Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur A. JURET |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Intérêt des infiltrations du « mur méniscal » par les corticoïdes dans les douleurs méniscales du genou. À propos de 214 cas / BOUVARD M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 25/1 (février 2008)
[article]
Titre : Intérêt des infiltrations du « mur méniscal » par les corticoïdes dans les douleurs méniscales du genou. À propos de 214 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : BOUVARD M., Auteur ; A. JURET, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 4-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infiltration Ménisque Résumé :
Les lésions méniscales traumatiques ou microtraumatiques se manifestent souvent par des douleurs fémorotibiales pour lesquelles la méniscectomie n’est pas sans accélérer le processus arthrosique. Les infiltrations du « mur méniscal » du genou par les corticoïdes sont proposées aux patients consentants souffrant d’une douleur méniscale dégénérative ou post-traumatique. La technique consiste en l’injection en zone juxtaméniscale d’un corticoïde après repérage à la palpation du point douloureux de l’interligne articulaire du genou et corrélation radiologique. Nous avons réalisé deux études non comparatives : une première rétrospective de 178 patients âgés en moyenne de 44 ans et une seconde prospective de 36 patients âgés en moyenne de 39 ans, concernant des patients traités par une série d’une à trois infiltrations pour une douleur méniscale confirmée par l’imagerie. Le critère de jugement combiné est la sédation de la douleur et la reprise de l’activité à j60/90. Les résultats sont favorables avec, pour l’étude rétrospective, 106 patients répondeurs versus 46 non-répondeurs (26 perdus de vue) et, pour l’étude prospective, 28 patients répondeurs versus six non-répondeurs (deux perdus de vue). Il n’existe pas de facteur prédictif clinique ou radiologique positif retrouvé simultanément dans les deux études et permettant de définir le profil du « bon répondeur » à ce traitement. Néanmoins, il faut noter que les douleurs méniscales accompagnées de blocages apparaissent comme une mauvaise indication du traitement infiltratif et qu’il convient, par ailleurs, d’effectuer parallèlement des injections d’acide hyaluronique lors de lésions du cartilage associée. Les infiltrations du « mur méniscal » offrent ainsi de nouvelles perspectives dans la prise en charge médicale de la douleur méniscale. Il reste à réaliser des études comparatives versus arthroscopie afin de déterminer leur place réelle dans l’arsenal thérapeutique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17485
in Journal de traumatologie du sport > vol. 25/1 (février 2008) . - pp. 4-10[article] Intérêt des infiltrations du « mur méniscal » par les corticoïdes dans les douleurs méniscales du genou. À propos de 214 cas [texte imprimé] / BOUVARD M., Auteur ; A. JURET, Auteur . - 2008 . - pp. 4-10.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 25/1 (février 2008) . - pp. 4-10
Mots-clés : Infiltration Ménisque Résumé :
Les lésions méniscales traumatiques ou microtraumatiques se manifestent souvent par des douleurs fémorotibiales pour lesquelles la méniscectomie n’est pas sans accélérer le processus arthrosique. Les infiltrations du « mur méniscal » du genou par les corticoïdes sont proposées aux patients consentants souffrant d’une douleur méniscale dégénérative ou post-traumatique. La technique consiste en l’injection en zone juxtaméniscale d’un corticoïde après repérage à la palpation du point douloureux de l’interligne articulaire du genou et corrélation radiologique. Nous avons réalisé deux études non comparatives : une première rétrospective de 178 patients âgés en moyenne de 44 ans et une seconde prospective de 36 patients âgés en moyenne de 39 ans, concernant des patients traités par une série d’une à trois infiltrations pour une douleur méniscale confirmée par l’imagerie. Le critère de jugement combiné est la sédation de la douleur et la reprise de l’activité à j60/90. Les résultats sont favorables avec, pour l’étude rétrospective, 106 patients répondeurs versus 46 non-répondeurs (26 perdus de vue) et, pour l’étude prospective, 28 patients répondeurs versus six non-répondeurs (deux perdus de vue). Il n’existe pas de facteur prédictif clinique ou radiologique positif retrouvé simultanément dans les deux études et permettant de définir le profil du « bon répondeur » à ce traitement. Néanmoins, il faut noter que les douleurs méniscales accompagnées de blocages apparaissent comme une mauvaise indication du traitement infiltratif et qu’il convient, par ailleurs, d’effectuer parallèlement des injections d’acide hyaluronique lors de lésions du cartilage associée. Les infiltrations du « mur méniscal » offrent ainsi de nouvelles perspectives dans la prise en charge médicale de la douleur méniscale. Il reste à réaliser des études comparatives versus arthroscopie afin de déterminer leur place réelle dans l’arsenal thérapeutique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17485 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt