Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=66578 Réservation
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DisponibleLes greffons de demain naissent in vitro / Agnès Vernet in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Les greffons de demain naissent in vitro Type de document : texte imprimé Auteurs : Agnès Vernet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 68-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : greffes organes artificiels bio impression 3D Résumé : En août 2018, des chercheurs ont annoncé avoir greffé quatre cochons avec des poumons issus de la bio-ingénierie, c'est-à-dire fabriqués dans leur laboratoire. D'autres organes complexes profitent de ces techniques prometteuses, même si la prudence reste de mise avant de pouvoir réaliser les premières transplantations chez l'homme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73351
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 68-71[article] Les greffons de demain naissent in vitro [texte imprimé] / Agnès Vernet . - 2019 . - p. 68-71.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 68-71
Mots-clés : greffes organes artificiels bio impression 3D Résumé : En août 2018, des chercheurs ont annoncé avoir greffé quatre cochons avec des poumons issus de la bio-ingénierie, c'est-à-dire fabriqués dans leur laboratoire. D'autres organes complexes profitent de ces techniques prometteuses, même si la prudence reste de mise avant de pouvoir réaliser les premières transplantations chez l'homme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73351 Réservation
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DisponibleL'angle magique du graphène / Denis Delbecq in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : L'angle magique du graphène Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Delbecq Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 50-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Graphène Supraconducteurs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73845
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 50-52[article] L'angle magique du graphène [texte imprimé] / Denis Delbecq . - 2019 . - p. 50-52.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 50-52
Mots-clés : Graphène Supraconducteurs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=73845 Réservation
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DisponibleDéterminer le sexe d'un individu grâce à une simple dent / William Rowe-Pirra in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Déterminer le sexe d'un individu grâce à une simple dent Type de document : texte imprimé Auteurs : William Rowe-Pirra Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 30 Langues : Français (fre) Résumé : Les anthropologues peuvent désormais savoir si une dent fossilisée a appartenu à un homme ou à une femme. Pour ce faire, ils mesurent la quantité d'une protéine de l'émail dont la synthèse dépend de gènes situés sur les chromosomes sexuels.
Les fossiles humains fournissent de précieuses informations aux archéologues et aux paléoanthropologues pour comprendre l'histoire des sociétés anciennes. L'estimation du sexe de ces individus est cruciale dans la contextualisation de leur découverte. Une équipe de paléoanthropologues de l'université de Californie à Davis a mis au point une nouvelle technique visant à identifier le genre biologique d'un spécimen à partir des protéines qui constituent l'émail dentaire.
Pour déterminer le genre d'un individu à partir de restes fossilisés, les archéologues se tournent généralement vers les éléments du squelette qui diffèrent entre les femmes et les hommes, comme le bassin. Toutefois, lors de leurs fouilles, ils trouvent rarement des squelettes entiers et doivent la plupart du temps se contenter de fragments osseux. Un autre moyen de procéder consiste à séquencer le génome du fossile ...
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74224
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 30[article] Déterminer le sexe d'un individu grâce à une simple dent [texte imprimé] / William Rowe-Pirra . - 2019 . - p. 30.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 30
Résumé : Les anthropologues peuvent désormais savoir si une dent fossilisée a appartenu à un homme ou à une femme. Pour ce faire, ils mesurent la quantité d'une protéine de l'émail dont la synthèse dépend de gènes situés sur les chromosomes sexuels.
Les fossiles humains fournissent de précieuses informations aux archéologues et aux paléoanthropologues pour comprendre l'histoire des sociétés anciennes. L'estimation du sexe de ces individus est cruciale dans la contextualisation de leur découverte. Une équipe de paléoanthropologues de l'université de Californie à Davis a mis au point une nouvelle technique visant à identifier le genre biologique d'un spécimen à partir des protéines qui constituent l'émail dentaire.
Pour déterminer le genre d'un individu à partir de restes fossilisés, les archéologues se tournent généralement vers les éléments du squelette qui diffèrent entre les femmes et les hommes, comme le bassin. Toutefois, lors de leurs fouilles, ils trouvent rarement des squelettes entiers et doivent la plupart du temps se contenter de fragments osseux. Un autre moyen de procéder consiste à séquencer le génome du fossile ...
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DisponibleRéduire les lésions après un AVC / Agnès Vernet in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Réduire les lésions après un AVC Type de document : texte imprimé Auteurs : Agnès Vernet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 32 Langues : Français (fre) Résumé : En traitant la matrice extracellulaire, une équipe française parvient à réduire les lésions après un accident vasculaire cérébral (AVC). Pour l'instant testée chez l'animal, cette stratégie pourrait aider les patients à récupérer plus rapidement.
Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) résultent, pour 80 à 85 %, de l'obstruction d'un vaisseau par un caillot sanguin. La zone concernée se retrouve ainsi privée d'oxygène. On parle d'AVC ischémique. Aux urgences, les médecins détruisent le caillot le plus rapidement possible pour irriguer à nouveau l'ensemble du cerveau. Mais cette privation transitoire d'oxygène a des conséquences catastrophiques : les cellules vasculaires qui constituent le réseau sanguin local meurent, et le réseau de protéines qui soutient et forme l'environnement des neurones se désagrège. Des chercheurs de l'université de Caen et du CNRS ont décidé de soigner cette matrice extracellulaire.
« Cela fait longtemps qu'on cherche à cibler la matrice extracellulaire, mais on manquait d'outils efficaces », explique Claire Rome, neuroscientifique au Grenoble-Institut des neurosciences. Les biologistes ont employé un biomatériau : ils ...
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74225
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 32[article] Réduire les lésions après un AVC [texte imprimé] / Agnès Vernet . - 2019 . - p. 32.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 32
Résumé : En traitant la matrice extracellulaire, une équipe française parvient à réduire les lésions après un accident vasculaire cérébral (AVC). Pour l'instant testée chez l'animal, cette stratégie pourrait aider les patients à récupérer plus rapidement.
Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) résultent, pour 80 à 85 %, de l'obstruction d'un vaisseau par un caillot sanguin. La zone concernée se retrouve ainsi privée d'oxygène. On parle d'AVC ischémique. Aux urgences, les médecins détruisent le caillot le plus rapidement possible pour irriguer à nouveau l'ensemble du cerveau. Mais cette privation transitoire d'oxygène a des conséquences catastrophiques : les cellules vasculaires qui constituent le réseau sanguin local meurent, et le réseau de protéines qui soutient et forme l'environnement des neurones se désagrège. Des chercheurs de l'université de Caen et du CNRS ont décidé de soigner cette matrice extracellulaire.
« Cela fait longtemps qu'on cherche à cibler la matrice extracellulaire, mais on manquait d'outils efficaces », explique Claire Rome, neuroscientifique au Grenoble-Institut des neurosciences. Les biologistes ont employé un biomatériau : ils ...
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DisponibleStimuler la moelle épinière, ça marche ! / Gautier Cariou in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Stimuler la moelle épinière, ça marche ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Gautier Cariou Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 56-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : moelle épinière stimultation marche rééducation stimulation dynamique électrostimulation Résumé : Trois groupes de recherche indépendants sont parvenus à restaurer la marche chez des patients paralysés des membres inférieurs. Le principe de leur méthode ? Associer une rééducation intense et des séances de stimulation de la moelle épinière au moyen d'un implant électronique.
C'était fin décembre 2016. « Ce matin-là, David est arrivé dans le laboratoire et nous a dit : "Regardez". Il gesticulait son orteil gauche, qu'il ne pouvait pourtant plus bouger depuis sept ans. Là, je me suis dit qu'on tenait quelque chose d'important », se souvient Grégoire Courtine, chercheur à l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). David est l'un des patients inclus dans l'essai clinique Stimulation Movement Overground (Stimo), piloté par l'EPFL et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), à Lausanne. Il vise à tester les bénéfices d'une stimulation électrique de la moelle épinière - la stimulation épidurale - sur la motricité de patients paralysés des membres inférieurs. David, qui est allé au bout du protocole, est aujourd'hui capable de contrôler volontairement les muscles de sa jambe gauche, autrefois paralysés, et de marcher hors du laboratoire à l'aide d'un déambulateur. « Selon la sévérité de leur lésion, tous les patients n'on ...
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74226
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 56-59[article] Stimuler la moelle épinière, ça marche ! [texte imprimé] / Gautier Cariou . - 2019 . - p. 56-59.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 56-59
Mots-clés : moelle épinière stimultation marche rééducation stimulation dynamique électrostimulation Résumé : Trois groupes de recherche indépendants sont parvenus à restaurer la marche chez des patients paralysés des membres inférieurs. Le principe de leur méthode ? Associer une rééducation intense et des séances de stimulation de la moelle épinière au moyen d'un implant électronique.
C'était fin décembre 2016. « Ce matin-là, David est arrivé dans le laboratoire et nous a dit : "Regardez". Il gesticulait son orteil gauche, qu'il ne pouvait pourtant plus bouger depuis sept ans. Là, je me suis dit qu'on tenait quelque chose d'important », se souvient Grégoire Courtine, chercheur à l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). David est l'un des patients inclus dans l'essai clinique Stimulation Movement Overground (Stimo), piloté par l'EPFL et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), à Lausanne. Il vise à tester les bénéfices d'une stimulation électrique de la moelle épinière - la stimulation épidurale - sur la motricité de patients paralysés des membres inférieurs. David, qui est allé au bout du protocole, est aujourd'hui capable de contrôler volontairement les muscles de sa jambe gauche, autrefois paralysés, et de marcher hors du laboratoire à l'aide d'un déambulateur. « Selon la sévérité de leur lésion, tous les patients n'on ...
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DisponibleComment le cerveau élimine ses déchets / Gautier Cariou in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Comment le cerveau élimine ses déchets Type de document : texte imprimé Auteurs : Gautier Cariou Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 60-61 Langues : Français (fre) Mots-clés : cerveau neurones élimination déchets Alzheimer système lymphatique Résumé :
Le mécanisme d'évacuation des déchets produits par les cellules nerveuses vient d'être élucidé par une équipe américaine. Il met en jeu un équilibre subtil entre deux systèmes de drainage : l'un, déjà connu, est assuré par les vaisseaux sanguins traversant le cerveau ; l'autre, inconnu jusqu'alors, utilise les vaisseaux lymphatiques qui parcourent les méninges, l'enveloppe protectrice du cerveau.
Le corps humain est une immense usine contenant une centaine de milliers de milliards de minuscules ateliers : nos cellules. Chacune rejette une multitude de déchets, dont l'accumulation est toxique pour l'organisme. Mais à chaque poison, son remède. Le corps est ainsi doté d'un système de nettoyage très performant, le réseau lymphatique, composé de vaisseaux dans lesquels circule un liquide - la lymphe - qui draine les déchets jusqu'aux ganglions lymphatiques, où ils sont filtrés. Si des corps étrangers ou pathologiques sont détectés, les cellules immunitaires migrent vers les tissus d'où proviennent ces corps pour lutter contre l'infection.
Ce réseau est présent dans tous les tissus du corps humain... à l'exception du cerveau. Le système nerveux central est en effet dépourvu de vaisseaux lymphatiques. Dès lors, comment élimine-t-il ses déchets ? L'équipe de Jonathan Kipnis, de l'université de Virginie, aux États-Unis,Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74248
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 60-61[article] Comment le cerveau élimine ses déchets [texte imprimé] / Gautier Cariou . - 2019 . - p. 60-61.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 60-61
Mots-clés : cerveau neurones élimination déchets Alzheimer système lymphatique Résumé :
Le mécanisme d'évacuation des déchets produits par les cellules nerveuses vient d'être élucidé par une équipe américaine. Il met en jeu un équilibre subtil entre deux systèmes de drainage : l'un, déjà connu, est assuré par les vaisseaux sanguins traversant le cerveau ; l'autre, inconnu jusqu'alors, utilise les vaisseaux lymphatiques qui parcourent les méninges, l'enveloppe protectrice du cerveau.
Le corps humain est une immense usine contenant une centaine de milliers de milliards de minuscules ateliers : nos cellules. Chacune rejette une multitude de déchets, dont l'accumulation est toxique pour l'organisme. Mais à chaque poison, son remède. Le corps est ainsi doté d'un système de nettoyage très performant, le réseau lymphatique, composé de vaisseaux dans lesquels circule un liquide - la lymphe - qui draine les déchets jusqu'aux ganglions lymphatiques, où ils sont filtrés. Si des corps étrangers ou pathologiques sont détectés, les cellules immunitaires migrent vers les tissus d'où proviennent ces corps pour lutter contre l'infection.
Ce réseau est présent dans tous les tissus du corps humain... à l'exception du cerveau. Le système nerveux central est en effet dépourvu de vaisseaux lymphatiques. Dès lors, comment élimine-t-il ses déchets ? L'équipe de Jonathan Kipnis, de l'université de Virginie, aux États-Unis,Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74248 Réservation
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DisponibleUne maladie du sang corrigée par thérapie génique / Anne Debroise in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Une maladie du sang corrigée par thérapie génique Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Debroise Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 76-79 Langues : Français (fre) Mots-clés : thérapie génique globules rouges maladies du sang lentivirus Résumé :
On peut traiter les anomalies génétiques les plus fréquentes provoquantdes malformations des globules rouges dans une maladie héréditaire du sang, la bêta-thalassémie. C'est ce qu'ont confirmé des essais cliniques de phase 1-2. Greffés il y a cinq ans avec leurs propres cellules génétiquement modifiées,des patients vivent désormais sans transfusion sanguine.
Ils sont aujourd'hui 19 ex-malades de la bêta-thalassémie. Nés avec une forme grave de cette maladie héréditaire du sang, ils vivent désormais normalement. Ils n'ont plus besoin de se rendre à l'hôpital pour recevoir leur transfusion mensuelle et sont libérés de la fatigue continuelle due à l'anémie. Beaucoup témoignent, comme cette jeune femme de 24 ans qui a reçu le traitement il y a quatre ans, de leur sentiment d'être, enfin, « comme tout le monde ». Pourtant, jusqu'ici, la bêta-thalassémie était jugée incurable. Le traitement de thérapie génique que ces malades ont reçu en 2013, baptisé LentiGlobin, devrait être bientôt disponible sur le marché européen. En octobre 2018, l'Agence européenne des médicaments a en effet annoncé que le dossier de demande d'autorisation de mise sur le marché déposé par le laboratoire américain Bluebird Bio était accepté, et qu'il devrait bénéficier d'un traitement accéléré.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74638
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 76-79[article] Une maladie du sang corrigée par thérapie génique [texte imprimé] / Anne Debroise . - 2019 . - p. 76-79.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 76-79
Mots-clés : thérapie génique globules rouges maladies du sang lentivirus Résumé :
On peut traiter les anomalies génétiques les plus fréquentes provoquantdes malformations des globules rouges dans une maladie héréditaire du sang, la bêta-thalassémie. C'est ce qu'ont confirmé des essais cliniques de phase 1-2. Greffés il y a cinq ans avec leurs propres cellules génétiquement modifiées,des patients vivent désormais sans transfusion sanguine.
Ils sont aujourd'hui 19 ex-malades de la bêta-thalassémie. Nés avec une forme grave de cette maladie héréditaire du sang, ils vivent désormais normalement. Ils n'ont plus besoin de se rendre à l'hôpital pour recevoir leur transfusion mensuelle et sont libérés de la fatigue continuelle due à l'anémie. Beaucoup témoignent, comme cette jeune femme de 24 ans qui a reçu le traitement il y a quatre ans, de leur sentiment d'être, enfin, « comme tout le monde ». Pourtant, jusqu'ici, la bêta-thalassémie était jugée incurable. Le traitement de thérapie génique que ces malades ont reçu en 2013, baptisé LentiGlobin, devrait être bientôt disponible sur le marché européen. En octobre 2018, l'Agence européenne des médicaments a en effet annoncé que le dossier de demande d'autorisation de mise sur le marché déposé par le laboratoire américain Bluebird Bio était accepté, et qu'il devrait bénéficier d'un traitement accéléré.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74638 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLe climat change, les menaces s'accumulent / Mathias Germain in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Le climat change, les menaces s'accumulent Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias Germain Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.20-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réchauffement de la Terre Évènements climatiques extrêmes Réchauffement climatique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76216
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p.20-22[article] Le climat change, les menaces s'accumulent [texte imprimé] / Mathias Germain . - 2019 . - p.20-22.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p.20-22
Mots-clés : Réchauffement de la Terre Évènements climatiques extrêmes Réchauffement climatique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76216 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLes truffes alliées aux arbres depuis 150 millions d'années / Mathias Germain in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Les truffes alliées aux arbres depuis 150 millions d'années Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias Germain Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 26-27 Langues : Français (fre) Résumé :
La comparaison du patrimoine génétique de diverses espèces de truffes permet de mieux comprendre l'évolution de leur partenariat avec les arbres.
Les truffes noires du Périgord ou les truffes blanches du Piémont prospèrent sous la terre, aux pieds des chênes et des noisetiers... Ces champignons aux parfums intenses, qui appartiennent à la famille des ascomycètes, vivent en symbiose avec les arbres. Leurs filaments pénètrent entre les cellules des racines de l'arbre et lui apportent du phosphore et de l'azote, tandis que l'arbre fournit des sucres. Ce partenariat, baptisé ectomycorhize, s'est établi il y a plus de 150 millions d'années, d'après les travaux d'un consortium international, coordonnés par l'Inra de Nancy (CEA-Génoscope, université de Turin, université de Lorraine, CNRS). Pour le déterminer, les microbiologistes ont comparé les génomes de cinq espèces de truffes et de trois autres espèces d'ascomycètes, comme la morille. « La morille est un saprophyte, elle est capable de dégrader elle-même la matière organique grâce à des enzymes » ...
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76217
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 26-27[article] Les truffes alliées aux arbres depuis 150 millions d'années [texte imprimé] / Mathias Germain . - 2019 . - p. 26-27.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 26-27
Résumé :
La comparaison du patrimoine génétique de diverses espèces de truffes permet de mieux comprendre l'évolution de leur partenariat avec les arbres.
Les truffes noires du Périgord ou les truffes blanches du Piémont prospèrent sous la terre, aux pieds des chênes et des noisetiers... Ces champignons aux parfums intenses, qui appartiennent à la famille des ascomycètes, vivent en symbiose avec les arbres. Leurs filaments pénètrent entre les cellules des racines de l'arbre et lui apportent du phosphore et de l'azote, tandis que l'arbre fournit des sucres. Ce partenariat, baptisé ectomycorhize, s'est établi il y a plus de 150 millions d'années, d'après les travaux d'un consortium international, coordonnés par l'Inra de Nancy (CEA-Génoscope, université de Turin, université de Lorraine, CNRS). Pour le déterminer, les microbiologistes ont comparé les génomes de cinq espèces de truffes et de trois autres espèces d'ascomycètes, comme la morille. « La morille est un saprophyte, elle est capable de dégrader elle-même la matière organique grâce à des enzymes » ...
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76217 Réservation
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DisponibleLa ville, un problème de taille pour les invertébrés in La Recherche, 543 (Janvier 2019)
[article]
Titre : La ville, un problème de taille pour les invertébrés Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 72-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : ville pollution urbaine invertébrés écosystème pollinisation Résumé :
La chaleur favorise les espèces les plus petites. Mais la fragmentation des habitats avantage les grandes, qui migrent plus facilement d'un milieu à l'autre. D'après une équipe belge, en ville, ces deux facteurs jouent, mais différemment selonles groupes. Ainsi, les araignées ont tendance à rapetisser, à l'inverse des papillons. Ces évolutions bouleversent le fonctionnement de tout l'écosystème.
Si vous avez déjà croisé un cafard de 5 cm de long en ville, peut-être vous êtes-vous posé la question : les espèces urbaines sont-elles plus grosses ou plus petites qu'à la campagne ? Tout dépend, répond l'équipe de Hans Van Dyck, au Centre de recherche sur la biodiversité, à Louvain-la-Neuve, en Belgique. La faune urbaine est en effet soumise à deux pressions contradictoires, l'une favorisant les petites tailles, l'autre les grandes. Si, pour les araignées, ce sont les petites espèces qui prédominent en ville, on y retrouve des espèces de papillons plus grandes.
La question n'est pas anecdotique. Le changement climatique et l'urbanisation galopante façonnent notre environnement en profondeur. Et pour anticiper la manière dont les populations animales, en général, réagissent à ce changement, les chercheurs bâtissent des modèles à partir de leurs observations sur le terrain. Jusqu'ici, les études ...
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77223
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 72-73[article] La ville, un problème de taille pour les invertébrés [texte imprimé] . - 2019 . - p. 72-73.
Langues : Français (fre)
in La Recherche > 543 (Janvier 2019) . - p. 72-73
Mots-clés : ville pollution urbaine invertébrés écosystème pollinisation Résumé :
La chaleur favorise les espèces les plus petites. Mais la fragmentation des habitats avantage les grandes, qui migrent plus facilement d'un milieu à l'autre. D'après une équipe belge, en ville, ces deux facteurs jouent, mais différemment selonles groupes. Ainsi, les araignées ont tendance à rapetisser, à l'inverse des papillons. Ces évolutions bouleversent le fonctionnement de tout l'écosystème.
Si vous avez déjà croisé un cafard de 5 cm de long en ville, peut-être vous êtes-vous posé la question : les espèces urbaines sont-elles plus grosses ou plus petites qu'à la campagne ? Tout dépend, répond l'équipe de Hans Van Dyck, au Centre de recherche sur la biodiversité, à Louvain-la-Neuve, en Belgique. La faune urbaine est en effet soumise à deux pressions contradictoires, l'une favorisant les petites tailles, l'autre les grandes. Si, pour les araignées, ce sont les petites espèces qui prédominent en ville, on y retrouve des espèces de papillons plus grandes.
La question n'est pas anecdotique. Le changement climatique et l'urbanisation galopante façonnent notre environnement en profondeur. Et pour anticiper la manière dont les populations animales, en général, réagissent à ce changement, les chercheurs bâtissent des modèles à partir de leurs observations sur le terrain. Jusqu'ici, les études ...
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