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RFL : Revue Francophone des Laboratoires . 465 (1)Mention de date : septembre-octobre 2014 Paru le : 01/09/2014 |
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465 (1) - septembre-octobre 2014 - Dossier. Biochimie de la nutrition (1) [texte imprimé] . - 2014. Langues : Français (fre)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article]
Titre : Dossier. Biochimie de la nutrition Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Baudin, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 33-69 Langues : Français (fre) Résumé : On est foutu, on mange trop ! Rien n’est si sûr, car notre alimentation s’est améliorée au cours des derniers siècles, sinon que des débordements se sont installés menant au surpoids et à l’obésité. L’alimentation n’est pas seule responsable, car oisiveté et sédentarité ont largement leur part de responsabilité. Et à l’hôpital, quand les besoins augmentent pour régénérer des tissus lésés et contrecarrer la maladie, la dénutrition guette, même chez les obèses.
Il est important de la quantifier et de suivre la renutrition. Dans les structures de soins, les CLAN (Comité de liaison en alimentation et nutrition) ont pour mission de conseiller en matière de qualité et sécurité de l’alimentation et de la nutrition des patients et personnels, en coordonnant la prise en charge de l’état nutritionnel et en assurant une meilleure qualité de la prescription et de la surveillance de la nutrition artificielle.
Dans deux numéros de la Revue Francophone des Laboratoires, nous nous sommes proposés de faire le point sur les connaissances tant sur l’alimentation et la nutrition de l’adulte normal en bonne santé et qui veut le rester, que sur celles du nouveau-né qui peut présenter des carences nutritionnelles, celles de la personne âgée qui doit adapter son alimentation aux modifications physiologiques induites par l’âge, enfin celles de la personne obèse qui a rompu les équilibres nutritionnels qui maintiennent le poids corporel à une valeur qui ne prédispose pas aux risques morbides liés à l’obésité.
Les collègues cliniciens et chercheurs Jean-Michel Lecerf, Cyrielle Caussy, Régis Hankard et Agathe Raynaud-Simon, sur les conseils de mon ami le Pr Luc Cynober (UFR Pharmacie René-Descartes), ont eu la lourde tâche de redonner les grandes lignes de l’alimentation « normale » aux différents âges de la vie, en soulignant les excès et défauts qui peuvent être la source de pathologies variées (« Grandes lignes de la nutrition de l’adulte en bonne santé (et qui souhaite le rester) et au cours du cycle de la vie »). Avant de rentrer dans le gras du sujet, Luc Cynober lui-même nous rappellera les grandes lignes de la physiologie de l’alimentation et de la dénutrition (« Physiopathologie de la dénutrition »), bien nécessaires à appréhender pour au mieux profiter des deux thèmes qui vont suivre. Tout d’abord, et ce sera le troisième article, mes amis Christian Aussel et Frédéric Ziegler donneront la place de la biologie dans le diagnostic des dénutritions et le suivi de la renutrition, naturelle ou artificielle, entérale (par le bon trou ! la voie orale), ou parentérale (par le petit trou ! dans la veine). On y parlera d’albumine, de transthyrétine, d’index nutritionnels comme les NRI et PINI (« Évaluation de l’état nutritionnel »). Enfin, Jean-Pascal de Bandt, encore un ami, associé à Fabienne Tamion, réanimatrice du CHU de Rouen, traiteront le délicat sujet de la nutrition artificielle (« Nutrition artificielle : l’exemple de la réanimation ») en prenant l’exemple des services de réanimation ou de soins intensifs, avec son suivi biochimique par les mesures de l’azote total par la méthode de Kjeldahl pour établir un bilan d’azote, des acides aminés (phénylalanine, tyrosine, 3-méthyl-histidine) et des vitamines par chromatographie, des triglycérides par enzymologie et des acides gras par spectrométrie de masse…
Tout cela sent bon la biochimie et la chimie analytique, sciences fondamentales mais au combien appliquées en biologie médicale. N’oublions pas nos fondamentaux, chimie et biochimie, indispensables à la compréhension de la physiologie et à la mise en place de méthodes de dosages des constituants de l’organisme pour le diagnostic, l’évaluation pronostique et le suivi thérapeutique des maladies humaines. Il faudra aussi tenir compte de l’inflammation et mesurer des indices anthropométriques ; le CLAN nous dit ce que l’on doit faire et dans quelles circonstances.
Dans le deuxième numéro consacré à la biochimie de la nutrition, et toujours avec l’aide du Pr Luc Cynober, nous ferons confiance à des collègues cliniciens, associés à quelques biologistes, pour nous faire le point sur les relations entre « nutrition et fonctions immunitaires », « nutrition, obésité et diabète de type 2 », « nutrition et cancer », enfin nous promettons un article de synthèse qui devrait s’intituler : « En quoi un biologiste peut-il être utile aux sciences de la nutrition au-delà de l’évaluation de l’état nutritionnel ? ». On s’en lèche déjà les babines, mais patience est mère de sûreté…En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929002/article/avant-propos-biochimie-de-la-n [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74055
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 33-69[article] Dossier. Biochimie de la nutrition [texte imprimé] / Bruno Baudin, Auteur . - 2014 . - 33-69.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 33-69
Résumé : On est foutu, on mange trop ! Rien n’est si sûr, car notre alimentation s’est améliorée au cours des derniers siècles, sinon que des débordements se sont installés menant au surpoids et à l’obésité. L’alimentation n’est pas seule responsable, car oisiveté et sédentarité ont largement leur part de responsabilité. Et à l’hôpital, quand les besoins augmentent pour régénérer des tissus lésés et contrecarrer la maladie, la dénutrition guette, même chez les obèses.
Il est important de la quantifier et de suivre la renutrition. Dans les structures de soins, les CLAN (Comité de liaison en alimentation et nutrition) ont pour mission de conseiller en matière de qualité et sécurité de l’alimentation et de la nutrition des patients et personnels, en coordonnant la prise en charge de l’état nutritionnel et en assurant une meilleure qualité de la prescription et de la surveillance de la nutrition artificielle.
Dans deux numéros de la Revue Francophone des Laboratoires, nous nous sommes proposés de faire le point sur les connaissances tant sur l’alimentation et la nutrition de l’adulte normal en bonne santé et qui veut le rester, que sur celles du nouveau-né qui peut présenter des carences nutritionnelles, celles de la personne âgée qui doit adapter son alimentation aux modifications physiologiques induites par l’âge, enfin celles de la personne obèse qui a rompu les équilibres nutritionnels qui maintiennent le poids corporel à une valeur qui ne prédispose pas aux risques morbides liés à l’obésité.
Les collègues cliniciens et chercheurs Jean-Michel Lecerf, Cyrielle Caussy, Régis Hankard et Agathe Raynaud-Simon, sur les conseils de mon ami le Pr Luc Cynober (UFR Pharmacie René-Descartes), ont eu la lourde tâche de redonner les grandes lignes de l’alimentation « normale » aux différents âges de la vie, en soulignant les excès et défauts qui peuvent être la source de pathologies variées (« Grandes lignes de la nutrition de l’adulte en bonne santé (et qui souhaite le rester) et au cours du cycle de la vie »). Avant de rentrer dans le gras du sujet, Luc Cynober lui-même nous rappellera les grandes lignes de la physiologie de l’alimentation et de la dénutrition (« Physiopathologie de la dénutrition »), bien nécessaires à appréhender pour au mieux profiter des deux thèmes qui vont suivre. Tout d’abord, et ce sera le troisième article, mes amis Christian Aussel et Frédéric Ziegler donneront la place de la biologie dans le diagnostic des dénutritions et le suivi de la renutrition, naturelle ou artificielle, entérale (par le bon trou ! la voie orale), ou parentérale (par le petit trou ! dans la veine). On y parlera d’albumine, de transthyrétine, d’index nutritionnels comme les NRI et PINI (« Évaluation de l’état nutritionnel »). Enfin, Jean-Pascal de Bandt, encore un ami, associé à Fabienne Tamion, réanimatrice du CHU de Rouen, traiteront le délicat sujet de la nutrition artificielle (« Nutrition artificielle : l’exemple de la réanimation ») en prenant l’exemple des services de réanimation ou de soins intensifs, avec son suivi biochimique par les mesures de l’azote total par la méthode de Kjeldahl pour établir un bilan d’azote, des acides aminés (phénylalanine, tyrosine, 3-méthyl-histidine) et des vitamines par chromatographie, des triglycérides par enzymologie et des acides gras par spectrométrie de masse…
Tout cela sent bon la biochimie et la chimie analytique, sciences fondamentales mais au combien appliquées en biologie médicale. N’oublions pas nos fondamentaux, chimie et biochimie, indispensables à la compréhension de la physiologie et à la mise en place de méthodes de dosages des constituants de l’organisme pour le diagnostic, l’évaluation pronostique et le suivi thérapeutique des maladies humaines. Il faudra aussi tenir compte de l’inflammation et mesurer des indices anthropométriques ; le CLAN nous dit ce que l’on doit faire et dans quelles circonstances.
Dans le deuxième numéro consacré à la biochimie de la nutrition, et toujours avec l’aide du Pr Luc Cynober, nous ferons confiance à des collègues cliniciens, associés à quelques biologistes, pour nous faire le point sur les relations entre « nutrition et fonctions immunitaires », « nutrition, obésité et diabète de type 2 », « nutrition et cancer », enfin nous promettons un article de synthèse qui devrait s’intituler : « En quoi un biologiste peut-il être utile aux sciences de la nutrition au-delà de l’évaluation de l’état nutritionnel ? ». On s’en lèche déjà les babines, mais patience est mère de sûreté…En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929002/article/avant-propos-biochimie-de-la-n [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74055 Réservation
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DisponibleDossier. Biochimie de la nutrition : Grandes lignes de la nutrition de l’adulte en bonne santé (et qui souhaite le rester) et au cours du cycle de la vie / Jean-Michel Lecerf in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 465 (1) (septembre-octobre 2014)
[article]
Titre : Dossier. Biochimie de la nutrition : Grandes lignes de la nutrition de l’adulte en bonne santé (et qui souhaite le rester) et au cours du cycle de la vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Lecerf, Auteur ; Cyrielle Caussy, Auteur ; Régis Hankard, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 35-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALIMENTATION SAINE APPORTS NUTRITIONNELS CONSEILLES RECOMMANDATIONS ENFANT ADULTE FEMME ENCEINTE VITAMINE D MICRONUTRIMENTS Résumé : Les apports nutritionnels conseillés ne suffisent pas à définir ce que doit être l’alimentation d’un adulte en bonne santé. Il faut aussi comprendre les principes de la nutrition et les fonctions de l’acte alimentaire. Les études épidémiologiques ont permis de considérer que l’alimentation méditerranéenne est un bon modèle. Un certain nombre de points positifs sont relevés dans l’alimentation des Français aujourd’hui. D’autres points posent encore problème et méritent d’être améliorés afin de donner à chacun plus de chance de rester en bonne santé. Chez l’enfant et l’adulte, les préoccupations actuelles vont principalement à la prévention de l’obésité, en proposant une alimentation variée, respectant les sensations de faim, de rassasiement et de satiété, procurant du plaisir en évitant les excès. Chez la femme enceinte, la prise de poids doit être surveillée, et la vigilance concerne le statut en micronutriments : la supplémentation en acide folique est recommandée et il existe un risque de carence martiale et en vitamine D. Chez la personne âgée, le risque de morbi-mortalité lié à la dénutrition dépasse celui lié à l’obésité. La supplémentation en vitamine D doit être systématique après l’âge de 65 ans. Pour autant, dans les situations normales de vie, aucun dosage biologique systématique n’est recommandé, hormis quelques cas particuliers, chez l’enfant, l’adulte, la femme enceinte et la personne agée. En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929003/article/grandes-lignes-de-la-nutrition [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74056
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 35-45[article] Dossier. Biochimie de la nutrition : Grandes lignes de la nutrition de l’adulte en bonne santé (et qui souhaite le rester) et au cours du cycle de la vie [texte imprimé] / Jean-Michel Lecerf, Auteur ; Cyrielle Caussy, Auteur ; Régis Hankard, Auteur . - 2014 . - 35-45.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 35-45
Mots-clés : ALIMENTATION SAINE APPORTS NUTRITIONNELS CONSEILLES RECOMMANDATIONS ENFANT ADULTE FEMME ENCEINTE VITAMINE D MICRONUTRIMENTS Résumé : Les apports nutritionnels conseillés ne suffisent pas à définir ce que doit être l’alimentation d’un adulte en bonne santé. Il faut aussi comprendre les principes de la nutrition et les fonctions de l’acte alimentaire. Les études épidémiologiques ont permis de considérer que l’alimentation méditerranéenne est un bon modèle. Un certain nombre de points positifs sont relevés dans l’alimentation des Français aujourd’hui. D’autres points posent encore problème et méritent d’être améliorés afin de donner à chacun plus de chance de rester en bonne santé. Chez l’enfant et l’adulte, les préoccupations actuelles vont principalement à la prévention de l’obésité, en proposant une alimentation variée, respectant les sensations de faim, de rassasiement et de satiété, procurant du plaisir en évitant les excès. Chez la femme enceinte, la prise de poids doit être surveillée, et la vigilance concerne le statut en micronutriments : la supplémentation en acide folique est recommandée et il existe un risque de carence martiale et en vitamine D. Chez la personne âgée, le risque de morbi-mortalité lié à la dénutrition dépasse celui lié à l’obésité. La supplémentation en vitamine D doit être systématique après l’âge de 65 ans. Pour autant, dans les situations normales de vie, aucun dosage biologique systématique n’est recommandé, hormis quelques cas particuliers, chez l’enfant, l’adulte, la femme enceinte et la personne agée. En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929003/article/grandes-lignes-de-la-nutrition [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74056 Réservation
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DisponibleDossier. Biochimie de la nutrition : Physiopathologie de la dénutrition in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 465 (1) (septembre-octobre 2014)
[article]
Titre : Dossier. Biochimie de la nutrition : Physiopathologie de la dénutrition Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Article en page(s) : 47-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : DENUTRITION MUSCLE FOIE ACIDES AMINES GLUCOSE ACIDES GRAS NEOGLUCOGENESE Résumé : Toute variation déséquilibrée des apports par rapport aux dépenses énergétiques (et vice-versa) entraîne une rupture de l’homéostasie corporelle, responsable d’obésité ou de dénutrition.
La dénutrition résulte soit d’une diminution des apports alimentaires, soit d’une augmentation des dépenses énergétiques, soit d’une combinaison des deux processus.
Parce que l’Homme ne sait pas fabriquer du glucose à partir des acides gras, il doit pour cela mobiliser ses protéines, en particulier musculaires.
Selon les situations, la protéolyse nette musculaire résulte d’une diminution des synthèses (carence d’apports, chirurgie élective…) ou d’une augmentation du catabolisme (brûlure, sepsis, traumatisme crânien…).
Dans la mesure où toutes les protéines ont une fonction, leur surutilisation à des fins énergétiques se traduit par des altérations fonctionnelles, responsables à terme de morbi-mortalité.En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929004/article/physiopathologie-de-la-denutri [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74057
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 47-52[article] Dossier. Biochimie de la nutrition : Physiopathologie de la dénutrition [texte imprimé] . - 2014 . - 47-52.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 47-52
Mots-clés : DENUTRITION MUSCLE FOIE ACIDES AMINES GLUCOSE ACIDES GRAS NEOGLUCOGENESE Résumé : Toute variation déséquilibrée des apports par rapport aux dépenses énergétiques (et vice-versa) entraîne une rupture de l’homéostasie corporelle, responsable d’obésité ou de dénutrition.
La dénutrition résulte soit d’une diminution des apports alimentaires, soit d’une augmentation des dépenses énergétiques, soit d’une combinaison des deux processus.
Parce que l’Homme ne sait pas fabriquer du glucose à partir des acides gras, il doit pour cela mobiliser ses protéines, en particulier musculaires.
Selon les situations, la protéolyse nette musculaire résulte d’une diminution des synthèses (carence d’apports, chirurgie élective…) ou d’une augmentation du catabolisme (brûlure, sepsis, traumatisme crânien…).
Dans la mesure où toutes les protéines ont une fonction, leur surutilisation à des fins énergétiques se traduit par des altérations fonctionnelles, responsables à terme de morbi-mortalité.En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929004/article/physiopathologie-de-la-denutri [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74057 Réservation
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DisponibleDossier. Biochimie de la nutrition : Évaluation de l’état nutritionnel / Christian Aussel in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 465 (1) (septembre-octobre 2014)
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DisponibleDossier. Biochimie de la nutrition : Nutrition artificielle : l’exemple de la réanimation / Jean-Pascal de Bandt in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 465 (1) (septembre-octobre 2014)
[article]
Titre : Dossier. Biochimie de la nutrition : Nutrition artificielle : l’exemple de la réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pascal de Bandt, Auteur ; Fabienne Tamion, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 61-68 Langues : Français (fre) Mots-clés : DENUTRITION SOINS INTENSIFS EVALUATION NUTRITIONNELLE ALBUMINE TRANSTHYRETINE BILAN AZOTE Résumé : Le patient hospitalisé en réanimation, quand il n’est pas déjà dénutri à l’admission, présente un risque élevé de dénutrition du fait de sa possible incapacité à couvrir spontanément ses besoins nutritionnels et compte tenu de la majoration de ceux-ci induite par l’agression. L’évaluation nutritionnelle initiale permet, tout en disposant d’une référence de départ, de définir l’urgence de l’assistance nutritionnelle et le risque de complications induites par la dénutrition. Une fois les modalités de l’assistance nutritionnelle définies et celle-ci mise en route, il est bien entendu nécessaire de suivre son efficacité et le cas échéant sa tolérance.
Les marqueurs biologiques dans cette évaluation et ce suivi nutritionnels seront tout d’abord deux protéines sériques, l’albumine et la transthyrétine, plutôt marqueur pronostique pour la première et marqueur de suivi pour la seconde, très largement accessibles dans les laboratoires de biologie. L’évaluation du capital protéique et de sa dynamique pourra, pour le plus simple, recourir au suivi du bilan azoté, de préférence à partir de la mesure de l’azote total urinaire, qui ne donne qu’une image globale du métabolisme protéique ou, pour les laboratoires possédant l’équipement chromatographique nécessaire, l’analyse des acides aminés sanguins (rapport phénylalanine/tyrosine) et urinaires (3-méthyl-histidine) qui permettra d’évaluer le catabolisme protéique. Enfin, l’étude de l’aminoacidogramme plasmatique complet pourrait être une piste d’avenir pour une adaptation individualisée de l’apport nutritionnel.En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929006/article/nutrition-artificielle-l-exemp [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74059
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 61-68[article] Dossier. Biochimie de la nutrition : Nutrition artificielle : l’exemple de la réanimation [texte imprimé] / Jean-Pascal de Bandt, Auteur ; Fabienne Tamion, Auteur . - 2014 . - 61-68.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 465 (1) (septembre-octobre 2014) . - 61-68
Mots-clés : DENUTRITION SOINS INTENSIFS EVALUATION NUTRITIONNELLE ALBUMINE TRANSTHYRETINE BILAN AZOTE Résumé : Le patient hospitalisé en réanimation, quand il n’est pas déjà dénutri à l’admission, présente un risque élevé de dénutrition du fait de sa possible incapacité à couvrir spontanément ses besoins nutritionnels et compte tenu de la majoration de ceux-ci induite par l’agression. L’évaluation nutritionnelle initiale permet, tout en disposant d’une référence de départ, de définir l’urgence de l’assistance nutritionnelle et le risque de complications induites par la dénutrition. Une fois les modalités de l’assistance nutritionnelle définies et celle-ci mise en route, il est bien entendu nécessaire de suivre son efficacité et le cas échéant sa tolérance.
Les marqueurs biologiques dans cette évaluation et ce suivi nutritionnels seront tout d’abord deux protéines sériques, l’albumine et la transthyrétine, plutôt marqueur pronostique pour la première et marqueur de suivi pour la seconde, très largement accessibles dans les laboratoires de biologie. L’évaluation du capital protéique et de sa dynamique pourra, pour le plus simple, recourir au suivi du bilan azoté, de préférence à partir de la mesure de l’azote total urinaire, qui ne donne qu’une image globale du métabolisme protéique ou, pour les laboratoires possédant l’équipement chromatographique nécessaire, l’analyse des acides aminés sanguins (rapport phénylalanine/tyrosine) et urinaires (3-méthyl-histidine) qui permettra d’évaluer le catabolisme protéique. Enfin, l’étude de l’aminoacidogramme plasmatique complet pourrait être une piste d’avenir pour une adaptation individualisée de l’apport nutritionnel.En ligne : http://www.em-consulte.com/article/929006/article/nutrition-artificielle-l-exemp [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=74059 Réservation
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